Programas de Mobilidade

Grupo de Alunos Internacionais

Atualmente a UCP tem acordos de intercâmbio bilaterais com mais de 450 universidades em todo o mundo. O número de alunos de intercâmbio de universidades parceiras que a UCP recebe tem vindo a crescer exponencialmente nos últimos anos. Os alunos que frequentam a UCP provêm de aproximadamente 90 países.

Poderá aceder aqui à lista dos Acordos de Cooperação atualmente em vigor.

Programa Erasmus+

O Programa ERASMUS+ foi lançado pela União Europeia em 1987, e a UCP tem participado no mesmo desde os primeiros anos, tendo experienciado crescimento substancial nos números de mobilidade, todos os anos.

Todos os alunos que vêm ao abrigo de um programa de intercâmbio podem contar com um ambiente de aprendizagem interativo e um grande apoio por parte da faculdade de acolhimento. São comuns iniciativas para receber os alunos internacionais como o “local buddy” para ajudar os recém-chegados a se integrarem na vida académica em Portugal e outras atividades como a welcome week e visitas a locais de interesse turístico.

No âmbito do Programa ERASMUS+, a Agência Executiva para a Educação, o Audiovisual e a Cultura (EACEA) atribuiu à UCP uma Carta ERASMUS para o Ensino Superior (ECHE), que permite à Universidade participar nas atividades Erasmus+. As prioridades da UCP relativas à mobilidade Erasmus para o novo Programa-Quadro, que vigorará até 31 de dezembro de 2027, encontram-se definidas na Declaração de Política ERASMUS (EPS-Erasmus Policy Statement).

A UCP participa no programa mediante parcerias com numerosas universidades. As atividades desenvolvidas neste âmbito são as seguintes:

  • Mobilidade de estudantes para estudos e estágios (SMS e SMP)
  • Mobilidade de docentes para missões de ensino de curta duração (STA)
  • Mobilidade de docentes/pessoal não docente para formação (STT)

Cada unidade académica tem o seu regulamento e procedimento de candidatura. Consulte o site da faculdade do seu interesse ou contacte o respetivo gabinete.

L’université inquiète. Entretien sur le temps d’aujourd’hui

Excellence Monseigneur l’Archevêque de Paris et Grand Chancelier de l’Institut Catholique de Paris, Msgr Michel Aupetit
Monsieur le Recteur, Père Emanuel Petit
Chers Professeurs, chers collègues
Chers étudiants
Mesdames et messieurs en vos titres et qualités

Je suis très honorée et touchée de recevoir un Doctorat Honoris Causa de l'Institut Catholique de Paris, héritier de l'une des plus anciennes universités du monde, du temps où toutes les universités étaient traditionnellement catholiques. Je remercie le Recteur, M. Emanuel Petit, et le Conseil des Doyens, ainsi que l'ancien Recteur, M. Philippe Bordeyne, pour la reconnaissance de mon travail académique en faveur du dialogue culturel. En écoutant la laudatio prononcée par le Prof. Dr Cécile Coulangeon, j'ai eu l'impression qu'elle parlait de quelqu'un d'autre que moi. Une ancienne élève de cette institution, Simone de Beauvoir, a dit un jour à Jean Paul Sartre que le sens d'un titre d'honneur était toujours une abstraction et qu'il devait accepter cette condition avec modestie et sans présomption. Avec la clarté choquante qui la caractérisait, Beauvoir disait à Sartre que le titre n'était pas le sien, mais était de ce que Sartre représentait, c'est-à-dire l'univers que son action réalisait.

Je suis donc honorée de cette distinction octroyée pour un parcours qui représente plus de personnes que celle qui reçoit ce diplôme ici aujourd'hui. Tout au long d'une vie de recherche, d'enseignement et de direction, j'ai eu le privilège d'être critiquée et encouragée, d'être mise au défi et d'apprendre que chaque succès ou défaite est une force de croissance. Je reçois donc ce titre d’honneur en remerciant les magnifiques professeurs, les brillants collègues, mes étudiants agités et perspicaces et les partenaires intellectuels qui ont transformé chaque crise en un moment de discernement, qui ont déstabilisé ma zone de confort et contraint à la réflexion critique. En adaptant les vers du poète John Donne, je dirais: "Aucune femme n'est une île, un tout, complet en soi; toute femme est un fragment du continent, une partie de l'ensemble" (Méditation XVII, Devotions upon Emergent Occasions, 1624).

C'est à partir de la prise de conscience de la vie en tant qu'écologie, qui met en relation diverses manières de voir et d'évaluer la réalité, et du travail sur le conflit comme moyen de rechercher des articulations, que j'ai construit des travaux de recherche et développé des stratégies de leadership. Je crois qu'à notre époque inquiète, la lutte contre les monocultures, qu'elles soient disciplinaires, politiques, culturelles ou économiques, est cruciale si l'on veut que l'avenir soit possible. Une attitude écologique va bien au-delà de la dimension biologique qui l'inspire étymologiquement. Dans notre époque agitée, elle est sociale, politique, culturelle. Comme l'affirme le pape François dans l'encyclique Laudato Si, elle est intégrale. Et une écologie intégrale est nécessairement aussi institutionnelle (LS, 142), ou elle ne l'est pas.

En cette période d'inquiétude, l'institution universitaire ne peut se distancer d’une demande radicale de refiguration écologique. Les problèmes complexes de notre époque ne peuvent être résolus sur des îles ; ils exigent l'action de multiples protagonistes, ils exigent le pluralisme, ils exigent le dialogue et l'engagement. Touchés par une pandémie qui avait été anticipée mais à laquelle nous étions désespérément mal préparés, nous avons vécu ces 22 derniers mois dans un état d'exception et de suspension. L'exception sanitaire nous a obligés à suspendre les logiques de la vie quotidienne et a donné lieu à une réflexion individuelle et collective sur les conditions de la modernité tardive. Bernard Henry Lévy a évoqué le remplacement du contrat social par un contrat vital (Lévy, 2020 : 80), selon lequel un sentiment généralisé de crise fait naître un sentiment de disqualification irrémédiable, source d'une crise de confiance protectrice et d'une mélancolie qui n'en finit pas. Je parle de la défaite des promesses de la mondialisation, du capitalisme global, en Europe la crise de l'Etat social notamment suite à la crise de la dette souveraine. En outre, cette blessure nourrit durablement le sentiment d'une trahison des élites. Mais cette réaction traverse les temps. Nous l'avons vécu il y a peut-être cent ans, et nous connaissons aussi ses effets tragiques.

En fait, après la tragédie des deux guerres mondiales, la cristallisation politique en deux blocs antagonistes séparés par un rideau de fer symbolique et la projection de ce conflit froid en scénarios chauds et asymétriques à l'échelle mondiale, nous avons cru, à la fin du XXe siècle, que le temps avait pris fin et que l'utopie éthique d'une humanité essentielle était réalisée. À la fin du siècle, nous avons connu la voracité de la complétude. Avec la fin de la guerre froide, nous avions atteint la paix universelle. L'ère de la pax americana a également marqué la victoire de la démocratie en tant que modèle politique hégémonique qui a entraîné l'affirmation du capitalisme et, avec lui, la mondialisation économique, annonçant la fin de de la pauvreté et de la famine. Dans le monde transformé en un village global, nous vivions connectés, interdépendants, la technologie et la science promettaient le meilleur des mondes et la conquête des maux qui affligeaient la race humaine. Nous avions donc conquis la paix, vaincu la pauvreté et dominé la maladie. La modernité avait accompli ses promesses d'émancipation, de liberté, de prospérité, de bonheur, comme le disait la Constitution des États-Unis d'Amérique de 1787.

Alors que nous entamons la troisième décennie du nouveau siècle, nous savons que modernité est un mot équivoque et peut-être faux (Ramalho Santos, Sousa Ribeiro 2008: 2) qui semble avoir besoin d'un complément pour remplir son mandat de signification, car le terme aborde l'aporie du temps inachevé, exposant le désir recherché mais toujours refusé de capturer l'instant fugace. Et d'autre part, du point de vue de la chronologie, l'idée même de moderne présente l'échec de l'histoire, se constituant comme un mouvement de dénonciation du passé. Comme le souligne Andreas Huyssen, le moderne est marqué par le traumatisme du passé présent, qui retranche le rêve d'un futur présent (2003, 11). Il semble donc que la modernité ne puisse se prononcer que sur un mode pré ou postmoderne, comme un processus inachevé voué à être emporté par la brise du progrès tel l'ange de l'histoire de Walter Benjamin, regardant en arrière et observant un tas de gravats. La modernité est donc toujours multiple, inaboutie, contradictoire, oscillant entre de bonnes intentions réformatrices et une pulsion violente et autoritaire. C'est dans cette tension, d'un temps toujours indompté et sauvage (J.Gil, 2020) mais qui veut s'accomplir avec de bonnes intentions, que Charles Baudelaire a observé le mal intrinsèque au processus de la modernité. "On n'est jamais excusable d'être méchant, mais il y a quelque mérite à savoir qu'on l'est; et le plus irréparable des vices est de faire le mal par bêtise."

La bêtise est en fait le grand accélérateur de l'histoire. Lorsque nous regardons la réalité de notre époque, nous observons l'effet d'une certaine bêtise stratégique dans la prise de décision politique concernant les conflits qui nous entourent - de l'attentat du 6 janvier contre le Capitole au conflit entre la Biélorussie et l'Union européenne à la frontière polonaise - dans l'hésitation quant à l'orientation vers une politique environnementale durable, dans la difficulté à reconnaître les appels à la justice distributive de la part des populations en situation de précarité, dans la polarisation du débat sur la justice sociale et sa contamination par les moralismes de la wokeness transatlantique. Nous connaissons le somnambulisme que l'historien Christopher Clark a décrit comme ayant conduit le monde à la Première Guerre mondiale, et Marc Ferro a décrit le ressentiment comme un agent de l'histoire. Aujourd'hui, dans une modernité inquiète et sauvage, nous vivons à l'heure de la bêtise stratégique. Cette bêtise n'est pas ignorante, et dans certains cas elle peut même être bien intentionnée, mais dans la plupart des situations elle est profondément cynique, car son action est stratégique. Son problème est qu'elle n'a pas de conscience, pas de valeurs. Elle agit en surface, en utilisant une communication partielle, voire fausse, diffusée par des plateformes digitales, pour conquérir la population la plus (des)informée qui soit, précisément parce que c'est celle qui a toujours eu le plus accès à l'information. La bêtise stratégique crée des 'idiots utiles' ou favorise l'éducation des crétins digitaux, selon le terme de Michel Desmurget. C’est à nous de les arrêter!

L'université inquiète. Elle constitue l'espace d'autocritique propre à la modernité tardive, et se remet chaque jour en question, mais elle est aussi perçue comme dérangeante et à la fois inutile. Je parle tout d'abord du discrédit politique et social. Depuis 2016, l'université ne figure pas dans les discours de l'Union européenne sur l'état de l'Union. Souvent elle est invoquée comme référence marginale sur l'employabilité des diplômés. Or, l'Europe et les universités sont marqués par une sorte de pollinisation croisée. Bien que la formation académique ne soit pas un privilège européen exclusif, il n'y a pas d'Europe sans université et vice-versa. Institutionnalisée au XIe siècle en Europe en tant que projet de formation des élites de l'Église, l'université a joué un rôle déterminant dans le développement divers des sociétés européennes et de leurs cultures.

Néanmoins, l'existence de centres de connaissances structurés n'est pas une idée européenne. La bibliothèque d'Alexandrie faisait partie du Musaeum d'Alexandrie qui ressemblait à un campus universitaire moderne, car il comprenait des amphithéâtres, des salles de réunion et des espaces de restauration. L'Académie des sciences de Bagdad, au 9e siècle, était un centre d'apprentissage. À Pékin, au 3e siècle, il existait une académie pour la formation des fonctionnaires impériaux, le Taixue. Certains centres bouddhistes en Inde, comme à Nalanda et Taxila, ont rassemblé un grand nombre d'étudiants jusqu'à environ 1200, atteignant environ 10.000 résidents (Palfreyman, Temple : 2017). Et pourtant, bien que de l'Akademos grec au Bayt-al-Hikma arabe, à Bagdad, des centres de savoir aient fait surface dans tout le monde connu, la création et le modèle spécifique de l'université sont européens, développés il y a plus de 1000 ans dans les salles des écoles cathédrales, puis dans les académies de Paris, Bologne, Oxford, Lisbonne et d'autres endroits.

Avant même que l'Europe ne s'ouvre à l'exploration, et à l'exploitation, de géographies inconnues, s'élargissant à "toute la variété" des expériences et des formes de vie, l'université était déjà une entreprise internationale. L’université de Thomas d’Aquin a été si internationale que l’université moderne, née en Prusse dans les premières décennies du XIXe siècle comme instrument politique au service de la projection nationale du pouvoir. La réforme de Wilhelm von Humboldt et de Friedrich von Hardenberg a donné naissance à l'université de recherche moderne dont l'objectif était d'établir l'unité de l'enseignement et de la recherche, ainsi que de défendre la liberté d'enseignement (Lehrfreiheit) et d'apprentissage (Lernfreiheit). L'université moderne a donc été conçue dans le sillage de ce que l'on appelle "l'aube de l'ère du peuple", et s'est attachée à renforcer l'État-nation en tant que formation politique dominante et à mettre en œuvre un nouvel ordre économique issu de l'industrialisation. Rien de plus étrange, qu’aujourd’hui, dans l'Europe post-nationale, l'université devienne simplement un fétiche du jeu politique.

La projection de l'Europe à travers les universités européennes et l'espace européen de l'enseignement supérieur n'est pas une réalisation récente de la virtuosité politique de Bruxelles. De l'université européenne comme projet inquiète qui promeut l'agitation est née la grammaire de la création de l'Europe, ses valeurs et son projet constant d'aller au-delà, sans limites, sans tabous, mais avec conscience. Et c'est cette conscience qui fait défaut dans la rhétorique du lien entre l'université et l'employabilité, qui sert les objectifs technocratiques de certaines politiques européennes.

L'idée de l'Europe-université lamine le célèbre discours d'Emanuel Macron à la Sorbonne en 2017, dont il dit que " la seule façon d'assurer l'avenir est de rétablir une Europe souveraine, unie et démocratique. " Une ligue d'universités européennes d'élite s'érigerait en avant-garde de cette politique. À cette fin, l'université est un outil, et non un protagoniste. Il sert un but, il ne le détermine pas. En bref, l'institution qui a créé l'Europe des idées et avec des idées sert désormais une certaine idée de l'Europe. L'Europe de l'innovation, de la croissance, de l'esprit d'entreprise, de la créativité, de la durabilité, de la sécurité, de la justice, de la démocratie, de l'employabilité veut être reproduite dans les stratégies des 41 alliances d'universités créées dans le cadre de cette grande initiative. Et pourtant, cette Europe n'est peut-être pas suffisante. Dans son discours sur l'état de l'Union, la Présidente Ursula van der Leyen a appelé à la création d'une nouvelle âme pour l'Europe, invoquant Robert Schumann lorsqu'il a déclaré que "l'Europe a besoin d'une âme, d'un idéal, et de la volonté politique de servir cet idéal". À Rome, au moment de la reconstruction, il fallait faire de l'idée d'Europe un idéal de paix, de solidarité, de croissance, de démocratie. Il était également nécessaire d'avoir "un acte béni d'oubli/ a blessed act of oblivion" parmi les ennemis d'hier, comme l'a souligné Winston Churchill en 1946 dans son célèbre discours de Zurich.

L'Europe d'aujourd'hui a rempli les promesses de Rome, mais elle risque toujours de perdre son âme. Il est remarquable que le nouveau programme de stages pour les jeunes lancé par la Commission porte le nom approprié d'ALMA (âme). Néanmoins refaire l'âme est plus exigeant que de proposer un idéal. Et construire une âme "nouvelle" suggère la banalité du nouveau qui frappe une certaine modernité fatiguée de soi. Fernando Pessoa, dont le Livre de l'Inquiétude a été considéré par Alain Badiou comme le chemin de fer d'une modernité devant nous, a décrit de manière symptomatique l'excès de nouveauté comme le sentiment moteur d'une existence moderne, dans laquelle les individus "ont déjà (vu) tout ce qu'ils n'ont pas encore (fait) voir." Dans ce milieu, on vit "l'ennui du toujours nouveau, l'ennui de découvrir sous la différence passagère des choses et des idées, l'identité pérenne de tout, la similitude absolue entre la mosquée, le temple et l'église, l'égalité de la cabane et du château, le même corps structurel pour être roi vêtu et sauvage nu, l'éternelle concordance de la vie avec elle-même, la stagnation de tout ce qui vit dans le changement auquel il est condamné." (Pessoa, LDI: 369)* Peut-être que, aujourd'hui comme hier, nous vivons l'ennui du nouveau. Et l’ennui peut contaminer l’université.

Les descriptions courantes de ce que fait une université ont souvent recours à la comparaison. Elles sont ainsi définies comme des "usines à savoir" ou comme "un marché aux idées" (Louis Menand), c'est-à-dire un lieu d'échange et de négociation, où la complexité du tissu social se reflète dans le dialogue fructueux entre les disciplines et les méthodologies. Ces derniers temps, nous avons assisté à une prise de conscience croissante du fait qu'une université - en tant qu'organisation complexe - qu'elle soit publique ou privée, est tenue de respecter des normes élevées en matière de responsabilité et d'obligation de rendre des comptes, notamment vis-à-vis de ses étudiants, dont la qualité témoigne de l'impact plus large de l'institution. Et comment s'y prendre ? Les plans stratégiques des universités, au lieu d'identifier des forces uniques et des orientations futures, sont presque identiques. Stefan Collini, dans What are Universities for? nous avertit que le "Edspeak" a colonisé nos esprits. Notre recherche doit être compétitive, révolutionnaire, à la pointe du progrès, pertinente, applicable, transférable, génératrice de profits et... facilement conditionnée pour être diffusée dans les médias. A notre époque, l'université se rapproche dangereusement de l'usine. Elle se normalise avec la règle de la mesure et de l'impact, l'accent mis sur les résultats et sur la matérialité de la création de valeur. Cela se produit alors que l'université est de plus en plus séduite par le glamour de l’entreprise régi par des modèles d'efficacité, de croissance et d'innovation.

Réduire la valeur d'une éducation au débat utile/inutile n'a été qu'improductif. À la fin des années 1800, lorsque les nouvelles universités de Liverpool et de Birmingham ont été fondées avec la mission de fournir une éducation professionnelle à la jeunesse, un pamphlet d'Oxford plaisantait sur l'avilissement qu'un tel modèle entraînerait : "Il obtient des diplômes pour faire de la confiture/ à Liverpool et Birmingham" (“He gets degrees in making jam/ At Liverpool and Birmingham,”), en méprisant les diplômés dans des domaines vulgaires comme l'ingénierie. Plus tard au XXe siècle, le président de l'université de Chicago, Robert Maynard Hutchins, a écrit dans The University of Utopia (1953) que "le but de l'éducation n'est pas de produire des armes pour l'industrie ou d'apprendre aux jeunes à gagner leur vie. Son but est d'éduquer des citoyens responsables". Mais si, sans la proposition de main-d'œuvre et de compétences, audelà de la logique du value for money, où se trouve la valeur de l'enseignement universitaire au XXIe siècle ? Comment l'université peut-elle conserver sa pertinence avant la disparition de la culture de l'expert et devant l'iconoclasme tapageur de la société de la connaissance fondée sur les données/data ? Et dans cette énigme, quelle est la valeur de l'enseignement supérieur catholique?

Je risque une proposition: la singularité unique de notre mission est de créer de la valeur avec des valeurs. Et pour commencer, il serait utile de se pencher sur ce que l'ancien vice-chancelier de l'Université de Newcastle, Chris Brink, appelle " l'âme de l'université " (Brink, 2018:xv), pivotant autour de deux questions principales qui définissent fondamentalement toute entreprise universitaire: En quoi sommes-nous bons ? Et à quoi sommes-nous bons ? Ces questions sont au cœur de notre identité, de notre mission et de notre activité. Elles évoquent la quête ancestrale de la vérité et du bien. Ce à quoi nous sommes bons, c'est à rechercher sans relâche la vérité à travers la recherche et l'enseignement, et dans la rencontre quotidienne avec les personnes que nous représentons : les étudiants, les enseignantes, le personnel et les parties intéressés (stakeholders) de notre troisième mission. Ce pour quoi nous sommes bons, c'est pour contribuer au bien de la société, en nous efforçant d'approfondir le dialogue pour mener une vie digne, au service de notre maison commune. Mais aussi de comprendre que notre mission est commandée par des valeurs humanistes, que notre raisonnement est enrichi par la foi tout comme la foi est élargie par la raison (Fides quarens intellectum). Et comme Jésus l'a expliqué au docteur de la loi dans la parabole du bon Samaritain, l'ouverture à la diversité, à l'altérité doit être embrassée et ne fera qu'enrichir notre mission en renforçant notre pertinence pour faire face à la complexité incertaine de notre monde, parce que "Par l'échange de dons, l'Esprit peut nous conduire toujours plus loin dans la vérité et la bonté". (EG 246).

Or l'université, moteur de la croissance et du développement, est aussi le bastion d'une manière de vivre ensemble, d'un ensemble de valeurs et de droits. Les idées profondes qui ancrent l'européanité, si nous voulons l'appeler ainsi, ont été développées et apprises dans les espaces palpitants des académies européennes: la défense de la dignité de l'individu, la lutte pour la liberté et le libre choix, l'État de droit, la démocratie représentative, l'État-social, le droit à la mémoire, à l'éducation, à la santé, au travail, comme l'a dit Hannah Arendt, le droit d'avoir des droits. L'université inquiète combine le désir palpitant de connaissance avec un activisme éthique en faveur d'une citoyenneté intégrale. Elle sera toujours agitée par l'exigence d'une autonomie responsable, par le droit à la parole de tous les membres de sa communauté, par l'inspection critique du pouvoir. Mais cette inquiétude doit aussi toucher son organisation.

Comprendre ce qu'elle est, comment elle fonctionne et ce qu’elle signifie sont des questions fondatrices du geste qui sous-tend toute pratique académique, un ensemble de questions qui présupposent à leur origine une épistémologie écologique. Comme nous le savons bien, l’ensilotage disciplinaire est une création de l'ordre du savoir rationaliste. Sous prétexte d'analyse approfondie, la décomposition du problème en tranches indépendantes produit la perte de la notion d'ensemble. La branche de l'arbre est observée, mais pas la forêt. La monoculture académique constitue la menace interne ultime pour l'écologie intégrale en tant que proposition profonde de redéfinition du modèle de production de savoir de l'université. Elle se manifeste par la rigidité disciplinaire, par le privilège corporatif qui limite l'accès aux catégories les plus élevées de la profession, notamment pour les femmes. Dans l'Europe de 2021, nous n'avons toujours que 26% de femmes aux plus hauts postes de la carrière universitaire et seulement 23% de femmes sont à la tête d'institutions. En tout cas, une avancée retentissante de 7% par rapport à 2015.

L'écologie intégrale demande à être reconnue. Dans le milieu universitaire, comme dans la société, une pratique de reconnaissance qui favorise un véritable dialogue disciplinaire et non une simple tolérance transdisciplinaire ; qui promeut l'interdépendance ou la complémentarité des connaissances scientifiques produites dans l'académie avec d'autres réalités et pratiques externes, notamment locales, y compris le dialogue avec les savoirs informels. Elle passe également par la reconnaissance de la diversité de sa communauté de chercheurs, d'enseignants, d'étudiants, de collaborateurs, qui, dans les sociétés ouvertes dans lesquelles nous vivons, est de plus en plus multiculturelle et multilingue. Enfin, elle demande que cette communauté se reconnaisse dans les instances dirigeantes scientifiques, universitaires et gouvernementales. Dans un court texte publié en 1934 dans le journal étudiant du Somerville College d'Oxford, intitulé "Why", Virginia Woolf s'interrogeait à juste titre sur l’abîme entre la communauté des étudiants et les enseignants, sur l'inadéquation du modèle de la lecture/ la leçon magistral à la réalité vécue par les étudiants et sur la distinction absurde qui éloignait ces maîtres de partager une humanité commune. Avec clarté, elle a dit: "Pourquoi encourager vos maîtres à se transformer en fanfarons et en prophètes alors qu'ils sont que des hommes et des femmes ordinaires?"

Pourquoi ? La question annexe de la recherche scientifique doit continuer à nous animer pour repenser l'université, son organisation, sa place, ce qu'elle fait de bien, l'héritage qu'elle préserve et les récits lourdes qu'elle doit rejeter, notamment les dérives du passé qui ont conduit à la discrimination et au sectarisme.

C’est pourquoi une inquiétude structurel doit être cultivée au sein de l'université . Nous sommes l'institution que nous sommes, précisément parce que nous avons toujours été plus qu'une institution. L'inquiétude comme stratégie exige, après tout, que l'université se remette en question et devienne un studio de transformation agité vers un monde meilleur. Et que, ce faisant, chacun puisse s'exprimer, sans annulation. L'académie est l'espace de liberté, par définition, où la vérité est recherchée, où le pluralisme est de droit. Déguisé sous une apparence de justice sociale, le moralisme woke de la cancel culture est une bêtise cynique. Dans l'histoire de l'humanité et partout dans le monde, l'université a été d’avantage un espace de résistance aux autoritarismes de toutes sortes (politiques, religieux, économiques). Il est vrai que tout n'est pas ou n'était pas parfait, car l'université aussi reflété la structure de sentiment des sociétés dans lesquelles elle s'est insérée, mais elle est toujours en devenir, en train de se améliorer. Comme l'écrit la jeune poétesse américaine Amanda Gorman dans son poème "The Hill We Climb", le système "n'est pas brisé, mais simplement inachevé"/“isn’t broken, but simply unfinished”. L'université, c'est nous, et il est de notre responsabilité d'en prendre soin comme d'un espace inclusive, d'ouverture, pour les générations futures. Avec l'inquiétude comme stratégie et le service à la société comme mission.

Je souhaite à tous les étudiants, enseignants et membres des organes de direction de l'université, que je salue en la personne de son Recteur, une année académique riche dans la poursuite de la connaissance.

Merci beaucoup.

Isabel Capeloa Gil
18-11-2021


* “Já (viram) tudo o que ainda não (tinham) visto.” Neste ambiente vive-se “O tédio do constantemente novo, o tédio de descobrir sob a transitória diferença das coisas e das ideias, a perenne identidade de tudo, a similhança absoluta entre a mesquita, o templo e a egreja, a igualdade da cabana e do castello, o mesmo corpo estrutural a ser rei vestido e selvagem nu, a eterna concordância da vida consigo mesma, a estagnação de tudo que vive na mudança a que está condemnado.” (Pessoa, LDI: 369)

O que marcou o empreendedorismo em Portugal em 2020

O ano que amanhã termina foi marcado pela imprevisibilidade causada pela pandemia, pela crise de saúde pública que levou a confinamentos, que mudou métodos de trabalho e revelou o peso da tecnologia na vida pessoal e profissional.

A economia nacional, nas suas múltiplas variantes, sofreu um abalo inesperado com que todos – cidadãos, empresas – tiveram de lidar com resiliência e preserverança. Mas como em tudo, também se abriu um mundo de oportunidades que deu origem a muitos e inovadores projetos, da saúde às tecnologias.

Numa retrospetiva noticiosa de 2020, selecionamos os temas que marcaram aquele que muitos já consideram o ano mais desafiante do século.

Veja a seleção da Link to Leaders das notícias que marcaram o empreendorismo em Portugal em 2020 aqui.

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Submitted by admin on Terça, 06/27/2023 - 10:41
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Paulo Cardoso do Amaral: "Zuckerberg e o vil metal: o lado bom"

Depois do desastroso início de projecto Libra, no ano passado, o facebook veio tentar emendar a mão, corrigindo o seu white paper no passado dia 16, e chamando-lhe agora “payment system”.

Pois parece que andou a falar com os reguladores, apresentou até um relatório do G7 favorável a stable coins, e acabou a propor recentemente uma espécie de sistema de pagamentos suportado por uma espécie de blockChain e com um cabaz de stable coins, incluindo a sua própria criptomoeda, a Libra. Tudo porque há muitas pessoas no mundo sem capacidade para movimentar o seu dinheiro, numa altura onde a comunicação liberalizada de dados multimédia passou a ser a norma para tudo, exceto para os pagamentos. Tudo muito meritório. Ler o white paper da Libra é acreditar que é tudo sem fins lucrativos, tudo muito seguro, e para nos ajudar a todos.

A verdade é que não se percebe porque é que o facebook está há cinco anos a complicar o que é simples. Eu explico.

Há 4 anos, o facebook obteve uma licença para operar sistemas de pagamentos no espaço SEPA, a partir da Irlanda. Na mesma altura, tinha metido na cabeça que o seu Messenger seria a forma de passar do simples portal de consumo de conteúdos que todos conhecemos, para a comunicação móvel em tempo real, com a vantagem de poder ganhar uma comissão algures. Não funcionou. Felizmente, como teve o bom senso de comprar o whatsapp, em Dezembro de 2018 avançou, a partir da Índia, com o “roll out” de uma funcionalidade chamada “whatsapp pay”, que é uma espécie de uma wallet. Ficou pelo caminho. E em Abril de 2019 anunciou a Libra com pompa e circunstância, com o apoio da Visa e da Paypal entre quase três dezenas de outras empresas. Mas nem todos foram na cantiga na altura. Depois, lá para Setembro do mesmo ano, a Visa e a Paypal abandonaram o projecto…

Quatro anos a complicar o que é simples é uma eternidade, até porque empresas como a Revolut ou o N26 aproveitaram para oferecer wallets em várias moedas e proporcionam pagamentos internacionais instantâneos grátis, e da forma mais simples do mundo. A China, em particular, já faz isso à escala nacional e também em alguns países asiáticos num ecossistema que cruza o sistema bancário, por oposição às soluções ocidentais onde as Revoluts da vida têm de lutar para montar as suas próprias redes. O mesmo se pode dizer os m-pesa em África. Portanto, a pergunta a fazer ao facebook é, porque não faz o mesmo, ou, pelo menos, porque não começa simples?

Mas há um lado bom. A tecnologia por detrás da Libra é interessante. A utilização da criptografia e uma estrutura tipo blockChain (na verdade é uma blockTree) permite criar uma plataforma de funcionamento independente e confiável.

Ler artigo completo aqui.

Bernardo Ivo Cruz: "Viver entre os Factos e a Ficção"

Comemora-se no dia 3 de Maio de cada ano o Dia Mundial da Liberdade de Imprensa e ninguém de bom senso nega que sem uma imprensa livre, ativa, atenta e corajosa, não há democracia. Sem sabermos o que acontece à nossa volta, como é que podemos tomar decisões? Sem uma imprensa livre e atenta, quem é que faz as perguntas necessárias às pessoas que, em nosso nome, ocupam temporariamente os lugares de decisão? Sem a capacidade de investigar e divulgar os factos, quem expõe as questões que nos preocupam? Entre 1972 e 1974, dois jornalistas do Washington Post descobriram uma conspiração que levou à demissão de um Presidente nos Estados Unidos e em 2018 uma jornalista do The Guardian descobriu um erro administrativo que prejudicou gravemente centenas de cidadãos britânicos e obrigou o Governo de Londres a alterar a sua política de imigração.

Se até recentemente a comunicação social era a única forma de termos acesso à informação, com o surgimento das redes sociais e a democratização do acesso ao espaço publico, as coisas parecem ter mudado. Hoje muitos acham que a informação está ao alcance de qualquer um e que podemos dispensar os intermediários da imprensa clássica. Será assim? É verdade que as redes sociais criaram uma plataforma onde qualquer pessoa com acesso à internet pode contribuir para o debate público. Mas a experiência recente obriga-nos a ter muita prudência quando lemos, vemos ou ouvimos "notícias" na internet. Quem as escreveu? Que fontes de informação foram usadas? Serão fontes fiáveis? A informação foi confirmada? Os visados tiveram hipótese de explicar o que aconteceu? Infelizmente a maior parte do que encontramos nas redes sociais falha muitos, se não mesmo todos estes critérios e para que a internet possa contribuir para a qualidade do debate público, teremos todos que melhorar muito a nossa literacia digital, sendo capazes de separar o que é verdade das invenções.

Quer isto dizer que tudo o que está nas redes sociais é falso e tudo o que está na comunicação social é verdade? Claro que não. Nem as redes sociais são a fonte de todos os males nem a as televisões, rádios ou jornais são a casa de todas as virtudes. E há hoje muito a criticar aos meios de comunicação social tradicionais.

Parte dos problemas vem das dificuldades que os meios de comunicação social atravessam: as receitas cada vez menores e custos crescentes, a falta de meios para atrair e reter profissionais experientes, a concorrência crescente das redes sociais e a consequente diminuição de leitores. Nada disto ajuda a termos uma imprensa livre. Mas há outras dificuldades que poderão ser filhas dos tempos modernos.

Ao contrário do que se diz muitas vezes, o papel da comunicação social não é dar igual importância a todas as opiniões expressas sobre um determinado assunto. O seu papel é ouvir as partes, comparar as afirmações e explicações, procurar outras fontes que, pelos seus conhecimentos e experiência possam ajudar a clarificar aspectos mais obscuros ou técnicos, e apresentar uma história completa e verificada.

E, em particular, o papel da comunicação social é separar o trigo do joio. O contributo de alguém que estudou um assunto e que sabe do que está a falar não pode ter o mesmo valor informativo que um curioso que pouco ou nada sabe sobre o tema mas que tem gosto em partilhar connosco o que lhe passe pela cabeça. De facto e como se diz, se alguém afirma que está a chover e outra pessoa diz que esta sol, o papel da comunicação social não é reportar os dois lados da história. É abrir a janela e confirmar o tempo, evitando confundir as opiniões com os factos.

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Nuno Moreira da Cruz: "Nestes tempos de crise como quer que a sua liderança seja lembrada?"

Esta é uma pergunta inspiradora que deve nortear a atuação dos líderes nesta fase de pandemia.

Ao longo das últimas décadas, as questões relacionadas com o “Responsible Business” (RB), ou seja, empresas cuja atividade assenta numa forte política de responsabilidade social, económica e ambiental, tornaram-se cada vez mais proeminentes na agenda empresarial, passando do foco na filantropia, compliance e gestão da reputação para a gestão do risco a longo prazo e a criação de uma vantagem competitiva estratégica.

Atualmente, as empresas e a sociedade partilham uma relação de simbiose, uma não pode florescer sem a outra e qualquer negócio que prossiga os seus fins à custa da sociedade em que opera encontrará o seu sucesso ilusório e, em última análise, temporário. A competitividade de uma empresa e a saúde das comunidades à sua volta estão intimamente interligadas. E, por isso, libertar o poder e a competência das empresas para criar valor social e ambiental, a par dos lucros, é não só uma oportunidade, mas a única solução que as empresas têm para serem bem-sucedidas. Mais ainda num momento como este.

Neste tempo de pandemia, analisámos numa research note recentemente publicada pelo Center for Responsible Business & Leadership (CRB), Centro de Conhecimento da Católica Lisbon School of Business and Economics, os contornos essenciais do que pode constituir a liderança que, mais do que nunca, se necessita.

O documento pretende responder à pergunta: há algo de especial na Liderança Responsável ou as competências da Liderança são sempre as mesmas?

Acreditamos que sim, que há algo de especial, e a diferença pode resultar da complexidade das diferentes vertentes cobertas (económica, ambiental, social) e que exigem uma abordagem coordenada e holística. E, acima de tudo, uma abordagem que tem de ser orientada por um propósito comum – ainda mais importante em crises como esta, onde o equilíbrio entre o desempenho a curto prazo vs valores e compromissos de longo prazo é o que se busca em todas as decisões empresariais.

O conceito de “liderança com propósito” é definido como aquele que coloca as pessoas, clientes e outros stakeholders relevantes em primeiro lugar, todos alinhados através de um purpose partilhado, e onde o lucro surge como o resultado e não como objetivo. As empresas que já tenham um Propósito claramente definido e aceite por todos, têm certamente agora uma vida mais fácil – desde a comunicação ao desempenho económico, desde a motivação dos seus colaboradores à lealdade em toda a cadeia de abastecimento.

Uma característica-chave da liderança, ainda mais importante em momentos de crise, parece ser a liderança orientada para o propósito, a capacidade de alinhar os vários stakeholders em torno de uma aspiração comum que vai para além do interesse direto dos mesmos.

Há diversos bons exemplos atuais de liderança responsável em tempos de crise e que cobrem aspetos como 1) contribuições para aliviar fluxos de caixa em toda a cadeia de abastecimento de fornecedores, 2) pagamento antecipado a fornecedores de pequena e média dimensão mais vulneráveis, 3) concessão de crédito a pequenos clientes selecionados para os ajudar a gerir e proteger o emprego 4) manutenção de compromisso para com os seus colaboradores, quer do ponto de vista salarial, quer de contribuições para esquemas de saúde, 5) conversão de parte de capacidade de produção para responder ao que a emergência sanitária mais necessita, 6) apoio às comunidades locais através da distribuição de máscaras e luvas de proteção, 7) doações de dinheiro e produtos essenciais a hospitais, tais como ventiladores, monitores e equipamento médico.

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Covid-19 levará a nova gestão das câmaras e tecnologia tem de promover justiça social

O FICIS é uma plataforma que junta anualmente, desde 2015, durante três dias, especialistas, empresas nacionais e globais, institutos de investigação, universidades, organizações nacionais e internacionais e autarcas. As conferências do FICIS são alusivas aos principais temas no domínio das Smart Cities: Energia, Mobilidade, Ambiente, Tecnologia e Inovação, Saúde, Economia, Governança, Património e Turismo.

João Duque destaca importância das tecnologias na construção das "cidades digitais" no futuro. O Presidente do Centro Regional de Braga da Universidade Católica Portuguesa, fez, ontem, uma longa e fundamentada dissertação sobre o passado, presente e o futuro das cidades. "A Cidade como Comunidade de Comunidades", este foi o tema principal da apresentação, via skype, que versou, na parte final, o futuro das comunidades.

«Não podemos pensar o futuro do planeta nem o nosso quotidiano sem a influência das tecnologia sobre nós e, claro, a nossa sobre elas», destacou João Duque, defendendo uma "quarta via", que permite uma «conjugação entre a necessidade da liberdade individual e pessoal dos membros da sociedade» com «a necessidade de comunicação que nos permite superar o drama da solidão». Isto tem, claro, riscos, e um deles passa pela possível criação de um «novo tribalismo no interior do espaço urbano, sobretudo nas cidades maiores, que pode, em certos grupos, criar conflito com outras comunidades que têm outros interesses», vincou.

João Duque Covid-19 levará a nova gestão das câmaras e tecnologia tem de promover justiça social. Os presidentes das autarquias de Esposende (Benjamim Pereira), Paredes de Coura (Vítor Paulo Pereira) e Trofa (Sérgio Humberto) participaram, ontem à tarde, no terceiro dia da ação promovida pelo Fórum Internacional das Comunidades Inteligentes e Sustentáveis (FICIS). O tema do evento "As Cidades Futuras" esteve em análise, mas a Covid-19 centrou, claro, as atenções.

Pedro Vieira da Silva Benjamim Pereira foi o primeiro a usar da palavra no debate moderado pelo diretor do Diário do Minho, Damião Pereira, tendo realçado a «importância» das novas tecnologias. «Se já era antes, imagine-se agora», vincou, sublinhando que a Coque as nossas. Mesmo essas não sustiveram nada», vincou Sérgio Humberto, recordando que vai seguir-se «uma crise social» e, nessa altura, como agora, o papel das autarquias é «fundamental». Depois, e referindo-se à pandemia do novo coronavírus, perspetiva uma recuperação «em V» da economia. «Acredito que será muito diferente da crise anterior, de 2011. Irá bater mais fundo, mas estou convencido que, com a ajuda de todos, e as câmaras estarão na linha da frente para ajudar na recuperação». O presidente da Câmara Municipal de Paredes de Coura teve uma entrada «forte» no debate, como o próprio enfatizou, com humor, tendo colocado o enfoque num certo «endeusamento da tecnologia».

«A tecnologia, aprendi, é a aplicação prática do conhecimento. Por isso, este lápis de carvão que seguro na mão é tecnologia», disse, reconhecendo, porém, que a tecnologia é «fundamental» e, no balanço final, pode dizer-se que «traz mais beuma cidade inteligente passa por colocar ao serviço das pessoas espaços e cuidados que não existiam».

Damião Pereira, diretor do Diário do Minho, analisou a relação entre tecnologia e cidades inteligentes, tendo começado por revelar que não considera que as cidades romanas não fossem inteligentes. «A tecnologia não vai salvar a humanidade. Pode ajudar, claro, por exemplo a administrar uma cidade e a torná-la mais sustentável, mas de que importa se depois tivermos bairros degradados e pobreza? Não há cidades inteligentes se não estiverem de mãos dadas com o progresso e justiça sociais. O acesso à tecnologia é uma forma de promover a justiça social e a educação», disse o autarca do Alto Minho. Cidades inteligentes para "atingir" regionalização.

Saiba se tem de pagar a prestação da creche ou do colégio do seu filho

O encerramento das creches, dos jardins infantis e das escolas privadas determinado pelo Governo devido à pandemia provocada pelo novo coronavírus deixou os menores em casa, mas a maioria das instituições continua a exigir o pagamento das mensalidades aos pais. Muitas estão a oferecer descontos que variam habitualmente entre os 10% e os 20%, sem acalmar as críticas de muitas famílias. Mas afinal o que é que os pais estão obrigados a pagar? A questão é complexa e não tem uma resposta igual para todos os casos.

No entanto, cinco especialistas ouvidos pelo PÚBLICO deixam várias dicas para avaliar as especificidades de cada situação e alguns conselhos sobre o que fazer se considerar que a instituição de ensino do seu filho não está a actuar de forma adequada. Este problema já justificou mais de uma centena de esclarecimentos à Associação Portuguesa para a Defesa do Consumidor - Deco. 

A questão torna-se mais relevante já que ainda nem sequer é certo se este ano alguns menores voltarão à escola. No ensino básico a questão já está fechada: não existirão mais aulas presenciais este ano lectivo. Quanto às creches, o primeiro-ministro António Costa afirmou esta quinta-feira no Parlamento que tem a “ambição de durante o mês de Maio de reabrir as creches para apoiar as famílias”. Mas não há certeza de nada.

Primeiro há que ter em conta que a maior parte dos serviços prestados por estes estabelecimentos privados ou do sector social são sujeitos a contratos e as regras lá estipuladas, em princípio, prevalecem. No entanto, a professora Ana Taveira da Fonseca, vice-directora da Escola de Lisboa da Faculdade de Direito da Universidade Católica, nota que normalmente em Portugal não há cláusulas a determinar o que fazer no caso de encerramento forçado das escolas ou creches. “Nunca vi um contrato que abarcasse esta situação, porque questões como esta nunca se tinham colocado. O mesmo não acontece em países como os Estados Unidos em que devido à neve ou aos furacões os encerramentos forçados são mais comuns”, contextualiza Ana Taveira da Fonseca, especialista em contratos.

Numa coisa todos estão de acordo, os serviços extra, como alimentação, prolongamento do horário ou transportes, não podem ser cobrados porque não estão a ser prestados. A jurista Carolina Gouveia, da Deco, nota que, por vezes, o custo destes serviços está diluído num montante fixo. “Nestes casos, cabe às escolas esclarecer os pais do montante associado a estes serviços e reduzi-los na mensalidade”, sugere. 

Todos concordam igualmente que é preciso distinguir entre os serviços de berçário e creche, que recebem crianças até aos três anos, e o ensino básico e secundário, que começa no primeiro ano e se estende até ao 12.º.

“No primeiro caso oferecem-se essencialmente serviços de guarda e vigilância, que não podem ser prestados à distância”, considera Ana Taveira da Fonseca. O advogado Alexandre Mota Pinto, que coordenou um guia sobre os impactos jurídicos provocados pela crise da covid-19, concorda e defende que, por isso, parece existir uma impossibilidade objectiva do serviço ser prestado, o que faz com que os pais deixem de ser obrigados a pagar a prestação. Ana Taveira da Fonseca subscreve.

Mas mesmo nestes casos há quem defenda que é devida pelo menos uma parte da mensalidade. Carolina Gouveia defende reduções, mas não um corte total da prestação. E explica porquê: “A maioria dos contratos são feitos para um ano lectivo e o custo é dividido por mensalidades para ser mais fácil de suportar para os pais”. Sublinhando que as creches e escolas não fecharam por iniciativa própria, a jurista da Deco sublinha que é preciso bom senso e razoabilidade. O advogado Armindo Ribeiro Mendes, que faz muitas vezes de árbitro em litígios entre privados, considera que a impossibilidade de prestar o serviço é parcial e que “a redução é o mais razoável”. Alexandre Mota Pinto admite que, por vezes, nas creches, podem ser prestados alguns serviços à distância. Mas sublinha: “A prestação principal não é possível, ainda que se possam prestar algumas acessórias por vídeo. Por isso, a redução deve ser pelo menos de 50%.”

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Fernando Ilharco: "Confiança e comunicar confiança"

Um dos factores que geram confiança é a própria confiança. Outro aspecto é o actuar com confiança. Mesmo sem confiança, agindo como se tivesse confiança, a confiança tende a aumentar, em nós mesmos e nos outros.

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Nota: Este artigo faz parte da versão exclusiva para assinantes do Jornal de Negócios.

Biblioteca Pe. Júlio Fragata

Biblioteca da Faculdade de Filosofia e Ciências Sociais_PT

A história da Biblioteca Pe. Júlio Fragata entrelaça-se com a história recente da Companhia de Jesus em Braga. 

Com a criação, em 1934, do Instituto de Filosofia Beato Miguel de Carvalho, que viria a tornar-se Faculdade Pontifícia e, posteriormente Faculdade de Filosofia (a primeira Faculdade da Universidade Católica Portuguesa), esta Biblioteca começou por integrar as ofertas de vários colégios da Companhia de Jesus.

O acervo bibliográfico foi sendo enriquecido, especialmente a partir de 1945, com o início da publicação da Revista Portuguesa de Filosofia, por meio não só de inúmeras permutas e envios regulares de livros para recensão, mas também por múltiplas ofertas de particulares, e novas aquisições criteriosamente ajustadas às necessidades da comunidade académica.

O seu acervo documental, dotado de considerável variedade de documentos e nos mais diversos tipos de suporte (monografias, publicações periódicas e outros materiais), é formado por dois fundos principais, o Geral e o Reservado. Deste último fazem parte a produção científica de teses, relatórios e dissertações académicas da Faculdade e o fundo de livro antigo, com volumes do século XVI ao início do século XIX. Os exemplares raros, as primeiras edições, as obras autografadas e os livros com edições esgotadas foram também alvo de cuidados de acondicionamento; organizam-se ainda numa secção especial as coleções Migne e Corpus Christianorum.

Mantendo um lugar de destaque no edifício original, a Biblioteca tem vindo a expandir por mais dois pisos a sua área, tendo já ocupado as antigas salas de aula e corredores da antiga Faculdade de Filosofia. Considerada uma das mais valiosas a nível nacional na área de Filosofia, a Biblioteca da Faculdade de Filosofia e Ciências Sociais reúne agora uma vasta coleção de obras de diversas áreas de conhecimento: Filosofia, Literaturas, Linguística, Psicologia, Religião, Teologia, Ciências Sociais, Ciências da Comunicação, Matemática, Ciências Naturais, Ciências Aplicadas, Medicina, Arte, Desporto, Geografia, História, Turismo, Música e Generalidades.

Arte

Biografia

Ciências Aplicadas

Ciências Naturais

Ciências Sociais

Desporto

Filosofia

Generalidades

Geografia

História

Língua

Linguística

Literatura

Matemática

Medicina

Música

Psicologia

Religião

Teologia

Turismo

Número de títulos

115.000

Número de periódicos

2.000

Número de postos de trabalho

53

Número de terminais de pesquisa

2

Número de gabinetes estudo (individual e grupo)

não disponível de momento

Coleção Corpus Christianorum

Coleção Migne

Fundo Isabel e Luís Couto dos Santos

Fundo Francisco Videira Pires

Livro Antigo

Biblioteca D. Manuel Vieira de Matos

Biblioteca D. Manuel Vieira de Matos_PT

A Biblioteca D. Manuel Vieira de Matos foi estabelecida, dando continuidade à Biblioteca do Seminário Conciliar de Braga, em 1987, aquando da criação do Pólo de Braga da Faculdade de Teologia. A Biblioteca assumiu o nome daquele arcebispo de Braga, uma vez que este, durante o seu ministério episcopal (1914-1932), além das preocupações e atividades pastorais, envolveu-se, tanto na construção de um novo Seminário Conciliar – instalações onde hoje se situa a Biblioteca da Faculdade de Teologia –, como no desenvolvimento formativo e académico, nomeadamente, através da formação de professores para os Seminários, da promoção de congressos, da renovação da música sacra e na criação do Tesouro-Museu da Sé de Braga.

Atualmente, num mesmo espírito empreendedor e académico, a Biblioteca é dotada de um acervo documental com mais de trinta e cinco mil volumes, encontrando-se este dividido em dois fundos: fundo geral e fundo reservado. A diversidade de obras (monografias, publicações periódicas, bases de dados e material não livro) que aqui se encontram resultam de aquisições e de ofertas particulares, as quais permitem a instituição de Memoriais que tanto remetem para grandes nomes que foram marcando a vida e investigação académica ao longo da história da Teologia em Braga, como para a concentração de obras únicas, muitas vezes oferecidas pelos seus próprios autores.

Bíblia

Literatura

Ciências Religiosas

Patrologia

Filosofia

Psicologia

História

Teologia

Línguas (Latim/Grego/Hebraico)

 

Número de títulos

35 000

Número de periódicos

120

Número de postos de trabalho

1

Número de terminais de pesquisa

1

Número de gabinetes estudo (individual e grupo)

4

Livro Antigo

Les Editions du Cerf

Fundos de professores eméritos

Biblioteca D. José Pedro da Silva

Biblioteca D. José Pedro da Silva_PT

A Biblioteca da Universidade Católica Portuguesa do Centro Regional de Viseu foi criada em 1980, aquando da implantação do Pólo de Viseu nesta mesma cidade, como elemento de apoio às atividades de estudo e de pesquisa, subjacentes ao processo de ensino/aprendizagem. Tendo partilhado até 1999 o mesmo edifício comum ao Departamento dos Serviços Administrativos, a Biblioteca transferiu-se, nesse mesmo ano, para as atuais instalações, ocupando, assim, um edifício próprio, muito espaçoso, que passou a funcionar logo após a sua inauguração, em fevereiro do mesmo ano.

Construída numa base de quatro pisos, que cobrem uma área de aproximadamente 2 225 m2, a Biblioteca D. José Pedro da Silva dispõe de um espaço físico amplo, de ambiente agradável e convidativo, de certo modo devido à sua arquitetura que lhe confere um aspeto moderno e atual. O seu edifício encontra-se devidamente equipado e atualizado tecnologicamente, refletindo boas condições de funcionamento e garantindo a acessibilidade plena dos seus utilizadores.

A Biblioteca D. José Pedro da Silva tem como objetivo principal facultar à Comunidade Académica do Centro Regional de Viseu os recursos bibliográficos necessários ao estudo e à investigação. Neste contexto, a BJPS procura disponibilizar materiais diversificados, garantindo aos seus utilizadores o acesso a um elevado potencial de informação de diferentes áreas, de forma a cobrir e dar resposta às mais variadas solicitações e interesses do seu público leitor. Os seus fundos cobrem, primordialmente, as áreas dos cursos que foram e são lecionados neste mesmo Centro, nomeadamente Arquitetura, Gestão, Informática, Línguas e Literaturas Clássicas e Modernas, Matemática, Medicina Dentária, Serviço Social e Turismo. Assim, a Biblioteca disponibiliza, atualmente, cerca de 67 000 documentos, classificados e dispostos nas estantes, em livre acesso, de acordo com a Classificação Decimal Universal.

Ciências Sociais

Gestão

História

Humanidades

Medicina Dentária

Teologia e Arquitetura

Número de títulos

36.150

Número de periódicos

907

Número de postos de trabalho

180

Número de terminais de pesquisa

3

Número de gabinetes estudo (individual e grupo)

12

Arq. Kheil do Amaral

Christine De Roo

Dª. Sebastiana

Dr. Henrique Machado

Dr. José Coelho

Dr. Maximiano Aragão

Mons. Camilo Barros

Pe. Fino

Prof. António Cabrita

Rui Melo

Vânia Sousa Lima - "Afinal havia o Outro"

O vírus virou-nos. Do avesso, primeiro. Para dentro, crê-se. Para fora, sabe-se.

Como tempestade que se antecipa, distante, e se deseja não chegue. E antes que fosse dito, era claro que chegaria. Dela ouvia-se falar do seu devastador e nefasto poder.

A palavra cria realidade e as que mais se ouviam eram infecção, doença, morte, crise, quarentena, confinamento, isolamento. E números, muitos (dúbios) números. Faz-se real o risco de ser infectado, real o de perder o emprego, real o de não pagar salários, real o de cancelar projectos, real o de não fruir do desejado, do assumido como garantido, real o de adoecer, real o de morrer. Real o risco de não ser capaz de (se) suplantar.

O entranhar-se do medo revira as entranhas, tolda a razão, turva a emoção, entorpece a acção. O medo do vírus virou-nos, do avesso, primeiro. Para dentro, crê-se. Na procura da garantia da satisfação das mais primárias necessidades de sobrevivência e segurança, as de Maslow. Para dentro de supermercados, farmácias, hospitais, centros de saúde, (mãos) dentro de luvas, dentro de casas. Antes que nos fosse dito. Para dentro de nós e do nosso medo. Crê-se.

O risco é universal como o medo. Ambos nos fazem pessoas. Como, ante eles, a resiliência e a estoicidade. Sabe-se.

A construção relacional do significado evidencia o carácter falacioso do desenvolvimento individual. A história de Mim exige o Outro. Este Outro, história nossa, a quem se quer bem e com quem não se está (por tanto se querer bem não se está). Com quem se quer festejar o aniversário e não se visita. A quem se quer dar um abraço e se vê da janela. Com quem se partilharia uma Páscoa que se reinventa.

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"O problema desta crise são os Estados-membros, não é Bruxelas"

Sócio-gerente da Eupportunity admite que "se a UE não servir para responder a este desafio, se não descobrir um interesse comum", pode acabar.

Henrique Burnay, sócio-gerente da Eupportunity e professor convidado no Instituto de Estudos Políticos da Universidade Católica Portuguesa, onde leciona Políticas Públicas Europeias, e na Escola de Negócios do Porto da Universidade do Porto, onde leciona Lobby, fala ao Dinheiro Vivo sobre o comportamento das instituições europeias na pandemia de covid-19. Diz que são “os Estados-membros, não é Bruxelas (no sentido Comissão Europeia), que têm de decidir medidas extraordinárias e outra forma de cooperação e coordenação”. Admite que a Comissão foi lenta a reagir na primeira fase da doença mas garante que, contra os efeitos económicos da covid-19, “não haverá partilha de risco sem condicionalidades”.

Como tem sido visto por dentro o comportamento e processo de tomada de decisões de Bruxelas nesta pandemia?

Uma crise desta envergadura pede respostas que vão para além daquilo que as instituições estão preparadas e habilitadas. São os Estados-membros, não é Bruxelas (no sentido Comissão Europeia), que têm de decidir medidas extraordinárias e outra forma de cooperação e coordenação. Esta crise é, primeiro, uma crise sobre os sistemas de saúde, que pede uma resposta sanitária e, subsequentemente, uma crise económica que está e vai exigir um enorme esforço financeiro público. Em ambos os casos, o que está em causa são questões primeiramente nacionais. A resposta europeia, mesmo fazendo uso de instrumentos existentes ou novos, tem de ser uma decisão dos Estados-membros, não da Comissão. Apesar do que se tinha passado em Itália, e antes na China, houve pouca inteligência e informação partilhadas e pouca preparação. Nisso, a Comissão Europeia foi lenta a reagir na fase inicial, a antecipar. Mas também os Estados membros foram. O problema europeu desta crise são os Estados-membros, não é Bruxelas.

A discussão sobre os coronabonds tem sido repetida e parece agora ter-se chegado à conclusão de que não são adequados a esta crise. Que instrumentos deviam e podiam ser utilizados a nível europeu?

A discussão sobre os coronabonds (que só diferem dos eurobonds por, eventualmente, serem especificamente para uma resposta às necessidades próprias desta crise) não é nova. No essencial, resume-se a saber se os diferentes Estados-membros estão disponíveis para mutualizar dívida. Como é compreensível, para os Estados com maior dificuldade de acesso ao crédito a baixo custo (seja por terem uma grande dívida seja por (também normalmente) terem juros mais elevados, a ideia é atrativa. Para os que têm saldos positivos, e/ou acesso mais fácil ao crédito, a questão está em aceitarem pagar mais e correr um risco maior, conjunto. Não é, pois, de estranhar que esta tensão exista. Neste momento, a discussão já é menos sobre a necessidade de instrumentos financeiros europeus, e mais sobre que tipo de instrumentos usar. Coronabonds? O Mecanismo de Estabilidade Europeu (o nosso FMI)? Um acréscimo ao orçamento da Comissão Europeia? Um fundo extraordinário? Uma mistura de todos estes? O que parece antecipável é que não haverá partilha de risco sem condicionalidades. Pode ser usando o Semestre Europeu, critérios para o uso de fundos comunitários ou gestão comum da dívida emitida em comum, mas alguma forma de condicionalidade haverá.

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Magda Ferro: "O Covid-19 e a internacionalização das Universidades"

No início de março de 2020, as Instituições de Ensino Superior (IES) portuguesas, confrontadas com o número crescente de casos COVID-19, tomaram a decisão de encerrar as suas portas físicas. No dia seguinte, a grande maioria destas Instituições abria as suas portas virtuais e disponibilizava aos seus estudantes aulas online, à distância. Através desta solução, os docentes puderam continuar as suas atividades letivas e os estudantes a assistir às aulas sem que nenhum dos grupos colocasse a sua saúde em risco. No caso da Instituição onde trabalho, a implementação do sistema de lecionação online foi um processo suave, pois há já algum tempo que a infraestrutura tecnológica de suporte estava montada.

Simultaneamente, os colaboradores não docentes continuaram a trabalhar remotamente, a partir das suas casas, sem que até ao momento se tenham sentido limitações significativas no que respeita à agilidade e eficiência dos processos. No caso particular do International Office (onde trabalho), a diferença foi realmente pequena. Usualmente, os nossos interlocutores já estão dispersos pelo mundo, a muitos milhares de quilómetros dos nossos gabinetes. Na nossa vida “sem-COVID-19”, ferramentas como o Zoom, Skype, Teams, etc., já faziam parte das nossas rotinas. O COVID-19 pouco mudou a nossa vida no trabalho.

Como se pode observar pelo acima descrito, a digitalização não é um tema novo para as Universidades. Há já vários anos que se assiste a uma tendência de digitalização no que respeita à oferta de formação superior online. Desde 2012 que Universidades como Harvard ou MIT, têm vindo a disponibilizar “Massive Open Online Courses” (MOOC’s), isto é, programas académicos que são oferecidos através da internet. Harvard e MIT chegaram a juntar-se para criar uma empresa (a EDx) especifica para oferta de MOOC’s. Esta empresa foi criada num contexto de mudança significativa no que respeita ao crescimento da adoção social das tecnologias da Internet, especialmente nos países economicamente mais desenvolvidos, mas também em países com economias emergentes, onde a oferta ao nível do ensino superior é insuficiente para dar resposta à procura cada vez maior por parte das populações locais.

Em 2018, de acordo com a publicação “Inside Higher Ed”, o número e a proporção de estudantes de ensino superior que frequentaram aulas on-line cresceu consistentemente em 2017, ao mesmo tempo que se verificava a queda geral no número de estudantes no ensino secundário. Em 2018, um terço de todos os alunos nos EUA frequentava pelo menos um curso on-line.

Entretanto, estamos em 2020. À semelhança dos processos de digitalização, os processos de internacionalização são cada vez mais importantes e transversais nas IES. Curiosamente, digitalização e internacionalização têm-se desenvolvido nestas instituições de forma paralela sem se chegarem a cruzar.

E é neste contexto que chega um vírus que nos obriga a ficar em casa.

Numa primeira abordagem, o COVID-19, ao implicar a imobilidade das pessoas, poderá ser visto como uma enorme ameaça ao processo de Internacionalização das Universidades. Será mesmo assim?

Todos sabemos que os maiores desafios costumam ser também as maiores oportunidades. E, o COVID-19, ao obrigar as Universidades a mudarem provisoriamente a forma como fazem as coisas, como trabalham e como oferecem os seus serviços, constitui-se como uma enorme oportunidade de transformação para as mesmas. Uma transformação digital que se vem anunciando, mas que nunca se concretizou. Provavelmente porque nunca fez falta. E porque há sempre poucos recursos e muitas necessidades. E uma transformação como esta irá obrigar as pessoas que trabalham nas Universidades a saírem das suas zonas de conforto. E por tudo isto, as Universidades foram adiando algo que o COVID-19 veio mostrar ser um imperativo. A epidemia do COVID-19, fruto de um mundo globalizado, exige respostas tecnológicas.

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Mais de 70% dos portugueses têm medo de ir aos hospitais e centros de saúde

As salas de espera vazias tornaram-se um denominador comum a hospitais, centros de saúde e consultórios médicos. Por causa do coronavírus, 74% dos portugueses estão com medo de se deslocar aos serviços de saúde, segundo um inquérito do Centro de Estudos e Sondagens de Opinião (CESOP) da Universidade Católica. Pior do que isso, 26% dos inquiridos dizem mesmo que, por causa do novo coronavírus, deixaram de recorrer aos serviços médicos.

Esta falta de comparência tanto pode ter sido motivada pelo medo como pelo adiamento de exames, consultas ou intervenções – a terceira e última parte deste inquérito feito para o PÚBLICO e RTP e que se baseia em perguntas feitas a 1700 pessoas, numa amostra representativa da população, entre os dias 6 e 9 de Abril, não escrutina as razões. Mas permite verificar que, entre as pessoas que dizem pertencer a grupos de risco, sobem para 32% os que deixaram de recorrer ao médico.

Esta debandada ocorre na mesma altura em que 23% da população assume que o seu estado geral de saúde física está pior do que antes da crise sanitária as ter fechado em casa. E, ao contrário do que se poderia pensar, não são os mais idosos a declarar sentirem-se pior do que antes. É entre os jovens com idades entre os 18 e os 24 anos que se concentra a maior percentagem (33%) dos que acusam a deterioração do seu estado de saúde. Nos que têm 65 ou mais anos de idade, refira-se, a proporção desce para os 17%.

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Inquérito indica que queda de rendimentos é mais sentida nos que ganham até mil euros mensais

Nas famílias que ganham até 1.000 euros, 43% registaram quebra de rendimentos desde que a covid-19 colocou o país em quarentena, valor que supera a média global de 36,8% destas situações, indica um estudo da Universidade Católica Portuguesa.

De acordo com o estudo, 36,8% dos inquiridos reportou ter registado quebra no rendimento do agregado familiar, seja porque foi colocado em ‘lay-off’, ficou se emprego ou se mantém em atividade, mas a receber menos. Estas médias globais têm por trás realidade diferentes, já que a quebra de rendimentos atingiu mais os agregados que contam com até 1.000 euros mensais, sendo quase 43% os que referiram esta situação.

Já entre os que recebem entre 1.001 e 2.500 euros mensais este problema afetou 32,6% e em relação aos que recebem por mês mais de 2.501 euros, a quebra de rendimentos foi uma realidade para pouco mais de um quinto (23,4%).

Estes resultados levaram Ricardo Reis, Professor na Universidade Católica e que apresentou o estudo durante uma conferência virtual, a assinalar a “discrepância enorme com o que está a acontecer na população” e a classificar esta crise como desigual por estar “a afetar as camadas mais pobres da população”.

Ainda que sejam uma minoria, há 0,6% de pessoas que registaram uma subida dos rendimentos desde que o país entrou em estado de emergência e muitas das atividades económicas foram canceladas total ou parcialmente.

O estudo mostra também que o impacto das medidas de luta contra o surto de covid-19 foi mais sentido entre os empresários em nome individual e trabalhadores por conta própria, onde a quebra de rendimentos chegou a 71,7%. Nos trabalhadores por conta de outrem, este problema atingiu 41,4%.

A quebra de rendimentos afetou também de forma diferentes os setores público e privado, sendo este um problema reportado por 31,3% dos trabalhadores do público e por 52% dos do privado.

A nível regional também se registam diferenças com o Norte a surgir com a maior fatia dos inquiridos (39%) a quem a crise causada pela covid-19 já implicou quebras no rendimento. Seguem-se Lisboa, com 35,9%, e o Centro, com 34,7%.

Estes resultados refletem o facto de também ser nestas regiões que se registam mais casos de ‘lay-off’ ou de pessoas que reportaram estar sem atividade e menores rendimentos. Em termos gerais, foram 13,4% os inquiridos que disseram estar em ‘lay-off’, sendo que em termos regionais, o Norte surge acima desta média, com 17,8% dos inquiridos nesta situação.

Já em relação aos que estão sem trabalhar e tiveram quebra de rendimentos, as repostas globais apontam para um universo de 14,4%, com o Centro a registar 17,7%, o Norte quase 13% e Lisboa 12,5%.

O inquérito permitiu ainda concluir que 6% dos inquiridos estavam em casa sem trabalhar mas sem que isso se tivesse repercutido no seu rendimento. Para Filipe Santos, outros dos oradores da conferência de apresentação do estudo “Covid-19 e os portugueses”, estas pessoas têm quase que uma “obrigação que partilhar o rendimento que conseguiram manter” para com aqueles que “viram a sua vida destroçada por esta crise”, sendo esta uma forma de evitar que a economia tenha um nível de destruição não necessário.

É que, entre as profissões que registam níveis mais elevados de quebra de rendimento estão as relacionadas com o alojamento e restauração e o comércio a retalho, mas também as atividades domésticas, outras atividades de serviços, transportes ou espetáculos.

As medidas de isolamento social levaram a um incremento do teletrabalho, mas entre os inquiridos a maior parte (35,5%) revelou que, em abril, continuou a trabalhar no local habitual, ou seja, sem alterações face ao período pré-covid-19. Já o teletrabalho passou a ser uma realidade para 23,2% dos inquiridos, com a esmagadora maioria (quase 85%) a referir que está a ser uma experiência positiva, em termos de equipamento, ambientais e apoio das empresas.

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Pedro M. Alves: "A emoção nos "tempos modernos" da educação"

O atual contexto sanitário reforçou a relevância das ferramentas digitais na comunicação pedagógica. Ao mesmo tempo, enfatizou a crescente individualização de experiências tradicionalmente coletivas. Contudo, as emoções humanas mantêm-se como poderosos fatores para o desenvolvimento de aprendizagens significativas. Num momento em que urgem novos modelos de prática educativa, importa que os processos de distanciamento interpessoal através de canais digitais não anulem, mas potenciem, o envolvimento emocional dos jovens.

A imposição recente e generalizada de confinamento doméstico e a iminência de uma segunda vaga pandémica conduziram à natural necessidade de uma renovação pedagógica nas escolas e universidades. Estas têm procurado definir modelos logisticamente exequíveis e pedagogicamente válidos para fomentar nos seus estudantes as competências desejadas. Mas são várias as dúvidas e incertezas, sobretudo no que concerne ao impacto das novas estratégias e possibilidades educativas.

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Categorias: Escola das Artes

Cuidar da casa comum é a concretização da nossa missão cristã

O teólogo Juan Ambrósio entende que a encíclica Laudato si’ vem dizer à Igreja que “as questões do cuidar da casa comum é um exercício da identidade cristã”. No 5.º aniversário da encíclica ecológica e social do Papa Francisco, o programa ‘3 DICAS’ contou ainda com a presença do presidente da Zero, Francisco Ferreira – que considerou a Laudato si’ uma “encíclica de alerta”, “muito marcante” –, e apresentou a Rede Cuidar da Casa Comum, que quer “dar a conhecer a encíclica”, segundo referiu Rita Veiga, da comissão executiva.

Passados cinco anos da publicação da Laudato si’, a encíclica comprometeu a Igreja na emergência de salvaguardar os recursos naturais do planeta? Teólogo e professor da Universidade Católica Portuguesa, Juan Ambrósio respondeu, no ‘3 DICAS’, ter assistido a “diversas dinâmicas”. “Num primeiro momento, este texto foi recebido com surpresa e entusiasmo, e com um certo ‘é bom falar destas coisas do ambiente’. Ele surgiu muito próximo daquele grande encontro em Paris, onde se procuraram grandes compromissos, mas, vamos ser sinceros: num primeiro momento, nas comunidades cristãs, ficou por esse entusiasmo primeiro. Não considero que tenha havido uma leitura e uma receção deste texto como houve, por exemplo, da Evangelii Gaudium, que foi um texto lido por praticamente todas as comunidades. Mas, agora, sim, com a atitude, com o chamar constantemente à atenção para esta temática, a encíclica está, finalmente, a ser rececionada, a ser posta em cima da mesa”, analisou. Para este teólogo, na emissão transmitida em direto na noite da passada segunda-feira, 20 de julho, “estas questões não são questões que estão para além do Evangelho”. “Dito de outro modo: temos esta atitude, somos cristãos, e, porque somos cristãos, também temos de cuidar da casa comum, como se fosse simplesmente uma consequência. Não! Julgo que este texto nos vem dizer que as questões do cuidar da casa comum, de modo a que ela não seja simplesmente um espaço ocupado, mas possa ser um lar habitado – e esta transformação de espaço ocupado para lar habitado é fundamental –, é também um exercício da nossa identidade cristã, é também a concretização da nossa missão cristã. Ou seja, trata-se do mesmo Evangelho”, observou, sublinhando que, para si, “vai sendo cada vez mais claro que os dois grandes pilares onde assenta o pontificado de Francisco – e, portanto, os desafios que são lançados à Igreja neste momento – são a Evangelii Gaudium e a Laudato si’”. “Ou seja, uma Igreja constantemente renovada e em missão, para cuidar da casa comum”, resumiu.

“Nós também somos Terra”

No passado dia 24 de maio, com a ‘Oração comum pela Terra e a Humanidade’, teve início o Ano Laudato si’, convocado pelo Papa, que pretende, segundo referiu Francisco, “chamar a atenção para o grito da Terra e o grito dos pobres”. No ‘3 DICAS’, Juan Ambrósio considerou que estes dois gritos gritam em uníssono e reclamam respostas conjuntas. “Essa é uma das grandes dimensões que Francisco traz para cima da mesa. Quase que diria que é o mesmo grito, até diria assim: o grito da Terra e o grito da humanidade, e, dentro dessa humanidade, os pobres têm um lugar especial”, apontou. “Há uma coisa que este texto diz e di-lo de uma maneira muito clara, logo nos seus primeiros números: nós também somos Terra. O ser humano também é Terra. Portanto, nós não somos um ser à parte, nós não somos simplesmente alguém que ocupa o planeta, alguém que ocupa um espaço. Nós somos também membros desse planeta que não é simplesmente um lugar para ocupar, mas uma Terra para habitar por todos”, reforçou, desejando que “esta casa possa ser um lar, e um lar para todos, onde não haja descartados, onde não haja sobrantes”.

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Categorias: A Católica

Francisco Velez Roxo: "Utopia Covid"

Um daqueles livros que se devem ler e reler ao longo da vida, é a Utopia de Thomas More, advogado, chanceler de Henrique VIII e membro da Câmara dos Comuns. Escrito em 1516, há mais de 500 anos, continua a marcar o refletir dos que gostam de repensar e lutar por uma sociedade mais “salutarmente justa”. Diferente para melhor. Diferente da que nos atemoriza e atualmente estamos a viver e antever. Não apenas pelo que se passa na saúde pública, no SNS, na economia em geral, mas também pelo que tínhamos imaginado no domínio social e político. Mas agora, dificilmente vai acontecer para as gerações atuais e futuras, sobretudo na perspetiva da sociedade do bem-estar. Do melhor viver.

O livro é simples de ler nas suas duas partes. Inspirado em A República, de Platão, e escrito em contexto medieval, deve levar-nos sempre a pensar sobre as hipóteses de construção de uma “nova” Europa, de um “novo” mundo. A partir do que se vivia à época e de uma evolução que More preconizava, muito espaço há para pensar e idealizar o futuro. Mas, sobretudo, construir e fazer viver horizontes hoje.

O texto que se mantém atual nos ideais genéricos de uma nova sociedade, apesar das várias vagas de mudança da sociedade por que temos passado, fica reforçado e permite até, com alguma criatividade, uma leitura Covid-19. Porque, a exemplo da Idade Média, nos tempos pós-peste negra, nos anos 1500, alguns simples aspetos práticos que hoje vivemos, foram observados. Por exemplo, verificou-se que “em termos de saúde, a proximidade tornava a contaminação viável”. E foi, em anos posteriores, o médico francês Charles Delorme (1584-1678), médico de Luis XIII, que defendeu o uso de vestimentas especiais durante uma epidemia de peste em Marselha. E se More preconizava para a sua Sociedade Utopiana “que o bem-comum seria mais precioso do que o bem individual num Estado de bem-estar social com hospitais gratuitos”, parece que o que temos hoje nos SNS nacionais, não andando longe no objetivo, precisa de ser repensado nas concretizações. Reorganizado. Otimizado segundo a dimensão tecnológica e o humanismo da nova Medicina. E das ameaças epidémicas e pandémicas que se vivem, ou podem vir a surgir no futuro.

Sendo o livro um clássico, tem curiosidades interpretativas, mesmo que um pouco forçadas, para o mundo atual: a sua escrita foi iniciada quando o autor, que vivia em Inglaterra, se encontrava a trabalhar na região dos Países Baixos. Curiosamente, uma parte dessa região (Holanda), no atual contexto pandémico e de crise económica, é muito avessa a uma maior solidariedade social e económica visando construir uma Europa mais Europa. E o livro foi terminado no regresso de More a Inglaterra que, recorde-se, tristemente e há poucos meses, decidiu “brexitar” da União Europeia, antes da Covid-19 ter chegado com a sua onda de doença, morte e destruição económica.

Hoje, ao contrário do que está no primeiro livro da Utopia, que era de conteúdo crítico à sociedade de então, é um facto que não há camponeses a ser expulsos do campo para as cidades. Nem bandos de ladrões à solta numa sociedade com justiça cega e cruel e uma estrutura social baseada numa organização em que a realeza vivia para ter mais riquezas e fazer a guerra. Em que as perseguições religiosas eram uma realidade terrível e o povo era oprimido e forçado fisicamente a trabalho incessante para manter o exército, a corte e uma multidão de ociosos. Hoje, felizmente, temos um mundo e, particularmente, uma Europa mais justa, mesmo que ainda cheia de muitas desigualdades sociais e económicas. Mas com crescentes laivos de “voltar atrás” nas conquistas democráticas pelas razões que se vão observando no dia-a-dia atual, mesmo quando o mundo se tornou global e transparente, fruto da última vaga de mudança provocada pela revolução tecnológica e informacional.

Também hoje, e ao contrário  do que era preconizado para a “República da Utopia” por More, no segundo livro, não se vê ainda totalmente implementado o princípio sagrado de que não se deve prejudicar ninguém em nome da religião, ou enfatizar-se a intolerância e o fanatismo. Ainda que o povo possa escolher os seus ideais e crenças, e os vários cultos possam coexistir em harmonia ecuménica num quadro político de democracia formal, os benefícios da paz têm sido bons, mas escassos no tempo.

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Nuno Crespo: "De que é feita uma colecção?"

A pergunta que dá título a este texto é uma citação do nome da exposição inaugural do Centro de Arte Contemporânea de Coimbra. Com curadoria de David Santos (actual curador responsável pela Colecção de Arte Contemporânea do Estado) e por José Maçãs de Carvalho (curador do Centro de Arte Contemporânea de Coimbra), propõe-se explorar os conceitos de "corpo" e "matéria" através de um percurso por esta colecção pública.

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Categorias: Escola das Artes

Fernando Ilharco: "Um tempo surreal"

Nas ruas, esplanadas e praias deste Verão tudo é diferente do habitual. Mesmo o ruído de fundo é outro. Não se ouve mais o alvoroço da globalização, a agitação das massas, as rodinhas das malas de viagem, os motores dos Tuc Tuc, o vaivém constante das trotinetes, as conversas sem fim ao telemóvel, as vozes que não se calam, em inglês, espanhol, chinês, italiano e em muitas outras línguas da Babel mundial.

Se o ruído nos impõe a força do presente, o silêncio deixa-nos parados no tempo, suspensos do ritmo do mundo. Lá fora não se vê nem se ouve o que se esperaria. São tempos únicos, algo artificiais, intrigantes e perigosos.

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Nota: Este artigo faz parte da versão exclusiva para assinantes do Jornal de Negócios.

Joana César Machado: "A importância do género no ´influencer marketing´"

Na indústria do influencer marketing a congruência entre o género da marca e do influencer pode ser determinante.

Atualmente, o influencer marketing é uma indústria com um valor aproximado de 8 biliões de dólares, que deverá duplicar até ao fim de 2022, tendo adquirido uma relevância crescente para as marcas que desejam criar notoriedade, mas também uma ligação emocional mais forte com os seus consumidores, e, assim, estimular a sua intenção de compra.

Tratando-se de uma indústria com um crescimento muito rápido, é natural que o conceito de influencer tenha evoluído. Recentemente, quando escolhem um influencer, as marcas já não consideram o número de seguidores como um critério chave, dando mais valor a outros critérios, como a congruência entre o influencer e a audiência alvo da marca ou entre a imagem da marca e do influencer.

Numa investigação recentemente realizada em coautoria com Samuel Pinto Sá e Carla Carvalho Martins, procuramos compreender de que forma é que a congruência entre uma dimensão particularmente relevante da imagem da marca/do consumidor e do influencer – o género, influencia a atitude dos consumidores face à colaboração marca-influencer e a sua intenção de compra do produto promovido.

A este respeito, é importante salientar que, enquanto que o sexo se baseia em diferenças biológicas, o género é definido culturalmente e refere-se aos traços de personalidade associados à masculinidade e feminilidade.  Estudos recentes demonstraram que o género é uma dimensão fundamental da imagem da marca/do consumidor, que tende a influenciar as respostas à marca, inclusive nas redes sociais. Neste estudo, que se focou em marcas de moda, procuramos ainda compreender se a congruência entre o sexo biológico do influencer e do consumidor afeta a sua resposta ao influencer marketing.

Os resultados indicam que a colaboração entre marcas e influencers é avaliada mais favoravelmente pelas mulheres, e que há uma preferência de ambos sexos por influencers do sexo feminino. Estes resultados estão de acordo com as estatísticas que apontam que 84% dos influencers são mulheres, que as mulheres tendem a seguir mais influencers de moda e que as influencers do sexo feminino geram mais gostos e comentários.

Além do mais, os resultados indicam que quanto maior compatibilidade entre o género do consumidor e do influencer, melhor será a resposta ao influencer marketing. Por outro lado, os resultados demonstram que a congruência entre o género da marca e do influencer tem um impacto ainda mais significativo na atitude em relação à colaboração e na intenção de compra do produto promovido.

Através deste estudo, foi possível concluir que o fit entre o género do influencer e do consumidor é mais relevante para determinar o sucesso de uma estratégia de influencer marketing do que o fit entre o sexo do influencer e do consumidor.

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Conheça os cursos com mais saída profissional em 2020

Todos queremos estar por dentro das tendências e do que o mercado procura atualmente. Por isso, é importante que todos os estudantes, recém-licenciados e profissionais estejam a par dos cursos com mais saída profissional.

Atualmente as empresas estão focadas em valorizar a experiência, inovação e capacidade que os candidatos têm em assumir riscos e tomar decisões de uma forma rápida e eficaz.

Por isso mesmo, a escolha do curso é uma decisão bastante importante e que deve ser tomada de forma pensada, pois trata-se de um momento decisivo na vida de um jovem adulto, que exige a ponderação entre as necessidades do mercado e os gostos pessoais.

Os cursos de Ciências Biomédicas Laboratoriais, Enfermagem, Medicina, Ciências Biomédicas e Ciências Farmacêuticas lideram no ranking de empregabilidade em 2020. Fique connosco e conheça os cursos com mais saída profissional.

CURSOS COM MAIS SAÍDA PROFISSIONAL EM 2020

Com o objetivo de ajudar os alunos a tomarem a decisão mais acertada, o Portal InfoCursos disponibiliza dados estatísticos sobre os cursos com mais saída profissional em Portugal (2020).

Os dados disponibilizados pelo Portal revelam as percentagens de recém-diplomados de cada curso que não conseguiram arranjar trabalho e, por essa mesma razão, estão registados como desempregados nos centros de emprego do IEFP.

Através da base de dados de 2020 do Portal InfoCursos, os cursos e respetivas instituições de ensino em que todos os diplomados conseguiram emprego, são os seguintes:

1. Ciências Biomédicas Laboratoriais

O curso de Ciências Biomédicas Laboratoriais está no topo do ranking dos cursos com mais saída profissional em 2020. Lidera com uma taxa de desemprego correspondente a 0,1% no Instituto Politécnico de Lisboa.

2. Enfermagem

O curso de Enfermagem também está presente no ranking dos cursos com mais saída profissional em Portugal, sendo que é possível verificar que nas seguintes instituições, todos os diplomados tiveram uma taxa de desemprego entre 0,1% e 0,2%:

  • Instituto Politécnico de Santarém – com 295 diplomados;
  • Universidade de Aveiro – com 253 diplomados;
  • Escola Superior de Enfermagem de Lisboa – com 1071 diplomados;
  • Instituto Politécnico de Castelo Branco – com 229 diplomados;
  • Universidade Católica Portuguesa – com 169 diplomados.

Os profissionais desta área precisam de saber relacionar-se com o outro, isto é, precisam de saber cuidar do outro de forma individual, não pondo somente em prática as competências técnicas adquiridas ao longo do curso.

É essencial, tal como noutras áreas, ter uma paixão pela área de forma a que isso se consiga refletir no seu trabalho diário com cada paciente.

3. Engenharia Informática

Fora a área da saúde, o curso de Engenharia Informática também lidera este ranking – registando uma taxa de desemprego de 0,2% no ISCTE (Instituto Universitário de Lisboa).

No ano anterior, a área das Engenharias liderava o ranking dos cursos profissionais com mais saída profissional e este ano o cenário não está muito diferente. Existem vários cursos de Engenharia com taxas de desemprego bastante positivas.

4. Economia

Com 194 diplomados na Universidade Católica Portuguesa, o curso de Economia também regista uma baixa taxa de desemprego – 0,2%.

5. Bioquímica

Em 2020, o curso de Bioquímica é um dos que têm mais saída profissional. Registando uma taxa de desemprego de 0,2% na Universidade de Lisboa e 242 diplomados.

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Categorias: A Católica

Manuel Fontaine Campos: "Ensino do Direito em tempos de pandemia - algumas lições"

Os últimos meses de pandemia, por que todos temos passado, foram férteis em adversidades, mas também em oportunidades. Em particular no ensino superior, e como resultado da quarentena, tornou-se impossível a realização de atividades de ensino presencial, e bem assim de muitas atividades de investigação e de serviço à comunidade. Nalgumas universidades, as atividades de ensino foram, com mais ou menos rapidez, transpostas para plataformas online (Zoom, Microsoft Teams, Collaborate Ultra, etc.). É sobre essa experiência, ocorrida na Faculdade de Direito da Universidade Católica, no Porto, e sobre as lições que encerra para o futuro que pretendo aqui falar.

Tendo as aulas presenciais sido suspensas no dia 11 de março, foi com muito trabalho que se conseguiu, logo no dia 13 de março, retomar as aulas em formato online. Naturalmente, uma transposição tão rápida operou-se no pressuposto de que as aulas continuariam a ser lecionadas no mesmo horário e, na verdade, tanto quanto possibilitado pela tecnologia, no mesmo modelo das aulas presenciais. 

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Nota: Para consultar este artigo na íntegra deverá fazer log in no website do Jornal Público.

Ana Sofia Carvalho: "Guerra das vacinas"

A Rússia quer ganhar a corrida às vacinas contra a COVID-19. Os russos anunciaram que já tem uma vacina aprovada e que vão começar a vacinar em massa em outubro. Estados Unidos, Canadá e Reino Unido estão a pagar milhões às empresas que desenvolvem vacinas para garantir reservas e até o Brasil pondera produzir uma vacina. Comentários de Ana Sofia Carvalho, professora de Bioética na Universidade Católica Portuguesa.

A entrevista completa encontra-se disponível aqui a partir do minuto 17:20.

João Correia Botelho: "Estado de guerra"

A pandemia não nos sai da cabeça. É um facto! O quotidiano, pura e simplesmente, não deixa: são as notícias que nos chegam em cascata, as máscaras que somos obrigados a usar, as opiniões dos especialistas, as conversas com amigos enquanto desinfectamos as mãos.

O estado das coisas relembra-nos a teoria do “Cisne Negro”, que já foi, também nesta fase, referido várias vezes e por diversos autores.

A história remonta ao século XVI, quando era ensinado às crianças inglesas que todos os cisnes eram brancos porque os registos históricos demonstravam que as penas dos cisnes tinham que ser brancas. Até que, no final do século XVII, exploradores holandeses avistaram, pela primeira vez, cisnes negros na Austrália. O impossível tornava-se possível!

Relembro que o Professor de Finanças Nassim Nicholas Taleb no seu livro publicado em 2007 “The Black Swan: The Impact of the Highly Improbable”, usa esta teoria para explicar alguns dos eventos improváveis que têm acontecido no mundo. Para o efeito, defende o professor Tableb, os eventos “cisne negro” têm que ter três atributos: raridade, elevado impacto e previsibilidade retrospectiva, ou seja, apesar de quase únicos, a humanidade encontra sempre forma de os explicar após o seu acontecimento.

A situação que vivemos é mesmo única e já existem diversas teorias (algumas da conspiração) para explicar esta pandemia.

Importa, na minha opinião discutir o impacto. Mais concretamente, o impacto nas empresas, sejam micro ou gigantes mundiais. Sabemos, já, que em alguns nichos de mercado esta pandemia tem tido um impacto positivo, por exemplo, nas empresas de tecnologia (plataformas de streaming, e ferramentas de trabalho remoto), farmacêuticas, fabricantes de equipamento de protecção individual, entre outras.

E para as empresas portuguesas, qual é o impacto?

Linhas de crédito, moratórias, layoff e outros palavrões já fazem, infelizmente, parte do léxico da grande maioria dos portugueses e todas as medidas têm-nos dado uma falsa sensação de que tudo está mais ou menos bem neste novo normal. No entanto, o maior choque é, e será, a falta de liquidez.

É, portanto, essencial preparar melhor os tempos que se avizinham com algumas medidas concretas: por exemplo, a elaboração e o acompanhamento próximo de um orçamento de tesouraria de forma a saber sempre a posição de liquidez e poder mitigar eventuais riscos de ruptura; sempre que possível, solicitar aos clientes prazos de pagamentos mais curtos; utilizar as medidas de apoio às empresas que o Estado disponibiliza (linhas de crédito bonificadas, diferimento de pagamentos à Autoridade Tributária e à Segurança Social); e negociar com os fornecedores prazos de pagamento mais alargados, mesmo implicando alguma redução da margem – e recordo que as empresas não vivem de margem, mas sim, de dinheiro.

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Maria d’Oliveira Martins: "A discriminação está ao virar da esquina"

Numa das leituras que trouxe para férias, encontrei uma referência ao facto de aos homens serem socialmente reconhecidas características superiores às das mulheres. Nas palavras de Frances Olsen, seriam associadas aos homens características como a racionalidade, a atividade, a reflexão, a razão, a cultura, o poder, a objetividade e a abstração. Seriam associadas às mulheres, em sentido simetricamente oposto: a irracionalidade, a passividade, o sentimento, a emoção, a natureza, a sensibilidade e a apetência para o concreto.

Não são necessárias muitas explicações para se perceber que esta contraposição ainda é atual no imaginário coletivo. Ela combina bem, aliás, com as conhecidas expressões de uso corrente que menorizam as mulheres, para que não sejam levadas a sério (por ex., “de certeza que dormiu com o patrão”, “ela é mal amada”, “uma mulher tem de se dar ao respeito”, “mulher ao volante, perigo constante”…).

Este breve levantamento recorda-nos que a discriminação se manifesta de várias formas e, não sendo de hoje, reflete uma tendência antiga. Há duas semanas, a propósito da festa da Igreja de Santa Maria Madalena (que acompanhou Jesus até ao fim e anunciou a Sua ressurreição aos discípulos), fui recordada que certa tradição popular associa esta Santa – injustamente – a uma prostituta. Não obstante o texto dos Evangelhos não permitir fazer essa associação, ela apenas se explica como forma de a menorizar – por ser mulher – em relação aos demais discípulos de Cristo.

A persistência destas associações e expressões expõe o profundo enraizamento de uma desigualdade que não cessou com as conquistas feministas. Neste caso, perpetuando a discriminação de forma insidiosa: sob pretexto de se tratar de linguagem comum ou de uma certa forma de fazer humor, ela contém o veneno da diferença, gerando mecanismos de dominação para quem se acha superior. É ela a culpada pelo facto de ainda hoje muitas mulheres ocultarem do espaço público (calando) a vergonha que sentem quando são ofendidas, assediadas ou agredidas, simplesmente por serem mulheres.

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Universidade Católica Portuguesa em Braga recebe selo de verificação ‘Covid Safe’

O Centro Regional de Braga da Universidade Católica Portuguesa recebeu o selo de verificação ‘Covid Safe’, atribuído pela Associação Portuguesa de Certificação (APCER), garantindo o cumprimento das orientações das autoridades sanitárias e de trabalho relativamente aos procedimentos e práticas de segurança e saúde no contexto da pandemia Covid-19.

Reforçando o compromisso do respeito pela saúde e segurança de toda a sua comunidade, e de acordo com a APCER, a UCP em Braga cumpre as orientações da Direcção-Geral da Saúde.

O âmbito da verificação compreendeu as actividades de ensino e investigação.
Distanciamento social, processos de higienização ou regras de etiqueta respiratória são alguns dos parâmetros avaliados nas organizações para perceber se são Covid Safe.

Esta verificação tem como base as orientações da Direcção- Geral da Saúde (DGS), da Autoridade para as Condições do Trabalho (ACT) e da Organização Internacional do Trabalho (OIT), no âmbito da pandemia mundial Covid-19, e pretende verificar no local a eficaz implementação de procedimentos e práticas de segurança e saúde.

Garantir a retoma da actividade em segurança, reduzindo os riscos e actuando com responsabilidade; identificar os pontos críticos, avaliando os procedi- mentos e práticas internas e criar condições para a recuperação rápida das actividades que sustentam a organização são o objectivo desta verificação e respectiva atribuição do selo.

A Universidade Católica de Braga procura assim garantir a segurança da sua comunidade numa altura em que já definiu a sua estratégia para o próximo ano lectivo, sustentado num sistema de ensino 50/50, ou seja, 50 por cento presencial, 50 por cento online - considerando esta a melhor estratégia para enfrentar a pandemia, cujo futuro ainda está cercado de incerteza.

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Maria de Fátima Ribeiro: "Os efeitos da separação entre um clube e a SAD que fundou"

Três perguntas e respostas sobre as dúvidas mais comuns a respeito do regime jurídico das Sociedades Desportivas.

  1. Pode um clube vender a totalidade da sua participação na SAD que fundou? Não é obrigado a ter sempre 10 por cento?
    A Lei das Sociedades Desportivas (LSD) não responde directamente a essa questão, mas a resposta, à luz dos princípios gerais vigentes no nosso ordenamento jurídico e do próprio espírito das normas da LSD interpretadas só pode ser positiva: um clube pode validamente deixar de ser sócio da SAD que tenha constituído pela via da personalização jurídica da sua equipa desportiva, por vários meios, como a declaração da sua insolvência, a deliberação em assembleia geral da sua dissolução, ou a alienação voluntária das acções que nela detenha. Porém, a partir do momento em que a sua participação se torne inferior a 10%, o clube deixa de poder beneficiar do regime de tutela especial que, enquanto sócio dessa SAD, a LSD lhe conferia. Na prática, deixa de ser aplicável a essa SAD, nas relações com o clube, o regime especial previsto para as sociedades constituídas pela personalização jurídica da equipa desportiva.
  2. O que sucede a essa SAD? Mantém direito a competir? Mantém a ligação ao clube fundador ou passa a SAD de raiz?
    A SAD não perde, por essa razão, o direito a participar na competição em que está integrada (o direito a participar em competições foi imperativa e definitivamente transmitido pelo clube à sociedade no momento da constituição desta). E passa, a partir do momento em que a participação do clube fundador se torna inferior a 10% (e só a partir daí) a ser regida, no que respeita às relações com o clube, pelas regras que se aplicam a uma sociedade desportiva constituída de raiz - o mesmo é dizer, deixa de estar sujeita à aplicação das normas da LSD que se destinam à protecção do clube fundador de uma sociedade desportiva constituída pela personalização jurídica da sua equipa.

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A Cidade de Viseu

Cidade de Viseu


Viseu é uma cidade-jardim, com os seus parques verdes e árvores centenárias, localizada no coração de Portugal. Possui igualmente uma localização privilegiada na Região Demarcada do Dão, de onde saem vinhos premiados. 

Com 100.000 habitantes, Viseu foi eleita pelos consumidores portugueses, em 2018, como a cidade mais saudável, segura e com melhor qualidade de vida  de Portugal.

Viseu é conhecida pelas suas tradições e artesanato, mas também pela forte componente empreendedora e tecnológica. É uma cidade acolhedora e romântica, de mitos e heróis, com um rico património histórico. O Museu Grão Vasco, o Tesouro da Misericórdia e o Museu Tesouro da Sé (catedral) de Viseu, no qual é possível recuar 900 anos de história, proporcionam agradáveis visitas culturais.

Cidade com uma gastronomia muito rica, os seus visitantes deliciam-se com pratos tão variados como a Vitela à Lafões, a Chanfana, o Cabrito Assado, o Bacalhau na Broa e a Bôla de Carne da região.

O parque desportivo do Fontelo proporciona a prática de vários desportos. A região oferece ainda condições excecionais no que toca a desportos radicais e de montanha e rio (BTT, Trail, escalada, orientação, canyoning, canoagem, geocaching).

A vida noturna em Viseu é animada, com possibilidades para todos os gostos e idades.


Custo de vida 

Alojamento

Quarto: em média 200€/mês 
 

Alimentação

Compras de Supermercado: cerca de 150€/mês

Almoço no refeitório: 4,80€.

Almoço num restaurante: 5,50€ (valor aproximado)

Pão: 0,12€

Café (expresso): 0,60€

Transportes

Bilhete de Autocarro:  1€ (valor aproximado).
Prevista a partir de janeiro de 2019 a implementação de rotas com autocarros elétricos (MUV), com paragem perto da Universidade a cada 10 minutos.


Eventos

Cantar das Janeiras (janeiro)

Tons de Primavera (março)

Festival de Teatro Jovem (maio)

Cavalhadas de Teivas e Vildemoinhos - festa de São João (junho)

Jardins Efémeros (julho)

Durante uma semana, a cidade transforma-se num enorme jardim repleto de artistas internacionais e nacionais, concertos, conferências, instalações, exposições, debates e livrarias. Saiba mais em http://jardinsefemeros.pt/

Festival de Jazz (no Parque Aquilino Ribeiro) (agosto)

Feira de S. Mateus (agosto e setembro)

A Feira de São Mateus é uma feira franca anual, com 626 anos de existência, que se realiza todos os anos na cidade viseense. Saiba mais em http://www.feirasaomateus.pt/

Festa das Vindimas (setembro)

Outono Quente – Festival de Artes, Músicas e Teatro (outubro)

Feira dos Santos (São Martinho)

Isabel Azevedo: "A criatividade e o SNS não tiram férias"

Estamos no período de férias, habitualmente usado para acalmar frenesins e recuperar energias. Viajamos, expomo-nos a experiências diferentes e reabastecemos o repositório criativo. Na rentrée emergem ideias, surgem insights para novos projetos que entram no ciclo de planeamento. Mas este ano a Covid-19 trocou as voltas ao mundo e as férias serão diferentes no formato, mas sobretudo na essência – o descanso. Será um descanso em alerta, porque o vírus não tira férias e porque sabemos que a rentrée será marcada pela incerteza e pela complexidade dos desafios. Iremos precisar de toda a nossa capacidade criativa para imaginar novas soluções em todos os setores e também na saúde.

No SNS muitos profissionais não vão conseguir tirar as merecidas férias. Há que continuar a dar resposta a surtos localizados do vírus, mas também a recuperar os casos de outras patologias que ficaram “suspensos”. Ao mesmo tempo, é preciso preparar a resposta a novos surtos Covid e não só. Desde março que estamos em resposta reativa, maioritariamente com a tomada de medidas de reação imediata, aparentemente avulsas, que vão acompanhando o conhecimento sobre o comportamento do vírus. Agora é preciso ter uma resposta proativa, planeada e integrada, com base no que se aprendeu e nas experiências que resultaram, mas também arriscando em novos modelos de resposta que vão ao encontro das necessidades das populações.

A crise permitiu experimentar alguns modelos que estavam embrionários. Por exemplo, o modelo de hospitalização domiciliária ganhou expressão. Ainda, seguramente, com muito para melhorar, mas a realidade é que se conseguiu assegurar, até junho deste ano, que cerca de 92% dos doentes Covid estivessem a ser tratados em casa. Só foi possível porque havia uma motivação forte – manter as pessoas em segurança, tratá-las e não deixar colapsar o SNS.  Conseguiu-se com alinhamentos institucionais, com o envolvimento de todas as profissões de saúde, famílias e cuidadores e, sobretudo, com a resposta dos doentes, que, no geral, estiveram no comando da sua doença com uma atitude responsável.

If the patient could decide, foi o nome dado a um projeto realizado num outro tempo e numa outra geografia. Em 2013, o Hospital Universitário de Oslo precisava de reduzir significativamente o tempo de espera no diagnóstico do cancro da mama. Usando a metodologia de Design Thinking, conseguiu-se desenhar uma solução, trazendo a perspetiva dos doentes e de todos os profissionais envolvidos no processo. Implicou repensar a forma como as entidades se articulavam e exigiu um trabalho interdisciplinar colaborativo.

Qual o denominador comum nestas duas experiências? Um objetivo claro, uma motivação forte de todos os envolvidos para resolverem o problema da doença com a participação do doente. A grandeza da missão facilita a conjugação de vontades, mas uma vez alcançada uma meta, há uma tendência para voltar ao modelo passado. O desafio agora é manter os modelos novos ativos e ir aperfeiçoando e disseminando as inovações. Quantas boas soluções foram implementadas durante o período da Covid e ficaram circunscritas a um serviço de um Hospital ou de um Centro de Saúde? Quantas destas soluções estão a ser agora abandonadas, apenas porque se assume que não faz sentido trazê-las para o retorno à “normalidade”?

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Fernando Ilharco: "Não pensar muda o mundo"

Pensar muda o mundo, escreveu o filósofo alemão Martin Heidegger. Mas não pensar também muda. E pensar mal muda na mesma. A acção, as decisões boas ou más, as suas consequências não intencionais, os resultados planeados ou não, tudo isso é parte da evolução, lenta ou rápida, sempre em curso. É a acção, intencional e criadora de significado, e não o pensamento, que muda o mundo, defendeu I-Iannah Arendt, a pensadora naturalizada norte-americana.

São as ideias dos homens feitas acção que mudam a realidade. Abrem possibilidades, surpreendem a sociedade, revolucionam os mercados. Quando a mudança ganha força, não são as melhores ideias que triunfam, nem a melhor análise que se impõe.

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Nota: Este artigo faz parte da versão exclusiva para assinantes do Jornal de Negócios.

Ensino à Distância

A Universidade Católica inclui na sua oferta formativa cursos de ensino à distância, quer em regime b-learning (formação à distância e formação presencial) quer em regime e-learning, desde 1994. 

Trata-se da melhor opção tanto para quem resida fora de grandes centros urbanos quanto para quem necessite de viajar frequentemente. O curso é adaptável às circunstâncias pessoais e profissionais dos estudantes, sobretudo para quem pretenda conciliar uma atividade profissional com estudos de nível superior ou adquirir uma sólida formação complementar.

Estes cursos são também dirigidos a residentes fora do país e a estudantes oriundos dos países lusófonos.

Quer no regime de e-learning quer no regime de b-learning, o aluno tem ao seu dispor um tutor.

A Católica oferece licenciaturas e mestrados neste regime em Filosofia e Ciências Religiosas e, ainda pós-graduações e cursos de curta duração.

Filipe Santos: Há um conjunto de empreendedores que vai continuar

O dean da Católica Lisbon School of Business and Economics traça uma evolução difícil para os próximos meses e lamenta que os números “não digam muito sobre o sofrimento das pessoas, o aumento do desemprego e a perda de pequenos negócios”. Pede mais capital para o empreendedorismo e acredita que há fazedores que vão desaparecer, mas outros que vão resistir e reforçar-se.

Referiu a possibilidade de alunos estrangeiros ficarem por cá e criarem as suas startups. Os empreendedores estão muito preocupados não só porque há uma crise mas também porque há muitas dificuldades de financiamento. Como é que vê a realidade do empreendedorismo em Portugal? Vamos dar passos para trás porque tudo vai ficar mais atrasado? Durante anos sonhámos todos com a startup nation e estamos cada vez mais longe de alcançar esse objetivo?
Acho que não, mas há desafios. Eu diria que um domínio é o ecossistema do empreendedorismo e da inovação, tanto comercial como social, mais inovador, com produtos com base em tecnologia, que tem todo um ecossistema de apoio à volta das venture capital, à volta de alguns fundos públicos, como o 200M ou o fundo para a inovação social, que fazem um matching desses investimentos e cujo financiamento vem muito do venture capital.

Esses não vão parar, é isso?
Acho que esses não vão parar. Podem abrandar, reagendar investimentos de forma mais cautelosa. As capitais de risco têm dinheiro para alocar e sabem que a crise é severa mas temporária. Adiar investimentos pode não fazer sentido porque no fundo são projetos que vão desenvolver serviços para o mercado e se calhar daqui a um ano é a retoma. O fundo de inovação social foi lançado no ano passado e está agora ativamente a alocar investimentos. Eu sou membro do comité de investimentos e sei que já vários investimentos foram feitos. Foi lançado agora na inovação social o chamado fee de crédito, que é a parte de empréstimos bonificados para entidades da economia social. Há um conjunto de investimentos públicos que apoiam este ecossistema de inovação e empreendedorismo que vão continuar, que fazem o matching de investimento privado, que incentivam a não adiar investimentos e acho que esse setor vai sofrer aqui um pequeno embate mas vai sobreviver.

Mas outros empreendedores não.
Estou muito preocupado com o setor das pequenas empresas de serviços. Turismo, restauração, serviços às pessoas… Há todo um universo que emprega centenas de milhares de pessoas em pequenas empresas de serviços, e essas sim, estão a ser muito afetadas pela crise – porque as empresas não cortam na conta da luz, cortam nos pequenos serviços que dantes faziam e que deixam de fazer. O confinamento impediu um conjunto de atividades de se desenvolverem, campos de férias, eventos, restaurantes… Há aí um setor importante de pequenas empresas que não são particularmente inovadoras em termos de tecnologia e portanto não têm este tipo de apoios mas que no fundo eram inovadoras e fizeram bem o seu papel mas não têm capacidade de aguentar um ano sem receitas. Essas têm sido apoiadas por alguns dos fundos de lay-off do governo mas estão em grande dificuldade. Conheço casos de pessoas que voltaram atrás 15 anos porque foram expandindo, tinham um restaurante, abriram outro, criaram uma empresa de eventos, e de repente viram o seu mundo transformado. O português tem muito esta ideia do desenrasca e isto eram negócios que faziam sentido num contexto que de repente foi abruptamente alterado. Esse é o setor que mais irá sofrer, a par com algumas médias empresas que poderão não se aguentar pela fraqueza económica. Aí acho que é importante encontrar soluções e há um equilíbrio difícil: por um lado, não podemos manter vivos negócios que já não têm viabilidade nos próximos dois, três, quatro anos; por outro lado também não podemos deixar que essas pessoas de repente entrem na falência sem qualquer apoio. Vai ter de haver aqui um equilíbrio de ver quem é que ainda tem viabilidade e que pode sobreviver, quem é que não tem viabilidade e deve fechar e ser ajudado a ser reconvertido. Vai ter de haver aqui algum esforço de desenho de políticas mais cirúrgicas. Não tenho números exatos mas acho que há mais de meio milhão de pessoas nessa situação.

Para essas pessoas o lay-off simplificado deveria continuar ou é insustentável para o Estado?
Esse é o desafio, porque em alguns setores nós podemos dizer que de facto as restrições vão continuar mais dois/três meses, mas a partir de janeiro é business as usual, e portanto esses negócios depois de hibernarem durante nove meses conseguem voltar à vida e faz sentido manterem o lay-off. Noutros casos, de facto, o mundo mudou, porque algumas coisas que se faziam dantes agora são digitalizadas e não vão voltar. Outras coisas vão estar estruturalmente mais fracas durante dois, três anos. Em algumas áreas de serviços e turismo, se calhar o embate é mais estrutural, e nesses casos manter o lay-off temporário é adiar o inevitável com aumento de ineficiência para a economia. Talvez fosse melhor ter uma solução diferente.

Por outro lado assustam-me soluções de crédito porque os adiamentos e as moratórias e soluções de crédito endividam o setor empresarial já muito débil em termos de capital. Eu preferia soluções. Se for para viabilizar negócios, soluções de capital e não crédito. Porque o crédito exige garantias. E a garantia ou é pública e cria incentivos adversos, ou é privada, do próprio dono do negócio, e põe um ónus muito grande sobre ele, porque se o negócio depois falha é a vida da pessoa que fica em causa. Numa situação como esta, mais crédito não é a solução. Ou é o sistema de lay-off temporário que se prolonga no tempo para certos setores, e isso poderá fazer sentido, ou se encontra mecanismos de capitalização que são buffers de capital para as empresas, que podem ser recomprados mais tarde pelo próprio dono quando as coisas se reequilibrarem. Vai ter de haver aqui um desenho inteligente de políticas para ajudar este segmento que é importante e que é quem mais sofre com esta crise.

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Esta entrevista foi dividida em artigos adicionais, pelo que poderá consultar os seguintes aqui:

Isabel Guimarães: "Uma pedagogia para o século XXI"

O método de aprendizagem baseado em projeto (PBL, do inglês Project-Based Learning) é praticado em todos os níveis de ensino e em todo o mundo. É um método maleável, que se adapta bem à atual situação de ensino, entre aulas presenciais e online.

Parcialmente inspirado nas ideias de John Dewey, o PBL posiciona os estudantes no centro do processo de aprendizagem e incentiva a procura de conhecimento a partir da realidade, desafiando crenças e práticas tradicionais sobre a educação. Desde logo, porque os professores assumem, fundamentalmente, o papel de orientadores. Depois porque, no contexto de cada disciplina, cada grupo de projeto acaba por desenhar e definir os seus conteúdos específicos. Não se trata, porém, de um método consensual, nem para os professores, nem para os estudantes.

As resistências dos professores decorrem da intensidade do trabalho que o PBL exige, dados os constrangimentos institucionais. Por exemplo, a organização semestral das disciplinas dificulta a compatibilização dos objetivos do método (realizar um projeto a partir de um problema real) com os objetivos da disciplina (avaliar conhecimentos). Já os estudantes tendem a estranhar o regime de avaliação.

A pluralidade de conteúdos inerentes a cada projeto, os regulamentos de avaliação e a gestão das expectativas, no que respeita à valorização dos projetos, são também fatores que podem gerar mal-entendidos.

Tudo seria mais fácil se as faculdades estivessem organizadas em torno de um grande projeto mobilizador das contribuições de cada disciplina. Não é essa a nossa realidade, como não o é, aliás, na generalidade dos países em que o PBL é praticado no ensino superior. Até porque nem todos os estudantes estão igualmente motivados para a descoberta, para a investigação, para a reflexão.

Os estudantes que esperam a sequência de um programa e de um manual levam tempo a aderir ao PBL. O mesmo acontece com aqueles que preferem o trabalho individual e convivem mal com a colaboração exigida quando se faz parte de uma equipa de projeto.

Nestes casos, levam algum tempo a compreender que aprendem mais quando tomam a iniciativa de definir um projeto, de procurar e selecionar informação, de conceber um produto final que o divulgue. Pelo meio, participam ainda em debates e realizam as apresentações necessárias para partilhar as suas descobertas. As dificuldades são superadas pelos resultados: melhor aprendizagem, mais interesse e participação, mais criatividade, e projetos cuja qualidade, frequentemente, surpreende.

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Católica-Lisbon School of Bussiness & Economics bate recorde de admissões em Licenciaturas

Encerrou a primeira fase de admissões na CATÓLICA-LISBON School of Busines & Economics para os programas de licenciatura em Gestão e em Economia. Este ano foi um ano recorde com um número de candidaturas elevadas e um elevado número de alunos de qualidade excecional.

O número de candidaturas aumentou mais de 60%, admitindo uma Classe de excecional qualidade com mais de 100 alunos com médias de candidatura superiores a 18,0 valores e mais de 25 alunos com médias superiores a 19,0 valores.

“Neste ano de tanta incerteza é uma honra poder contar com a confiança dos futuros líderes Portugueses que acreditam no potencial de impacto de uma carreira em Economia e Gestão. Esta geração de jovens reconhece o rigor científico, a qualidade do ensino e a elevada empregabilidade que tem sido a marca de toque da CATÓLICA-LISBON desde que foi pioneira ao iniciar o ensino de grau em Gestão em Portugal” afirma Filipe Santos, Dean da CATÓLICA-LISBON .

A CATÓLICA-LISBON foia única Business School Portuguesa a assegurar uma dupla certificação sanitária – COVID SAFE da APCER e COVID OUT do ISQ, de forma a que a comunidade académica possa com toda a segurança cumprir a sua missão de partilhar conhecimento rigoroso, com uma aprendizagem inspiradora e impacto na sociedade.

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É esta a primeira business school portuguesa com dupla certificação Covid Safe e Covid Out

A Católica Lisbon School Business & Economics recebeu a certificação COVID SAFE pela APCER, e a certificação COVID OUT pelo ISQ. Estas duas certificações validam as medidas de segurança e higiene adoptadas pela Universidade Católica Portuguesa e pela Católica-Lisbon para prevenir os riscos de contágio da COVID-19.

Ambas as certificações foram atribuídas após uma verificação independente em que, no caso da certificação COVID OUT que tem níveis de classificação, a Católica-Lisbon recebeu a notação máxima de “Elevado”.

Estas certificações sanitárias fazem parte do plano de contingência que a Católica-Lisbon preparou para o próximo ano lectivo, em resposta à pandemia. Além das certificações sanitárias, a Católica Lisbon School Business & Economics tem planeadas outras medidas, como a adopção do ensino híbrido – presencial e remoto, onde a presença dos alunos de licenciatura no campus vai ser feita de forma alternada.

Já os cursos de mestrado vão funcionar num horário reestruturado com uma aula semana online para todos os estudantes do curso e outra aula semanal presencial no campus, com turmas mais pequenas. Para garantir as condições necessárias para o sistema de ensino híbrido, a Católica-Lisbon avaliou ainda os requisitos tecnológicos e pedagógicos das suas salas de aula e equipou todas com câmaras e microfones de alta qualidade.

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Portugueses estão a desenvolver teste de saliva para a covid-19

E se bastasse uma pequena gota de saliva para verificar se alguém está, ou já esteve, infetado com o novo coronavírus? Pode parecer futurista, mas em Portugal um grupo de médicos e investigadores liderados por Nuno Rosa, professor da Universidade Católica Portuguesa (UCP) e investigador de um dos seus laboratórios, o Saliva Tec, sediado no campus de Viseu da UCP, está a trabalhar no desenvolvimento de um teste desse tipo. E os resultados não podiam ser mais promissores.

"Estamos ainda a recolher os últimos dados, mas os nossos resultados mostram que a ideia funciona, a prova de conceito está feita", garante Nuno Rosa, sublinhando que o grupo está agora "na fase de encontrar parceiros para desenvolver e criar um teste miniaturizado para aplicação em larga escala".

O caminho até lá é complexo, mas o objetivo é ter o teste disponível, "talvez, em meados do próximo ano, se tudo correr bem".

A ideia de criar um método para detetar, não só a presença de partículas do SARS-CoV-2, mas também de anticorpos contra ele, usando apenas uma amostra de saliva, surgiu de forma natural entre os investigadores do Saliva Tec. Afinal o que ali fazem é isso mesmo: investigação sobre este fluido biológico, que é muito rico em informação, para aplicação ao diagnóstico em saúde.

"Trabalhamos nesta área há anos, e em 2014 ganhámos um financiamento do Portugal 2020 para montar este laboratório, o único no país especificamente criado para a investigação fundamental nesta área", diz Nuno Rosa. E explica: "Usamos a saliva como fluido informativo sobre a saúde e a partir daí desenvolvemos estratégias de diagnóstico para diferentes patologias, nomeadamente a diabetes, para a qual já temos vários estudos publicados."

Ao contrário do que acontece com as análises sanguíneas que são hoje rotina no diagnóstico em saúde, a saliva, apesar de ter muita informação biológica - contém mais de quatro mil moléculas diferentes e outros tantos microrganismos que, no seu conjunto, são o microbioma oral -, está muito pouco explorada nesse sentido. "É necessário fazer essa investigação fundamental, estudar e estabelecer os parâmetros que para cada molécula definem a diferença entre a saúde e a doença, para se poder operacionalizar ferramentas de diagnóstico a partir da saliva. É isso que fazemos no Saliva Tec ", explica Nuno Rosa.

Entretanto, surgiu a pandemia. Com todas as suas vítimas, os pesados problemas económicos e as muitas restrições sociais que gerou, a covid-19 acabou por ser também uma oportunidade de desenvolver investigação inovadora, que poderá agora ter um impacto positivo na saúde da comunidade, num momento difícil e cheio de incertezas.

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João Monteiro Pinto: "Covid-19, gestão de risco e o “novo normal”

Os impactos económicos, financeiros e sociais que a atual pandemia está a provocar na economia portuguesa, em especial no tecido empresarial português, vem convocar a atenção dos gestores para a necessidade de desenvolverem e de colocarem em prática estratégias adequadas aos elevados níveis de exposição a riscos. As empresas que já possuam tal instrumento de gestão poderão definir estratégias mais eficazes de mitigação, permitindo assim ultrapassar a atual turbulência mais rapidamente e com menor perda de valor.

Num quadro de elevada incerteza e volatilidade, a gestão de risco assume um papel cada vez mais decisivo para as organizações, devido, por um lado, ao elevado número e complexidade dos fatores de risco a que as suas atividades as expõem e, por outro lado, à oportunidade que a evolução técnica e a inovação tecnológica propiciam, disponibilizando instrumentos capazes de os gerir.

Tal processo passa pela implementação de estratégias de gestão de risco empresarial integradas, que identifiquem, analisem e preparem medidas de gestão e mitigação de riscos com impacto nos objetivos e na atividade da organização. E não se pretende olhar apenas para riscos financeiros, mas também para riscos operacionais, de mercado, tecnológicos e macroeconómicos.

Mas esta estratégia não exige apenas às organizações que identifiquem que riscos enfrentam e quais os que devem gerir de forma ativa, envolve também a aferição dos seus efeitos esperados, e o consequente desenvolvimento de planos de ação integrados nos diferentes componentes que integram os seus planos de negócio: os orçamentos anuais e plurianuais e, no caso das empresas com ações cotadas em bolsa, nos seus relatórios anuais de gestão e contas.

Do ponto de vista financeiro, esta crise vem chamar a atenção para que ‘cumprir os serviços mínimos’ em termos de gestão orçamental, como a elaboração de orçamentos anuais, de orçamentos de tesouraria e de planos de financiamento, pode revelar-se insuficiente, sobretudo em estados mais adversos da economia. Pelo que, a implementação de modelos integrados de gestão de risco, dos mais simples, como a análise de cenários, aos mais desenvolvidos analiticamente, como técnicas de simulação, ou de, para empresas não-financeiras, modelos de ‘cashflow@value-at-risk’, se torna fundamental.

O desenvolvimento, aquando da elaboração do orçamento anual, de cenários alternativos, nomeadamente extremos (stress testing, na gíria anglo-saxónica), permite que em momentos de crise, como os que estamos a viver, se pense estrategicamente, se possa refletir sobre novos modelos operacionais, capazes de criar valor, e não somente na elaboração do próximo orçamento retificativo.

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Da Capa à Contracapa: "A pandemia de hoje e o mundo de amanhã"

Como será o mundo de amanhã? A incerteza destes dias pode colocar em segundo plano a resposta a esta pergunta que vai sendo respondida pelo presente. As respostas internacionais a esta pandemia permitem reanalisar todas as tendências da geopolítica internacional e entender também o que é estrategicamente importante para um país como Portugal.

O programa desta semana parte de "O mundo de amanhã" , ensaio assinado por Carlos Gaspar, Investigador do Instituto Português de Relações Internacionais da Universidade Nova de Lisboa.

É um dos convidados da conversa com Miguel Monjardino, Professor de Geopolítica e Geoestratégia no Instituto de Estudos Políticos da Universidade Católica Portuguesa.

Para ouvir o podcast, clique aqui.

Católica-Lisbon sobe a 39.ª melhor do mundo na formação de executivos

A Católica-Lisbon é a 39.º melhor escola do mundo na formação costumizada para empresas, segundo o “Ranking Global do Financial Times Executive Education 2020”, divulgado ao primeiro minuto desta segunda-feira, 11 de maio.

A escola de negócios da Palma de Cima distingue-se quer nos nos programas customizados para empresas, quer nos programas de inscrição aberta, as duas áreas que contribuem para a construção do ‘ranking’ global, onde ocupa a 50.ª posição no mundo. Mas é nos programas para empresas que o salto atinge maior dimensão: 15 lugares em relação a 2019.

Céline Abecassis-Moedas, diretora para a Formação de Executivos da Católica-Lisbon destaca “a forte ligação” da escola às empresas, que lhe permite “antecipar” necessidades e expetativas para o futuro.

"As empresas apreciam muito a experiência customizada e personalizada que têm nos nossos programas de formação e valorizam particularmente as metodologias pedagógicas inovadoras, que têm impacto no futuro dos seus profissionais", salienta.

A Nova SBE é a escola portuguesa melhor colocada no “Ranking Global do Financial Times Executive Education 2020”: 44.ª. A escola liderada por Daniel Traça vê especialmente destacadas as pontuações referentes aos critérios de “qualidade do corpo docente” (subindo da 45ª para a 38ª posição mundial), “conteúdos e metodologia pedagógica” (ascendendo da 39.ª para a 37.ª posição) e “desenho do programa” (subindo do 39.º para o 37.º lugar).

No ranking de programas customizados de formação de executivos do Financial Times, a Nova SBE integra hoje, no que diz respeito ao critério de “crescimento”, o top 10 mundial (subindo da 61ª para a 8ª posição).

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Alexandra Leitão: "A pandemia e a emergência climática"

A atividade económica e social parou abruptamente em todo o mundo. Com ela, verificou-se a redução das emissões planetárias de gases com efeito de estufa (GEEs) e a melhoria da qualidade do ar nas grandes cidades. Neste momento, toda a atenção está focada, e bem, em combater a nova ameaça e a grande recessão que certamente se seguirá.

É fácil esquecer que, há poucos meses, o debate sobre as alterações climáticas, os seus impactos socioeconómicos e a resposta coletiva ao problema vinham ganhando força, em particular na Europa com o lançamento do Pacto Ecológico Europeu, que visa converter o combate às alterações climáticas no novo modelo de crescimento económico do continente.

A Organização Mundial de Meteorologia (WMO) estima que globalmente, este ano, as emissões de carbono sofram uma queda de cerca de 6%, face aos níveis de 2019, devido à pandemia. Contudo, assim que a economia recupere, a WMO prevê que estas voltem ao normal.

Este número pode até parecer reduzido, mas, na realidade, é bem significativo. As emissões têm vindo a crescer, sustentadamente, ano após ano, mesmo após o compromisso de redução de emissões no âmbito do Acordo de Paris. Ultrapassa a redução de cerca de 2% na crise financeira global de 2008-2009, imediatamente revertida em 2010, com a recuperação da economia.

De um modo geral, apenas durante grandes recessões tem sido possível observar reduções de emissões, mas sem conduzir a alterações sistemáticas no modo de funcionamento da economia. Pelo contrário, a recuperação económica tem historicamente acontecido com forte subida da produção e emissões, sacrificando as preocupações ambientais.

Os últimos dados da WMO publicados no passado dia 22 de abril, coincidindo com o 50º aniversário do Dia Mundial da Terra, indicam que os níveis de dióxido de carbono e outros GEEs atingiram níveis recorde em 2019 (WMO Global Climate 2015-2019 Report, 2020). Em comparação com os cinco anos imediatamente anteriores, os últimos cinco anos (2015-2019) viram um aumento continuado nas emissões e um acelerar da sua concentração na atmosfera. O problema do aquecimento global tem vindo a acelerar, atingindo um novo pico nos últimos cinco anos, os mais quentes desde que existem registos.

Espera-se que a tendência continue. Os GEEs ficam na atmosfera e nos oceanos ao longo de séculos. Por isso, as alterações climáticas vão manter-se, independentemente de qualquer queda temporária nas emissões. A não ser que o mundo as consiga mitigar tal conduzirá a problemas de saúde persistentes, insegurança alimentar, incapacidade de alimentar a população mundial crescente e cada vez maiores impactos na economia.

Também a poluição atmosférica está entre os principais fatores de risco de morte em todo o mundo. É reconhecida há muito como aumentando a probabilidade de desenvolvimento de doenças cardíacas, doenças respiratórias crónicas, infeções pulmonares e cancro. Em 2017, a poluição do ar foi o quinto maior fator de risco de mortalidade no mundo e foi associada a cerca de cinco milhões de mortes globalmente (State of Global Air, 2019).

Em média, a poluição do ar reduziu a esperança média de vida em um ano e oito meses em todo o mundo, um impacto global que rivaliza com o do tabagismo. Isso significa que uma criança que nasce hoje morrerá, em média, 20 meses mais cedo do que seria esperado na ausência de poluição do ar. Mais de 90% das pessoas em todo o mundo vivem em áreas em que a concentração de poluição excede as Diretrizes da Organização Mundial de Saúde para um ar saudável. Estes números, tipicamente negligenciados, não nos devem deixar indiferentes.

Ler artigo completo aqui.

"Prós e Contras" - A vida depois da Covid

Há setores da vida nacional que estão a pensar novas estratégias para retomar a atividade sob o impacto da pandemia. Uns vão ter que se adaptar, é o caso do turismo, outros, como a indústria, começam a equacionar caminhos em função da necessidade dos mercados e da alteração geopolítica. Alguns dos nossos convidados vão refletir sobre o futuro do setor industrial e das exportações, tão decisivas para o PIB nacional.

Participação de Rui Fiolhais, presidente do Instituto da Segurança Social, de Carlos Oliveira, membro do Conselho Europeu da Inovação, de Jorge Portugal, diretor-geral da COTEC - Associação Empresarial para a Inovação, de José Manuel Fernandes, presidente do Grupo FREZIT, de Patrícia Fragoso Martins, professora na Faculdade de Direito da Universidade Católica.

Para ver ou rever o programa "Prós e Contas" da RTP1, clique aqui.

Inês Quadros e Maria d’Oliveira Martins: B-learning no ensino superior: do inesperado à oportunidade

Em meados de março, as Universidades foram obrigadas a ensinar à distância de um dia para o outro. Em setembro de 2019 havia sido publicado o “Regime Jurídico do Ensino Superior à Distância”, mas ninguém podia adivinhar que esta seria a única modalidade de ensino viável para todas as Universidades do país, já no segundo semestre do ano letivo 2019/20. Depois da surpresa inicial, alunos e professores revelaram-se surpreendentemente capazes de se adaptar ao novo modelo, transpondo para o ensino online aquilo que já faziam presencialmente.

Parece, para já, provável que venham novos confinamentos; mesmo que assim não seja – ou para que assim não seja – será preciso adaptar as Universidades à necessária distância social, reduzindo turmas e redistribuindo espaços e tempos de permanência nas instalações, permitindo que os alunos que pertencem a grupos de risco, ou que habitam com pessoas nessas circunstâncias, possam permanecer mais resguardados. Acontece que, ao contrário do que vimos suceder com a tecnologia, os recursos humanos e físicos não crescem de um dia para o outro: não é possível dobrar ou triplicar o número de professores, não é possível dobrar ou triplicar os espaços. Em suma, há limites objetivos à possibilidade de retornar ao modelo totalmente presencial de ensino num contexto de continuidade da pandemia.

Por outro lado, os tempos exigem que não se fique amarrado aos modelos antigos, agora meramente replicados para um ambiente remoto, online. Se a necessidade aguça o engenho, o ensino universitário pode agarrar a oportunidade para inovar, para protagonizar uma mudança de paradigma na criação de conhecimento e nos modos de aprender e ensinar.

Neste contexto, ganha protagonismo o modelo de educação mista, que conjuga o ensino presencial e à distância (blended learning, ou B-learning).

No próximo ano, se as Universidades seguirem uma aproximação muito conservadora ao B-learning, este não passará – mais uma vez – de uma adaptação do modelo presencial a alguns momentos online, replicando o trabalho que já era feito em sala de aula, com os mesmos manuais, slides e exposições de sempre. Mas fazê-lo seria desperdiçar a oportunidade que esta conversão ao digital proporciona. Não tem de ser mais do mesmo.

Num modelo em que predominam aulas presenciais, o B-learning abre a porta tanto à produção de novos conteúdos digitais (artigos em open access, podcasts, fóruns de participação…) quanto ao estabelecimento de parcerias universitárias para a lecionação remota por docentes internacionais (compensando a menor capacidade de mobilidade). Além disso, pode favorecer também um contacto mais estreito com os professores, por meio da divisão de turmas, proporcionando esquemas rotativos de aulas online e presenciais a grupos mais pequenos, com horários menos rígidos, ou até mesmo permitindo a readaptação dos programas num esquema tailor-made, indo ao encontro das necessidades e dos ritmos de cada um (desenhando-os, por exemplo, como se de playlists se tratassem, com momentos presenciais e outros à distância).

Mesmo que tenhamos de aderir – por força das circunstâncias – a um modelo de predomínio de aulas online, o B-learning pode constituir uma boa oportunidade para as Universidades. Em primeiro lugar, porque permite chegar a um público mais vasto, com a disponibilização de alguns conteúdos e avaliações totalmente online, para quem não tem a disponibilidade para a vida universitária e necessita de se atualizar ou progredir na carreira. Em segundo lugar, porque obriga a uma revisitação dos programas lecionados, em busca de novos métodos, que promovam mais a autonomia e o desenvolvimento do pensamento crítico. O B-learning pode favorecer, por exemplo, a inversão do método de aprendizagem – deixando de fora das aulas tudo o que não é interativo –, estimulando leituras e aprendizagens autónomas por parte dos alunos, de forma orientada, com acesso a bibliografia e materiais disponibilizados online, deixando o contacto com o professor e os colegas para discussão de temas e debate científico. Pode potenciar ainda o desenvolvimento de projetos individuais ou de grupo, devidamente acompanhados e supervisionados pari passu pelo professor, podendo isso refletir-se num aumento do número de publicações científicas.

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João Carlos Espada: "Almirante Vieira Matias: Uma homenagem pessoal"

A notícia da morte de Almirante Nuno Gonçalo Vieira Matias, no sábado passado, atingiu-me duramente, embora não com total surpresa. Visitara-o no Hospital Militar há poucos meses e percebera com tristeza que o seu estado de saúde era muito delicado. Recebia semanalmente os seus emails, por vezes também telefonemas, de resposta aos meus envios das minhas crónicas semanais neste jornal. E há algumas semanas que tinha deixado de receber as suas respostas. Temia por isso o pior. E o pior aconteceu neste passado sábado, pelas 07h55. Tendo conhecido pessoalmente o Almirante Vieira Matias em data relativamente recente (1996), posso apenas aqui deixar um sentido testemunho pessoal. Sobre o conjunto da brilhante carreira e obra de Almirante Matias, tomo a liberdade de remeter o leitor para a tocante e abrangente alocução de Almirante Alexandre da Fonseca, proferida em Novembro do ano passado na Sociedade Histórica da Independência de Portugal, reproduzida na mais recente edição da revista Nova Cidadania.

Recordo sem hesitação que o meu primeiro contacto com Almirante Vieira Matia89s ocorreu em 1996, por puro acaso, numa recepção na residência do Embaixador americano em Lisboa. Começámos a conversar por acaso, como é frequente neste género de eventos. Mas - o que já não é nada frequente - continuámos a conversar insistentemente e sem interrupção. Ao cabo talvez de uma hora, vozes amigas alertaram-nos para que devíamos tentar conversar com os outros convidados, em vez de ficarmos em intensa reunião a dois. Assim fizemos, contrariados, e trocámos rapidamente os nossos contactos. 

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Nota: Este artigo faz parte da versão exclusiva para assinantes do Observador.

Há três escolas de negócios portuguesas no ranking do FT. Uma é uma estreia

O ISEG Lisbon School of Economics and Management entrou pela primeira vez para os rankings do Financial Times (FT). Em comunicado, a universidade sublinha que a tabela do jornal económico britânico “destaca o ISEG por proporcionar uma duplicação do salário (+94%) em três anos”, bem como “colocam o ISEG como a melhor Business School em Portugal na relação custo-benefício (value for money), ao permitir aos estudantes uma recuperação muito rápida do investimento académico, e também na evolução da carreira, ao proporcionar o acesso a empresas de grande dimensão e uma promoção hierárquica mais acelerada”.

Clara Raposo, presidente do ISEG Lisbon School of Economics and Management, defende, em comunicado, que a integração da escola neste ranking “é um reconhecimento internacional há muito esperado, dada a qualidade ímpar da nossa formação, e que só agora é possível devido à recente obtenção de uma acreditação internacional de referência”. “O nosso Conselho Consultivo, que conta com elementos globalmente muito conceituados pela sua visão do mundo e é liderado pelo empresário Gilberto Jordan, é mais um fator diferenciador”.

Por outro lado, Mestrado de Finanças da Católica Lisbon School of Business & Economics a 26º melhor posição mundial. O Mestrado em Finanças da Católica ocupa 16.ª melhor escola do mundo na progressão de carreira dos seus graduados. Filipe Santos, Dean da Católica-Lisbon, defende em comunicado que “é uma honra ter o nosso Mestrado em Finanças entre os 26 melhores do mundo, sendo uma das 16 melhores escolas do mundo na progressão de carreira dos graduados em Finanças”. “Somos ainda a escola portuguesa que melhor corresponde às expetativas dos nossos alunos, com os professores mais internacionais e uma investigação de excelência. Continuaremos a nossa missão de receber os melhores alunos de toda a Europa para lhes proporcionar uma carreira em Finanças verdadeiramente internacional, com uma sólida formação ética, analítica, e de impacto positivo na sociedade”.

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Associações e Redes Internacionais

Reflexo da sua estratégia de internacionalização e da sua matriz católica, a UCP integra várias redes de cooperação internacionais e federações de universidades católicas.

São mais de 220 as Universidades Católicas que estão associadas na Federação Internacional das Universidades Católicas (FIUC), a mais antiga associação de universidades do mundo, fundada em 1924.

A reitora da Universidade Católica Portuguesa, Isabel Capeloa Gil, foi recentemente eleita Presidente da Federação Internacional das Universidades Católicas, tornando-se na primeira mulher na liderança desta instituição. A federação reúne as principais universidades católicas do mundo, nomeadamente o Boston College, a Georgetown University, a KU Leuven, a University of Notre Dame e a Università Cattolica del Sacro Cuore, de Milão.

A UCP pertence ainda ao grupo regional europeu da FIUC, denominado Federação das Universidades Católicas Europeias (FUCE).

Outras redes de cooperação internacional das quais a UCP é membro:

EUA - Associação das Universidades Europeias

AULP - Associação de Universidades de Língua Portuguesa

Global Federation of Competitiveness Councils

O aluno é o centro das atenções

Católica Porto Business School cultiva o sentimento de pertença junto dos alunos, alumni, professores, staff e stakeholders. A Católica Porto Business School é uma das escolas-modelo no ensino e na investigação em Portugal. A diferenciação desta escola de negócios, e o que distingue os programas que compõem a sua formação executiva, assenta na experiência de ensino proporcionada aos alunos, numa perspetiva holística, em que mais do que formar técnicos, se pretende "formar gestores para a vida, com competências muito para além das partilhadas em sala de aula", conta Ana Côrte-Real, associate dean para a Formação Executiva.

"E somos efetivamente reconhecidos como uma escola que coloca o aluno no centro das atenções. Distingue-nos, sem dúvida, o sentimento de pertença que cultivamos junto dos atuais alunos, dos alumni, dos professores, do staff, de todos os stakeholders da escola. É frequente ouvirmos os nossos públicos a referirem que na Católica se vive, e transpira, o espírito de família, bem como os valores e as crenças cristãs que fazem parte do nosso ADN, e que não são partilhados por outras instituições", assegura.

Ana Côrte-Real acrescenta que a Católica Porto Business School tem outro fator distintivo no mercado: as ligações corporativas estabelecidas e a forma como as integram no portefólio de programas e de atividades da escola, o que é importante para que a procura continue a crescer.

"Somos gratos, e orgulhosos, pelo facto de sermos fortemente apoiados pelos nossos parceiros corporativos, que estão sempre disponíveis para fazer mais pela escola e por nos ajudarem a alcançar a nossa missão, que visa melhorar a qualidade da gestão das empresas, e dos gestores."

Em síntese, prossegue a responsável: "Temos uma ligação às empresas ímpar, colocamos os nossos alunos no centro da nossa atenção, formamos os gestores numa perspetiva transversal e temos, em todos os programas, uma sólida aposta nas soft skills". Há ainda a qualidade do corpo docente, que é um "pré-requisito de uma formação executiva séria e de excelência".

Há ações de continuidade e novos programas

No que diz respeito a novos cursos na Católica Porto Business School, Ana Côrte-Real relembra que numa escola de negócios "é difícil que cada ano não seja um ano de mudança e, simultaneamente, de continuidade". "E, naturalmente, o atual contexto veio reforçar a necessidade de repensar o portefólio, as metodologias e de nos adaptarmos às necessidades das empresas. Neste sentido, temos ações e programas de continuidade, e temos novos programas, novos formatos e novas iniciativas."

Ana Côrte-Real concretiza: Neste 2020 já foi lançada a la edição do Curso Avançado em Gestão Comercial tendo como novo diretor o professor Carlos Jordana, da ESADE Barcelona. A escola lançou igualmente, a PG em Fiscalidade Avançada, no Funchal, em parceria com a Ordem dos Advogados e a Autoridade Tributária. Vai lançar uma pós-graduação em Marketing com especial foco no digital, e-commerce e no retail marketing; pretende relançar a PG em Gestão para Juristas, com novo diretor, uma atualização de conteúdos e em parceria com a Microsoft, concretamente no que toca a atribuição de uma bolsa de mérito. Está ainda previsto a 12ª edição da PG Gestão da Saúde no Funchal.

Fruto do contexto, a Católica Porto Business School criou uma nova oferta online no âmbito da qual Ana Côrte-Real destaca o programa Up Side, de mentoring da Walking Mentorship, que inclui oito sessões online de uma hora disponibilizadas em formato vídeo. Nestas sessões são propostos exercícios e objetivos para cada etapa ou caminhada digital, permitindo que, no final, os participantes consigam elaborar um plano de ação e de desenvolvimento pessoal e profissional. É um programa crucial como aposta, seja do ponto de vista individual ou como investimento das empresas junto dos seus colaboradores, de forma que nesta difícil fase as pessoas encontrem foco, definam prioridades, alinhem objetivos e criem um plano de ação pessoal, e profissional.

Também em parceria com a Dynargie a escola criou a oferta de três programas online que, sob o mote "Soft Skills a Click Away" de curta duração, abordam as seguintes temáticas: como conduzir reuniões onlines; como gerir equipas remotamente; e como criar apresentações virtuais com impacto, maximizando a influência da audiência.

Por último, foi lançado o Curso Geral de Fiscalidade, com uma duração de 40 horas; que ajudará a "desmistificar" a ideia de que as questões fiscais são apenas entendíveis por técnicos especializados naquele domínio.

Um MBA que promove a carreira

Um programa que se destaca na Católica Porto Business School é o MBA Executivo. Um profissional que investe neste MBA está a apostar num programa de “liderança transformacional, assente na aquisição de competências capazes de impactar na qualidade da gestão das empresas portuguesas e internacionais”.

“É uma oportunidade para se transformar o percurso de uma carreira, expandindo os horizontes numa perspetiva transversal. Esta oportunidade é conseguida através de um sólido programa de soft skills que permite o desenvolvimento do plano de carreira individual, receber feedback de desenvolvimento e reforçar as competências comportamentais de cada participante”, explica Ana Côrte-Real.

As candidaturas para a 16.ª edição deste MBA, com início esperado em setembro, encerram em agosto.

O MBA Executivo prepara para:

  • Compreender os três vetores que colocam os problemas da empresa em perspetiva: a eficiência, a gestão de risco, e a inovação;
  • Conhecer os desafios da gestão das empresas em fases distintas do seu ciclo de vida: numa start-up, nas empresas em fase de crescimento, scale-up e nas empresas maduras e complexas;
  • Reforçar o pensamento estratégico sob o prisma do paradigma dominante de criação de valor;
  • Compreender o papel da inovação nas empresas como uma resposta a alterações de contexto;
  • Adquirir “competências de gestão”, num espaço ordenado, isto é, modelo de ensino , de partilha de experiências e de iniciativas empresariais;
  • Ficar preparado para os diferentes papéis de liderança;
  • Passar a estabelecer um conjunto de relações profissionais e sociais entre os antigos alunos da ESADE e da Católica Porto Business School, e no âmbito do Clube de Empresas do MBA Executivo.

Município reconhece papel da Universidade Católica no desenvolvimento de Braga

O vereador Miguel Bandeira, que tutela o pelouro de Ligação às Universidades, reconheceu ontem o papel que a Universidade Católica Portuguesa, enquanto primeira instituição a estabelecer o ensino superior em Braga, tem desempenhado, ao longo dos anos, no desenvolvimento da cidade. As declarações foram proferidas durante a cerimónia de atribuição de um prémio à melhor aluna do Centro Regional de Braga da Universidade Católica, Mariana de Oliveira Pereira, que obteve a melhor classificação de acesso ao ensino superior.

«A cidade de Braga e a comunidade estão extremamente reconhecidos à instituição pelo papel e importância que desempenham, mas também porque antes de ser Universidade Católica desenvolveu a primeira oferta de ensino superior em Braga e isso é algo que a cidade não pode esquecer», disse. Foi Miguel Bandeira quem reconheceu «o hiato que havia pelo facto da Câmara de Braga não ter ainda reconhecido formalmente este facto», cabendo a esta «iniciativa simbólica sinalizar a importância de continuar a aprofundar e a estreitar relações em muitos projetos que fazem da Universidade Católica uma referência».

O vereador do pelouro de Ligação com as Universidades cumprimentou também a jovem premiada, pedindo a Mariana Oliveira que entendesse este prémio como «um incentivo, um estímulo», e desejando as máximas felicidades para a carreira da jovem como estudante e na sua vida ativa. O presidente do Centro Regional de Braga, João Duque, agradeceu à Câmara Municipal de Braga o facto de ter instituído este prémio especial, sobretudo pelo «simbolismo desta relação e pela parceria que tem sido possível manter entre o Município e a Universidade Católica nas mais diversas vertentes, e que nós gostaríamos de aprofundar, dentro do possível». «As Universidades há muito que deixaram de ser núcleos isolados. São uma parte importante da cidade e têm todo o interesse em dar o seu contributo para a cidade», afirmou João Duque.

Bolsa de 1500 euros

A bolsa atribuída, no valor de 1500 euros, foi instituída em 2017 mediante um protocolo estabelecido com o Centro Regional de Braga da Universidade Católica, com o objetivo de apoiar financeiramente alunos naturais e residentes no concelho de Braga, a frequentar esta instituição de ensino superior, e que tenham obtido a melhor classificação de acesso ao ensino superior.

«Este prémio é um estímulo e o reconhecimento do meu trabalho» Mariana Oliveira Pereira, a jovem distinguida com este prémio termina este ano o 1.º ano do curso de Psicologia, tudo indicando que, com a média de 18 valores. Segundo a jovem «o prémio representa o reconhecimento de todo o trabalho desenvolvido durante o ensino secundário», embora reconheça que nunca se focou nas notas, mas antes em aprender todas as matérias que lhe interessavam. «Claro que havia matérias de que eu não gostava tanto, mas conseguia ver a sua importância e empenhei-me de uma forma geral para aprender mais e não necessariamente para ter uma média mais alta. Acho que a minha média foi o reflexo do trabalho desenvolvido e da minha forma de pensar!», afirmou.

Mariana considera que este prémio será uma grande ajuda para o pagamento das propinas numa universidade que constituiu a sua primeira escolha. Com um percurso diferente, Mariana escolheu a área da Música na Escola Francisco de Holanda, em Guimarães, instituição onde frequentou o Ensino Secundário. Contudo, acabou por realizar um trabalho final sobre a música e as emoções, que a obrigou a efetuar um trabalho de pesquisa no domínio da Psicologia, trabalhando esse que a fez descobrir uma vocação, orientando a sua escolha. Visivelmente orgulhoso, o pai de Mariana, realça que a filha sempre foi uma aluna muito empenhada, e «ciente das suas responsabilidades». «O resultado está agora à vista», afirma o pai, considerando que «além do valor pecuniário, que ajuda, evidentemente, o mais importante é ela ser reconhecida pelo seu desempenho».

Universidade Católica Portuguesa vive «Ano Laudato Si», por um mundo mais inclusivo e responsável

A Universidade Católica Portuguesa (UCP) promoveu hoje o lançamento do Ano ‘Laudato Si’ na instituição, acolhendo assim o desafio lançado pelo Papa, no quinto aniversário da sua encíclica ecológica e social.

“O desafio do Papa Francisco é um desafio para que a Universidade questione também a forma como está a interagir com o espaço social, cultural, científico, e sobretudo, como o seu contributo participa na construção de um mundo melhor, mais inclusivo, mais responsável”, disse à Agência ECCLESIA a reitora da UCP, Isabel Capeloa Gil.

“Um mundo em que as pessoas sintam verdadeiramente que são parte da solução para construir pontes entre aqueles que têm maiores possibilidades económicas e os que não têm. De um mundo que não deixa ninguém para trás”, acrescentou.

A responsável destacou que os problemas que a universidade resolve “existem fora dos muros da instituição” e que a UCP quer ser uma “marca distintiva” da proposta católica na sociedade portuguesa, atenta aos problemas sociais, ambientais, éticos ou jurídicos.

Isabel Capeloa Gil entende que a visão do Papa Francisco vem desinstalar a ideia de uma universidade “virada para dentro”.

“A Laudato Si interpela-nos a ir mais além, a questionar as nossas próprias práticas”, assume.

Na celebração do Ano Laudato Si, que agora se inicia, nós vamos justamente questionar, fazer propostas e propostas que sejam de reformas e que tenham viabilidade real no mundo em que vivemos”.

A reitora da UCP sublinha que as questões levantadas pela ‘Laudato Si’, da ecologia à economia, passando pela espiritualidade, implicam uma prática “institucional” de transdisciplinaridade, com novos modelos, em vez de uma Academia “tecnocrática, hiperespecializada, mas que é, no fundo, profundamente limitada nessa especialização”

O padre José Manuel Pereira de Almeida, vice-reitor da UCP, sublinhou à Agência ECCLESIA que este é “um ano particularmente relevante para uma viragem”, para promover o “cuidado com a natureza, esta casa comum, e a atenção particular aos pobres”.

Em Portugal, observa o responsável, essa atenção está presente e a UCP não pode deixar de ser uma “interlocutora relevante” a respeito de uma encíclica muito bem acolhida, “sobretudo para lá das fronteiras da Igreja Católica”.

Para o vice-reitor da UCP, mais do que uma encíclica “verde”, a ‘Laudato Si’ é um documento da Doutrina Social da Igreja, com impacto nas Faculdades de Teologia, Economia, Direito e, sobretudo, na “interdisciplinaridade”.

“É uma oportunidade para levar a sério a oportunidade para transformar as práticas, a vida concreta, o estilo de vida, as opções, as prioridades”, acrescenta.

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Diretores das Unidades Académicas

Cada unidade académica é administrada normalmente pelo Diretor, pelo Conselho de Direção e pelo Conselho Científico.

Lisboa

Diretora da Faculdade de Teologia: 
Prof.ª Doutora Ana Jorge
Diretor da Faculdade de Ciências Humanas: 
Prof. Doutor Nelson Ribeiro
Diretor da Faculdade de Direito: 
Prof. Doutor José Augusto Lobo Moutinho
Diretora da Escola de Lisboa da Faculdade de Direito: 
Prof.ª Doutora Ana Maria Taveira da Fonseca
Diretor da Católica Global School of Law: 
Prof. Doutor Miguel Poiares Maduro
Diretor da Católica Lisbon School of Business and Economics: 
Prof. Doutor Filipe Santos
Diretora do Instituto de Estudos Políticos: 
Prof.ª Doutora Mónica Dias
Diretora da Faculdade de Ciências da Saúde e Enfermagem: 
Prof.ª Doutora Ana Mineiro
Diretor do Instituto Superior de Direito Canónico: 
Prof. Doutor João Vergamota
Diretor da Faculdade de Medicina:
Prof. Doutor António Medina Almeida 

Porto


Diretor da Escola do Porto da Faculdade de Direito: 
Prof. Doutor Manuel Fontaine Campos
Diretor da Católica Porto Business School: 
Prof. Doutor João Pinto
Diretora da Faculdade de Educação e Psicologia: 
Prof.ª Doutora Raquel Matos
Diretor da Escola das Artes: 
Prof. Doutor Nuno Crespo
Diretora da Escola Superior de Biotecnologia: 
Prof.ª Doutora Paula Castro
Diretor-Adjunto da Faculdade de Ciências da Saúde e Enfermagem
Prof. Doutor Paulo Alves 

 

Braga


Diretor da Faculdade de Filosofia e Ciências Sociais: 
Prof. Doutor José Manuel Martins Lopes

 

Viseu

Diretor do Instituto de Gestão e das Organizações da Saúde: 
Prof. Doutor Paulo Pereira
Diretora da Faculdade de Medicina Dentária: 
Prof.ª Doutora Marlene Barros 
 

Nuno Moreira da Cruz: "Liderança em tempos de crise: o melhor e o pior na mesma semana"

Acredito profundamente que, sobretudo em momentos de crise, os líderes devem impor-se a si mesmo refletir sobre a pergunta: “Como quero que a minha liderança nestes tempos de crise seja lembrada?”

O verdadeiro teste à liderança tende a aparecer quando é preciso transmitir “más notícias” – especialmente quando se trata de proceder a reestruturações significativas da organização, o que quase sempre implica despedimentos.

Na semana passada, o mundo corporativo viu dois exemplos do melhor e do pior de Liderança Responsável em tempos de crise.

Num comunicado enviado a todos os 7500 funcionários espalhados pelo mundo, Brian Chesky, CEO e cofundador da Airbnb, explicou porque é que quase 25% dos seus colaboradores teriam de ser despedidos devido à crise do Covid-19. É difícil encontrar um melhor exemplo de transparência e honestidade num exercício tão difícil.

“Vou partilhar o máximo de detalhes possível sobre como cheguei a esta decisão, o que estamos a fazer para quem tem de nos deixar e o que vai acontecer a seguir”, escreveu, detalhando a seguir o processo que os levou a essa difícil decisão, desde a definição de um novo rumo estratégico, até ao plano minucioso de implementação.

Tratou-se, ainda, de um exemplo pouco frequente de inclusão. Normalmente, nestas situações acontecem duas mensagens diferentes: uma enviada para quem sai e outra para quem fica. Ele não o fez: enviou a mesma mensagem a toda a gente, deixando clara a importância de todos, saiam ou fiquem. Isto tem, implicitamente, duas mensagens muito poderosas: quem fica, entende o que pode esperar se alguma coisa correr mal e para aqueles que saem, fazem-no com a sensação de que são importantes, sentindo-se parte da família até ao último minuto (não é a sua competência que está em causa, são condições de mercado, com um efeito muito importante na auto-estima de cada um).

A parte da mensagem sobre o processo de tomada de decisão (“como abordámos as reduções”) é ainda um fantástico exercício de transparência: “Um conjunto claro de princípios e os nossos valores fundamentais de empresa nortearam este processo e a forma como decidimos”. Os princípios orientadores são claramente especificados na carta, desde a futura estratégia empresarial até ao compromisso com a diversidade.

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Serviço de Relações Internacionais

Com o objetivo de potenciar e coordenar atividades de mobilidade internacional, levadas a cabo pelas diversas Unidades Académicas e Centros, foi criado, em 1991 o Serviço de Relações Internacionais da Universidade Católica Portuguesa.
 

Os seus objetivos são:

  • Dinamizar a internacionalização da Universidade, promovendo atividades dirigidas a todas as Unidades Académicas;
  • Gerir as relações entre a UCP e as universidades estrangeiras e federações de universidades;
  • Contactar com instituições de âmbito internacional, com vista à prospeção, recolha e tratamento de informações sobre projetos nas áreas educativa, cultural e científica;
  • Divulgar, junto das suas unidades académicas e centros, os diversos projetos educativos, culturais e científicos de âmbito internacional que lhes possam ser relevantes;
  • Promover e coordenar o intercâmbio de docentes e alunos com universidades internacionais, nomeadamente no âmbito do programa Erasmus.
Candidatos Internacionais Estudantes de Mobilidade Programas de Mobilidade Study in Portugal Network Liberal Arts Curriculum Informações Práticas

Gabinete da Reitoria

Coordenadora das Relações Internacionais:
Dra. Graça Pereira Coutinho  
E-mail: gcoutinho@ucp.pt

Assistente - Relações Internacionais: Dra. Catarina Mendes
E-mail: camendes@ucp.pt

 

Universidade Católica Portuguesa

Reitoria (6.º piso do Edifício da Biblioteca Universitária João Paulo II)
Palma de Cima
1649-023 Lisboa, Portugal

Tel.: (+351) 217 265 838
Fax: (+351) 217 260 546

Horário:
09h00 - 13h00
14h00 - 18h00

Candidatos Internacionais Estudantes de Mobilidade Programas de Mobilidade Study in Portugal Network Liberal Arts Curriculum Informações Práticas

Gabinete da Reitoria

Coordenadora das Relações Internacionais:
Dra. Graça Pereira Coutinho  
E-mail: gcoutinho@ucp.pt

Assistente - Relações Internacionais: Dra. Catarina Mendes
E-mail: camendes@ucp.pt

 

Universidade Católica Portuguesa

Reitoria (6.º piso do Edifício da Biblioteca Universitária João Paulo II)
Palma de Cima
1649-023 Lisboa, Portugal

Tel.: (+351) 217 265 838
Fax: (+351) 217 260 546

Horário:
09h00 - 13h00
14h00 - 18h00

Alunos do secundário regressam às aulas: conheça os riscos

Nos últimos treze dias, as escolas prepararam o regresso dos alunos dos 11.º e 12.º anos. Houve visitas das autoridades de saúde, foram criados corredores para que quem entra e sai não se cruze, pensadas em soluções para as salas de aula pequenas (como o uso dos pavilhões gimnodesportivos). Foram dadas formações pela Força Aéreas aos assistentes operacionais para saberem como eficientemente desinfetar os espaços e preparado um manual que define regras de separação das turmas ou a frequência de limpeza.

Mas nem tudo ficou esclarecido ou é possível solucionar – os conselhos gerais da Escola Secundária Avelar Brotero (Coimbra) e do Agrupamento de Escolas Alberto Sampaio (Braga) pedem "a suspensão do regresso às aulas e dos exames nacionais". Diz o órgão da Alberto Sampaio: "As garantias de segurança dadas pela Tutela são manifestamente insuficientes, muito mais quando a relação "custo-benefício" se anuncia, no mínimo, duvidosa." Todos estão "expostos a riscos desnecessários", soma o conselho geral do Agrupamento de Escolas Romeu Correia, no Feijó (Almada). 

Eis algumas dúvidas manifestadas por membros da comunidade educativa:
 
1. Transportes Públicos
O conselho geral da Escola Secundária Avelar Brotero (Coimbra) considera que "parte" das orientações da Direção Geral dos Estabelecimentos Escolares (DGESTE) estão "distantes da realidade de muitas escolas". Um dos problemas apontados por esta comunidade escolar são as deslocações casa-escola-casa "desnecessárias, muitas delas em transportes públicos partilhados".

Essa também é uma preocupação manifestada por João Jaime Pires, diretor da Escola Secundária Camões, em Lisboa: "Independentemente de os alunos e pais terem confiança na segurança das escolas, na nossa cidade [andarão] de transportes públicos." E são jovens, gostam de se reunir no jardim em frente, conversar. Será difícil manterem as distâncias. 

Esta solução poderá também trazer problemas de ansiedade acrescida para quem vai realizar exames nacionais. "Este cenário vai ser muito difícil para todos. A escola transforma-se, por efeito dos cuidados sanitários que se têm de ter, mas há o risco de passar a ser um espaço concentracionário, lido e sentido pelos alunos num espaço de concentração, não podem ir ao recreio, não podem conviver, para irem almoçar têm de ir em turnos. Ninguém consegue viver assim", diz José Matias Alves, professor na Faculdade de Educação e Psicologia da Universidade Católica Portuguesa (Porto).

2. Higiene: quem e onde?
Ainda no início de maio já Paulo Guinote, professor e responsável pelo blogue 'O Meu Quintal', manifestava essa dúvida à SÁBADO: "Como é que se vai assegurar a desinfeção em escolas que, em período normal, têm problemas de funcionários para a limpeza?".

As dúvidas mantém-se na Avelar Botelho ou na Alberto Sampaio: os assistentes operacionais foram formados de modo "superficial e precipitado", escreveu o conselho geral da escola de Coimbra. "Existem sérias dúvidas quanto à existência de recursos físicos e humanos suficientes para a necessária desinfeção dos espaços escolares", sublinhou o órgão do agrupamento bracarence, referindo que as casas de banho são "poucas e com ainda menos lavatórios para higienização das mãos".

No Camões, que está em obras, as aulas estavam a ocorrer em mono-blocos e também aí eram poucas as casas de banho – o projeto para a reabertura passava por pedir WC portáteis à Câmara de Lisboa.

3. E se alguém for infetado?
"Em caso de infeção, mais do que previsível, não haverá equidade, na medida em que algumas turmas entrarão em quarentena, enquanto as outras continuarão presencialmente. Caso os professores sejam comuns, todas as suas turmas entram em quarentena", escreve o conselho geral da Alberto Sampaio.

4. Professores em modo presencial, à distância ou de baixa
No início do mês já a direção do Camões estava a receber as declarações das baixas de professores. "Vou ter muita dificuldade na disciplina de Português de 12.º ano e na de História", previa João Jaime Pires, que tem 44 professores acima dos 60 anos. A idade não é entendida como fator de risco, mas há também "muitos com diabetes ou questões cardíacas" e ainda os que têm filhos menores de 12 anos. Este diretor escolar sugeria que os professores titulares "continuassem remotamente a acompanhar os seus alunos, porque são eles que os conhecem os alunos".

"Há colegas que ponderam não regressar, pedindo baixa porque são de grupos de risco. É legítimo que tentem salvaguardar-se", diz André Pestana do Sindicato de Todos os Professores (STOP).

Outra dúvida de Paulo Guinote: "Os professores que tenham [turmas] do secundário e do básico, deixam de ir ao básico à distancia para ir ao secundário? Os horários sobrepõem-se. Uma colega dizia-me: 'Tenho 9.º, 10.º, 12.º e profisisonais. Se voltar, o que é que acontece?' Vão ter que ir buscar professores que não conhecem as turmas". A solução está prevista nas orientações da DGESTE de 5 de maio para os docentes que sejam de grupos de risco e estejam de baixa.

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Universidade Católica Potuguesa promove Virtual Open Day em Braga

A Universidade Católica de Braga promove hoje um ‘Virtual Open Day’, a partir das 17 horas, na plataforma Zoom.

Estudantes do ensino secundário, pais e encarregados de educação, professores e orientadores vocacionais são convidados a entrar e a interagir, para esclarecer virtualmente questões sobre temas como o acesso ao ensino superior privado e como conseguir uma bolsa de estudo. Além destas temáticas poderão encontrar-se com os coordenadores dos diversos cursos da nossa oferta formativa.

O link onde podem ser encontradas informações sobre a iniciativa é aqui.

Aprender português

Alunas na aula - UCP

A Universidade Católica Portuguesa oferece cursos de Língua Portuguesa, de curta duração, para estrangeiros. 

Pode obter mais informações junto do serviço de Relações Internacionais da Sede o do seu Centro Regional.


Lisboa - Sede

A Faculdade de Ciências Humanas oferece cursos semestrais de português para estudantes internacionais que frequentam a Universidade Católica Portuguesa.

Os cursos têm 4h30m por semana, distribuídas por duas sessões, e são creditados com 6 ECTS.

Para mais informações sobre os cursos, contacte, por favor, c.santos@ucp.pt

Níveis: Português para Principiantes, Português Intermédio e Português Avançado.

 

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Centro Regional do Porto

A oferta formativa do Centro Regional do Porto inclui dois cursos de Português para estrangeiros:

O primeiro pretende dar um conhecimento básico da língua portuguesa, enquanto o segundo, coordenado pela Dr.ª Helena Gil da Costa, abrange uma componente mais cultural.

Para esclarecer dúvidas poderá pedir informações junto do Serviço de Relações Internacionais no Porto.

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Centro Regional de Viseu

O Centro Regional de Viseu dispõe de Cursos de Português para estrangeiros, sendo este programa coordenado e lecionado pela Prof.ª Doutora Filomena Capucho.

Para obter mais informações deverá contactar a Dr.ª Maria da Luz Sá ou dirigir-se ao Gabinete de Relações Internacionais.

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Aumenta o número de cursos com desemprego zero

Em Portugal, há 68 cursos e mestrados integrados sem registo de desempregados no Instituto do Emprego e Formação Profissional (IEFP), mais cinco formações do que no ano anterior.

Os dados, disponíveis no portal Infocursos, revelam a percentagem de recém-diplomados registados como desempregados, mas não especificam se encontraram trabalho na área em que se formaram.

A taxa de desemprego, apresentada pela Direção-Geral de Estatísticas da Educação e Ciência (DGEEC), teve em consideração os diplomados entre os anos letivos de 2015/16 e 2018/19, apresentado uma média e não apenas os valores de um ano letivo.

Quais são os cursos com menos desempregados?

 

Entre os 68 cursos com desemprego zero, mais de metade são lecionados em universidades e politécnicos públicos.

Um total de 29 são lecionados em instituições de ensino privado, onde se destaca a Universidade Católica Portuguesa, com oito cursos, entre eles Teologia, Psicologia, Conservação e Restauro e Estudos Portugueses e Espanhóis, com todos os 562 recém-diplomados a trabalhar.

Quanto ao ensino público, a Universidade de Lisboa destaca-se com nove cursos na lista, entre eles Medicina, Arquitetura e cinco cursos de Engenharia do Instituto Superior Técnico. Os 2.575 alunos que se formaram estão todos a trabalhar.

Ler artigo completo aqui.

Categorias: A Católica

Sondagem mostra que 66% acredita que vem aí mais austeridade

"Este não é um momento para a austeridade." A declaração é de António Costa - de 3 de Julho, logo após a aprovação do Orçamento Suplementar - e é uma entre muitas que o Governo tem feito para afastar a ideia de que, com esta crise, chegarão mais impostos ou cortes na despesa. Mas a mensagem parece não estar a passar. Uma sondagem à população revela que a grande maioria dos inquiridos acredita que nos próximos dois anos a receita da austeridade é certa, com o pessimismo sobre a situação da economia nesse período a pintar um quadro negativo sobre o que os portugueses esperam.

De acordo com o inquérito feito pelo Centro de Estudos e Sondagens de Opinião (CESOP) da Universidade Católica Portuguesa para o PÚBLICO/RTP, 66% do total de pessoas inquiridas (1217), entre os dias 13 e 17 de Julho, acreditam que haverá mais austeridade nos próximos dois anos. Longe da segunda resposta mais dada, em que 24% consideram que será igual.

Ler artigo completo aqui.

Nota: Este artigo faz parte da versão exclusiva para assinantes do Público.

X Lisbon Summer School da FCH-Católica debate ecocultura no futuro pós-pandemia

A Lisbon Summer School for the Study of Culture, uma iniciativa do Lisbon Consortium da Faculdade de Ciências Humanas da Universidade Católica Portuguesa, está de regresso entre os dias 6 e 11 de julho. 

A edição deste ano de 2020 será dedicada ao tema “Ecoculture” e decorrerá, pela primeira vez, em formato online devido à pandemia do COVID-19.

“O tema não podia ser mais pertinente. Numa altura em que se debate os efeitos da pandemia de COVID-10 sobre o meio ambiente, a Summer School será dedicada à reflexão sobre a inter-relação entre cultura e meio ambiente, examinando a crescente consciência do impacto negativo das atividades humanas. Mais do que nunca importa discutir a necessidade de repensar, reconceptualizar e redefinir a relação entre humanos e o mundo não humano” afirma Diana Gonçalves, Diretora Académica do Lisbon Consortium e Coordenadora do Mestrado em Estudos de Cultura.

Os oradores que estarão presentes, destaca-se Lawrence Buell, prestigiado académico da área da literatura americana e da ecocrítica da Harvard University e autor de obras seminais como Literature and Environment (2011), The Future of Environmental in Criticism (2005) e Writing for an Endangered World: Literature, Culture and Environment in the United States and Beyond (2001), Buell trará uma reflexão sobre uma escocultura pós-pandemica.

Ariel Salleh abrirá a Summer School com uma palestra sobre ecofeminismo, uma das suas áreas de investigação, Viriato Soromenho-Marques sobre valores sociais no presente momento de crise ambiental, e ainda, Vera Mantero que mostrará a sua obra “O Limpo e o Sujo”.

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José António Tavares: "A nossa responsabilidade no sucesso da vacinação contra a Covid-19"

Há um ano, ninguém supunha que estariam para vir tempos tão desoladores… Para além da lamentável e irreparável perda de vidas humanas, a pandemia veio acentuar as preexistentes lacunas sociais, económicas e na saúde, já de si tão preocupantes. E ninguém passou incólume. Ao longo dos últimos meses, de uma forma mais directa ou menos directa, umas pessoas mais, outras menos, toda a gente foi afectada pelo vírus SARS-CoV-2.

No processo de vacinação agora iniciado, não obstante não serem expectáveis efeitos indesejáveis fora do comum, importa que estejamos atentos; sabemos, hoje, que a administração da vacina contra a Covid-19 nas pessoas com tendência para desencadearem reacções anafilácticas graves deverá ser devidamente ponderada. Em boa verdade, sejamos realistas, não existe a vacina perfeita. Tampouco, o que habitualmente designamos por medicamento é totalmente isento de riscos. Ambos, num dado momento e em determinadas circunstâncias, podem ter efeitos indesejáveis. Estes, felizmente, são, regra geral, passageiros. Recordam-se, certamente, os caros leitores do aforismo: “A sociedade exige segurança e quere-a absoluta, embora esta nunca exista.” Todavia, as vantagens das vacinas são, sem qualquer dúvida, muito superiores aos seus inconvenientes. De facto, a História da Medicina tem demonstrado que os benefícios, quer dos medicamentos, quer das vacinas, superam largamente os riscos que, porventura, deles possam advir.

Lograr disponibilizar uma vacina de qualidade, segura e eficaz contra a Covid-19, num tão curto intervalo de tempo, foi um feito notável. Atente-se no facto de que o desenvolvimento de uma vacina demora, em média, 8 a 10 anos.

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Artigo científico do dean da Católica-Lisbon é um dos mais citados do Google Scholar

Filipe Santos, dean da Católica Lisbon School of Business & Economics,venceu este ano do prémio da década pela Academy of Management, a revista científica mais prestigiada do mundo para investigação teórica em gestão com o artigo científico “When worlds collide: the internal dynamics of organizational responses to conflicting institutional demands”, escrito em coautoria com Anne-Claire Pache e publicado em 2010 na Academy of Management Review.

O artigo científico já recebeu mais de 1.600 citações no Google Scholar, o que o torna num dos artigos mais citados do mundo.

Neste artigo, os autores explicam de que forma as organizações modernas se confrontam com um contexto institucional cada vez mais complexo. Como podem as organizações responder a pressões simultâneas para maximizar lucros, responder aos desafios ambientais e societais, respeitar normas profissionais, proteger dados pessoais, promover modelos de inovação aberta, entre muitos outros?

No documento, os autores defendem que a resposta estratégica de cada organização irá depender da própria dinâmica interna destas forças de pressão, podendo levar a situações de intenso conflito e mesmo dissolução da organização.

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Joana Domingues: "Liderança em 2021? Um ponto de vista é a vista de um ponto"

Escolho acreditar que a maior parte das pessoas quer crescer, ser competente e contribuir. Talvez por usar essa "lente", tendo a ver pessoas que querem contribuir e interesse nos seus pontos de vista. Na minha experiência de coaching a equipas de gestão, cada membro traz diversidade sobre o que pensa faltar à equipa: prioridades comuns, decisões mais ágeis, partilha de dificuldades, foco nos clientes, desenvolvimento das pessoas ou inovação.

Cada contribuição acrescenta um ponto de vista e, podendo trazer tensões, tende a complementar o todo. Mas muitas vezes, até chegarmos, algumas dessas visões não foram expressas ou escutadas no grupo, e ficam por aproveitar. A diversidade dos nossos contributos vem do que nos torna pessoas únicas, no que é visível (género, cor de pele, etnia, idade, ...) e invisível (origens, percursos, formas de absorver informação, resolver problemas, comunicar, ...).

Mas só tiramos pleno partido dessa diversidade quando há inclusão - quando as pessoas se sentem suficientemente valorizadas e seguras para expressar visões diferentes e falar de assuntos difíceis sem receio de penalização.

Muitos estudos têm afirmado o valor da diversidade e da inclusão. Equipas que incluem diferentes pontos de vista ou estilos de pensamento (diversidade cognitiva) resolvem problemas complexos novos mais rapidamente e produzem mais propriedade intelectual e de melhor qualidade, como patentes. Equipas mistas em género tendem a gerir melhor conflitos e a maximizar a criatividade entre os seus membros.

Organizações mais diversas e com culturas mais inclusivas têm maior probabilidade de atrair e reter talento, de inovar a sua oferta de produtos e serviços e de ter uma reputação de maior responsabilidade junto dos seus consumidores. Vários estudos apontam correlações positivas com retornos financeiros superiores. Apesar dos seus benefícios, a diversidade e a inclusão encontram múltiplos obstáculos, entre eles alguns dos nossos automatismos de sobrevivência. Tendemos a sentir mais segurança com pessoas parecidas connosco e a confirmar crenças que já tínhamos. Estes automatismos poderão ter-nos ajudado a sobreviver a tribos inimigas e a decidir depressa se lutar ou fugir de um predador. 

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Bélgica

O excesso de ruído nos debates ainda rende?

Aí estão os debates das presidenciais, dois a três por dia, em vários canais que, entretanto, se desdobram em debates sobre os debates. Tem havido debates para todos os gostos, mais agrestes e mais suaves, mel e fel escorrem no ecrã. Quanto mais me debates mais gosto de ti?

Esta emissão do magazine dos domingos (gravada na teve um convidado especial, o jornalista free-lancer André Cunha, cuja pegada está associada a muitos momentos luminosos da história desta Rádio.

Ele e a comentadora residente Rita Figueiras, professora de Ciências da Comunicação e de Comunicação Política da Faculdade de Ciências Humanas da Universidade Católica Portuguesa reflectem sobre o que fica dos vários confrontos, entre forma e fundo. Marcelo dizendo a Ventura: "A minha direita é a social, a sua é a do medo". E Ventura exibindo a foto de Marcelo com moradores do bairro da Jamaica aos quais chamou "bandidos". Marcelo, em resposta: "Não divido os portugueses em puros e impuros".

Tiago Mayan Gonçalves chamando ao actual presidente "ministro da propaganda do governo"; Ventura atropelando João Ferreira num debate que a moderadora considerou "em roda livre".

O excesso de ruído ainda rende? No debate com André Ventura, Tino de Rans levou pedras do mar. Pedras de várias cores que ele próprio recolheu na praia. Não as arremessou, usou-as como metáfora para lembrar que "o mar não traz só pedras, também traz pessoas de todas as cores. E há muita gente que vem por esse mar à procura de um terreno firme. Mas há quem os receba criando muros".

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História, Atualidade e Futuro: 30 anos a criar valor para a sociedade

Em 1990, pouco mais de duas dezenas de investigadores davam os primeiros passos na descoberta de soluções para os desafios agroalimentares da época. Hoje, os investigadores do Centro de Biotecnologia e Química Fina (CBQF) da Escola Superior de Biotecnologia da Universidade Católica Portuguesa já ultrapassam as duas centenas.

A 24 de novembro de 2020 o CBQF, no Porto, marca o início das celebrações de um percurso de 30 anos a desbravar os caminhos da Ciência.

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Nota: Para consultar este artigo na íntegra deverá fazer log in no website do Público.

Joana Santos Silva: "Este país não é para velhos (e para os novos também não)"

No início desta pandemia falou-se muitas vezes na vida ou no bolso. Na saúde ou na economia. Na realidade elas são indissociáveis. Não se pode comprar saúde, mas pode-se investir nela e provavelmente o melhor sítio para começar é através da educação. Na esperança de que o país seja para velhos, novos e todos os outros.

Tenho para mim que a base de qualquer sociedade assenta em dois pilares fundamentais para o desenvolvimento: a educação e a saúde.

Por um lado, existe uma quantidade significativa de estudos que demonstram a relação entre o nível de educação e formação e a produtividade económica e capacidade competitiva das nações.

Por outro, a educação e a saúde estão intimamente ligadas. Tem-se mostrado que indivíduos com mais formação beneficiam de melhor saúde e de hábitos e comportamentos mais saudáveis. A educação é um mecanismo essencial para melhorar a saúde populacional, pois diminui a necessidade de acesso a cuidados e respetivos custos e melhora a qualidade de vida quer a nível individual, quer a nível populacional.

E porque é que isto é fundamental? Porque vivemos num país com recursos dedicados à saúde e à educação limitados. Vivemos num país que sofre um desinvestimento crónico nestas duas áreas. Temos orgulho na esperança média de vida da nossa população, mas raramente discutimos a iniquidade dos dados de forma mais granular.

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Rosário Pinto Correia: "Keep it simple!"

Todos somos, mesmo que não o reconheçamos, puxados em varias direções por várias marcas que falam connosco ininterruptamente e com as mais variadas e atraentes promessas. Levar as pessoas a fazer aquilo que as marcas querem que elas façam. É esta a essência do trabalho dos marketeers. E, dito assim, parece mesmo simples!

Mas se pensarmos em tudo o que tem de ser decidido para que este processo de manipulação funcione... a história complica-se! Conhecer as pessoas com quem falamos e o que de facto querem. Encontrar o que lhes podemos dizer para que escolham a nossa marca versus todas as outras em que podem aplicar os seus recursos ... ou como os podemos levar a querer o que nem sonhavam que queriam; Saber até onde podemos levar a marca, para que a promessa formulada seja entregue.

Garantir que o que prometemos não esteja para lá daquilo que define (e limita) a marca aos olhos das pessoas a quem nos dirigimos. Ter noção de até onde a podemos alterar para chegar mais perto do que as pessoas possam querer ... sem deixar de ser quem é; Perceber como podemos gerir todas as interações das pessoas com a marca, que a recordação que dela fica e a satisfação que do seu uso decorra seja otimizada. Sabendo que estas interações podem ser objetivas ou subjetivas, de performance, de serviço ou apenas de afeto, diretas ou indiretas, totalmente controláveis ou menos controláveis ...

Cruzar os recursos de que dispomos com as variadíssimas necessidades de utilização que encontramos quando procuramos caminhos. Ter a capacidade de selecionar os caminhos que maior efeito produzem sobre a rentabilidade da marca e a eles afetar os recursos. Já não é pouco. Agora, somemos a tudo isto a necessidade de fazer chegar a mensagem que escolhemos às pessoas que queremos puxar para nós. E é aqui que a simplicidade tem de ser rainha!

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Católica-Lisbon tem novo clube para aproximar investidores da comunidade académica

A Católica-Lisbon tem um novo Investor In Residence, Pedro Cerdeira, e acaba de lançar um novo clube de alunos para aproximar os investidores da comunidade académica, o Venture Capital Club. Chama-se Pedro Cerdeira e é o novo Investor In Residence da Católica-Lisbon que tem como principal função apoiar as equipas e projetos empreendedores da instituição de ensino na sua jornada para angariar investimento, apoiando com mentoria e financiamento numa fase pre-seed.

Pedro Cerdeira, junta-se assim a Sílvia Almeida do BAUC (Business Angels Universidade Católica), a primeira Investor In Residence da Católica-Lisbon. Pedro Cerdeira tem mais de 25 anos de experiência no mercado de Tecnologia da Informação Empresarial, tendo ocupado diversos cargos no desenvolvimento de negócios internacionais, gestão de vendas e alianças e gestão de canais em empresas como Oracle, Brocade, EMC2, Compaq / HP, Alcatel e Accenture.

"É ativo e apaixonado pelo ecossistema de start-ups, como business angel, mentor (TechStars, Startup Lisboa, BGI, Demium), European Union Expert, Denmark Innovation Fund Advisor e membro do conselho de administração da APBA - Associação Portuguesa de Business Angels Fundador e diretor administrativo da Businessplug.com, apoiando startups, investidores e corporações para escalar e desenvolver negócios internacionalmente", explica a instituição de ensino em comunicado. O Venture Capital Club é outra das novidades da Católica-Lisbon.

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Daniela Silva: "Casa dividida contra si mesma"

Vivemos numa sociedade tão confiante no potencial pacificador dos valores e instituições ocidentais que a violência macabra no ambiente doméstico é para nós particularmente abominável. Mas que sementes persistem na origem deste mal?

Olhando para Portugal, os meios de comunicação têm transmitido informações perturbadoras de violência doméstica, tanto por indicação de denúncias como de número de homicídios. É ainda sugerido que a situação se agravou nos períodos de confinamento que terão deixado as vítimas mais vulneráveis aos agressores. Essa hipótese merece a nossa reflexão, mas como qualquer questão que atinja a família, tem de ser compreendida de forma sistémica, relacional e no seu devido contexto.

Em primeiro lugar, o aumento do número de denúncias pode ser alarmante à primeira impressão, mas pode eventualmente ser um sinal positivo, quer pelo maior acesso a informação, quer pela maior consciência e coragem das vítimas. Em segundo lugar, a sensibilização pública costuma focar-se quase exclusivamente nas vítimas do sexo feminino e na violência entre o casal, mas existem factores que espoletam diversos tipos de violência e que podem vitimizar qualquer membro da família. Se já há décadas nos deparamos com os problemas da solidão e abandono agravados pelas condições da vida pós-moderna e urbana, num ano marcado por confinamentos, distanciamento social, decréscimo de rendimentos e ansiedade, essas situações de solidão ganharam novas proporções. Os idosos sentiram estas condições de forma crua, sobretudo se experimentaram um internamento longo, incerto e solitário.

E quantos não terão sido negligenciados pelas próprias famílias, por motivos financeiros ou de carácter? Essa é uma resposta muito mais difícil de verificar e denunciar. O que nos leva a uma distinção essencial em matéria de violência: a física ou visível, mais denunciada e comprovável; e a violência psicológica ou invisível, que se perpetua discreta e que corrói as relações familiares, deixando danos de longo prazo. A violência física é mais proeminente de homens contra mulheres, até por razões biológicas. Já a violência psicológica é menos linear e tanto pode ser perpetrada pela mulher contra o homem, como, por exemplo, de pais contra filhos, ou de filhos contra pais.

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Os cursos que ensinam a gerir negócios do luxo

A relojoaria e a joalharia são muito mais do que adornos na formação executiva em Portugal. A última edição do Programa Executivo de Gestão do Luxo da Católica Lisbon School of Business & Economics, terminada há pouco, dedicou a sua última master class ao mundo das pedras preciosas. No ISEG, a outra escola de formação de executivos que aposta fortíssimo nesta área, o Luxury Brand Management Executive Course teve como parceira numa das primeiras edições a Boutique dos Relógios Plus. Helena Amaral Neto, coordenadora do programa do ISEG, e Mónica Seabra-Mendes, diretora do programa da Católica-Lisbon, são nomes incontornáveis da formação na área da gestão do luxo.

Os programas que lideram são diferentes um do outro e afirmam-se entre segmentos diferenciados, mas têm em comum o primado da qualidade. Relojoaria e joalharia são centrais no curso da Católica-Lisbon, que em 2021 celebra uma década. “Damos tanta atenção a estes sectores que lhe dedicamos um dia de imersão total no Programa, para conhecer mais a fundo este mundo tão fascinante”, revela Mónica Seabra-Mendes. No sector da Joalharia, esta business school já formou muitos profissionais, inclusive ao nível dos dirigentes associativos, com um espectro alargado que vai desde o designer, ao retalhista e ao proprietário do negócio.

“Fizemos, inclusive, uma formação específica para o sector da Joalharia e Ourivesaria em Portugal”, salienta. Os dois sectores são por excelência passíveis de ser posicionados no luxo, o que, exige “um conhecimento profundo do que é o luxo e de quais são as ferramentas particulares da gestão do luxo”. Portugal, explica a responsável da Católica-Lisbon, produz inúmeros produtos de alta qualidade, mas não pensa nem comunica luxo”. 

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João Carlos Espada: "Livros para o Natal (II)"

Felizmente, temos este ano vários livros portugueses de rara qualidade para oferecer e ler no Natal - e todos eles exprimem um pluralismo tranquilo, em marcado contraste com o primitivismo tribal.

Começo por uma obra académica de homenagem a uma grande académico: Manuel Braga da Cruz. O livro reúne mais de sessenta contributos - na forma de ensaios e de testemunhos - sobre a obra e sobre a personalidade marcantes do homenageado (Universidade Católica Editora, 2020). Manuel Braga da Cruz foi Investigador do Instituto de Ciências Sociais da Universidade de Lisboa, fundado pelo saudoso Adérito Sedas Nunes. Dirigiu a revista Análise Social durante mais de uma década, fundou e foi o primeiro presidente da Associação Portuguesa de Ciência Política, tendo ainda sido Reitor da Universidade Católica durante três mandatos (o primeiro reitor leigo, por sinal). A homenagem pessoal que lhe é agora prestada é acima de tudo uma homenagem à ideia perene de Universidade - como lugar da busca pluralista da Verdade, do Bem e do Belo - que Manuel Braga da Cruz sempre defendeu e de que foi exemplo inspirador.

Outra obra académica de relevo é História da Filosofia Política, (Editorial Presença, 2020), sob coordenação de João Cardoso Rosas, professor de Filosofia Política na Universidade do Minho. Como é referido na abertura, "pela primeira vez em Portugal, um grupo de [19] docentes e investigadores [de cinco instituições portuguesas e quatro estrangeiras] decidiu juntar esforços para elaborar de raiz uma História da Filosofia Política." O resultado foi um muito estimulante convite ao estudo da tradição pluralista ocidental de conversação a várias vozes, diferentes e muitas vezes rivais, - na comum procura da Verdade, do Bem e do Belo. Ainda no plano académico, mas também com dimensão ensaística, temos mais um notável livro de António Barreto: Três Retratos: Salazar, Cunhal, Soares (Relógio dÁgua, Junho/Setembro de 2020). É um livro que dá que pensar, como em regra é o caso com as obras de António Barreto. Aqui ficam as palavras finais: "Salazar baniu a liberdade. Cunhal utilizou-a. Soares cultivou-a. Dos três se dirá para todo o sempre que foram o que foram porque a população, o povo, os seus conterrâneos e as instituições o quiseram ou deixaram. Com medo ou com voto. Activa ou passivamente. Com obediência, resignação ou entusiasmo." 

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Nota: Este artigo faz parte da versão exclusiva para assinantes do Observador.

Áustria

Mensagem de Natal 2020

Veja a Mensagem de Natal de Isabel Capeloa Gil, Reitora da Universidade Católica Portuguesa

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A pandemia (ainda) não conseguiu matar o populismo

O aumento do populismo tem uma ligação direta a fatores económicos, sejam eles seculares, como o comércio e a automação, sejam aqueles que derivam de crises, de que foi exemplo o aumento do desemprego ou a austeridade associada à crise das dívidas soberanas. O argumento, citado pelos economistas Sergei Guriev, da Sciences Po, e Elias Papaioannou, da London Business School, no paper “The Political Economy of Populism”, publicado esta semana, não permite ainda respostas fechadas, mas dá algumas pistas sobre o impacto que a recessão económica que atinge o mundo, em consequência da pandemia, poderá ter na onda populista que atingiu a política mundial nos últimos anos. Porém, pela primeira vez na história recente, entra também na equação o fator “pandemia”, cuja capacidade de gestão e controlo dos governos terá peso na hora da escolha dos eleitores.

Da direita à esquerda, políticos populistas – alguns com tendências autoritárias – ascendiam em várias regiões do globo e sentavam-se à mesa para o xadrez da governança mundial, numa onda que ganhou força com a ressaca da crise de 2008. Irá a pandemia de Covid-19 matar o populismo porque os eleitores querem o regresso a políticos mainstream para gerir as crises, ou pelo contrário, agudizar a tendência? Segundo os especialistas consultados pelo Jornal Económico, a probabilidade é que a pandemia não dite o fim do populismo, podendo até levar ao seu exacerbamento.

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Nota: Este artigo faz parte dos conteúdos exclusivos para assinantes do Jornal Económico.

The Lisbon MBA e Galp juntam-se no International Consulting Lab

Os alunos do The Lisbon MBA desenvolveram um projeto de consultoria internacional, na sequência da iniciativa International Consulting Lab.

O The Lisbon MBA (uma joint-venture entre a Católica-Lisbon e a Nova SBE) estabeleceu uma parceria com a Galp para implementar o International Consulting Lab, uma iniciativa que permitiu que os alunos do The Lisbon MBA desenvolvessem um projeto de consultoria internacional.

O desafio partiu da Galp, que na sua estratégia de responder aos desafios climáticos e energéticos, rumo a uma economia de baixo carbono, desafiou o The Lisbon MBA para desenvolver um projeto de consultoria no mercado de combustíveis de baixo carbono no mercado brasileiro. Assim, os alunos do International MBA do The Lisbon MBA trabalharam em parceria com os alunos do MBA do INSPER, em São Paulo, Brasil. 

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Rui Soucasaux Sousa: "Retalho omnicanal em tempos de covid"

Hoje em dia, o consumidor pode comprar produtos de mercearia em supermercados físicos ou através da internet (recebendo os produtos em casa). O objetivo destes modelos é oferecer escolha e conveniência ao consumidor.

Nos últimos anos, o setor do retalho tem adotado modelos omnicanal, através dos quais oferece aos clientes a possibilidade de adquirirem os seus produtos ou serviços através de vários canais, tais como lojas físicas, internet ou telefone. Por exemplo, hoje em dia, o consumidor pode comprar produtos de mercearia em supermercados físicos ou através da internet (recebendo os produtos em casa). O objetivo destes modelos é oferecer escolha e conveniência ao consumidor.

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Nota: Este artigo faz parte da versão exclusiva para assinantes do Público.

Ser ou não ser transparente: uma questão que já não se coloca

Enquanto conceito multidimensional e maleável, sem uma definição universal, a transparência pode significar “tudo para todos”, materializando-se de formas muito distintas no vasto universo das Organizações de Economia Social.

A transparência é um conceito cada vez mais presente na realidade das Organizações de Economia Social, em Portugal e no mundo. Com o crescimento em número e visibilidade das Organizações de Economia Social em terras lusas, cresceu também o olhar atento perante as mesmas, tornando insuficiente para a sua legitimação o simples facto de terem uma missão que intitulam de “social”. 

Ler o artigo completo de Filipe Barros Pinto, docente na Católica Porto Business School e Isadora Freitas, investigadora na Universidade Católica Portuguesa no Porto aqui.

Nota: Este artigo faz parte da versão exclusiva para assinantes do Público.

Nuno Goulart Brandão: "Reformulação das metodologias de ensino"

Com quase 13 anos de experiência, a Escola de Pós-Graduação e Formação Avançada (EPGFA) da Faculdade de Ciências Humanas da Universidade Católica Portuguesa reúne a formação avançada para executivos, as pós-graduações, as formações à medida e os serviços de consultoria, actuando em diferentes áreas como a Comunicação Estratégica e Cultura Organizacional, Marketing de Conteúdos, Comunicação e Transformação Digital, Comunicação de Crise, Psicologia e Gestão de Pessoas, Filosofia, Economia e Empreendedorismo Social, Educação e Formação e Arte e Cultura.

Após um ano à frente da EPGFA, Nuno Goulart Brandão, coordenador da escola, faz um balanço claramente positivo deste período que permitiu «concretizar um objectivo muito importante na afirmação, na diferenciação e no desenvolvimento da escola», com uma abordagem inovadora e com a garantia de mais-valias significativas no campo académico e no desenvolvimento profissional dos formandos.

Este ano, «aumentámos a nossa oferta formativa em diversas áreas, onde sentíamos existir uma procura crescente e que se confirmava haver uma lacuna no mercado, e verificámos também um crescimento superior a 50% no número de alunos a frequentar os nossos programas» de pós-graduação e formação avançada. Com o objectivo de reformular as suas metodologias de ensino em contexto de pandemia, a oferta formativa da EPGFA para o ano lectivo 2020-2021, combina já programas leccionados em regime presencial com programas leccionados no modelo de ensino à distância. 

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Filipe Santos: "O que 2021 nos vai trazer (e o que o Governo deve fazer) "

A primeira quinzena de novembro trouxe-nos boas e más notícias, mas todas elas implicaram uma forte redução da incerteza global em que temos vivido e, finalmente, podemos antecipar como será o próximo ano e planear políticas sanitárias e económicas eficazes. Do lado negativo, em termos pandémicos, a incerteza sobre quando e com que severidade chegaria a 2ª vaga à Europa ficou resolvida no início de novembro - a 2ª vaga chegou mais rápido que o previsto e com uma severidade que ultrapassa as previsões mais pessimistas.

Se a situação na Europa é muito má, a situação nos Estados Unidos vai ser catastrófica nas próximas semanas com uma 3ª vaga avassaladora. Neste contexto pandémico agravado, a tão desejada recuperação económica em V que se começou a esboçar timidamente no 3º trimestre já não irá acontecer. Teremos, na melhor das hipóteses, quebras de 8% a 10% da atividade económica em 2020 e uma recuperação em W que se consolidará no final do 1º semestre de 2021.

Do lado positivo, novembro trouxe várias notícias importantes. A confirmação a 7 de novembro da vitória de Biden nas eleições presidenciais americanas reduziu a incerteza sobre a instabilidade geopolítica de um possível segundo mandato Trump ou de um resultado eleitoral ambíguo, prevendo-se agora um período de maior estabilidade e racionalidade na política interna e externa americana (apesar dos enormes desafios deste país no curto prazo).

As notícias de 9 e 16 de novembro sobre uma possível eficácia na ordem dos 90% da vacina Biontech/Pfizer e de 95% da vacina da Moderna fazem antever que vacinas eficazes estarão disponíveis já no início de 2021 para grupos selecionados da população, antevendo-se a distribuição maciça à população no 2º trimestre. Corno há muitas vacinas de tipos diferentes em desenvolvimento, e sete delas j á em estado avançado de validação clínica, mesmo que haja notícias negativas sobre algumas vacinas, haverá outras para as substituir.

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Durão Barroso identifica principais desafios da presidência portuguesa do Conselho da UE

A "grande questão" em debate é ter "uma Europa mais ou menos aberta", um "espaço económico" ou "uma potência política, baseada em valores", resumiu hoje, numa conferência em Lisboa, José Manuel Durão Barroso.

O ex-presidente da Comissão Europeia falava na qualidade de diretor do Centro de Estudos Europeus do Instituto de Estudos Políticos da Universidade Católica Portuguesa, que realizou hoje uma conferência que contou, como orador, com o primeiro-ministro, António Costa, para apresentar as grandes linhas da próxima presidência portuguesa da União Europeia (PPUE), que começa em 01 de janeiro do próximo ano.

Na qualidade de moderador da conferência, Durão Barroso concordou com a visão explicitada por António Costa sobre "o primado da política e dos valores".

Antes, o primeiro-ministro tinha, durante a sua intervenção, descrito o "debate essencial" que a União Europeia tem de "travar": "saber se a UE é sobretudo uma União de valores fundamentais ou se, pelo contrário, é sobretudo um instrumento económico para gerar valor económico".

É neste debate que está a resposta ao "obstáculo que está a ser criado" por Polónia e Hungria, concretizou Durão Barroso.

A aprovação do orçamento da UE para 2021-2027 e do Fundo de Recuperação foi bloqueada pela Hungria e Polónia, que discordam da condicionalidade no acesso aos fundos comunitários ao respeito pelo Estado de Direito.

Húngaros e polacos, sem força para vetar o mecanismo sobre o Estado de Direito, que necessita apenas de uma maioria qualificada para ser aprovado, vetaram então outra matéria sobre a qual não têm quaisquer reservas, a dos recursos próprios, que requer, esta sim, unanimidade, bloqueando todo o processo.

Perante professores e alunos da Universidade Católica Portuguesa, Durão Barroso recordou, na abertura da conferência, que Portugal tem "um bom registo de presidências" da UE.

Para Durão Barroso, uma presidência é sempre um "elemento essencial da apropriação da UE" pelos Estados-membros.

"Havia quem pensasse que era melhor não haver [esta rotação entre Estados-membros]. Eu continuo a pensar que é essencial que cada um dos nossos países [...] tenha, durante seis meses, a oportunidade de estar [...] na casa das máquinas da União Europeia", destacou.

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Costa admite solução de "geometrias variáveis" para o futuro da União Europeia

O primeiro-ministro afirmou, esta segunda-feira, que há uma divisão sobre o futuro da Europa entre Estados-membros que querem "valores comuns" e outros com uma ideia meramente económica, admitindo que a solução passará por "geometrias varáveis" de integração.

Esta posição foi transmitida por António Costa durante uma conferência na Universidade Católica, em Lisboa, sobre o plano da presidência portuguesa do Conselho da União Europeia no primeiro semestre no próximo ano.

De acordo com o líder do executivo, na presidência portuguesa da União Europeia, terá início um momento que se irá desenvolver até ao fim de 2022: A conferência sobre o futuro da Europa.

Neste ponto, o líder do executivo português considerou que o caminho mais complexo e menos eficaz seria optar por uma reforma profunda do Tratado de Lisboa de 2007, já que "continua a ser uma base suficientemente versátil".

"No entanto, há hoje um debate de fundo na União Europeia que temos de travar, não em torno de uma visão regionalizada como no passado se fez entre Norte e Sul, ou Leste e Oeste, mas em relação à verdadeira dicotomia que existe na União Europeia, que se expressa em debates como o Estado de Direito, política de migrações ou sobre a forma como se traduz a solidariedade em momentos de crise económica e social como o atual", disse.

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Rita Figueiras: "Desafios da Geração Z"

Rita Figueiras, professora da Universidade Católica Portuguesa (UCP) e investigadora na área da comunicação, em entrevista à Ecclesia, destacou que são os contextos que "dão sentido e significado à tecnologia", falando do seu impacto na chamada "Geração Z", sem memória do pré-internet.

"Cresceram num ambiente em que o digital e todas as tecnologias potenciam a interação, em escala mais reduzida -, de um para um -, de um para muitos e de muitos para muitos, em simultâneo. São tecnologias mais envolventes e reclamam mais de cada um", assinala a entrevistada na edição de hoje nas Conversas Originais, um projecto da Agência ECCLESIA que decorre ao longo do mês de setembro.

Segundo a especialista, os atores deste processo são tanto os jovens como as empresas digitais, que limitam possibilidades de comunicação pela arquitectura das plataformas. 

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Gonçalo Saraiva Matias: “O ensino do direito em Portugal era muito conservador e pouco internacionalizado”

Gonçalo Saraiva Matias, co-presidente da Law School Global League, esteve à conversa com a Advocatus sobre a abertura da nova sede da associação em Portugal, na Universidade Católica Portuguesa. Para Saraiva Matias, a “atratividade de Lisboa” foi um fator para a aposta em Portugal e o ensino no país deixou de ser conservador e pouco internacionalizado devido à “nova geração de investigadores”.

A Law School Global League é uma associação internacional das escolas de direito e tem como principal objetivo promover o debate académico sobre as mais diversas questões do Direito Internacional, bem como incentivar a cooperação entre faculdades de diferentes países ao nível da investigação.

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Pedro Garcia Marques: "A morte que nos espera"

Com a imposição da medida regulamentar impeditiva de livre circulação das pessoas, fora de uma situação de estado de emergência, sem necessidade de argumento ou razão válida e convincente, algo morre.

No próximo Domingo não poderemos visitar os nossos. Não poderemos ir ao seu encontro e honrá-los. Não poderemos, junto deles, a sua memória recordar. Aí, a hora mansa feita de "emoções recordadas na tranquilidade" (Wordsworth) não nos será autorizada.

Aí, na verdade, não poderemos estar. Nesse dia, caro poeta, afastados da vida que brota do teu verso, corpos seremos apenas. Nada mais. Para que vivamos, dizem. Mas que vida é essa que nos é permitido viver? A resposta está na boca de milhares que, hoje, atrás de cada porta, a cada canto, buscam uma voz que reconheçam. Daqueles muitos que anseiam, em vão, por um toque familiar. Daqueles que esperam e esperam. E a esperar, com Miguel Torga, permanecem "a ouvir o silêncio". E, de novo com ele, "Nada! O mundo emudecera". 

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Obras de arte de Serralves vão estar mais acessíveis. Não vão para a rua mas para universidades

Studentato, um termo italiano para a vida de estudante, não só académica como interdisciplinar, de trocas de experiências e de encontro, serve de mote para o encontro entre o mundo académico e o vasto universo da cultura. Para a Fundação de Serralves, salienta a curadora Joana Valsassina, a exposição enunciada com sonoridade latina concretiza uma "aproximação", que já se iniciara "antes deste contexto que estamos a viver": ter a cultura e a arte no quotidiano da vida académica.

Retomar o ritmo dos dias é fazer renascer "a arte da vida, embora haja tanto desencontro pela vida", uma lição que Vinícius encetou e nesta altura se revela ainda mais premente. Joana Valsassina considera que esta foz que entrelaça cultura e academia contribui para "marcar o regresso dos estudantes, depois de uma ausência prolongada".

A Federação Académica do Porto assinala que a parceria com a Fundação Serralves, para reunir o espólio e fazê-lo imergir nas instalações das Faculdades de Economia, de Engenharia, do Instituto Superior de Engenharia do Porto e da Universidade Católica Portuguesa, é uma forma de "fornecer oportunidades aos estudantes". Marcos Alves Teixeira defende a necessidade de trazer a cultura para um lugar de indispensabilidade, sobretudo quando as carteiras das famílias foram largamente afetadas pela crise pandémica. E esse compromisso pode começar na academia, substancia. "O confinamento já nos tirou muito, e sabemos que os jovens sofreram um impacto muito grande, também em termos de saúde mental."

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Categorias: Escola das Artes

Proteção de Dados Pessoais

O Regulamento Geral de Proteção de Dados (RGPD) estabelece as regras relativas à proteção das pessoas singulares no que diz respeito ao tratamento e à livre circulação dos seus dados pessoais.

Legislação

Relativo à proteção das pessoas singulares no que diz respeito ao tratamento de dados pessoais e à livre circulação desses dados e que revoga a Diretiva 95/46/CE (Regulamento Geral sobre a Proteção de Dados).

Regulamento Geral da Proteção de Dados

 

Assegura a execução, na ordem jurídica nacional, do Regulamento (UE) 2016/679 do Parlamento e do Conselho, de 27 de abril de 2016, relativo à proteção das pessoas singulares no que diz respeito ao tratamento de dados pessoais e à livre circulação desses dados.

Aprova as regras relativas ao tratamento de dados pessoais para efeitos de prevenção, deteção, investigação ou repressão de infrações penais ou de execução de sanções penais, transpondo a Diretiva (UE) 2016/680 do Parlamento Europeu e do Conselho, de 27 de abril de 2016.

Orientações/Recomendações (atualizado em 15.novembro.2020)

Definições

«Dados pessoais», informação relativa a uma pessoa singular identificada ou identificável («titular dos dados»); é considerada identificável uma pessoa singular que possa ser identificada, direta ou indiretamente, em especial por referência a um identificador, como por exemplo um nome, um número de identificação, dados de localização, identificadores por via eletrónica ou a um ou mais elementos específicos da identidade física, fisiológica, genética, mental, económica, cultural ou social dessa pessoa singular.

«Tratamento», uma operação ou um conjunto de operações efetuadas sobre dados pessoais ou sobre conjuntos de dados pessoais, por meios automatizados ou não automatizados, tais como a recolha, o registo, a organização, a estruturação, a conservação, a adaptação ou alteração, a recuperação, a consulta, a utilização, a divulgação por transmissão, difusão ou qualquer outra forma de disponibilização, a comparação ou interconexão, a limitação, o apagamento ou a destruição.

«Definição de perfis», qualquer forma de tratamento automatizado de dados pessoais que consista em utilizar esses dados pessoais para avaliar certos aspetos pessoais de uma pessoa singular, nomeadamente para analisar ou prever aspetos relacionados com o seu desempenho profissional, a sua situação económica, saúde, preferências pessoais, interesses, fiabilidade, comportamento, localização ou deslocações.

«Pseudonimização», o tratamento de dados pessoais de forma que deixem de poder ser atribuídos a um titular de dados específico sem recorrer a informações suplementares, desde que essas informações suplementares sejam mantidas separadamente e sujeitas a medidas técnicas e organizativas para assegurar que os dados pessoais não possam ser atribuídos a uma pessoa singular identificada ou identificável.

«Responsável pelo tratamento», a pessoa singular ou coletiva, a autoridade pública, a agência ou outro organismo que, individualmente ou em conjunto com outras, determina as finalidades e os meios de tratamento de dados pessoais; sempre que as finalidades e os meios desse tratamento sejam determinados pelo direito da União ou de um Estado-Membro, o responsável pelo tratamento ou os critérios específicos aplicáveis à sua nomeação podem ser previstos pelo direito da União ou de um Estado-Membro.

«Subcontratante», uma pessoa singular ou coletiva, a autoridade pública, agência ou outro organismo que trate os dados pessoais por conta do responsável pelo tratamento destes.

«Destinatário», uma pessoa singular ou coletiva, a autoridade pública, agência ou outro organismo que recebem comunicações de dados pessoais, independentemente de se tratar ou não de um terceiro. Contudo, as autoridades públicas que possam receber dados pessoais no âmbito de inquéritos específicos nos termos do direito da União ou dos Estados-Membros não são consideradas destinatários; o tratamento desses dados por essas autoridades públicas deve cumprir as regras de proteção de dados aplicáveis em função das finalidades do tratamento.

«Consentimento» do titular dos dados, uma manifestação de vontade, livre, específica, informada e explícita, pela qual o titular dos dados aceita, mediante declaração ou ato positivo inequívoco, que os dados pessoais que lhe dizem respeito sejam objeto de tratamento.

«Violação de dados pessoais», uma violação da segurança que provoque, de modo acidental ou ilícito, a destruição, a perda, a alteração, a divulgação ou o acesso, não autorizados, a dados pessoais transmitidos, conservados ou sujeitos a qualquer outro tipo de tratamento.

Violação de dados pessoais

Princípios relativos ao tratamento de dados pessoais – art. 5º do RGPD

Os dados pessoais são recolhidos para finalidades determinadas, explícitas e legítimas e não podendo ser tratados posteriormente de uma forma incompatível com essas finalidades; o tratamento posterior para fins de arquivo de interesse público, ou para fins de investigação científica ou histórica ou para fins estatísticos, não é considerado incompatível com as finalidades iniciais, em conformidade com o artigo 89.o, n.o 1 («limitação das finalidades»).

Os dados pessoais são adequados, pertinentes e limitados ao que é necessário relativamente às finalidades para as quais são tratados («minimização dos dados»).

Os dados pessoais são exatos e atualizados sempre que necessário; devem ser adotadas todas as medidas adequadas para que os dados inexatos, tendo em conta as finalidades para que são tratados, sejam apagados ou retificados sem demora («exatidão»).

Os dados pessoais são conservados de uma forma que permita a identificação dos titulares dos dados apenas durante o período necessário para as finalidades para as quais são tratados; os dados pessoais podem ser conservados durante períodos mais longos, desde que sejam tratados exclusivamente para fins de arquivo de interesse público, ou para fins de investigação científica ou histórica ou para fins estatísticos, em conformidade com o artigo 89.o, n.o 1, sujeitos à aplicação das medidas técnicas e organizativas adequadas exigidas pelo presente regulamento, a fim de salvaguardar os direitos e liberdades do titular dos dados («limitação da conservação»).

Os dados pessoais são tratados de uma forma que garanta a sua segurança, incluindo a proteção contra o seu tratamento não autorizado ou ilícito e contra a sua perda, destruição ou danificação acidental, adotando as medidas técnicas ou organizativas adequadas («integridade e confidencialidade»).

O responsável pelo tratamento é responsável pelo cumprimento do disposto no nº 1 do artigo 5º do RGPD e tem de poder comprová-lo («responsabilidade»).

Licitude do tratamento – art. 6º do RGPD

O tratamento só é lícito se e na medida em que o titular dos dados tiver dado o seu consentimento para o tratamento dos seus dados pessoais para uma ou mais finalidades específicas.

O tratamento só é lícito se e na medida em que for necessário para a execução de um contrato no qual o titular dos dados é parte, ou para diligências pré-contratuais a pedido do titular dos dados.

O tratamento só é lícito se e na medida em que for necessário para o cumprimento de uma obrigação jurídica a que o responsável pelo tratamento esteja sujeito.

O tratamento só é lícito se e na medida em que for necessário para a defesa de interesses vitais do titular dos dados ou de outra pessoa singular.

O tratamento só é lícito se e na medida em que for necessário ao exercício de funções de interesse público ou ao exercício da autoridade pública de que está investido o responsável pelo tratamento.

O tratamento só é lícito se e na medida em que for necessário para efeito dos interesses legítimos prosseguidos pelo responsável pelo tratamento ou por terceiros, exceto se prevalecerem os interesses ou direitos e liberdades fundamentais do titular que exijam a proteção dos dados pessoais, em especial se o titular for uma criança.

Direitos dos Titulares dos Dados

Contactos

Palma de Cima | 1649-023 Lisboa | Portugal

Tel | (+351) 21 721 40 00

e-mail | compliance.rgpd@ucp.pt

internet | UCP

Av. D. Carlos I, 134 - 1.º | 1200-651 Lisboa | Portugal

Tel | (+351) 21 392 84 00

e-mail | geral@cnpd.pt

internet | CNPD

Parceria para impulsionar o potencial dos alunos

O The Lisbon MBA Católica | Nova firmou uma parceria com a Caixa Geral de Depósitos (CGD), no âmbito da iniciativa Business Case Competition , que visa incentivar os alunos, no final do seu MBA, a abordarem um desafio empresarial, complexo e estratégico, do mundo real.

A iniciativa foi criada para permitir que as empresas obtenham diferentes perspetivas sobre desafios específicos. Nesta parceria, os alunos do The Lisbon MBA desenvolveram um trabalho de pesquisa para consolidarem o crescimento da app Dabox, um projeto premiado da CGD e a primeira solução de open banking do mercado. Com a orientação do corpo docente do The Lisbon MBA, os alunos utilizaram o valor da sua experiência de aprendizagem no MBA e a diversificada formação profissional e académica, numa competição organizada por equipas.

Os vencedores da competição deste ano foram Alban Auffray, Gianfrancesco Verzola, João Batista Silva, Patrick Henrici e Veronica Pechnikova. A avaliação foi realizada por um júri constituído por Rui Negrões, head of digital banking e Vitor Ferreira, digital bank manager da Caixa Geral de Depósitos, Manuela Calhau, professora convidada, e Maria José Amich, diretora executiva do The Lisbon MBA. Entre os critérios de avaliação das equipas destacam-se a inovação, a solidez e a fundamentação das soluções apresentadas. 

Ler artigo completo aqui.

Isabel Capeloa Gil: "Pandemia foi um acelerador de transformação das universidades"

Isabel Capeloa Gil inicia um novo mandato à frente da Universidade Católica. Para a reitora, a pandemia obrigou repensar o modelo de formação, mas também permitiu chegar a novos públicos. 

Pode ouvir aqui a entrevista completa a Isabel Capeloa Gil, Reitora da Universidade Católica Portuguesa à Rádio Observador no programa "Direto ao Assunto".

Categorias: A Reitora

MIT reconhece professora da Faculdade de Filosofia e Ciências Sociais

Luísa Magalhães, professora da Faculdade de Filosofia e Ciências Sociais do Centro Regional de Braga da Universidade Católica Portuguesa, recebeu, recentemente, o reconhecimento do Massachusetts Institute of Technology (MIT) como revisora (peer reviewer).

Numa carta enviada ao director da Faculdade de Filosofia e Ciências Sociais, a MIT Press, editora associada ao MIT, manifestou desejo de que a comunidade académica da Universidade Católica Portuguesa fosse informada desse reconhecimento. Doutorada em Ciências da Comunicação pela Universidade do Minho, Luísa Magalhães está na UCP desde 2007, sendo responsável pelo lançamento do primeiro curso de licenciatura em Ciências da Comunicação da Faculdade de Filosofia e Ciências Sociais.

Ler artigo completo aqui.

Filipe Santos: "O que faz uma boa política pública? (IVAucher não. Creches gratuitas sim)"

Um governo deve desenhar e implementar políticas públicas que corrijam desigualdades e falhas de mercado, promovam a justiça social e conduzam a uma maior prosperidade coletiva dos cidadãos, no presente e no futuro. Mas o que define uma boa política pública? E como podem ser analisadas as políticas públicas existentes em Portugal?

Dado que as políticas públicas normalmente custam dinheiro aos contribuintes, deve haver cuidado a analisar a sua eficácia e eficiência, bem como realizar uma análise alternativa de opções de política. Ao desenhar uma política pública é importante responder às seguintes perguntas:

  1. Qual o objetivo de política a alcançar com a medida proposta? 
  2. A medida é clara no seu modelo de funcionamento e implementável conforme desenhada?
  3. A medida é eficiente, tendo uma previsão de custo-beneficio favorável?
  4. A medida é temporalmente ajustada e tem efeitos positivos no longo prazo?
  5. Há formas alternativas, mais simples e eficientes de atingir os objetivos de política?
  6. A medida tem consequências não intencionais negativas gerando distorções na economia?

Estas são reflexões importantes para que o processo de desenho e implementação de políticas tenha sucesso em atingir os resultados propostos, aumentando o bem-estar dos cidadãos.

Neste artigo gostaria de exemplificar a importância de boas políticas públicas analisando duas medidas inscritas no Orçamento do Estado para 2021, uma delas que considero uma péssima política pública e outra que considero uma excelente política pública. A péssima política pública vai custar mais de 205 milhões de euros em 2021. A excelente política pública apenas 11 milhões.

Nota: Pode encontrar o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios do dia 18 de fevereiro de 2021.

Jorge Pereira da Silva: "Governo de salvação nacional?"

Nas últimas semanas, várias têm sido os apelos à constituição de um governo de salvação nacional. O Presidente, na mensagem ao país sobre a sétima renovação do estado de emergência, rejeitou tal caminho sem rodeios. A questão não é se Portugal precisa de ser salvo - facto que é mais ou menos pacífico -, mas sim se o Presidente pode patrocinar um governo com semelhante natureza.

Ou seja, um governo não sustentado num partido político ou numa coligação. Não se sabe bem se apartidário ou multipartidário, mas um governo mais técnico do que político e que tenha com propósito conduzir Portugal para fora da aguda crise em que se encontra. A Constituição permite ao Presidente demitir o Governo em funções, ouvido o Conselho de Estado, se considerar que "tal se torna necessário para assegurar o regular funcionamento das instituições democráticas" (195º, nº 2).

Não o pode demitir apenas porque não concorda com as suas políticas ou porque considera que está a governar mal. É preciso mais do que isso: funcionamento irregular das instituições. A gestão errática da pandemia e os atropelos ao plano vacinação podem indiciar que as instituições não estão a funcionar como deviam, mas são no essencial problema de má governação. Assim como é sinal de falta de planeamento a publicação, a 4 de fevereiro, de uma autorização de despesa relativa à aquisição (por ajuste direto) de computadores para os alunos mais carenciados seguirem as aulas online.

No entanto, do ponto de vista constitucional, o homicídio de Ihor Homeniuk e até o escândalo da nomeação do Procurador Europeu João Guerra - sem que de ambos os casos se tenham extraído ilações políticas - são mais relevantes. Tal como, naturalmente, o rol de inconstitucionalidades que têm sido cometidas, desde as restrições à liberdade de circulação fora do estado de emergência, até à recente proibição de ensino online nas escolas privadas.

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Dinamarca

Tantas incertezas, tantas contradições. Podemos falar do futuro?

O futuro? "Nada vai ser igual na relação com o outro. O outro é um risco", antevê o coordenador do Observatório do Risco. Haverá outras dinâmicas e é preciso capacidade de acreditar e construir a confiança participada com base na cidadania. Porque confiança é bem-estar pessoal, psicológico, físico, é segurança profissional e económica. É o ganha-pão, também.

Ana Veloso, psicóloga, professora da Escola de Psicologia da Universidade do Minho, investigadora do Centro de Investigação em Psicologia da mesma universidade, lembra que confiar implica riscos e que a confiança organizacional é feita de competência, de credibilidade, de arriscar. Tal como um animal que só oferece o seu pescoço quando confia. O momento é de muitos medos. Medo de perder o emprego, ficar sem salário, sem rendimento. "Em situações de crise, se a organização quebra algumas das promessas que fez, há uma quebra de confiança que nunca mais é recuperada", observa a investigadora. "O sentimento de estar sempre em perigo cria uma grande ansiedade às pessoas", acrescenta. Restaurar uma relação de confiança é muito difícil.

Rui Gaspar, psicólogo social, professor da Faculdade de Ciências Humanas da Universidade Católica Portuguesa, concorda. "A confiança sofreu alguns abalos e é difícil restaurá-la. É mais fácil perdê-la do que ganhá-la." Pensar no futuro passa por confiar no presente. Criar as bases e as fundações da confiança agora.

"Para alcançarmos a confiança no futuro temos, primeiro, de confiar no presente", vinca. O plano de vacinação, por exemplo. O Governo garante que 70% da população estará vacinada depois do verão. "Devia comunicar outros cenários possíveis em que não possa ser alcançado esse valor", comenta Rui Gaspar. Se promete e não cumpre, a confiança futura é destruída com base no que é dito no presente. Confinar, desconfinar, confinar outra vez.

Achatar a curva da pandemia. Pareceres técnicos e muitas opiniões de especialistas epidemiologistas, infeciologistas. Decisões políticas, mensagens que não se percebem, cacofonia comunicacional. Os recados dos políticos para os cientistas. Os recados dos cientistas para os políticos. A vacinação, os abusos, vacinar políticos. As vacinas chegarão para todos? Rui Gaspar defende um trabalho árduo a começar já hoje.

Aumentar a literacia científica dos cidadãos é uma forma. "Ajudar as pessoas a compreender e a clarificar que a ciência é feita de incertezas. Explicar que o que funciona num determinado momento pode não funcionar mais tarde". E assim se constrói a confiança. Há recursos psicológicos que facilitam como a esperança, o otimismo, a resiliência. Mas não bastam. "Não podemos só esperar que as pessoas sejam otimistas e ponto final. É preciso reduzir as exigências com que se confrontam", diz o psicólogo social. 

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa da Magazine do Jornal de Notícias, à venda nos locais habituais.

Dinamarca

Sérgio Deodato: "Eutanásia: o medo que temos de morrer"

Os senhores deputados, na sua maioria, votaram a legalização da eutanásia. Se o texto aprovado na Assembleia da República for promulgado pelo Senhor Presidente da República, teremos lei. Contudo, o Senhor Presidente da República solicitou “apreciação preventiva da constitucionalidade de normas constantes” do texto aprovado pelo Parlamento.

A nós, cidadãos, compete discuti-la. A alguns de nós, profissionais da saúde – em particular médicos e enfermeiros –, cabe decidir sobre se aplicará a lei ou invocará objeção de consciência. Como sabemos, em saúde, decidir ajudar a nascer, ajudar a curar, ajudar a reabilitar, aliviar o sofrimento na morte, é muito diferente de deliberar sobre praticar o ato de matar. São realidades éticas completamente diferentes, que exigirá de cada um, uma profunda reflexão de ponderação entre o bem que pode considerar fazer a quem pede para morrer, e a sua consciência científica e ética de proteção da vida e alívio do sofrimento.

O texto aprovado no Parlamento coloca diversas questões que merecem discussão científica, ética e jurídica.

As três condições de saúde-doença em que a eutanásia é aceitável neste texto são as seguintes: “sofrimento intolerável”; “lesão definitiva de gravidade extrema” e “doença incurável e fatal”. Para as ciências da saúde, o sofrimento intolerável implica, habitualmente, dor intensa e perda de sentido da vida. A dor elimina-se com analgésicos, numa escalada farmacológica que pode ir até à anestesia. Não podemos confundir eventual falta de acesso a tratamento eficaz, com ausência científica dele. Hoje, em saúde, ter uma pessoa com dor é má prática profissional.

Quanto à perda de sentido da vida, constitui-se como diagnóstico das ciências da saúde. Para a Enfermagem é “angústia espiritual” e o plano terapêutico para a pessoa em causa leva a um encontro desse sentido de vida perdido. Em saúde, fazemos isto todos os dias. Mais uma vez, convém não confundir o não acesso ao cuidado, com ausência de resposta terapêutica ao sofrimento.

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Finlândia

Francisca Guedes de Oliveira: "A salvação nacional"

É verdade que a intervenção do Estado tem permitido manter a economia à tona, mas tem de se ir mais longe. O Estado tem de tomar as rédeas e antecipar o que aí vem. Tem que provar-se empreendedor e arriscar.

Num artigo publicado na revista "Social Europe" (05/02), Mariana Mazzucato refere a importância das parcerias entre o setor público e privado. Como já é seu hábito, a autora reforça o papel de um setor público capaz e bem habilitado que escolha a direção da mudança e que, em colaboração com o setor privado, a consiga implementar.

Refere que se deve eliminar o mito da superioridade do setor privado face ao público e retomar uma narrativa de que o Estado pode e deve ser empreendedor, tendo a capacidade de criar riqueza de uma forma que (por motivos de escala e risco) o setor privado frequentemente não consegue. Concordo inteiramente com esta perspetiva e com as implicações que pode trazer para o debelar da atual crise. Por um lado, torna clara a importância do investimento público.

Se este foi crucial nos grandes saltos ao longo da história (foi o Estado que providenciou a estrutura tecnológica que permitiu a revolução digital, por exemplo), se o foi também na grande crise de 29/30 (com o investimento público a ser o motor da recuperação) poderá sê-lo agora por maioria de razão. E já o está a ser no lado pandémico (o sucesso no desenvolvimento da vacina deve-se, em grande medida, a uma colaboração internacional público-privada, sem precedentes) mas terá que o ser igualmente do lado económico.

É verdade que a intervenção do Estado tem permitido manter a economia à tona, mas tem de se ir mais longe. O Estado tem de tomar as rédeas e antecipar o que aí vem. Tem que definir a missão, a visão e o caminho da recuperação e da mudança. Tem que provar-se empreendedor e arriscar, dar um salto em frente. Não pode assumir o papel que assumiu na crise de 2011 e resolver problemas depois de estarem instalados. Tem que ser um investidor de primeira instância e não um emprestador de última instância.

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Muda-se a crise, nasce uma nova geração enrascada

“Inevitável é a tua tia.” Foi como se o cartaz anti-austeridade voltasse a estar sobre a nossa cabeça, dez anos depois, quando Paula Gil repete: “Ou se tomam medidas neste momento para o período pós-pandemia, ou é inevitável que as pessoas voltem a sair à rua.”

A precariedade não se fecha numa faixa etária, lembram os organizadores da manifestação que foi mais do que uma geração a reclamar pelo seu futuro e por mais direitos laborais. Mas os jovens continuam sobre-representados nos grupos mais vulneráveis a uma crise que não está a ter um efeito simétrico.

Entre 2019 e 2020, o emprego dos jovens caiu 18,4%, enquanto na população acima dos 45 anos aumentou quase 3%, mostram dados do Instituto Nacional de Estatística. “O declínio no emprego foi mais forte para os mais jovens, os trabalhadores com baixos níveis de educação e os empregados temporários”, aÆrmava-se num artigo publicado, em Janeiro, no Boletim Económico do Banco Central Europeu. O número de pessoas entre os 15 e os Há dez anos, “desempregados, quinhentos-euristas e outros mal remunerados” eram convocados para uma manifestação contra a precariedade, a 12 de Março.

Agora, enfrentam a segunda grande crise nas suas curtas e instáveis carreiras. Mas não estão sozinhos. Geração à Rasca, conheçam os pandemials Renata MonteiroPor novos empregos mais tarde, um outro adjectivo para deÆnir os jovens adultos nascidos entre 1980 e 1995 parece consolidar-se: arriscam-se a ser a nova “geração perdida”. “Somos a geração que está a levar com duas crises profundas, talvez das maiores do século, a acontecerem seguidas em dois momentos cruciais da nossa carreira proÆssional”, recapitula João Labrincha, antes de fazer uma pausa: “Se é que existe carreira para um precário a recibos verdes.” Entrar no mercado de trabalho num momento de crise, com taxas de desemprego mais elevadas, não “tem apenas um impacto passageiro”, alerta Susana Peralta, professora de Economia e colunista do PÚBLICO. 

Quase metade dos jovens entre os 18 e os 24 anos considera que o seu estado de saúde mental se deteriorou durante a pandemia, enquanto, entre os mais velhos (65 ou mais anos), 17% disseram sentir-se pior, segundo um inquérito feito pelo Centro de Estudos e Sondagens de Opinião (Cesop) da Universidade Católica para o PÚBLICO e para a RTP. “As pessoas nunca levaram muito a sério a forma como me sentia, mas, depois de isto se intensificar, começaram a perceber melhor.

Não há ninguém à minha volta que esteja feliz”, observa Sara Marreiros, a recém-licenciada à procura de emprego com quem falávamos anteriormente. Com o aumento de sintomas e diagnósticos de depressão, ansiedade e stress, a produtividade, o abstencionismo, a falta de motivação ou a pouca disponibilidade para trabalhar em equipa podem dificultar ainda mais a procura de um primeiro emprego ou de uma formação. “A saúde mental é uma das dimensões das vidas das pessoas que têm mais impacto na capacidade de produzir no sentido lato, e no estrito também. Mesmo as que conseguem trabalhar, nunca se é igualmente inovador, criativo”, comenta Susana Peralta, que sublinha a urgência do país em ter jovens produtivos e com perspectivas de futuro (e de presente). Aos 21 anos, uma licenciatura é apenas um aspecto da vida que Abel pôs em suspenso. 

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Nota: O artigo está disponível para subscritores de conteúdo exclusivo do Público.

Jorge Pereira da Silva: "Eutanásia: uma fiscalização a meio caminho"

O Tribunal Constitucional deverá pronunciar-se por estes dias sobre a lei da eutanásia, de que o Presidente da República pediu a fiscalização. O diretor da Escola de Lisboa da Faculdade de Direito da Universidade Católica Portuguesa diz, neste artigo, que de fora do pedido de fiscalização presidencial ficaram, deliberadamente, várias questões essenciais Quando o país inteiro se mobilizava para salvar a vida dos mais frágeis, com largos milhares de cidadãos a agonizarem nos hospitais com Covid, o Parlamento mobilizou-se para permitir o encurtamento da vida, aprovando para o efeito a lei da eutanásia.

Enviada a lei para o Tribunal Constitucional - outra coisa não seria de esperar do Presidente -, o país está por estes dias à espera de uma resposta. O pedido de fiscalização, porém, ficou a meio caminho, questionando apenas - ainda que com inteira pertinência - a utilização de conceitos indeterminados numa lei que, pela sua natureza penal e por incidir sobre os limites do direito à vida, deveria ser o mais densa e precisa possível. Para perceber o alcance deste problema, basta pensar na ideia central de "sofrimento intolerável".

Como medir em concreto esse sofrimento, mas sobretudo a quem pertence a opinião decisiva sobre se está verificado esse pressuposto? Ao próprio doente, ao médico orientador, a ambos em conjunto, também ao médico especialista e ao psiquiatra, etc. Diferentemente, se no conceito de "lesão definitiva" a apreciação tem de ser apenas científica, o problema reside na desnecessidade de a mesma ser "fatal" - permitindo bastante mais do que a antecipação de uma morte próxima. Deliberadamente de fora do pedido de fiscalização formulado pelo Presidente ficaram, contudo, várias questões essenciais.

A primeira é a de saber em nome de que outro direito fundamental se vem admitir agora a restrição do direito à vida. Restrição essa que não se traduz apenas na retirada da incriminação penal, mas também no empenhamento do Estado - e em especial do SNS - no encurtamento ativo da vida de um número significativo de doentes que estão ao seu cuidado. Não basta afirmar que esse direito é a autonomia individual, a liberdade de cada um - como soberano artífice de si próprio (G.P. Mirandola) - para decidir sobre o seu destino, tanto nos momentos bons como nos maus. Assim formulado, este argumento da liberdade prova demais e, por isso, nada prova em definitivo.

No limite, aliás, ele conduziria à inconstitucionalidade dos próprios conceitos que a lei utiliza como pressupostos da eutanásia não punível. E não por serem indeterminados, mas precisamente por comprimirem essa mesma liberdade absoluta de cada um sobre si mesmo. A segunda questão excluída do requerimento do Presidente é a da (in)existência de uma alternativa efetiva à decisão de eutanásia. Na verdade, a autonomia individual só poderá ser convocada para restringir o direito à vida se existirem condições para o seu exercício efetivo, com a formação pelo doente de uma vontade livre e esclarecida (tanto quanto as circunstâncias o permitam).

Sem uma alternativa real à eutanásia - que só pode estar no acesso universal a cuidados paliativos - não há liberdade possível. Se nos dois pratos da balança estiverem a eutanásia, por um lado, e uma morte lenta e agónica, por outro, não há verdadeira escolha. 

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Francisco Salavisa Teixeira: "Rúben Amorim e a liberdade de profissão"

Os contornos do caso Rúben Amorim são já amplamente conhecidos, embora a acusação propriamente dita não seja pública. Foram já avançadas diversas análises jurídicas, mas o caso tem ainda muito que se lhe diga.

Antecipando uma possível condenação por parte do Conselho de Disciplina – repetindo a história de 2019, quando Rúben Amorim era treinador-estagiário do Casa Pia –, o Sporting irá recorrer dessa decisão, eventualmente até ao Tribunal Constitucional, pelo que é fundamental averiguar a força do argumento de inconstitucionalidade que o Clube avançará.

No fundo, o Sporting argumentará que é inconstitucional o quadro legislativo e regulamentar que institui os processos de certificação de habilitações dos treinadores.

Em concreto: a Lei nº 40/2012 (alterada pela Lei nº 106/2019); e, no que às ligas profissionais diz respeito, o Regulamento das Competições da Liga Portuguesa de Futebol Profissional (artigo 82º), que impõe a titularidade do “nível IV – UEFA Pro” ao treinador principal. Inconstitucionalidade que decorre da afetação substancial da liberdade de escolha de profissão, tal como resulta do artigo 47º da Constituição.

Para sustentar o regime em causa, seria preciso demonstrar interesses coletivos que justifiquem essa restrição (para além, claro está, de uma justificação circular de capacitação dos profissionais), sob pena de o Estado estar a interferir numa averiguação de competências que caberia inteiramente à entidade empregadora, na sua livre e autónoma iniciativa económica. No artigo 2º daquela lei, o próprio legislador identifica a promoção da ética e deontologia desportivas, a saúde e segurança dos intervenientes, enfatizando o caráter formativo da profissão.

Conhecidas as debilidades dos cursos de formação no tocante às vagas e à sua periodicidade, ambas imposições da UEFA, mas também os períodos de espera entre cada habilitação, distintivos da regulamentação nacional, não se vê que esta limitação seja proporcional à prossecução de fins tão genéricos como os acima citados.

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França

Paulo Cardoso do Amaral: "´Tokens´ não fungíveis, ou como vender fotografias por 69 milhões"

Esta obra de arte do Beeple foi tokenizada com um NFT e o detentor do token será o seu proprietário. Por ora, é fácil tokenizar tudo o que seja digital. Fora desse âmbito, mais uma vez a lei não está preparada para isso. Fomos recentemente surpreendidos com a venda de um token não fungível (NFT) que representa os direitos, neste caso a propriedade, de uma obra de arte composta por 5.000 micro-fotografias tiradas todos os dias ao longo quase de 14 anos.

O artista de nome Beeple vendeu essa obra de arte por 69 milhões de dólares (cerca de 58,6 milhões de euros), tornando-se assim num dos artistas mais bem remunerados sempre. Esta venda só foi possível porque foi feita com um token não fungível (NFT). Mas afinal o que é um NFT e como foi possível vender uma simples imagem por esta enorme quantia? O conceito de fungibilidade é simples de explicar com um exemplo.

As notas que temos nas nossas carteiras, referentes a uma determinada quantia, são todas diferentes, mas valem o mesmo. São diferentes porque serem numeradas. Representam, portanto, direitos fungíveis. Significa que a propriedade física da nota nos dá a propriedade daquela quantia exacta de valor pertencente à massa monetária. Já uma escritura representa um direito não fungível.

Duas escrituras são sempre diferentes por definição, porque cada uma representa apenas uma propriedade específica, e apenas aquela. O mesmo se passa com os tokens pois os há de ambos os tipos. As criptomoedas são representadas por tokens fungíveis, o que tem motivado a maioria das discussões à volta da tokenização de criptoactivos. Não obstante, podemos representar seja o que for com tokens não fungíveis (NFT) desde que a tecnologia e a lei assim o permitam.

Aliás, exemplos como o som e a imagem têm sido particularmente interessantes. Outrora, a propriedade da audição individual da música passava pela posse física da gravação que continha o seu registo. Enquanto os discos em formato vinil eram muito difíceis de copiar, as cassetes tornaram a pirataria num negócio e divulgação da web com a digitalização da música em formato mp3 levou este fenómeno ao limite.

Aliás, hoje é particularmente fácil digitalizar uma qualquer audição, esteja ela gravada ou não, guardá-la e partilhá-la na web dentro dos limites da lei. A audição da música, assim como o visionamento de filmes, passaram portanto a poder ser um bem público. Porém, a tokenização dessa audição poderá mudar tudo: ao guardarmos a música numa blockchain, o seu proprietário será quem detiver o token que lhe dá o direito à sua reprodução. Essa música até pode vir a ser copiada e difundida, mas esse token garante a propriedade da música original. Na música, até pode ser criado um token específico por audição, o qual deixa de ser válido a seguir.

Ler artigo completo aqui.

Isabel Capeloa Gil na Rádio Renascença: Católica | Talento para o Futuro

No passado domingo, dia 5 de março, a Reitora da Universidade Católica Portuguesa (UCP), Isabel Capeloa Gil, juntou-se à equipa de locução da Rádio Renascença a propósito da 3.ª edição do Católica | Talento para o Futuro, um dia onde 16 faculdades da UCP abrem as suas portas, este ano em formato digital, para dar a conhecer a oferta formativa que a universidade dispõe e que irá decorrer no dia 10 de março das 10h00 às 19h00.

Isabel Capeloa Gil informou que "este ano devido à situação de exceção que vivemos, vamos na mesma organizar o Open Day, mas em formato virtual, com uma plataforma digital que vai permitir que os potenciais candidatos, os seus pais e todas as pessoas que tenham interesse em conhecer os cursos da universidade possam ter contacto com aquilo que são as ofertas, as saídas profissionais e o perfil dos cursos, falando com especialistas de cada uma das 16 faculdades."

A reitora não deixou de indicar a importância do ensino superior na vida do estudante, dizendo que "chegar ao final do ensino secundário e fazer a escolha para aquilo que vai ser a sua formação inicial do ensino superior é importante para os jovens, é um momento de viragem de vida."

Acerca da condicionalidade profissional que a escolha de um curso que antigamente traria, Isabel Capeloa Gil acredita que "hoje em dia o mercado é muito mais flexível, como o tipo de competências que os vários setores exigem e necessitam , resulta muitas vezes de um conjunto de skills que podem ser desenvolvidos a partir de áreas disciplinares muito diferentes e esta primeira escolha de entrar no ensino superior é um primeiro caminho para uma formação que, cada vez mais, se fará ao longo da vida".

A reitora da Universidade deixou o desafio para os estudantes, professores e empresas se inscreverem neste evento de grande interesse, tendo ainda poucos dias para o fazer, no website da UCP ou das suas Faculdades. 

Pode ouvir a emissão completa do programa "Pequenas Grandes Coisas" na Rádio Renascença aqui.

Governo cria task force de cientistas para ajudar a passar mensagens

Está já criada a task force de cientistas comportamentais para assessorarem o Governo em relação à melhor forma de passar a mensagem às populações sobre os comportamentos indicados para combater a pandemia de covid-19. A criação desta equipa consta de um despacho da ministra da Saúde, Marta Temido, a que o PÚBLICO teve acesso, e os seus membros não serão remunerados.

A task force é coordenada por Margarida Gaspar de Matos, da Faculdade de Motricidade Humana da Universidade de Lisboa. Integram o grupo António Silva, do Instituto Superior de Economia e Gestão; Cristina Godinho, da Faculdade de Ciências Humanas da Universidade Católica; Duarte Sequeira, dos Serviços Partilhados do Ministério da Saúde; Marta Moreira Marques, do Trinity Centre for Practice and Healthcare Innovation; Miguel Arriaga, da DirecçãoGeral da Saúde; Osvaldo Santos, do Instituto de Medicina Preventiva e Saúde Pública da Faculdade de Medicina de Lisboa; e Rui Gaspar, da Faculdade de Ciências Humanas da Universidade Católica.

Nos termos do despacho de nomeação, até 31 de Dezembro esta equipa de cientistas comportamentais irá assessorar o Governo produzindo estudos e documentos. A ligação com o executivo é feita através do secretário de Estado adjunto do primeiro-ministro, Tiago Antunes.

A equipa será apoiada pelos Serviços Partilhados do Ministério da Saúde. O objectivo é contribuir para “uma mudança de comportamentos individuais e colectivos” e “garantir que diferentes indivíduos e as suas comunidades mantenham” os “comportamentos recomendados como mais eficazes em cada momento e contexto social, na resposta à pandemia e nos momentos que a ela se sucederão”.

O despacho afirma que estas “mudanças comportamentais apenas poderão ser alcançáveis com a aplicação estruturada da ciência comportamental” que permite “identificar, explicar, prever e intervir sobre comportamentos”, baseando-se no “estudo de flutuações” em relação às “percepções do sistema social sobre a evolução da pandemia”. Mas também das flutuações “nos comportamentos de prevenção dos riscos de contágio pelo vírus SARS-CoV-2, em diferentes momentos e contextos sociais e por diferentes pessoas”. E ainda das variações “nos factores individuais, sociais e ambientais que permitem a sua facilitação ou inibição e consequente explicação e previsão de alterações ao comportamento e expectativas de adesão futuras”.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do PÚBLICO de 11 de março de 2021.

Saúde e tecnologia juntam-se a pós-graduações em "gestão geral"

A procura por pós-graduações nas áreas da saúde e das TI disparou, com uma tendência palpável para as pessoas que procuram adaptar-se o mais rapidamente possível às novas realidades profissionais, segundo as principais escolas de negócios ouvidas pelo Jornal Económico. Ainda assim, as pós-graduações ditas "tradicionais" em gestão continuam em destaque, uma vez que também aqui a pandemia alterou as necessidades das empresas e dos seus projetos a médio e longo prazo.

No caso da Nova SBE, as pós-graduações em "gestão geral" continuam a ser as mais procuradas. No entanto, as especializações em saúde, marketing, supply chain, pessoas e talentos e em inovação e empreendedorismo também ganharam destaque. Segundo Susana Ferreira, Marketing and Communications Director da Nova SBE, estas especializações "caracterizam-se por terem uma jornada de aprendizagem inovadora, com um bloco inicial comum dedicado aos Fundamentos de Gestão que, para além de proporcionar um momento de networking extraordinário, permite nivelar os conhecimentos básicos de gestão dos participantes, sempre com a preocupação de adaptar os módulos e as abordagens ao contexto atual.

E, numa segunda fase, a jornada evolui para a área específica de cada pós-graduação". A Porto Business School (PBS) é outra das instituições onde a pandemia potenciou a procura nas áreas da saúde e TI. Segundo Patrícia Teixeira Lopes, Associate Dean da PBS, existe uma tendência para "a procura de cursos que permitam um shift total da carreira", como são os casos da gestão em direção de serviços da saúde, maioritariamente procurada por "profissionais das áreas da saúde que visam enveredar por funções de gestão, e a pós-graduação em direção de empresas dirigida a backgrounds académicos fora das áreas da gestão e que confere todas as ferramentas necessárias para a assunção de funções de gestão ou criação do próprio negócio". 

Em relação ao ISCTE, a instituição refere que nos últimos tempos assiste a um crescimento da procura por especializações "em tudo quanto é digital". José Carvalho, presidente do ISCTE Executive Education, sublinha que "por razões históricas, e porque temos recursos muito bons na área da gestão em saúde, temos conseguido fazer valer esta como uma área de eleição". Acrescentam-se as pós-graduações em finanças, turismo e imobiliário entre as mais procuradas.

A Católica Lisbon School of Business & Economics vai ao encontro das tendências atuais e aponta a pós-graduação de gestão em saúde como uma das mais procuradas. A gestão para a indústria farmacêutica também tem motivado bastante interesse, assim como a especialização em gestão de equipas e projetos. Céline Abecassis-Moedas, Diretora da Formação de Executivos da Católica Lisbon School of Business & Economics, afirma que "cada vez mais vemos uma procura por soluções reais para os problemas prementes das empresas, e dos maiores desafios que cada um enfrenta no seu dia a dia neste contexto tão peculiar, procurando uma referência que dê segurança no investimento que fazem e no conhecimento adquirido". As novas tecnologias são também um dos aspetos em foco pela instituição que sublinha a importância de estar em sintonia com a atualidade, através da pós-graduação em gestão estratégica e liderança que, segundo Céline Abecassis-Moedas, permite aos decisores "a definição de um rumo de prosperidade com propósito e responsabilidade".

Nota: Pode ler o artigo completo na edição impressa do Jornal de Negócios de 12 de março de 2021.

França

10 sugestões para ajudar o seu filho a recuperar da perda de aprendizagens no confinamento

Esqueça a tabuada. Esqueça a dinastia Afonsina. Esqueça a conjugação do verbo "sein" em alemão. Se o seu filho estiver a ficar para trás nas aprendizagens, de pouco serve pô-lo a repetir "8 vezes 8 são 64", "D. Sancho I foi o segundo rei de Portugal", ou "ich bin da, du bist da" até ao infinito. Os pais devem ser pais e os professores devem ser professores. Este é o mais importante conselho de vários especialistas ouvidos pelo Observador, que, com 10 sugestões práticas, tentam responder à pergunta que atormenta muitos encarregados de educação em tempo de ensino à distância por causa do confinamento: "Como posso ajudar o meu filho a não ficar para trás?" Evitar vestir a pele de professor não é sinónimo de nada fazer pelas crianças, mas é sinónimo de evitar confundir papéis que acabam por complicar a relação de pais e filhos. "Não cabe aos pais substituir a escola nas aprendizagens. Essa extensão excessiva da escola para o contexto familiar - quando, por exemplo, os trabalhos de casa são demasiados - acaba a roubar o essencial: ter tempo de qualidade com os filhos", defende a investigadora Célia Oliveira. Em contrapartida, lembra que não faltam estudos que mostram que "uma das coisas que mais contribui para o sucesso académico é o interesse dos pais nas escolas". O importante é encontrar o equilíbrio. Dar apoio, sim. Dar aulas, não.

Rodrigo Queiroz e Melo tem uma crença sólida de que, quando olharmos para trás, o custo da pandemia e do ensino à distância nas aprendizagens não será assim tão elevado. A matéria que ficar por saber será aprendida mais tarde e, por isso, sugere que o foco dos pais seja posto na melhoria de competências - a argumentação, o pensamento crítico, a criatividade, a autoregulação, entre outras - que irão ajudar os alunos a apanhar o comboio, mesmo que fiquem temporariamente para trás. "Numa investigação futura desta época que vivemos, não estou convencido que seja muito grave o que os alunos não aprenderam das dinastias e dos teoremas. Aprenderão mais à frente. O que é preocupante é o que podem perder em competências e, aí, já posso ajudar enquanto pai", argumenta o professor de Ciências da Educação da Universidade Católica.

"Não há um livro de receitas, não pode haver, quando se fala de ajudar as crianças. Todas são diferentes, até irmãos. E as dinâmicas familiares também. Temos pais que não sabem ler e temos pais doutorados em Educação e para quem os conselhos não podem ser os mesmos", acrescenta Júlia Serpa Pimentel, da Associação Pais em Rede, lembrando que há muita coisa que aprendemos antes sequer de se ir à escola e que se aprende muito a brincar. Célia Oliveira acrescenta que mais do que uma lista do que devem ou não devem fazer, os pais devem procurar aquilo que melhor se enquadra à sua família. "Quando dizemos que os pais devem fazer algo, esta frase tem logo algo de culpabilizante, de injusto, como se tivessem de ser exímios a tudo, e há, da parte dos pais, uma propensão para a culpabilização.

É importante saber que há um conjunto de coisas que ajudam, mas que todos falhamos nelas e não há mal algum nisso." Se é importante ajudar as crianças, também é importante saber deixá-las fazer nada. "No meio destes horários é preciso ter tempo para brincar, tempo para fazer nada, tempo apenas para o ócio", sustenta a psicóloga Sofia Ramalho. 1)Bem-estar psicológico. A criança que está bem aprende bem Fugir ao papel do professor e focar-se nas competências (e já iremos às sugestões práticas) é só o primeiro passo. "A principal missão de qualquer educador, pai, mãe, seja quem for, é assegurar o bem-estar físico e psicológico das crianças para que elas possam estar disponíveis para a aprendizagem", defende Sofia Ramalho, vice-presidente da Ordem dos Psicólogos e especialista em Psicologia da Educação. 

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Paulo Cardoso do Amaral: "E se o euro digital não fosse dinheiro?"

Sei que o título pode parecer uma pergunta estranha, mas já aqui escrevi que o impacto do euro digital está muito para além do dinheiro. Vou agora explicar como e porquê. Imaginemos o seguinte cenário: o Banco Central Europeu irá colocar à disposição da banca comercial o euro digital sem, no entanto, haver um único euro digital em circulação nas mãos do consumidor final. Ou seja, todo o sistema bancário continuará a funcionar exactamente como nós o conhecemos, sem pôr em causa a liquidez dos bancos nem a sua função impulsionadora da economia com a concessão de crédito.

Parece que fica tudo na mesma, mas não fica. Por definição, o euro digital vai fazer parte da massa monetária que suporta a economia sob jurisdição do Banco Central Europeu (BCE). Existem várias massas monetárias em circulação, por exemplo, as moedas que podem ser emitidas e cunhadas por cada um dos Estados. Já as notas são emitidas pelos bancos centrais dos diversos países (sim, a emissão de moedas e notas é diferente). O euro digital será emitido pelo BCE, e a hipótese que aqui se coloca é não deixar que chegue aos consumidores finais.

Então se não está em circulação, qual é a diferença entre este novo euro digital e o actual euro desmaterializado nos computadores dos bancos? Quais as suas vantagens? Não servindo para efectuar pagamentos, o euro digital irá suportar um outro tipo de massa monetária. A banca comercial irá passar a colocar uma parte das suas reservas em formato auto-executável. Eu explico.

As reservas bancárias têm várias funções, e uma das mais importantes é permitir a compensação entre os intervenientes do sistema bancário. Cada país tem as reservas a cargo do seu banco central, e entre países é o BCE que se encarrega de garantir a regulação e a coerência entre todos os intervenientes, a começar pelos bancos centrais. Essas reservas estão ajustadas de forma equilibrada, na velha escrituração de dupla entrada entre todos os bancos (em contabilidade chama-se deve e haver). Então que tipo de diferença fará substituir essa escrita por contratos auto-executáveis numa blockchain? Uma diferença enorme. Uma moeda pode ter várias funções em simultâneo. Como meio de pagamento serve, por exemplo, para comprar o jornal.

Como reserva de valor, podemos guardar os euros na conta bancária para podermos comprar mais tarde um Tesla. Como medida de valor, a moeda serve para sabermos, por exemplo, quanto vale a nossa casa. Para o nosso cenário, interessa-nos apenas esta última, pois, a partir do momento em que a medida de valor esteja sob a alçada da auto-execução, também o resto dos direitos e obrigações dos activos financeiros poderão passar a estar. 

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As respostas a todos os desafios

MBA Executivo da Católica Porto Business School prepara os gestores com skills para liderar as empresas. O MBA Executivo da Católica Porto Business School, que vai para a sua 16.ª edição, sofreu há três anos uma forte reformulação.

Se o MBA Internacional foi sempre uma referência no mercado, a passagem para o MBA Executivo foi o consolidar da reputação desta marca.

“O MBA ganhou mais visibilidade junto das empresas via a criação do Clube de Empresas; ganhou relevância nos conteúdos - pensados para gestores de start-ups até aos de grandes grupos empresariais; tornou-se num ensino mais aplicado, fruto de a avaliação dos módulos ser feita com base em casos reais das empresas.

A alteração do funcionamento captou alunos de fora de Portugal e de outras zonas geográficas para além do Grande Porto, o que muito enriquece o networking e a qualidade do grupo”, começa por afirmar Ana Côrte-real, diretora do MBA Executivo, que, por tudo isto, faz um balanço “extremamente positivo” do programa, atestado pelas avaliações pedagógicas dos alunos, das empresas parceiras e dos professores.

Convidada a explicar que vantagens poderá ter na sua carreira um gestor que decide fazer o MBA Executivo da Católica Porto Bussiness School, Ana Côrte-real refere que este investimento “é uma aposta num programa de liderança transformacional, assente na aquisição de competências capazes de impactar na qualidade da gestão das empresas portuguesas e internacionais”.

E acrescenta ser uma oportunidade para se “transformar o percurso de uma carreira”, conseguida através de “um sólido programa de soft skills”.


Nota: Pode ler o artigo completo na edição impressa do Jornal de Negócios de 18 de março de 2021.

Católica incentiva escolas a realizar aulas na Natureza

A aprendizagem fora da sala de aula e em pleno contacto com a Natureza é uma metodologia em crescimento nas escolas, a nível mundial, e à qual se reconhecem benefícios para o desenvolvimento físico, psicológico e social das crianças e dos jovens.

Com origem na Dinamarca e na Suécia, nos anos 50, a chamada "Educação na Natureza" - que tem práticas e princípios próprios - abrange atualmente milhares de crianças espalhadas por todo o mundo. Em Portugal, os primeiros passos neste sentido começaram a ser dados em 2017, com o surgimento de projetos baseados no modelo pedagógico da Forest School.

Com o objetivo de impulsionar a adoção desta metodologia de ensino em Portugal, surgiu o projeto "A Natureza é a melhor Sala de Aula" (NSA) - uma iniciativa promovida pelo Centro Regional de Excelência em Educação para o Desenvolvimento Sustentável da Área Metropolitana do Porto (CRE.Porto), uma rede composta por entidades públicas e privadas, coordenada pela Área Metropolitana do Porto e pela Universidade Católica Portuguesa, no Porto.

O projeto NSA, que arrancou em 2018/2019 e encontra-se atualmente na sua terceira edição, tem desafiado os docentes de vários contextos educativos a levar os alunos, desde os que frequentam o ensino pré-escolar até ao secundário, para fora das salas de aula e a procurar na Natureza novas formas de ensino/aprendizagem.

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Bélgica

Já começou a escolha do sucessor de Merkel

Apenas com menos alguns meses no poder do que o recorde estabelecido pelo que ficou conhecido como “chanceler eterno”, Helmut Kohl, Angela Merkel sairá de cena no final do verão de 2021.

Ainda não se sabe se a História lhe vai fazer justiça, porém é impossível negar o seu estilo inconfundível na navegação das crises nacionais e internacionais dos últimos 16 anos. A Mädchen (menina) de Helmut Kohl chanceler que ficou inscrito nos anais da Alemanha como pai da unificação, assim mudando a História da Europa e do mundo soube aproveitar a “mão” que o mentor lhe estendeu. Ser favorito de um chanceler vale muitos pontos no xadrez da política na Alemanha. Que o digam também os que não saíram ilesos desse destaque, nos casos em que se provou que ele não era inteiramente merecido.

A manter-se a tendência, Markus Söder, ministro-presidente da Baviera e líder do partido irmão da CDU, a CSU (União Social-Cristã), pode ser chamado a tornar-se candidato à chancelaria. “Sairá o chanceler-sombra da sombra?”, perguntava a RND (Redaktionsnetzwerk Deutschland) num artigo de 29 de dezembro último, ao mesmo tempo que declarava 2021 “o ano de Söder”. 

“Ao mostrar que quer, antes de mais, presidir ao partido, Röttgen mostra-se aberto a compromissos e apresenta-se como moderado e moderno”, diz ao Expresso Mónica Dias, professora do Instituto de Estudos Políticos da Universidade Católica Portuguesa. Merz, que nunca escondeu a vontade de ser chanceler, é um candidato isolado, que não conta com a simpatia da base do partido.

Só ganha a liderança dos democratas-cristãos quem apelar e conseguir conquistar o voto do centro do partido, e Röttgen é o candidato mais bem posicionado para tal. Armin Laschet partilha esta tendência, mas surge na corrida muito identificado com a linha de continuidade da chanceler. Com cerca de 30% das intenções de voto, a CDU deverá manter em aberto a possibilidade de negociar uma aliança com Os Verdes, atualmente segundo partido nos estudos de opinião, com 20%. E Röttgen é o candidato democrata-cristão que apela aos Verdes e aos so ciais-democratas (SPD), segundo a mesma sondagem.

 

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João Borges de Assunção: "O Homo confinatus"

O Homo confinatus era muito sedentário e saía apenas para fazer compras de bens essenciais à sobrevivência diária. Homo confinatus é uma espécie animal do género Homo que apareceu no final da época do Holoceno na transição para o Socioloceno.

O Homo confinatus era muito sedentário e saía apenas para fazer compras de bens essenciais à sobrevivência diária. Os espécimes viviam em núcleos familiares muito reduzidos em função do seu processo de especiação.

Os que tinham família mantinham-se juntos até à morte ou até se zangarem. E os que não tinham companheiros viviam até à morte em isolamento e solidão. As oportunidades legais de formação de casais eram apenas duas, em que o isolamento total era parcialmente violado: no elevador e à porta da mercearia.

Há registo de casais que se formavam de forma ilegal e mesmo em festas, também banidas. A principal atividade do confinatus era o teletrabalho. Alguns recebiam dinheiro por essa atividade, mas outros não. O teletrabalho incluía atividades úteis e produtivas, mas também atividades inúteis e ainda a ausência de atividade ou a visualização de filmes e séries na Netflix.

Havia ainda a atividade do teledesemprego. Que consistia em estar desempregado, mas em casa e a olhar para o computador. Esta espécie era coeva com o Homo rebelus. O rebelus era minoritário na sociedade. Mas gostava de trabalhar, viajar e conviver. Algumas das inovações desse período eram feitas por rebelus após autorização prévia dos líderes dos confinatus. Havia ainda rebelus que faziam coisas úteis mesmo sem autorização.

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Miguel Ângelo: "O Espaço e o Tempo nas vendas"

O "depressa e bem" não surge por intuição, chega por muito treino consciente, até nos tornarmos "Competentes Inconscientes". Na minha juventude era um bom jogador de futebol. Pelo menos, é esta a recordação que prefiro guardar dos meus tempos de capitão da equipa de futebol de 5, do enorme Parede Futebol Clube.

Provavelmente não seria esse adjetivo que os meus colegas de equipa iriam escolher para me descrever, mas enfim, se nem o CR7 ou o Messi são unânimes... Nessa altura só precisava de duas coisas para brilhar: Espaço e Tempo.

Eu era um belíssimo jogador quando não me "incomodavam": rececionava em grande estilo, levantava a cabeça à procura do colega mais bem posicionado e a bola "lá aparecia bem redondinha"!

E o que é que esta história tem a ver com as Vendas? Tenho a felicidade de conduzir sessões de formação e treino em Vendas/Negociação desde 2000. Foram já milhares de pessoas, de muitas indústrias diferentes, com níveis de experiência diversos, e tenho bem claro um padrão: "Com Espaço e Tempo...parece fácil." Diria mesmo, que na teoria, até é bastante simples! Se ler alguns dos mais populares livros, entre os milhares que existem sobre estes temas, vai ver que cada passo, de forma isolada, até parece "bom senso", pois "faz sentido". E, então, qual é o potencial problema?

É que como parece simples, por vezes facilitamos na preparação e no treino. E de repente, quando chega o jogo, vemos que não temos nem "Espaço nem Tempo", mas já é tarde... alguém ficou com a bola e marcou golo. Tal como no futebol, em que só pode haver um campeão, também em muitos processos de venda, só há um vencedor.

O segundo pode ser excelente, vir a ganhar no futuro, mas agora perdeu a venda. Chegar no timing certo, demonstrar o nosso valor acrescentado, lidar com diferentes opiniões dos clientes, gerir a comparação com a concorrência e justificar o investimento requer treino. Num diálogo de vendas, as hesitações nos momentos chave, ou uma atitude errada sob pressão, podem custar muito dinheiro. O "depressa e bem" não surge por intuição, chega por muito treino consciente, até nos tornarmos "Competentes Inconscientes". Alguns estudos, feitos recentemente, foram à procura das diferenças entre as práticas dos melhores e dos segundos melhores, igualmente bons, mas que perdem a venda.

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Ricardo Ferreira Reis: "Situação política nos EUA"

Entrevista a Ricardo Ferreira Reis, professor da Universidade Católica, sobre a situação política nos Estados Unidos.

Pode assistir à entrevista completa aqui.

Isabel Capeloa Gil: "Um erro de cálculo"

Uma primeira crónica em tempo de pandemia não pode falar de árvores e flores. Vivemos tempos negros com impactos ainda imprevisíveis, apesar das estimativas e projeções de quebra do PIB, instabilidade social, mortalidade covid e não covid, impacto sobre as aprendizagens e outros dados mais soft e não menos importantes como o reflexo na nossa saúde mental.

O Presidente da República resumiu a inépcia das políticas e também da ação coletiva dos portugueses quanto a esta terceira vaga pandémica a um "erro de cálculo". Os decisores políticos não anteciparam o que se avolumava no horizonte, a população, excelente na primeira vaga, desmobilizou a sua militância protetora. Com o novo ano, tudo mudou. Erro de cálculo, portanto.

A população-modelo tornou-se uma cáfila de irresponsáveis que transforma o passeio profilático no lazer comunitário de um fim de semana ao sol. Os decisores políticos sentem-se traídos pelo país, pede-se um "sobressalto cívico". Culpa-se o exército, afinal, não os generais.

Os especialistas falam de cansaço pandémico, os políticos esgrimem acusações e, entretanto, o número de mortes assume dimensões não antecipadas, o crescimento das infeções ultrapassa as estimativas, ainda que se suspeite que os números - tão bem esgrimidos ao longo dos últimos meses - estão claramente subestimados.

Mas os portugueses de janeiro de 2021 são os mesmos de março de 2020, com a mesma cultura cívica, porventura mais cansados da vida em suspenso, mais pobres e com medo do futuro, menos confiantes, em suma. Além da incapacidade congénita de antecipar cenários, que é estrutural à política portuguesa, a situação que vivemos é o resultado de uma questão endémica do Portugal democrático, e que se manifestava já em latência na longue durée do tempo que decorreu da monarquia à República e ao Estado Novo.

Dito de outra forma, os modelos de desenvolvimento sociocultural em Portugal conjugam uma baixa responsabilidade individual com deficiente corresponsabilização coletiva. No nosso modelo de desenvolvimento, as pessoas não são educadas para a autonomia individual e para um sentido de imbricação comum, conscientes de que as decisões que eu tomo afetam necessariamente a vida dos outros com que convivo.

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Categorias: A Reitora

Até ao fim, tudo está aberto para todos. Marcelo receia segunda volta por causa da abstenção

Disse-o duas vezes no mesmo dia: “Basta uma abstenção de 70% para tornar quase inevitável uma segunda volta”. Primeiro no antigo liceu Pedro Nunes, em Lisboa, à tarde, depois no Porto, à noite, conhecida que era a sondagem sobre presidenciais para o PÚBLICO e a RTP.

“Até ao fim, tudo está aberto para todos, está aberta a hipótese de haver uma volta ou duas voltas, e está aberta a hipótese da vitória”, disse Marcelo Rebelo de Sousa à RTP perto da meia-noite, depois de dar uma entrevista ao Porto Canal.

Era o comentário à perda de cinco pontos percentuais de Dezembro para Janeiro na sondagem da Universidade Católica, pontos que podiam fazer toda a diferença. “Há um mês, mês e meio, havia sondagens que me davam entre 60 e 70% e havia uma entre 58 e 59%, eu recordava que há cinco anos pela mesma altura as sondagens davam-me 62% e eu tive 52%. O Presidente Cavaco na reeleição também tinha tido 62% ou 63% e depois teve 52 ou 53%”, calculou.

Ou seja, se a diferença entre intenções de voto e o dia das eleições é de cerca de 10%, os 63% que hoje tem podem concretizar-se em apenas 53%. O problema é o aumento mais que previsível da abstenção. É aqui que diz pela segunda vez: “Basta elevar a abstenção para isso punir os melhores colocados nas sondagens e é tudo muito relativo. Até ao fim, tudo está aberto para todos”.

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Chéquia

Passaportes de imunidade. Chave para o regresso ao normal, ou mais dores de cabeça Covid?

São já vários os países que discutem a possibilidade de se criar um passaporte de imunidade Covid-19 que possa permitir a algumas pessoas regressar à dita vida normal e viajar, aceder a certos espaços e eventos e evitar quarentenas ou confinamentos, mas há questões éticas e jurídicas complexas a considerar.

O princípio é bastante simples. O documento incluiria a informação sobre o estado de imunidade da pessoa, seja porque foi vacinada, seja porque já esteve infetada e tem um grau de imunidade comprovada. Embora sejam, por vezes, descritos como "passaportes de vacina", a verdade é que a informação sobre a vacinação é apenas um aspeto entre vários e o importante é aferir a imunidade do portador.

Países como a Alemanha, Dinamarca, Suécia, Reino Unido e Chile, entre outros, já estão a explorar a ideia e há várias empresas de tecnologia a trabalhar na criação de soluções nesse sentido. Para Ana Sofia Carvalho, pode ser uma solução para o regresso à normalidade, mas a discussão é prematura.

"Obviamente que isso pode ser uma solução muito interessante no sentido de nos permitir de alguma forma voltar ao normal, ou de parte da população conseguir voltar ao normal. O que acontece com a imunidade é que nós temos, neste momento, muitas dúvidas científicas, ou seja, não se sabe nem qual é o grau, nem o tipo de imunidade adquirida, e aqui estamos a falar não só das pessoas que já foram vacinadas, mas também daquelas que apanharam a doença, ou seja, não sabemos se aquilo só vai atenuar sintomas graves, se vai prevenir o aparecimento de sintomas, se vai prevenir a infeção subsequente, se realmente previne a transmissão. E mesmo relativamente aos vacinados, não se sabe quanto tempo é que aquela imunidade dura", diz à Renascença a professora do Instituo de Bioética da Universidade Católica Portuguesa.

Não obstante, para esta especialista há uma dimensão ética indiscutível e que vai no sentido de se aceitarem os passaportes. "Do ponto de vista ético é sustentável que, se se provar verdadeiramente que as pessoas têm um grau de imunidade e que não transmitem a infeção, não é legítimo mantê-las em confinamento", diz. "Porque nós sabemos que o confinamento põe em causa um conjunto de princípios éticos, como por exemplo a autonomia e a liberdade, e outras garantias que estão constitucionalmente protegidas. Portanto, sabendo, e tendo dados fiáveis de que essas pessoas realmente não só não ficam doentes como não transmitem a doença, é complicado do ponto de vista ético e jurídico mantê-las em casa."

Ana Sofia Carvalho defende que, se o objetivo é apenas registar a vacinação, então é curto, pois tendo em conta os planos de vacinação na Europa o desejo de relançar a economia não seria conseguido, uma vez que se está a dar prioridade a profissionais de saúde e a pessoas mais vulneráveis, nomeadamente os idosos. Já o registo da imunidade conseguida por outros meios, sobretudo por infeção e recuperação, apresenta outras preocupações éticas. "Uma das grandes críticas relativamente ao passaporte da imunidade é de as pessoas de alguma forma poderem querer apanhar a doença só para ter direito ao passaporte, ou mesmo, em situações mais precárias, serem coagidas a ficar doentes."

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Chéquia

Rosário Pinto Correia: "O poder e a coragem"

Dizem todos os livros de gestão que os lugares no topo das organizações são solitários. Porque no fim do dia é a estes que compete decidir o rumo das organizações e fazer o que é necessário para chegar aos objetivos definidos (muitas vezes também por estes...).

Porque quem a eles reporta nem sempre tem capacidade (ou nem sempre lhes é dado espaço) para opinar sobre as decisões que têm de ser tomadas. Porque acima não há a quem fazer queixinhas ou imputar culpas, pelo que a responsabilidade (e o reconhecimento do que corre bem / culpa do que corre mal) é deles. No fundo, no fundo é sempre uma questão de ser forte ou fraco, é sempre uma questão de coragem!

Coragem para tomar as decisões que se entendem corretas... e para exigir ter argumentos sólidos para as tomar. Coragem para utilizar os factos mesmo quando não gostamos deles... e manter as nossas posições, desde que double checked. Coragem para fazer o que não se quer ou não se gosta de fazer... e para viver com as consequências do que fizemos. E também Coragem para enfrentar quem se opõe, com argumentos válidos...e para reconhecer quando não temos razão ou precisamos de ajuda. Coragem para deixar a teimosia de lado...e para reconhecer que erramos. Coragem para mudar de rumo quando é preciso...e para pedir desculpa.

Os dois problemas de fundo que minam muitas organizações - e a vida de muitas pessoas também...- têm sempre a ver com falta desta coragem, desta capacidade para procurar fazer o correto e reconhecer os erros. Por um lado, umas figuras míticas - o "eles" ou os "outros", que aparecem sempre que a vida corre mal.

São umas criaturas vagas e indefinidas, que ninguém vê nem sabe quem são, como que duendes, mas que têm um poder imenso - o de justificar tudo o que corre mal. E atrás da sua responsabilização nos vamos escondendo para evitar olhar de frente para os problemas e reconhecer o papel que neles desempenhamos (e quando as coisas correm bem estes seres desaparecem para só regressar quando voltam a correr mal...!). E por outro, as desculpas de mau perdedor ou de espertalhaço.

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Adiar consultas, ignorar os números, desinfetar "até os cantos das embalagens". A ansiedade na pandemia

A primeira sensação foi de alívio. De repente, as pessoas passaram a ter hábitos idênticos aos dela, desde desinfetar o carrinho das compras, no supermercado, a obrigar terceiros a descalçar os sapatos antes de entrar em casa.

A pandemia legitimou-lhe alguns maneirismos e, da noite para o dia, já não era só ela que torcia o nariz a corrimões de escadas alheias - sentia-se finalmente compreendida. Os cuidados a ter perante um vírus invisível, incluindo o confinamento, vieram "autorizar uma pessoa ansiosa a ficar em casa", diz Catarina Beato.

A blogger, com mais de 70 mil seguidores no Instagram, explica ao Observador que é germofóbica e que já antes da situação pandémica tinha hábitos que, aos olhos de outros, eram excessivos. Se o primeiro confinamento foi de certa forma bem-vindo, a abertura da sociedade no verão passado, com dias marcados por uma maior normalidade, já não foi tão fácil. Catarina e outras pessoas na sua situação "contavam os dias" para o confinamento não acabar. "O nosso drama foi o verão.

Foi uma grande luta para as pessoas que sofrem de ansiedade. Tive de saber andar na rua. Faço parte daquele grupo que nas férias não conseguiu ir a lado nenhum. Estar num hotel ia... gerar imensa ansiedade", garante. A pandemia foi o triunfo do germofóbico, diz ao Observador Isabel Cocheira, psicóloga clínica associada à Associação Portuguesa das Perturbações de Ansiedade (APPA).

A funcionar desde 2019, a chegada da pandemia aumentou a margem de casos de forma significativa, com a psicóloga a recordar a história de uma utente com as mãos em ferida de tanto as desinfetar. "Antes as pessoas faziam pesquisa [de sintomas] no Google, agora isto tomou uma proporção social no sentido em que existem vários alertas. Fala-se constantemente em sintomas como vómitos, diarreia ou febre, o que vem legitimar receios que só existiam antes na esfera individual", explica.

O facto de nos mantermos continuamente alerta durante o dia pode traduzir-se em alterações do sono. "As pessoas estão muito exaustas", assegura Cocheira. Além da pandemia, com a qual convivemos há cerca de um ano, as novas variantes e os hospitais em sobrecarga vêm agravar o sentimento de incerteza.

E, em momentos como estes, a ansiedade pode entrar em cena e originar decisões nem sempre certeiras, como adiar consultas e/ou exames com receio de se ficar infetado - em abril do ano passado, por exemplo, 74% dos portugueses tinham medo de se deslocar aos serviços de saúde, de acordo com um inquérito do Centro de Estudos e Sondagens de Opinião (Cesop) da Universidade Católica.

Em resposta ao Observador, o Cesop esclarece que não têm informação mais recente sobre o assunto. Em 2020, assegura Cocheira, a APPA recebeu vários pedidos de prescrições de um medicamento em particular, Victan 2mg, que chegou a estar indisponível no mercado. "Assim que entrámos em confinamento, as pessoas começaram a disparar com mensagens no Facebook da APPA a solicitar prescrições". A comercialização do medicamento indicado para ansiedade e sintomas nervosos, que estava indisponível desde julho, foi reposta em outubro de 2020. "As pessoas estão a tentar não ir ao hospital, mas procuram outras vias para chegar aos fármacos, isso pode levantar casos sérios de saúde", comenta ainda Cocheira. 

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Marcelo, a cenografia e a retórica do homem comum?

Na primeira emissão da Espantosa Realidade das Coisas após as eleições presidenciais, já com o sociólogo Paulo Pedroso retomando o seu lugar de comentador residente, o editor do magazine dos domingos pediu a Rita Figueiras, professora de Ciências da Comunicação e de Comunicação Política da Universidade Católica de Lisboa, que reflectisse sobre a dimensão cénica e retórica de vários protagonistas da noite eleitoral.

Marcelo saindo de casa para ir buscar o jantar, arrastando jornalistas no seu encalço, Marcelo mostrando a casa, Marcelo saindo mais tarde e dando voltas pela cidade até considerar chegada a hora do discurso. Quis o presidente reeleito mostrar desprendimento, relevando a sua condição de homem comum? E quem se apresentou como homem providencial?

Foi a esquerda, nestas eleições, sacudida por um vendaval que provocou estragos, talvez inesperados num Alentejo, porventura demasiado esquecido pelos decisores e por quantos dele fizeram, em tempos, bastião. Nesse quadro de fundo corre a conversa da jornalista Teresa Dias Mendes com Carlos Brito, um histórico comunista desde há anos fazendo um caminho solitário, sempre na margem esquerda da política. Lá em Alcoutim, junto ao Guadiana, ele ainda escuta o canto dos rouxinóis. 

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Mais milhão, menos milhão - até o sucesso tem prazo de validade

Começou por me perguntar se um dos livros que tinha atrás de mim era o do Tim Cook (a biografia sobre o CEO da Apple, editada em Portugal pela Vogais) e a meio da entrevista reparou no "Bad Blood", que conta a história de Elizabeth Holmes e da Theranos.

Entre dois dedos de conversa, levantou-se e foi buscar dois livros à estante que tinha noutra divisão, um sobre póquer e outro sobre a Netflix. E outros dois depois, mostrou-me algumas das coisas que ensina no The Lisboa MBA Católica | Nova.

Conversar com Bill Aulet é deixarmo-nos levar pelo entusiasmo com que fala do que faz: empreende e ensina outras pessoas a fazer o mesmo. Autor, empreendedor e professor na prestigiada universidade americana MIT, Aulet acredita que isto de lançar negócios tem que passar por quatro fases: a do coração, cabeça, mãos e casa. E mesmo que, depois, venha o sucesso, é preciso ter cuidado, porque nisto do empreendedorismo até a glória tem prazo de validade.

É com algum carinho que conta que, até ao dia em que a mãe morreu, não conseguiu perceber o que era um empreendedor. "Achava que estava desempregado", disse-me. E a quem anda a empreender em tempos de pandemia deixou um conselho: "Invistam em vocês próprios".

Nuno Sebastião sabe o que é isto de que Bill Aulet fala. Cofundador e presidente da Feedzai, viu a startup que lançou em 2009 atingir o estatuto de unicórnio - se não sabe do que falo, ouça aqui que explico tudo - na semana passada, depois de fechar uma ronda de 200 milhões de dólares e de ver a avaliação da empresa subir para 1,3 mil milhões. Confuso com tantos milhões?

É normal... E sabe que mais? Esta já é a quarta empresa fundada por portugueses com este tipo de valor associado, se bem que a Feedzai é a primeira com sede exclusivamente em Portugal. Na conversa que tive com o Nuno Sebastião, disse-me: "Isto deu-me um gozo muito grande, porque conseguimos três coisas muito importantes: manter a empresa em Portugal, o controlo do conselho de administração e o preço que queríamos. E isso é difícil. Tipicamente, só consegues isto quando tens o poder de dizer que não." E disse mesmo que não. Os investidores eram tantos que, a dada altura, era a Feedzai que os entrevistava e não ao contrário.

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Daniela Silva: "O sequestro da Academia pelos licenciados em sensibilidade"

O que poderemos esperar do futuro quando poucos são os que ousam contrariar a uniformidade científica e o conformismo ideológico no contexto universitário? Reproduzindo algumas das piores tendências que nos chegam do mundo anglo-saxónico, os alunos que ingressam hoje no Ensino Superior revelam animosidade e repulsa alarmantes perante a apresentação de factos científicos e quando confrontados com a diversidade de ideias.

O predomínio desta atitude desadequada para o domínio científico revela-se de várias formas. Em primeiro lugar, numa notória incapacidade de distinguir entre a esfera da condição e interesses pessoais e a esfera da discussão de ideias abstractas, argumentos científicos ou apresentação de factos históricos.

Quando um auditório é ocupado por dezenas ou centenas de alunos que podem a qualquer momento extrair e extrapolar um enunciado dito em aula para afirmar que se sentiram ofendidos ou provocados, a actividade lectiva torna-se penosa ou mesmo impraticável. Isto quando não se declaram ofendidos pela associação do próprio nome dos auditórios ou edifícios das Universidades a figuras ou eventos históricos de relevo por estes ferirem as suas sensibilidades.

Em segundo lugar, na falta de reverência perante hierarquias e na desconsideração pelo rigor metodológico e pelas autoridades científicas. Esta falta de reverência ou, se quisermos, esta presunção face ao conhecimento e face aos outros, não é exclusiva da relação entre alunos e Professores. Os seus primeiros sinais manifestam-se em ambiente familiar, geralmente no seguimento de uma educação excessivamente permissiva, de ausência de responsabilização e de um relacionamento igualitário entre membros da família que muitas vezes favorece a falta de respeito e a indisciplina.

Em terceiro lugar, a animosidade dos alunos acontece quando se aplicam, ao contexto académico, as polarizações que se digladiam na sociedade, com particular força nas redes sociais. A superficialidade de discussões que é estimulada nesses moldes não só contribui para baixar os padrões de exigência do campo da argumentação, como legitima também uma visão maniqueísta da realidade, em que não se concebem posicionamentos intermédios, mas apenas conflito entre o bem e o mal absolutos.

De todas estas formas resulta uma preocupante aversão ao contraditório e ao pluralismo e uma motivação delatória iminente entre os alunos e a comunidade académica em geral. 

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Só em maio haverá reforço dos apoios sociais

O reforço dos apoios sociais aos trabalhadores independentes e sócios-gerentes só vai ser pago em maio e não este mês, apesar de o prazo das candidaturas relativas a março só terminar no dia 12, ou seja, na próxima segunda-feira. "A Segurança Social vai implementar estas alterações, com a consequente adaptação do sistema informático, o que implicará mudanças estruturais.

Estas mudanças terão impacto no mês de referência de abril, que é pago em maio", referiu fonte oficial do Ministério do Trabalho, Solidariedade e Segurança Social (MTSSS) em resposta ao Dinheiro Vivo. Os pedidos referentes a março já estão a decorrer e os diplomas só entram em vigor hoje, depois de publicados em Diário da República e, portanto, aplicam-se as regras de março. Em causa está o apoio à redução de atividade de trabalhadores independentes e sócios-gerentes que, com as alterações à fórmula de cálculo, passa a considerar o rendimento médio mensualizado de 2019 e não o do ano passado, quando já o país estava em plena pandemia, e os rendimentos em princípio mais baixos. O governo estima uma despesa adicional de cerca de 40 milhões por mês.

O deputado do Bloco de Esquerda José Soeiro, um dos autores das alterações, rejeita esta explicação que já tinha sido sinalizada pela ministra Ana Mendes Godinho na audição parlamentar na terça-feira. "Se o pagamento de abril for feito com as regras antigas, em maio pode fazer o acerto com retroativos dos dias do mês anterior", sugere o dirigente bloquista.

Mas o deputado BE vê outro risco ao adiar a aplicação da lei. "A haver este atraso, o reforço dos apoios só se aplicaria aos trabalhadores com atividades suspensas: turismo, cultura e eventos, por exemplo", lembrando que as próximas fases do desconfinamento avançam a partir do dia 19 deste mês: restaurantes e cafés com clientes no interior, lojas e centros comerciais abertos, cinemas, teatros, entre outras atividades. Há outra dúvida que ainda está por esclarecer relacionada com as atividades parcialmente suspensas, faltando saber se podem aplicar-se as regras do lay-off simplificado.

Sem devolução Na resposta ao Dinheiro Vivo, o MTSSS garante que a "Segurança Social aplicará a legislação aprovada pelo parlamento nos exatos termos em que foi aprovada", mas o governo vai tentar travar os diplomas com o pedido de fiscalização sucessiva junto do Tribunal Constitucional (TC). O primeiro-ministro aponta a violação da lei-travão que impede os deputados de aumentarem a despesa ou reduzirem a receita em plena execução orçamental e o pedido ao TC deve ser bem-sucedido.

"A lei-travão tal como está prevista é cega sobre se há folga orçamental e impede qualquer iniciativa que tenha como objetivo a redução da receita ou o aumento da despesa e acho que deve aplicar-se tal como está em vigor", defende a especialista em finanças públicas e direito constitucional, Maria d'Oliveira Martins.

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André Pinho: "Digital learning: mais e melhor!"

A comunidade académica fez um ótimo trabalho na transição rápida para o online, protegendo os alunos durante o lockdown. Saídos do "modo bombeiro", temos obrigação de fazer melhor no ensino online. Março de 2020 foi um ponto de viragem para o mundo académico, à semelhança de todos os outros setores no país e no mundo. Vimos no início do mês os primeiros casos de infeção e, no espaço de 12 dias, as escolas e universidades fecharam portas e suspenderam as suas atividades presenciais.

A continuação ininterrupta das atividades letivas a partir deste mesmo dia, pelo menos em grande parte das universidades, foi um feito surpreendente. Docentes e staff mobilizaram-se rapidamente e adaptaram conteúdos didáticos ao formato online, criando a infraestrutura que tal permitisse de forma sólida e sustentada. Sei o que estão a pensar: "Os docentes apenas continuaram a lecionar via Zoom ou Teams o que já faziam presencialmente. Que esforço exigiu isto na prática?"

Concordaria com o vosso desafio, não fossem dois fatores: A grande generalidade das universidades detinha (e detém) poucos recursos ou experiência prática no ensino online; É notoriamente mais demorada a mudança no meio académico do que no meio profissional e a indicação oficial até ao dia 12 de Março era de manutenção das atividades letivas presenciais.

A adaptação rápida foi sentida e recompensada pelos alunos - a avaliação das aulas manteve-se no final do ano letivo face ao seu início e vários comentários de alunos evidenciaram o esforço dos docentes na rápida transição para o online, tendo reconhecido o papel ativo das universidades em dar continuidade à sua formação num momento de crise. Pessoalmente, acredito que cumprimos a missão que o Sr. Primeiro-Ministro nos deu em declaração ao país: não permitir que a crise interferisse com a qualidade da formação desta geração.

Passada esta fase de transição, em que operámos todos em "modo bombeiro", tínhamos, e temos, obrigação de estar a fazer mais e melhor! Da mesma forma que comendámos o esforço da comunidade académica, temos necessariamente de a criticar por perpetuar as mesmas práticas de março de 2020, agora mais de um ano depois.

Continuamos em situação de incerteza, a voltar cautelosamente ao regime presencial, e o ensino online continua a resumir-se, na sua generalidade, apenas ao Zoom e Teams. O termo "Zoom fatigue" foi, entretanto, adotado globalmente, tal foi a dependência dos mundos profissional e académico deste instrumento, em detrimento de o utilizar apenas para o que deveria ser em contexto online - discussão e colaboração, não exposição.

Em ensino online, o objetivo é a utilização de instrumentos síncronos ("aulas online" como as conhecemos) e assíncronos (ex.: vídeos com conteúdo, leituras, quizzes, trabalhos de grupo), de forma a otimizar o engagement e a retenção de conhecimento. Aplicar instrumentos assíncronos evita que um aluno permaneça em chamadas Zoom oito horas seguidas, dá-lhe a flexibilidade para assimilar o conteúdo da forma que prefere e permite a repetição (ex.: pode ver um vídeo várias vezes) - mecanismo instrumental para a retenção.

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Economistas não antecipam, para já, recessão em 2021

Há uma semana os economistas da Católica surpreenderam pelo pessimismo das novas previsões em que deixavam de acreditar numa recuperação da economia em 2021, por causa do novo confinamento, e passavam a prever uma contração de 2%. Contudo, os economistas contactados pelo ECO na sequência desta previsão desalinhada das restantes são cautelosos e confiam que a economia vai recuperar assim que o pior momento da pandemia passar.

"Continuo a achar que o crescimento do PIB em Portugal em 2021 vai ser positivo", responde José Maria Brandão de Brito, economista-chefe do BCP, ao ECO, argumentando que, se a campanha de vacinação for "bem sucedida", é "provável uma forte aceleração da atividade a partir do segundo trimestre".

Em 2020, a economia recuperou mais do que o esperado pelos economistas no terceiro trimestre, após o primeiro confinamento de março e abril e a progressiva normalização de maio e junho. Paula Carvalho, economista-chefe do BPI/CaixaBank, assume a mesma posição, apesar de admitir que no primeiro trimestre o PIB deverá contrair, provocando em Portugal uma recessão "técnica" (dois trimestres consecutivos com o PIB a cair).

Tal é justificado pela "necessidade de restrições à mobilidade mais severas para conter os contágios e o previsível prolongamento de medidas restritivas até ao final do trimestre", além da progressão "lenta" do processo de vacinação.

Este novo confinamento - que o Governo não esperava, tal como sugeriu o ministro das Finanças esta segunda-feira - levará a um ajuste "em baixa" das previsões de crescimento para 2021, "mas mantendo recuperação no ano", assegura Paula Carvalho, antecipando que "a hipótese de queda anual da atividade só ocorreria num cenário mais extremo, que neste momento consideramos pouco provável, com a informação disponível". O BPI deverá atualizar as suas previsões assim que os dados do quarto trimestre de 2020 forem divulgados pelo Instituto Nacional de Estatística (INE).

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Chéquia

Recursos digitais imprescindíveis para a Igreja Católica

"O diálogo entre a vida e a fé nos dispositivos digitais" é o tema do encontro "Clique ao Toque" 2021, que vai decorrer no próximo dia 20 através da plataforma Zoom. Já no passado fim-de-semana houve uma sessão, também à distância.

Trata-se de uma jornada de formação destinada aos agentes da pastoral em geral.

Esta sexta edição "persegue os objetivos de sempre, que é ajudar a compreender, a pensar e a agir de forma consciente naquilo que são os dispositivos da cultura digital e a realizar a missão que nos é confiada", refere o padre Luís Miguel Rodrigues, um dos organizadores deste encontro.

A iniciativa "Clique ao Toque" tem como propósito descobrir de que forma o digital pode ser usado "como um recurso no apoio em contextos formais e informais de aprendizagem". Daí, esta iniciativa "constituir-se como uma resposta a esses anseios".

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Fernando Ilharco: "As origens do sucesso"

Para uns aprender é a natureza das coisas; para outros é quase impossível. sucesso tem dois tipos de origem: a sorte e a aprendizagem. Não são mutuamente exclusivos, por isso, obviamente, aprender, fazer diferente, inovar, ser original e... ter sorte é o melhor.

Mas aprender é mais dificil do que o que parece. O desafio da educação e da formação não é de facto ensinai; como dizia Heidegger, o filósofo alemão, mas aprender. Ou dito de outro modo, é deixar aprender, gerar e provocar a aprendizagem. Num sentido literal, não é possível ensinar coisa alguma a ninguém.

O que alguém transmite não é geralmente o que um outro capta. Captar, apreender, que é o que é aprender, depende do que cada um, do que sabe e do que espera. Por outro lado, sendo um apreender, a aprendizagem implica necessariamente mudar, e nem toda agente está disponível para mudar.

Nem toda a gente está predisposta a ser surpreendida. Aprender é ser capar de algo novo, de algo que não faz parte de nós e que nos leva a pensar de forma diferente, a fazer as coisas de outra maneira, a melhorar o que fazemos. Por isso, a aprendizagem é, a um tempo, o segredo do empreendedorismo, da criatividade, da inovação, da alta performance e de uma boa vida.

Aprender, e mudar, é a única origem do sucesso que está nas mãos de cada um. Aprender, no entanto, pode ser dificil. Ninguém aprende por nós. É necessário ter predisposição para ser contrariado, para ser surpreendido, para descobrir que se está errado. A aprendizagem, geralmente, evolui de uma forma que aparenta ser contraditória - o que era preto afinal é branco, e depois passará a ser preto outra vez, mas por diferentes motivos e apenas em alguns contextos, e depois branco de novo, etc.

Sem a humildade e a capacidade de aceitar que não é como pensávamos, que não está bem como sempre fizemos, é dificil aprender. Mesmo descobrindo novos comportamentos e querendo fazer de maneira diferente, pode não se conseguir mudar. A força do hábito pesa muito. A aprendizagem assenta também na repetição. 

nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 28 de maio de 2021.

Estudante publica e-book para ajudar a comunicação com deficientes

O objetivo é desenvolver um programa simples, "low cost", que não implique recursos especializados e fácil de implementar através da sensibilização e da formação básica aos principais cuidadores e parceiros de comunicação.

"ToP: Programa de Tempo Partilhado" é um e-book elaborado por João Canossa Dias, estudante de Doutoramento em Ciências da Cognição e da Linguagem do Instituto de Ciências da Saúde da Universidade Católica Portuguesa, e um guia para todos os que desejam incentivar a comunicação e a interação com pessoas com multideficiências, dificuldades intelectuais graves e perturbações de autismo e, assim, reduzir o seu isolamento social.

Com coautoria de Isabel Monteiro e Sara Soares (ESSUA) e da professora Ana Mineiro (ICS-UCP), trata-se de um programa "simples e uma abordagem e atitude de cuidadores de pessoas com deficiências mais graves.

O principal objetivo é incentivar os parceiros de comunicação a estarem plenamente disponíveis para a interação comunicativa com estas pessoas e a experimentarem diferentes propostas de atividades e de iniciativas comunicativas simples, que possam ser co-construídas e evoluírem em termos de complexidade e diversidade da troca comunicativa que se desenvolve.

Na prática, este Programa "ToP "propõe aos parceiros de comunicação que dispensam dez minutos do seu tempo, apenas e exclusivamente, na interação com a pessoa com deficiência.

Desta forma, é possível "descobrir novas formas de comunicar e de envolver pessoas com necessidades complexas de comunicação no grupo social de que faz parte".

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António Medina de Almeida: "Como queremos formar os nossos médicos?"

No princípio do século XX foram elaborados três relatórios seminais que determinaram o ensino da medicina no mundo moderno. Estes relatórios estabeleceram as fundações do curso de medicina como agora o temos: os anos iniciais constituídos por estudos biomédicos pré-clínicos seguidos de anos de treino clínico.

Como resultado, o ensino da medicina passou de um modelo de aprendizagem prática para um modelo académico, gerando-se para tal os centros médicos académicos. A evolução tecnológica e a internacionalização do corpo laboral levaram com que a atenção internacional se voltasse novamente para o ensino da medicina no século XXI.

Torna-se essencial preparar os futuros médicos para os desafios que irão enfrentar com o envelhecimento da população, a diversidade cultural, as doenças crónicas e as expectativas dos doentes e familiares. Sobressai a importância da aquisição de competências para além do conhecimento científico, sobretudo os cuidados centrados no doente, a interdisciplinaridade, a prática baseada na evidência, a melhoria continua, integração da saúde publica e utilização de novas tecnologias informáticas.

Os médicos do século XXI deverão ter capacidade de investigação, gestão e liderança, bem como de aprendizagem ao longo de toda a sua vida. Adicionalmente, os currículos deverão integrar conhecimentos e experiências, ter flexibilidade para individualização do processo de aprendizagem, incluir programas cujos resultados possam ser avaliados.

A par da necessidade da integração dos cursos de medicina com as realidades locais onde se encontram inseridos, a assimetria de recursos a nível mundial e a crescente internacionalização de todos os trabalhadores exige que os alunos estejam preparados para enfrentar uma diversidade de realidades. Perante os novos desafios e necessidades da nossa sociedade em evolução, o ensino moderno da medicina requer que os currículos sejam centrados em competências e não dominados por programas de estudos estáticos.

Para além das competências clínicas, é necessário dotar os médicos de competências transversais, tais como comunicação, liderança e gestão, que permitem trabalho interprofissional e o espírito colaborativo. Os métodos de ensino, utilizando todo o potencial de tecnologia e recursos globais e variados disponíveis, devem fomentar a participação ativa do estudante na sua aprendizagem, estimulando a sua curiosidade, engenhosidade, pesquisa autónoma e reflexão.

Deste modo poderemos formar os médicos para a medicina do futuro, com uma cultura inquisitiva e critica, essencial para a investigação científica. Sobretudo formar médicos com capacidade de empatia com todos aqueles com quem lidam Para tal, as escolas de medicina devem não só ter os recursos necessários para o ensino como participar ativamente no planeamento dos cuidados de saúde, em conjunto com as instituições nele envolvidas, tais como ministérios, associações profissionais e centros académicos. 

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Atividades extracurriculares diminuem riscos de utilização de media eletrónicos

Os jovens que passam mais tempo a utilizar meios de comunicação eletrónicos, do smartphone ao tablet, tendem a ter menos ferramentas socioemocionais, autorregulação, motivação, capacidade de decisão ou ajustamento psicológico e maior propensão para cometerem ou serem vítimas de bullying ou cyberbullying, contacto com estranhos, pornografia ou mensagens sexuais. O alerta é feito pela Faculdade de Educação e Psicologia da Universidade Católica do Porto, advertindo também para que a pandemia aumentou a exposição a esses perigos - e que impor limites à utilização dos dispositivos não resolve o problema. O antídoto mais eficaz é a participação em atividades extracurriculares, mesmo sem sair de casa.

Publicado no "International Journal of Environmental Research and Public Health", o estudo da UCP avaliou, no início de 2019, 729 adolescentes, dos 11 aos 17 anos, em 17 escolas públicas e privadas de todo o país, incluindo nas ilhas. Os resultados foram evidentes: a participação em atividades fora do ambiente escolar protege contra a utilização excessiva de telemóveis, computadores, videojogos, internet e outros dispositivos, bem como contra os efeitos negativos associados a essa exposição.

Os dados permitiram ainda concluir que as mais-valias das atividades extracurriculares são visíveis na participação individual ou em grupo, em casa ou no exterior e com ou sem componente desportiva. "Pode ser música, ballet, ginástica, surf, escuteiros... O importante é que sejam atividades extra ao tempo escolar, estruturadas, supervisionadas e internacionalizadas para a promoção de competências", explica Luísa Campos, uma das autoras do estudo.

 

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Nota: Este artigo encontra-se disponível na íntegra para assinantes do Expresso.

Girl Talk

“Acho muito preocupante quando alguém pensa que a digitalização é colocar uma capa mais bonita, para que passe a ser acessível via mobile, num processo anacrónico que muitas vezes está pensado para coisas manuais. It's like putting lipstick on a pig, como dizem os ingleses. Mas não deixa de ser um porco. Ou nós entendemos que é preciso começar do zero, tornar os processos supersimples e fazer acontecer, ou fica difícil.

Temos de simplificar!”, atira Isabel Guerreiro a meio da nossa conversa, mas a frase é quase um resumo da animada troca de ideias entre a Head of Digital Europe do Grupo Santander e a CEO do Grupo Luz Saúde, Isabel Vaz. Duas engenheiras, duas Isabéis e muitas ideias alinhadas sobre o futuro da Saúde e da banca, e acima de tudo, sobre o caminho que Portugal deve fazer nos próximos anos para conseguir aproximar-se dos níveis de excelência que, acreditam, tem capacidade para alcançar.

“Eu passei agora , eu e a reitora da Universidade Católica Portuguesa , por um tema que é dramático, que foi lutar contra tudo e todos para criar um curso de Medicina em Portugal [numa universidade privada], porque todos nos diziam que Portugal não precisava e porque o sistema está completamente... enfim. Mas whos talking about us?.

Portugal e os PALOP vão precisar de mais de um milhão de profissionais de saúde nos próximos anos!”, começa por dizer Isabel Vaz, lembrando: “Nós fomos aqueles tipos que, quando éramos muito pequeninos nos atirámos com umas caravelas ridículas para o resto do mundo. Onde está esse espírito?” A gestora pede às universidades que se tornem polos de diversidade e de excelência, dando como exemplo o campus de Harvard, onde os vários cursos convivem no mesmo espaço, o que ajuda a fomentar o espírito crítico, a tolerância e a troca de ideias.

“O Instituto Superior Técnico (IST), que é excelente, tem de ser internacional! Nós não temos de ter medo por sermos pequenininhos! É isto que mata Portugal. O Hospital da Luz pode querer ser o melhor da freguesia de Carnide ou ser uma referência europeia! Tem a ver com ambição!”, reitera. Neste sentido, Isabel Guerreiro lembra o exemplo de Singapura, onde atualmente a entrada nas universidades é mais difícil do que em algumas instituições da Ivy League.

Com uma localização geográfica particular e sendo de pequena dimensão, resta a Portugal “usar a cabeça” para se demarcar no panorama mundial. Duas engenheiras que partilham o nome, Isabel Vaz e Isabel Guerreiro, pedem uma “reengenharia de processos” no País e traçam cenários para os setores da Saúde e da banca Para ambas, a Educação devia estar neste momento no topo das prioridades do Executivo, com uma consciência muito clara de quais são os ativos que o País pode rentabilizar.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa da Exame - Visão.

Maioria dos portugueses quer continuar a trabalhar a partir de casa

Menos de metade dos portugueses ainda estava em teletrabalho em março, um ano após o início da pandemia de covid-19, mas a grande maioria preferia continuar a trabalhar a partir de casa, de forma integral ou em regime misto.

Estas são algumas das conclusões, hoje divulgadas, de um estudo do Observatório da Sociedade Portuguesa, da Universidade Católica em Lisboa, que procurou perceber o impacto da pandemia na vida dos portugueses.

Em março do ano passado, a pandemia de covid-19 obrigou a maioria dos portugueses a ficar em casa, mas muitos puderam continuar a trabalhar, trocando o escritório por uma divisão de casa.

Um ano depois, dos mil inquiridos entre 27 e 30 de março, apenas 41,4% continuavam em teletrabalho, mas desses a grande maioria preferia manter-se nessa situação ou num regime misto.

"80,4% dos participantes mostram-se interessados ou muito interessados em continuar no regime de teletrabalho", revelam os resultados, que apontam também que 77,9% gostavam de trabalhar a partir de casa até quatro dias por semana.

Por outro lado, aqueles que ainda estão em teletrabalho concordam que têm conseguido gerir o seu trabalho de forma autónoma, mas referem uma "diminuição da perceção de qualidade das condições de trabalho".

Além do teletrabalho, o estudo avaliou também os níveis de satisfação em relação às medidas de restrição e de desconfinamento, à vacinação e ao Serviço Nacional de Saúde (SNS), e os hábitos de consumo dos portugueses.

Ler artigo completo aqui.

Categorias: A Católica

Rui Soucasaux Sousa: "O papel transformador do ensino suportado por investigação"

As universidades estão cada vez menos sozinhas na sua missão de ensino e formação de profissionais. Diversas consultoras prestam serviços de formação profissional nas suas áreas de competência. No setor das tecnologias de informação, empresas como a Google ou Microsoft ministram formação sobre os seus produtos, atribuindo certificações profissionais com grande valor no mercado de trabalho. Outras grandes empresas criaram academias corporativas para a formação dos seus colaboradores.

Então, o que diferencia o ensino que as universidades oferecem do ensino dos demais atores? As universidades não se limitam a disponibilizar conhecimento. Elas próprias produzem conhecimento científico original e independente, através de atividades de investigação.

O seu corpo docente é constituído maioritariamente por doutorados, que foram treinados e socializados durante vários anos para terem independência e espírito crítico, e a liberdade científica é um valor indiscutível. A investigação realizada assenta em metodologias escrutinadas, que asseguram a validade das suas conclusões. A investigação dá origem a um ensino diferenciado e de qualidade por muitas vias, mas referirei apenas duas para ilustrar o meu ponto.

Primeiro, a investigação demora alguns anos até ser refletida nos materiais de ensino tradicionais, como sejam os livros de texto. Este conhecimento é acedido numa primeira fase apenas pelos investigadores, que o partilham nas suas redes profissionais e artigos científicos. O mundo muda muito em alguns anos, pelo que este lag faz diferença. Por exemplo, se o leitor consultar nesta altura livros de texto tradicionais sobre a Gestão de Serviços, dificilmente encontrará capítulos sobre o impacto da Covid-19.

No entanto, neste momento está em curso trabalho de investigação sobre este tema na Católica Porto Business School e em muitas outras universidades, e esse novo conhecimento foi já transposto para as disciplinas lecionadas na Escola.

Este processo de transposição de conhecimento de ponta tem que ser realizado com prudência e espírito crítico, e não pode ser substituído por uma consulta ao wikipedia ou fontes similares. Segundo, cada vez mais as organizações valorizam a tomada de decisão com base em evidências, tirando partido do enorme manancial de investigação e dados disponível a nível global.

Para um estudante de Gestão, é crítico entender que práticas funcionam e não funcionam, e em que contextos. Uma das lições que se aprende num programa de gestão é que a resposta a muitas questões é: “Depende”. Para entender quais são as práticas de gestão mais adequadas a cada situação é necessário um conhecimento que não deve provir apenas da experiência pessoal de quem dá as aulas, uma vez que esta será naturalmente restrita e subjetiva.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal Económico de 04 de junho de 2021.

Atividade Editorial

A atividade editorial da Universidade Católica Portuguesa (UCP) é muito diversificada e começou a ser desenvolvida com a sua fundação em 1967. Neste momento abrange todas as áreas científicas da UCP e reúne coleções, revistas científicas e boletins de notícias. Várias publicações, entre elas a Revista Portuguesa de Filosofia, contam com longos anos de existência e grande prestígio no meio académico.
 

Universidade Católica Editora

UCEditora

Em 1998, a UCP lançou a sua própria editora, a Universidade Católica Editora (UCEditora). Cerca de 1 000 obras depois da sua fundação, a UCEditora tem uma posição consolidada no mercado nacional, com prestígio reconhecido sobretudo no meio académico.

O catálogo da UCEditora integra obras fruto de trabalhos de investigação inovadores e rigorosos, realizados, maioritariamente, no âmbito da atividade científica da UCP. Desta forma, funciona assim como meio de comunicação privilegiado entre a comunidade académica da UCP e a sociedade.

As publicações da UCEditora reúnem-se em cinco grandes áreas temáticas:

  • Arte e Humanidades
  • Ciências Sociais
  • Ciências da Saúde
  • Direito
  • Teologia

No presente

A UCEditora continua a sua aposta na edição de livros híbridos (simultaneamente em papel e em eBook) e em Acesso Aberto.

São opções estratégicas da UCEditora, que mantém ainda o compromisso de consolidar:

  • a edição em língua inglesa;
  • a disponibilização de monografias e de revistas em Acesso Aberto numa parceria com a rede de Bibliotecas da UCP;
  • a presença nos principais diretórios internacionais de editoras científicas.

 

Axioma

Criada em 2005, em Braga, como expressão do empenho da Companhia de Jesus no mundo académico e científico, a Aletheia – Associação Científica e Cultural, é a entidade responsável pela editora Axioma – Publicações da Faculdade de Filosofia, que publica várias coleções temáticas, uma série monográfica e duas revistas internacionais que refletem a atividade do ensino e da investigação da Faculdade de Filosofia e Ciências Sociais da Universidade Católica Portuguesa, bem como da restante academia nacional e internacional.

 

Revistas Científicas

Cadernos de Pedagogia Social (Faculdade de Educação e Psicologia);

Cadernos de Saúde (Faculdade de Ciências da Saúde e Enfermagem);

Católica Law Review (Centro de Estudos e Investigação em Direito);

Comunicação & Cultura (Centro de Estudos de Comunicação e Cultura);

Didaskalia (Faculdade de Teologia);

Diffractions (Lisbon Consortium);

Direito e Justiça (Faculdade de Direito);

Ephata (Faculdade de Teologia);

Estudos de Conservação e Restauro (Centro de Investigação em Ciência e Tecnologia das Artes);

Gaudium Sciendi (Sociedade Científica);

Gestão e Desenvolvimento (Instituto de Gestão e das Organizações da Saúde);

Humanística e Teologia (Faculdade de Teologia);

Interconexões (Faculdade de Ciências Sociais);

International Journal of Philosophy and Social Values (Centro de Estudos de Filosofia);

Journal of Science and Technology of the Arts (Centro de Investigação em Ciência e Tecnologia das Artes);

Locus Soci@l (Faculdade de Ciências Humanas);

Lusitania Sacra (Centro de Estudos de História Religiosa);

Market and Competition Law Review (Centro de Estudos e Investigação em Direito);

Máthesis (Departamento de Letras);

Povos e Culturas (Centro de Estudos de Povos e Culturas de Expressão Portuguesa);

Revista de Artes Decorativas (Centro de Investigação em Ciência e Tecnologia das Artes);

Revista Portuguesa de Investigação Educacional (Faculdade de Educação e Psicologia);

Theologica (Faculdade de Teologia).

 

Outras publicações

Coleção Estudos e Documentos (Centro de Estudos de Povos e Culturas de Expressão Portuguesa);

Estudos de História Religiosa (Centro de Estudos de História Religiosa);

Extra Coleção (Centro de Estudos de Povos e Culturas de Expressão Portuguesa);

Fontes e Subsídios (Centro de Estudos de História Religiosa);

Instrumentos e Descrição Documental (Centro de Estudos de História Religiosa);

Revista Nova Cidadania (Instituto de Estudos Políticos).

Paula Castro: "O poder do invisível na saúde do planeta"

O meu filho mais novo é adolescente e faz anos hoje, dia 5 Junho - desejo que quando atingir a idade da mãe possa festejar neste dia mundial do ambiente o sucesso que a humanidade obteve ao reverter caminhos vertiginosamente perigosos para a nossa sobrevivência como espécie.

No Porto Cuidar do solo é um dever de todos - é dele que vem o nosso sustento e assim a saúde da humanidade depende da saúde do solo. Os solos contribuem com 25% da biodiversidade do planeta, invisível aos nossos olhos, e nele são criados 95% dos alimentos que consumimos.

As suas funções não se esgotam aí - também purificam água, controlam cheias e fixam carbono, contribuindo para a estabilização do clima. Os cientistas têm a responsabilidade de dar a ver o solo a toda a sociedade, de tornar visível o que aparentemente não passa de um suporte físico para plantas, estradas ou cidades.

A FAO (a organização das Nações Unidas dedicada à agricultura e alimentação) calcula que um terço do solo mundial está significativamente degradado. Há estimativas que apontam que a cada ano uma área correspondente à produção de 20 milhões de toneladas de cereais é perdida devido à desertificação.

As causas que nos trouxeram a este estado são múltiplas: monoculturas com pouca ou nenhuma rotação, abuso de agroquímicos de síntese, compactação e impermeabilização agravada pelo crescimento urbano, entre outros. Mas talvez a perda mais insidiosa seja a da biodiversidade escondida - os organismos que fazem a diferença entre um solo vivo, fértil, dinâmico e regenerador, e um pó inerte quiçá recheado de contaminantes.

Desde há duas décadas que investigadores na Escola Superior de Biotecnologia da Católica no Porto se dedicam a desenhar soluções baseadas na natureza com vista à regeneração de solos. A biodiversidade do solo é a fonte de inspiração para soluções naturais: desde os biofertilizantes aos bioinoculantes desenvolvemos cocktails de microrganismos que fixam azoto e solubilizam fósforo (nutrientes críticos ao crescimento vegetal) e criam redes de comunicação subterrânea que distribuem água e nutrientes pelas plantas e as protegem de doenças.

Ler artigo completo aqui.

A maior corrida do mundo é pelo controlo da inteligência artificial

A maior corrida do mundo é tecnológica e tem a inteligência artificial como primeiro prémio. EUA e China disputam a liderança, mas a UE poderá ter uma palavra a dizer. Como? Com investimento. Estamos a assistir a uma corrida tecnológica entre os principais blocos geopolíticos e o primeiro prémio é uma vantagem no desenvolvimento de inteligência artificial (IA), aquela que a norte-americana Comissão de Segurança Nacional sobre Inteligência Artificial (NSCAI, na sigla em inglês) considera ser "a mais poderosa ferramenta em gerações".

Os especialistas concordam que a competição se desenrola, atualmente, entre os Estados Unidos da América, que a lideram, e a China, que tem encurtado distâncias de modo consistente. "Os Estados Unidos e os seus amigos e aliados têm sido as potências tecnológicas dominantes nas últimas décadas, mas a China está rapidamente a recuperar em algumas áreas importantes", afirma Anja Manuel, responsável pelo Fórum de Segurança de Aspen.

Não se trata de um remake da "guerra fria" que opôs os EUA à União Soviética e em que se desenvolveram o mesmo tipo de disputas, como a corrida à conquista do espaço, porque vivemos uma interdependência económica e porque as diferenças ainda são consideráveis.

"As interconexões económicas criam dependências. Quanto mais um país depende de outro, mais o seu poder enfraquece e este é o caso da China no comércio com os EUA", diz Antonia Colibasanu, analista e administradora responsável pelas operações na Geopolitical Futures. Facto, no entanto, é que os co-presidentes da NSCAI - Eric Schmidt, ex-presidente-executivo da Google, e Robert Work, ex-secretário-adjunto da Defesa nas administrações Obama e Trump - dizem, na carta que acompanha o relatório final do organismo que lhes cabe entregar uma mensagem "desconfortável: a América não está preparada para defender ou competir na era da IA".

A capacidade de evolução que o Império do Meio tem demonstrado é reconhecida. "A China é uma potência de inovação impressionante", alerta Anja Manuel, destacando o trabalho feito em áreas como as dos "sistemas de pagamento e fintech", com empresas como a Alypay ou a Ant Financial, e na próxima geração de comunicações móveis (5G/6G), em que "a Huawei é excelente", disputando a primazia com a Ericson e a Nokia.

Anja Manuel, cofundadora de consultora estratégica com a ex-secretária de Estado norte-americana Condoleezza Rice e o ex-secretário da Defesa Robert Gates, aponta o caso dos semicondutores para evidenciar a atual situação. A procura suplanta a oferta no mercado, com consequências em diversos sectores e a China já reagiu. "A indústria estima que entre 2015 e 2025 a China investirá 350 mil milhões de dólares [cerca de 286 mil milhões de euros] para fortalecer o seu ecossistema de semicondutores", diz. "Cerca de 55% do consumo de semicondutores da China é usado em produtos fabricados na China para empresas estrangeiras, incluindo a Apple, a Cisco e a HP", acrescenta.

E que papel pode ter a Europa? Não se pense, no entanto, que se trata de uma corrida a dois. "Todos os blocos com voz geopolítica estão a investir significativamente em tecnologia seguramente desde os anos 2000, e alguns mesmo antes", diz ao JE Paulo Cardo do Amaral, doutorado em Sistemas de Informação e professor na Católica Lisbon. "A aceleração está acontecer por causa dos impactos estratégicos ligados à informação e conhecimento", acrescenta. 

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Católica de Braga cria projeto de turismo sustentável no Cávado

O projeto será desenvolvido pelo Centro Regional de Braga da Universidade Católica Portuguesa e será integrado na Rede da Organização Mundial do Turismo. E vai funcionar em articulação com o Observatório que será lançado em 2022 pela Entidade Regional de Turismo do Porto e Norte de Portugal.

O propósito é gerar sinergias que potenciem a atratividade do Cávado, que vai passar a ter uma marca comum para os concelhos de Braga, Amares, Barcelos, Esposende, Terras de Bouro e Vila Verde. A medida é avançada na versão final do Plano Estratégico Cávado 2030, que a Comunidade Intermunicipal (CIM) do Cávado vai apresentar na próxima sexta-feira, dia 11 de junho.

O documento faz saber que a «criação e implementação de um Núcleo de Turismo Sustentável para o Cávado» está entre as linhas estratégicas que visam «alcançar níveis mais avançados de organização da oferta turística e progredir na cadeia de valor do negócio turístico» e precisa que o projeto será da responsabilidade da «Universidade Católica de Braga , Centrop Regional de Braga», que desde há vários anos ministra uma licenciatura em Turismo.

«Esta Linha de Ação visa dotar a oferta turística do Cávado e as estratégias dos seus principais players de condições de avaliação e monotorização da procura que se manifesta na sub-região, sinalizando regularmente adaptações da oferta e apontando para fontes e caminhos de inovação nesse domínio», sublinha o documento.

Acrescenta o Plano Estratégico que «a ação do Núcleo deverá articular-se com o Observatório do Turismo Sustentável que a Entidade Regional de Turismo Porto e Norte de Portugal pretende lançar em 2022, gerando sinergias e cruzamentos de informação e de análises que possam enriquecer-se mutuamente».

A ligação à Porto e Norte visa «uma melhoria qualitativa da oferta turística na região» e compreende a «conceção, testes e implementação do sistema de informação de suporte» e o «estabelecimento de processos de cooperação» capazes de «reforçar a notoriedade da oferta turística do Cávado na marca Porto e Norte der Portugal e na promoção turística nacional».

Nota: Pode ler o artigo completo na edição impressa do Diário do Minho de 07 de junho de 2021.

 

Alemanha

As 5 macrotendências da indústria Fintech para os próximos anos

Um novo estudo orientado pela sociedade gestora de capital de risco, Bynd Venture Capital, e desenvolvido pelo Venture Capital Club, da Universidade Católica Portuguesa, prevê as principais linhas de atuação e análise dos mercados ibérico, europeu e global, e revela as 10 principais tendências da indústria Fintech para os próximos anos.

O relatório assinala, igualmente, o impacto que a Pandemia teve na adoção de soluções Fintech, em prol do acesso a instituições financeiras tradicionais, principalmente pelo papel da transformação digital em setores outrora mais conservadores. As tendências são agrupadas em cinco macrotendências ligadas à sustentabilidade, uma vez que o ecossistema financeiro "green" está em crescimento, com foco na redução da pegada carbónica e em tornar as transações ecofriendly.

Digitalização de Processos: Com a pandemia, a procura por processos digitais e que permitam uma maior autonomia financeira, nomeadamente em abertura de contas e utilização de assinaturas digitais, cresceu. Por esta razão, a Inteligência Artificial (IA) e a Machine Learning (ML) surgiram enquanto assistentes dos chatbots, na análise das melhores soluções financeiras e na deteção de fraudes. Ligada a esta tendência, surge outra: os Bancos 100% Digitais.

Estes oferecem flexibilidade, serviços inovadores e preços mais competitivos, atraindo, por isso, pessoas que procuram soluções simples para gerir as suas finanças. Cibersegurança: Com a crescente digitalização, a segurança dos clientes passou a ser uma preocupação. Os processos digitais de tomada de decisão financeira exigem um sistema regulatório eficiente - o RegTech, que, além de proteger os dados, assegura estabilidade financeira. Literacia Financeira: À medida que as soluções digitais aparecem, a Literacia Financeira é essencial ao crescimento da indústria Fintech, sendo por isso um forte aliado.

As instituições já começam a criar soluções tecnológicas de coaching financeiro, que permitem criar ligações estáveis e duradouras com os clientes. O crescimento da Literacia Financeira pressupõe, ainda, uma maior vontade, por parte das pessoas, em investir o seu dinheiro. Financiamento Alternativo: Hoje, existem formas de empréstimo alternativas às tradicionais, como o Peer-to-Peer (P2P), uma solução que aproxima diretamente os investidores aos mutuários, o Crowdfunding, no qual um grande número de investidores individuais empresta dinheiro a empreendedores, e, por fim, o financiamento baseado no rendimento, que fixa um valor que irá ser retornado tendo em conta o rendimento corrente. Soluções de Pagamento Integradas e Seguras: As criptomoedas têm ganho grande destaque a nível global e começam a ser utilizadas por grandes empresas como formas de pagamento.

Ler artigo completo aqui.

Fernando Ilharco: "A maneira como andamos pode influenciar as emoções"

A separação entre a mente e corpo, pensamento e acção, plano e mu-dança, é apenas teórica, evidentemente. E um modelo de análise e preparação para a acção, que é uma herança do Iluminismo e das teses de Descartes (1596-1650) - ou das consequências que estas teses tiveram na ciência -, sobre as quais assentou o método científico e em boa parte o progresso dos últimos séculos.

Hoje, no entanto, das neurociências às ciências comporta mentais, passando pela biologia, pela liderança e pelos estudos da expertise e alta performance, trabalha-se no relacionamento entre os elementos, entre os diversos aspectos do ser humano. Investiga-se sobretudo o funcionamento sistémico, seja de uma pessoa, de uma organização, de uma cidade ou de um país.

A mente humana, um órgão do corpo, tem como principal trabalho mexer o corpo humano, conforme ao que sentimos e pensamos; conforme ao que inconsciente, subconsciente e conscientemente acontece sistemicamente connosco. As emoções modelam o que pensamos e fazemos, mas o que fazemos e o que pensamos modelam também o que sentimos.

William Jalnes, o pai da psicologia norteA postura física e a movimentação modelam o próprio e comunicam com os outros. -americana, dizia "não canto porque estou feliz, mas estou feliz porque canto." Um sorriso faz-nos sentir mais satisfeitos, mesmo se estivermos zangados ou tristes. Ao forçar um sorriso com as mãos, puxando os cantos da boca para cima, ou trincando suavemente um lápis, o sistema nervoso tenderá a reagir como quando se sorri.

Outro comportamento eficaz para aumentar a confiança e a motivação, bem como para transmitir segurança, empenho e preparação, é andar ou estar sentado com as costas direitas. Trata-se de uma postura que facilita a subida da testosterona, a química da confiança, e o ajustamento positivo do cortisol, a química da atenção e do stress.

Em geral, uma postura que expanda ligeiramente o corpo é favorável à confiança, à criatividade, ao raciocínio rápido e comunica isso mesmo às pessoas com quem estamos. Transmite uma presença positiva, empenhada, preparada e confiante. O senso comum acredita que a mente comanda o corpo, mas a ciência tem mostrado que o contrário é tão ou mais correcto.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 25 de junho de 2021.

Rosário Pinto Correia: "Não vai dar...mas não devia!"

Não consigo perceber! Não consigo mesmo...Como é possível que alguns seres humanos achem normal não fazer aquilo que se comprometeram a fazer, sem que isso lhes cause nenhum problema? Como conseguem viver deixando tudo e todos à sua volta pendurados por causa das suas falhas?

Como podem dormir descansados quando não querem saber das consequências dos seus "pois é, não posso..."; "pois é, mas agora não dá..."; "pois é, mas as circunstâncias mudaram..."; "pois é ..."o diabo que os carregue!" Assistimos todos os dias a este triste espetáculo. Um total desprezo pelo acordado, acompanhado de uma total indiferença pelo que pode acontecer a quem está à espera de alguma coisa que não é entregue nos prazos ou nas condições acordadas. Por vezes não é entregue de todo. Outras, entregue em más condições.

Algumas...até parece que está tudo bem, mas depois, afinal, não funciona. E quem falha segue a sua vida, sem quaisquer remorsos, e, na maioria das vezes, sem sequer um pedido de desculpas! Incumprimento de horas. Incumprimento de prazos. Incumprimento de tarefas. Incumprimento de respostas. Incumprimento de qualidade...

Para tudo, a resposta "pois é..." e um "não me chateie mais!" que não é dito, mas fica sempre no ar. Resolvem o problema falhando com alguém e esse alguém que se dane, já não é problema deles! Ainda mais grave - para estas pessoas há sempre uma qualquer razão (para elas imensamente válida) para deixar o outro na mão.

Porque apareceu alguém que paga mais. Porque há uma coisa mais urgente. Porque deixou de me interessar. Porque agora já não me apetece... Egoísmo em estado puro, na maioria das vezes. Roçando o desprezo noutras. Quase doloso nas suas consequências em muitas! Este fenómeno está presente em todos os aspetos da nossa vida, da data de resposta a um email à aprovação de um megaprojeto público. Pessoas, empresas, instituições, organismos públicos e privados, governo...

Por toda a parte o não fazer o que está combinado / acordado / regulamentado / previsto da forma e nos prazos devidos é o que parece normal. Tanto que até nos admiramos quando alguma coisa é feita tal e qual como devia ter sido, verdade? Encolhemos os ombros, resmungamos, barafustamos, protestamos, escrevemos no livro de reclamações (by the way, a esse algumas empresas nem se dignam responder!), ameaçamos com processos (que já sabemos não vão dar em nada)... E vamos, pouco a pouco, desacreditando, alguns aceitando que é mesmo assim, outros sentindo-se cada vez mais desrespeitados.

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Políticas de emprego vão estar em debate na conferência promovida pelo JE e pela Multipessoal

Estarão presentes Pedro Marques, antigo secretário de Estado da Segurança Social; Joana Silva, diretora do PROSPER - Center of Economics for Prosperity da Católica Lisbon; João Proença, presidente do Conselho Geral e de Supervisão da ADSE e antigo secretário-geral da UGT; Marisa Matias, eurodeputada do Bloco de Esquerda; e André Ribeiro Pires, chief operating officer da Multipessoal.

O Jornal Económico (JE), em conjunto com a empresa de recrutamento Multipessoal, vai promover uma webconference sobre "politicas públicas de emprego", integrada num ciclo de conferências sobre a evolução da formação, do emprego e do mercado de trabalho em Portugal e as expectativas de desenvolvimento.

No centro deste debate estarão as políticas que devem ser definidas para o cumprimento dos objetivos acordados pela União Europeia, que também são de Portugal, de criar mais e melhor emprego, apesar do menor crescimento económico conseguido nos últimos anos. O debate contará com a participação de Pedro Marques, eurodeputado do PS, ex-ministro do Planeamento e das Infraestruturas e antigo secretário de Estado da Segurança Social; Joana Silva, professora associada e diretora do PROSPER - Center of Economics for Prosperity da Católica Lisbon; João Proença, presidente do Conselho Geral e de Supervisão da ADSE e antigo secretário-geral da UGT; Marisa Matias, eurodeputada do Bloco de Esquerda; e André Ribeiro Pires, chief operating officer da Multipessoal. A moderação estará a cargo de Ricardo Santos Ferreira, editor do Jornal Económico.

A pandemia de Covid-19 criou um período de exceção, em que o foco das políticas públicas esteve concentrado nos apoios à preservação do emprego, dos rendimentos e à proteção social, que, segundo a ministra do Trabalho, Solidariedade e Segurança Social, Ana Mendes Godinho, abrangeram cerca de um quarto da população.

O objetivo, agora, é superar a crise pandémica e olhar para o futuro. Assim, o que se procurará debater nesta conferência são os desafios que se colocam ao mercado de trabalho, a forma como as políticas de emprego podem ajudar a solucionar os constrangimentos detetados, qual o papel do empreendedorismo e como o quadro legislativo deve evoluir para garantir o cumprimento do objetivo de criação de emprego, mas com qualidade. 

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Paulo Cardoso do Amaral: "Enriquecer à conta da ´virtude´ maquiavélica... de Maquiavel"

"O Príncipe" de Maquiavel começa por ser uma lição sobre a relação entre virtude e liderança. O que terá dado origem ao adjetivo "maquiavélico"? É no estudo da aplicação detalhada do conceito de virtude que encontramos esta sublime contradição - bem como o seu valor incomensurável para os negócios - razão pela qual vale a pena estudar, debater e aplicar a virtude de Maquiavel. Niccoló di Bernardo dei Machiavelli, conhecido na nossa língua por Nicolau Maquiavel, é considerado o primeiro autor do pensamento estratégico no ciclo que a Renascença abriu ao mundo. O livro em causa tem um título conhecido, "A arte da Guerra", o mesmo exacto título do famoso livro de Sun Tzu.

Porém, é no livro "O Príncipe" que encontramos a contribuição mais conhecida e debatida de Maquiavel, o tal onde nasceu o adjectivo "maquiavélico". Mas como é possível que as ideias iluminadas da Renascença, aplicadas à liderança e à virtude, tenham como corolário uma contribuição tão perversa?

A verdade é que poucos quererão ser conhecidos como maquiavélicos, mas, como vamos ver, afinal ser maquiavélico é o que as empresas devem praticar quando almejam um posicionamento estratégico com rentabilidade à vista, leia-se, lucro. Vejamos como. Ler "O Príncipe" de Maquiavel começa por ser uma lição sobre a relação entre virtude e liderança.

Para leitores mais distraídos, à primeira vista, a virtude de Maquiavel pode até parecer inofensiva. Mas então, o que terá dado origem ao adjectivo "maquiavélico"? É no estudo da aplicação detalhada do conceito de virtude que encontramos esta sublime contradição - bem como o seu valor incomensurável para os negócios - razão pela qual vale a pena estudar, debater e aplicar a virtude de Maquiavel.

Para além das lições sobre a arte de bem liderar liderança, a virtude de Maquiavel é importante para a rentabilização de qualquer proposta de valor ao serviço da estratégia de negócios. Aliás, podemos optar por uma forma mais crua de verbalizar essa importância, e dizer o seguinte: "Como manipular as emoções dos clientes para lhes ir ao bolso".

Mas afinal qual é a relação entre a virtude de Maquiavel, as emoções das pessoas e as fontes de receita dos negócios? Vamos aos detalhes. Em "O Príncipe", Maquiavel explica detalhadamente o que é a virtude nas seguintes dimensões: o líder tem de ser (i) amigável, (ii) generoso, (iii) piedoso, (iv) saber manter a sua palavra, (v) ser socialmente casto, (vi) convicto, e (vii) consequente nas suas decisões.

Além disso, relativamente ao processo de decisão, o líder tem de ser (i) sério, (ii) corajoso, (iii) transparente e (iv) firme. É isto. Maquiavel passa metade do livro a descrever como exercer a liderança com virtude, ou seja, como aplicar estes onze princípios, e a outra metade a dar exemplos, alguns deles do tempo do império romano, bem ao estilo da alta renascença, diga-se. Afinal, não é só nas correntes estéticas que encontramos o revivalismo da antiguidade clássica. Aparentemente, todos estes princípios de liderança são virtuosos, positivos e muito longe da tradicional percepção do que é ser maquiavélico. Porém, o significado mais comum deste adjectivo está patente na célebre frase "os fins justificam os meios".

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Trabalho: competências e precaridade são principais desafios

O reforço das competências dos trabalhadores e a limitação da precaridade são dois dos principais desafios para o mercado de trabalho português, de acordo com os participantes na conferência sobre “políticas públicas de emprego”, promovida pelo Jornal Económico e pela Multipessoal.

Não são os únicos, porque o decisor político terá de enquadrar a digitalização do trabalho, definir uma estratégia para a imigração e, também, Estado e empresas terão de encontrar formas de reter talento, para que a economia possa desenvolver-se. Para a diretora do PROSPER , Center of Economics for Prosperity da Católica Lisbon, Joana Silva, a primeira linha do desenvolvimento do mercado de trabalho depende das empresas, da capacidade de criarem riquezas e, por essa via, postos de trabalho.

Diz que o aumento das competências é uma necessidade, mas avisa que tem de ser “uma qualificação se traduza em valor acrescentado e produtividade” e numa adequação dos empregos às competências. Pedro Marques, eurodeputado do PS, ex-ministro do Planeamento e das Infraestruturas e antigo secretário de Estado da Segurança Social, considerou que já foi feito um “caminho enorme na questão das qualificações, do lado das qualificações básicas do lado da escola”, mas que falta, agora, a requalificação de quem já está no mercado.

“Ainda temos muita gente ainda no mercado de trabalho que não beneficiou desse aumento de qualificação”, disse, apontando que as metas europeias para a formação serão um incentivo para uma formação que tem de resultar numa dupla certificação, profissional e escolar. Joana Silva acrescenta que a formação tem, também, de ter aplicação no emprego, “traduzir-se numa melhor performance do trabalhador” e estar “diretamente relacionada com o salário dessa pessoa que melhorou”.

André Ribeiro Pires, chief operating officer da Multipessoal, referiu, pelo conhecimento que tem do mercado, que as empresas se mostram disponíveis para investirem em formação, desde que “necessária para a sua laboração”, enquadrada num modelo que seja ágil e que ermita não só a formação, mas também a capacidade de reter talento, incluindo definir uma estratégia para a imigração. 

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal Económico de 02 de julho de 2021.

Não vamos ficar todos bem

A Universidade Católica, em parceria com a Fundacion La Caixa, publicou, recentemente, os resultados de um estudo feito com o "objetivo de avaliar o impacto da covid-19 na pobreza e desigualdade em Portugal, bem como o efeito mitigador das políticas públicas de proteção".

As conclusões deste estudo não surpreendem quem anda atento e no terreno. Mas não deixam de impressionar e deviam ser motivo de reflexão para quem tem a responsabilidade de implementar políticas sociais.

De facto, em 2020 e em consequência da pandemia, 400 mil portugueses caíram abaixo do limiar de pobreza, aumentando a taxa de risco de pobreza em 25%! Sendo que o limiar da pobreza representa um rendimento anual inferior a 60% do rendimento mediano, com a agravante de este ter passado de 10,1 para 9,1 mil euros anuais durante 2020 - o que se traduz num empobrecimento generalizado da população.

Diz também o estudo que as pessoas mais afetadas foram as das classes baixa e média-baixa, as da região do Algarve e as com escolaridade inferior ao 9.oº ano, ou seja as que já eram mais desfavorecidas.

Mas esta semana ficamos a saber também que, de acordo com estatísticas publicadas no Portal das Finanças, em 2020 foram transferidos capitais portugueses para offshores no valor de 6,8 mil milhões de euros (pouco menos que o valor do OE de 2021 para a Educação!). E estamos a falar, apenas, de transferências reportadas pela banca, dado que haverá muitas outras transferências sem registo. Sendo que este valor representa, em pandemia e em fase de empobrecimento do país, um aumento de 14,3% relativamente a 2019.

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Marcelo lembra Pedro Lains como "figura cimeira" de nova geração de historiadores económicos

Economista morreu esta segunda-feira, aos 61 anos, em Lisboa, devido a um cancro. O Presidente da República, Marcelo Rebelo de Sousa, lamentou esta segunda-feira a morte do economista Pedro Lains, lembrando-o como "figura cimeira da nova geração de historiadores económicos portugueses", com um "espírito eternamente jovem e irreverente".

"O Presidente da República lamenta profundamente a morte do Professor Pedro Lains, figura cimeira da nova geração de historiadores económicos portugueses", lê-se na nota publicada no sítio da internet da Presidência da República. O chefe de Estado sublinha, na mesma nota, que "no seu trabalho sobre a economia portuguesa nos séculos XIX e XX convergiram, de modo inovador, um profundo conhecimento historiográfico e uma invulgar competência económica, contribuindo de modo marcante para uma nova visão sobre evolução do país naquele período".

"Autor de vasta obra com reconhecimento nacional e internacional, o seu espírito eternamente jovem e irreverente tornam ainda mais prematuro o seu desaparecimento", refere Marcelo Rebelo de Sousa. O Presidente da República apresentou "sentidas condolências à família, aos amigos e ao Instituto de Ciências Sociais da Universidade de Lisboa por esta grande perda". O economista Pedro Lains morreu esta segunda-feira, aos 61 anos, em Lisboa, devido a um cancro, informou à Lusa a Universidade de Lisboa, onde era investigador.

Natural de Lisboa, Pedro Lains era investigador-coordenador do Instituto de Ciências Sociais (ICS) da Universidade de Lisboa, professor convidado da Faculdade de Economia e Gestão da Universidade Católica e membro do Instituto Laureano Figuerola da Universidad Carlos III de Madrid, em Espanha. Licenciado em Economia na Faculdade de Economia da Universidade Nova de Lisboa (UNL), em 1983, doutorou-se em História no Instituto Universitário Europeu de Florença, Itália, em 1992, e fez a agregação em Economia na UNL em 2001.

Foi professor visitante da Faculdade de Economia da UNL, das universidades Carlos III de Madrid, de Brown (Estados Unidos) e Évora, tendo dirigido a Associação Portuguesa de História Económica e Social, a Sociedade Europeia de Economia Histórica, a editora Imprensa de Ciências Sociais e a revista do ICS Análise Social.

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E-book quer ajudar integração pessoas com deficiências na sociedade

João Canossa Dias, estudante de Doutoramento em Ciências da Cognição e da Linguagem, na Universidade Católica Portuguesa (ICS-UCP), publicou o e-book ‘ToP: Programa de Tempo Partilhado’ que pretende “ajudar a integração” de pessoas com deficiência na sociedade.

Num comunicado enviado hoje à Agência ECCLESIA, a UCP informa que o e-book é o guia para o programa ‘ToP’, uma abordagem que visa assegurar que as pessoas com “dificuldades intelectuais e/ou multideficiência não perdem oportunidades para a interação e comunicação interpessoal”.

Um programa para prevenir o “isolamento social” a que a população com dificuldades intelectuais e multideficiência está mais vulnerável.

A Universidade Católica Portuguesa explica que o ‘ToP’ é, em simultâneo, “uma abordagem e uma atitude”, centrada na partilha de tempo com a outra pessoa, um programa “simples e de fácil implementação” que contempla oportunidades para o utilizador refletir sobre como “interage com a pessoa com deficiência, quais os efeitos da interação sobre o próprio e sobre o parceiro com deficiência”.

João Canossa Dias, estudante de Doutoramento em Ciências da Cognição e da Linguagem do Instituto de Ciências da Saúde da Universidade Católica Portuguesa (ICS-UCP), publicou o e-book ‘ToP: Programa de Tempo Partilhado’, em coautoria com Isabel Monteiro e Sara Soares (ESSUA) e com a professora Ana Mineiro (ICS-UCP).

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Ana Côrte-Real: "Quem Pensa Ri"

Já dizia Fernando Pessoa: “Quem pensa, ri; só não ri quem só faz cara que pensa.”

Estas são umas sábias palavras do nosso escritor Fernando Pessoa. Mal saberia o quanto estas frases se tornariam fulcrais no contexto da gestão; No contexto das organizações; No contexto da gestão de Pessoas.

Rir, sentir alegria, bem estar, harmonia, ambiente seguro, reconhecimento… Só não percebe quem não avalia o seu impacto na produtividade.

Na verdade, os estudos sobre a importância do bem estar nas equipas, nas organizações é algo que não é novidade em termos de produção científica, mas ainda  não é  um traço da “cultura” em muitas organizações. Em 2019, um artigo da Harvard Business Review, escrito por Alex Liu, tinha o seguinte título “Making Joy a Priority at Work”. E neste artigo o alerta era para que numa equipa produtiva a alegria surge da combinação de 3 factores: harmonia, impacto e reconhecimento. Todas estas dimensões dependem do perfil de liderança. E todas estas dimensões impactam na produtividade.

Mas quantos líderes assumem que na sua organização a promoção da “alegria” é absolutamente crucial? Quantos colaboradores ainda acham que as atividades de teambuilding não são importantes? Quantos alunos de formação executiva consideram as atividades de inclusão, as atividades de teambuilding e de networking as menos relevantes? Os alunos serão, se é que já não são, líderes. Os atuais colaboradores, alguns, poderão  tornar-se líderes… pelo que é urgente a promoção da relevância destas questões em qualquer espaço de desenvolvimento pessoal e transformacional.

E se em 2019 este era um dos temas relevantes, após a pandemia não tenho dúvidas que se tornou ainda mais fundamental. Todos os seres humanos precisam de alegria na sua vida e a alegria é das coisas que mais promove a coesão das equipas e das Pessoas.

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Durão Barroso pede "mais ambição" a líderes mundiais no combate a pandemia

O presidente da Aliança Global para as Vacinas (Gavi) defendeu hoje "mais ambição" dos líderes mundiais no combate à pandemia da covid-19, realçando que o seu custo económico "é muito maior" que o de vacinas, medicamentos e diagnósticos.

"Não é só uma questão de justiça, é também uma questão de racionalidade económica responder o mais rápido possível, e com mais ambição, a esta pandemia", afirmou Durão Barroso, numa conferência promovida pela Universidade Católica Portuguesa (UCP), onde é professor convidado.

O ex-primeiro-ministro português falava na véspera da Cimeira Mundial da Saúde, organizada pela Comissão Europeia e pela presidência italiana do G20 (grupo das 20 maiores economias e a União Europeia), que se realiza em Roma e na qual vai participar.

Durão Barroso salientou, na sua intervenção feita na íntegra em inglês, que "o custo económico" da pandemia "é muito maior" quando comparado com o custo de vacinas, tratamentos e diagnósticos, pelo que, disse, vai pedir na quinta-feira, na cimeira, aos líderes mundiais "mais ambição na resposta à pandemia". 

"Quanto mais tempo demorarmos a distribuir vacinas pelo mundo, mais tempo o vírus vai circular, mudar e dar origem a novas variantes, que, muito provavelmente, serão mais transmissíveis ou mais perigosas", justificou.

O antigo presidente da Comissão Europeia participou, à distância, na conferência "Valores e Tecnologia em Inovação Médica", promovida pela UCP para assinalar simbolicamente o arranque de iniciativas da futura Faculdade de Medicina, que começará a funcionar no próximo ano letivo.

Antes de destacar o impacto económico da pandemia, o presidente da Gavi apontou a "enorme diferença" na distribuição de vacinas contra a covid-19 entre os países mais ricos e os países mais pobres, que, a seu ver, se traduz num "problema de injustiça global".

Por outro lado, evocou que "há enormes diferenças ideológicas e de regimes políticos", mas que "não devem ser razão para os governos em todo o mundo não cooperarem quando confrontados com certos tipos de desafios que, pela sua natureza, requerem uma abordagem de cooperação".

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Paulo Cardoso do Amaral: "Afinal as criptomoedas vieram mesmo para ficar"

O Banco Central do Reino Unido anunciou há pouco tempo a sua Britcoin; o Banco Central Europeu está a preparar o Euro Digital, e, na China, o Yuan digital já é uma realidade. Será que as CBDC vão reduzir o interesse nas outras criptomoedas?

O mundo dos criptoactivos não vai mesmo voltar para trás, e a sua importância está muito para além de investimentos na Bitcoin ou em qualquer outro criptoactivo como reserva de valor. A prová-lo poderia estar o recente interesse nas CBDC - Central Bank Digital Currencies.

O Banco Central do Reino Unido anunciou há pouco tempo a sua Britcoin; o Banco Central Europeu está a preparar o Euro Digital, e, na China, o Yuan digital já é uma realidade. Será que as CBDC não passam de uma reacção à Bitcoin, ou ao Facebook Diem? E será que vão reduzir o interesse nas outras criptomoedas? Não, e vou explicar porquê.

Em boa verdade, quando lemos as notícias e as análises sobre a Britcoin ou o Euro Digital, o que está em causa parece ser a utilização das criptomoedas estatais como meio de pagamento. Mas atenção: no dia em que nosso dinheiro digital, hoje nos bancos, passar a ser uma CBDC, ficando assim confinado às nossas carteiras digitais, deixa de passar pelos bancos, colocando em risco todo o actual ecossistema de pagamentos, para além de destruir a liquidez desses mesmos bancos.

Consequentemente, o valor para a economia das criptomoedas será outro, CBDC incluídas. Como qualquer criptomoeda, as CBDC destes bancos centrais mais atentos serão a base da auto-execução ecossistémica e vão invadir o resto da economia muito para além de simples meios de pagamento. Eis como e porquê. A criação de valor económico com criptomoedas O mundo económico divide-se em dois: (i) as actividades que carecem de identificação jurídica e (ii) as outras de carácter mais anónimo.

Por exemplo, quando compramos um jornal, o pagamento com moeda física é essencialmente anónimo. Já a compra de um Tesla é tudo menos anónima, pelo menos no nosso espaço geográfico altamente regulado (aliás, qualquer vendedor de automóveis pode confirmar a sua própria responsabilidade na verificação da origem dos fundos dos seus clientes, bem como a obrigatoriedade de reporte às autoridades).

O mundo dos criptoactivos veio dar força aos ecossistemas anónimos, ou pseudo-anónimos, levando muitos a pensar que esse é o futuro da economia. Aliás, esta crença tem sido reforçada pela natureza do sistema que dá vida aos criptoactivos, com o nome de Blockchain, porque a identificação de todos os seus elementos é baseada exclusivamente em chaves criptográficas, ou tokens, daí a noção de pseudo-anonimato. Porém, como muitas coisas na vida, nem tudo o que parece é.

Enquanto a auto-execução ecossistémica da Blockchain não suportar a identificação jurídica de pessoas e bens, a Blockchain vai estar confinada a um conjunto de actividades económicas relativamente reduzido e separado da economia tradicional. Não obstante, a solução técnica já está encontrada na forma de identificadores descentralizados, e a solução jurídica já está a ser construída na Europa com o Projecto EBSI (European Blockchain Service Infrastructure).

Consequentemente, a partir de agora, todas as actividades económicas serão passíveis de auto-execução ecossistémica, incluindo todas as actividades que careçam de identificação jurídica. E é essa a razão para a permanência irreversível das criptomoedas. O valor das criptomoedas está no seu forte impulso económico, e é isso que as torna tão fortes. 

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Pandemia provocou desespero entre idosos e agravou saúde mental

O isolamento imposto aos idosos que vivem em lares, por causa da pandemia de covid-19, agravou a saúde mental, trouxe mais solidão, depressão, tristeza, e alguns casos de desespero, que a vacinação tem vindo a contrariar. Segundo o presidente da Confederação Nacional das Instituições de Solidariedade (CNIS), que representa cerca de 900 lares, a vacinação teve logo um "impacto muito positivo" entre estas pessoas porque, apesar de a vacinação não significar o fim do vírus, permitiu "algumas saídas" e isso "alivia a situação".

De acordo com Lino Maia, a vacinação foi um balão de oxigénio, já que com "o controlo de surtos, as pessoas já podiam sair dos quartos". "Fui a alguns lares nos dias com surto e depois quando foi declarado extinto e quando antes não se via vivalma, porque as pessoas estavam encerradas nos quartos, no dia em que se abriram as portas dos quartos para as pessoas poderem sair, era quase um rebentar da primavera, um outro ânimo que se notava nas pessoas", descreveu.

Em Portugal existem cerca de 3.500 lares, entre lucrativos, setor social e não legalizados, onde vivem aproximadamente 80 mil idosos, uma população "bastante frágil" que foi particularmente afetada pelos efeitos da covid-19, privada de liberdade e de contactos com a família. A primeira coisa que Rosa Ramalho, com 80 anos e a viver no lar da Santa Casa da Misericórdia de Mora, fez assim que foi vacinada foi tirar a máscara da cara e, admite, "isso foi um alívio". Para trás ficou um período "um bocadinho difícil", em que não via os filhos nem as netas e em que estava obrigada a viver à distância dos beijos e abraços que a amiga Margarida lhe queria dar e aos quais respondia com um "agora é com o cotovelo". 

"Tive conhecimento de situações de pessoas que se atiraram da janela abaixo porque já não aguentavam com essa situação de solidão, de confinamento, sem visitas, apesar de todo o esforço que foi feito pelas instituições", contou Lino Maia. O responsável lembrou que nas instituições onde se registavam surtos, "durante um mês as pessoas não podiam sair dos quartos". "Além de não terem visitas, também não podiam sair do quarto, estavam ali confinadas no seu quarto. Isto fragiliza, a situação agravou-se", relatou Lino Maia. O presidente da CNIS lembrou, por outro lado, que o aumento da esperança de vida não tem sido acompanhado do aumento da qualidade de vida e que as pessoas quando chegam ao lar têm já uma idade muita avançada, a saúde afetada e não raramente problemas de saúde mental.

"A saúde mental tem sido parente pobre da saúde neste país, na há respostas suficientes, mas de facto a situação agravou-se, isso é inquestionável", disse Lino Maia. O responsável admitiu que a pandemia teve consequências a dois níveis: por um lado, agravando os problemas de saúde mental e, por outro, evidenciando entre as pessoas que não tinham até então nenhuma patologia diagnosticada.

Um estudo da CNIS, desenvolvido pela Universidade Católica, revelou que os idosos foram o grupo mais afetado entre os utentes das instituições, afetados pelas consequências do isolamento, desde a solidão, perdas relacionais e de sociabilização, desgaste, stress e ansiedade, tristeza ou medo.

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Susana Costa e Silva: "Vamos dar o benefício da dúvida à Inteligência Artificial"

Já sabemos que o receio do desconhecido é o maior inimigo da aceitação de novas tecnologias. É por isso que convém desmistificar o que é a IA para não ceder à tentação fácil de recusar a mesma ou considerá-la uma ameaça. Muito se tem falado ultimamente de Inteligência Artificial.

Todavia, o tema está longe de ser do conhecimento generalizado e não raramente assistimos a opiniões baseadas no desconhecimento e ceticismo associado ao tema. Frequentemente o tema aparece associado à robotização e à inerente perda de empregos e por isso falar de Inteligência Artificial (IA) parece trazer uma aura de futurismo exagerado em que as máquinas dominam o homem e podem constituir um perigo à sua existência.

De facto, a IA não é mais do que a capacidade que as máquinas têm de aprender e pensar. É um termo que tem mais de 70 anos e foi usado pela primeira vez por referência a aspetos relacionados com inteligência que, podendo ser detalhados no processo de aprendizagem, podem ser simulados por uma máquina. Por norma o termo usa-se para fazer referência a computadores que são programados para aprender e mimetizar ações habitualmente realizadas por humanos. E sendo capazes de realizar ações antes desenvolvidas por seres humanos, o seu valor para a ciência e para a humanidade, de uma forma geral, é incalculável.

A verdade é que a IA pode ser usada numa miríade de atividades e muitas vezes beneficiamos desta capacidade de aprendizagem das máquinas quase sem dar por ela. Por exemplo, quando a Netflix nos indica uma lista de conteúdos para assistir, fá-lo com base nas preferências que fomos revelando ao longo das interações que tivemos com aquela plataforma de streaming.

Mas o alcance desta ferramenta vai muito além das nossas preferências enquanto meros consumidores de conteúdos. E a sua relevância começa a tornar-se mais séria, e mais sujeita a escrutínio, portanto, quando entramos o domínio da educação, da saúde, ou mesmo dos direitos humanos. E já sabemos que o receio do desconhecido é normalmente o maior inimigo da aceitação de novas tecnologias.

É por isso que convém desmistificar o que é a IA para não ceder à tentação fácil de recusa e até da acusação imediatista de ver as máquinas inteligentes como uma ameaça. É um facto que o controlo da IA deverá continuar a ser uma preocupação. Mas será a alternativa o simples descarte do benefício que a automação de processos pode gerar?

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Prémios Empreendedor XXI

Os Prémios Empreendedor XXI são uma iniciativa do BPI e do Dayone, a divisão do CaixaBank especializada em empresas tecnológicas inovadoras e respetivos investidores.

Os prémios são dirigidos a jovens startups inovadoras e tecnológicas com elevado potencial de crescimento, que visam impulsionar as mais corajosas e com melhores soluções para responder aos desafios do futuro, permitindo acelerar o seu processo de crescimento e expansão global.

Assista aqui à cerimónia de entrega de prémios, na qual a start-up AgroGrIN Tech, que nasceu no laboratório do Centro de Biotecnologia e Química Fina (CBQF), foi distinguida com o prémio Born from Knowledge (BfK).

Categorias: Press News

França

Balneário de Alcântara

O Balneário de Alcântara acaba de reabrir depois das primeiras obras em 20 anos. É utilizado por pessoas sem abrigo e moradores que precisam deste apoio. A repórter Arlinda Brandão foi ouvir quem procura esta ajuda e quem a dá.

Ouça aqui a reportagem da Antena 1 com a Professora Doutora Amélia Simões Figueiredo, Diretora da Escola de Enfermagem (Lisboa) do Instituto de Ciências da Saúde.

Sondagem da Universidade Católica para a RTP

Se as eleições legislativas fossem hoje, o Partido Socialista seria o vencedor. A sondagem da Universidade Católica para a RTP e Público conclui que Parlamento continuaria a ter uma maioria de área socialista. A sondagem atribui ao PS 38% das intenções de voto, o Partido Social Democrata consegue 28%, o Bloco de Esquerda regista uma descida, consegue 8%. O Chega é o partido que mais sobe, reúne 6% das intenções de voto.

Poderá rever a peça aqui.

Francisca Guedes de Oliveira: "Na Europa, ninguém nos ouve berrar!"

A Comissão demorou meses a assinar os contratos de compra das vacinas. Misturou, numa negociação interminável, a burocracia de Bruxelas com a austeridade alemã. O preço a pagar está a ser caro.

O título não é meu, é da "Economist" de 3 de fevereiro, mas é muito ilustrativo daquilo que considero, em grande medida, ser um dos piores males da Europa.

Os governos nacionais estão sistematicamente sujeitos a "berros". Têm os partidos da oposição à espera de qualquer erro ou deslize (às vezes até inventam alguns), têm os sindicatos, as ordens profissionais, as organizações patronais, etc. Todos a olharem para interesses específicos e cada um com a sua perspetiva sobre certo e errado, "dos e donts".

Um governo nacional que tivesse gerido o processo de aquisição e distribuição das vacinas com a inépcia europeia estaria agora pelas ruas da amargura.

A história começou, aparentemente bem. Uma Europa unida, solidária com uma sorridente Ursula von der Leyen, anunciava a negociação da compra e a subsequente repartição das doses pelos vários Estados-membros. Esta solução dava-nos força para negociar, para conseguir volume e rapidez e para ninguém, sobretudo os pequenos, ficarem para trás.

Para um país como o nosso a solução parecia ideal. Mas a realidade da máquina burocrática europeia, sem oposição e sem crivo político, sobrepôs-se rapidamente ao ideal inicial.

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João Borges de Assunção: "O fim das crises"

Os fins das crises são momentos de merecida celebração e mesmo excessos. Temos de ser compreensivos com os cidadãos e os vários níveis de poder que se entretêm em festas e eventos. Vale a pena celebrar as efemérides positivas, mas também o fim das coisas más. Contudo, muitas tragédias desnecessárias ocorrem nas viagens do final das festas.

Há um lado cíclico em todas as crises. Pelo menos naquelas que não destroem as sociedades e os Estados.

A celebração do fim das crises pela sociedade é saudável e ajuda a fazer a catarse dos anos de pedra. As crises na sociedade são sempre assimétricas, pelo que haverá sempre alguns oportunistas que beneficiam com elas. Algumas das maiores empresas mundiais são o fruto de grandes crises.

As sociedades estão esgotadas, mas potencialmente otimistas. E os líderes que estiverem no poder nessa altura terão um terreno invulgarmente aberto para tentar implementar as suas ideias. É por isso crucial que esses líderes circunstanciais tenham um sentido de bem comum e as ideias certas. Isso é verdade a nível dos países, mas também é verdade a nível de empresas e instituições. Há uma oportunidade para refazer regras e rotinas.

A aversão à mudança é em geral menor porque a maioria quer deixar a memória da crise para trás e participar no esforço de reconstrução.

Como o sistema de controlo institucional está também fragilizado há uma maior tendência para mudanças revolucionárias e transformadoras aproveitando o poder acrescido de quem está sentado na cadeira do poder. E como há uma sede de ação e reconstrução, há um apoio acrítico das novas iniciativas.

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Arménio Rego: "Sorte e Discernimento"

A sorte dá muito trabalho. Mas também pode ser simplesmente isso - sorte. No percurso de empresas hoje entronizadas, como a Tesla ou a Amazon, a sorte exerceu papel importante. Por sorte entendo a emergência de condições (fora do controlo da liderança) que, se não tivessem ocorrido, poderiam ter resultado na destruição da empresa. Brad Stone, que escreveu sobre a Amazon e Jeff Bezos, ilustrou essa realidade.

Não fora o sucesso da emissão de obrigações convertíveis, no mercado europeu, em 2000, a uma supertaxa de 6.9% - a empresa teria provavelmente sucumbido no ano seguinte, após o crash da bolha dot.com. Sem a sorte gerada pelo balão de 672 milhões de dólares, a Amazon poderia ter definhado - e não teria tido a oportunidade de fazer o que veio a alcandorá-la ao trono em que agora é colocada.

A tese da sorte é incompatível com a crença no mérito. Para quem lidera, pode ser difícil reconhecer que o sucesso também assenta na sorte. Afirmar o papel da mesma pode ser interpretado como sinal de fraqueza e pouca autoconfiança. Mas há quem tenha essa coragem. Numa entrevista recente, Paulo Rosado, fundador e líder do unicórnio luso Outsystems, enfatizou a importância da ambição e do trabalho árduo. Mas também afirmou, pelo menos 13 vezes, que ele e a empresa tiveram sorte.

Não conheço Paulo Rosado, nem disponho de evidência suficiente para fazer uma avaliação realista da sua liderança. Mas isso não me impede de sublinhar o ato humilde. Estando na mó de cima, Paulo Rosado poderia simplesmente ter jogado para a mesa das explicações do sucesso da empresa a parafernália de estratégias e esforços que adotou.

Ao reconhecer o papel da sorte, demonstrou discernimento. A realidade é demasiado complexa para se abrir a explicações simplistas. Muitas organizações bem geridas fracassam. E muitas organizações mal geridas florescem. A liderança, embora importante, é apenas um dos fatores explicativos do sucesso. Num livro sobre os autoenganos dos gestores, Phil Rosenzweig, professor no IMD, ajuda a compreender a natureza dessas ilusões.

O sucesso de uma organização depende de muitos fatores, e a liderança é apenas um entre eles. O facto de uma organização ser bem-sucedida não significa, necessariamente, que o sucesso provém de uma liderança eficaz ou recomendável. Frequentemente, o processo é inverso: usamos o sucesso da organização para atribuir qualidades excecionais à sua liderança.

Porque a equipa ganha, o treinador tem que ser bom - supomos nós. Mas veja-se a quantidade de "bestiais" treinadores que, num ápice, passam a "bestas". O que muda, nesse curto período, não é a qualidade do treinador - é o resultado alcançado pela equipa, dependendo este do treinador e de numerosos outros fatores. Rosenzweig acaba por argumentar que os melhores gestores têm consciência de duas coisas.

Primeira: a fórmula do sucesso duradouro é wishful thinking. Segunda: embora o trabalho árduo e a competência sejam cruciais, a sorte e o azar jogam um papel importante nos resultados da organização. Esses gestores não se desculpam com o azar, nem sacodem a água do capote, quando o insucesso bate à porta. 

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Jorge Pereira da Silva: "Administrar a justiça em nome do povo"

A pretexto da separação de poderes e da independência da função judicial, o sistema de justiça não pode ser impermeável ao princípio democrático, nem deixar-se capturar por uma qualquer aristocracia.

No nosso sistema político, o Presidente é eleito, o Parlamento é eleito, o Governo é designado em função dos resultados das eleições legislativas. Os três são qualificados pela Constituição como órgãos de soberania, porque exercem o poder em representação do povo soberano.

A fonte da legitimidade de cada um está no voto. A mesma Constituição também designa os tribunais como órgãos de soberania e atribui-lhes competência para administrar a justiça em nome do povo. De onde vem, porém, a legitimidade dos tribunais e dos respetivos magistrados para agirem em nome do povo?

Se o povo não interfere direta ou indiretamente na nomeação dos magistrados, nem estes respondem perante a comunidade pelas suas decisões, não será puramente formal - vazia de substância - esta ideia de que a justiça é administrada em representação do povo?

É certo que o governo das judicaturas é, no essencial, assegurado pelos Conselhos Superiores da Magistratura e dos Tribunais Administrativos e Fiscais, que têm, na sua composição, vogais indicados pelo Presidente e vogais eleitos pelo Parlamento. Mas será isso suficiente, numa democracia contemporânea, que demanda níveis cada vez mais exigentes de transparência e de prestação de contas?

Se recuarmos aos primórdios da separação de poderes, verificamos que o grande arauto deste princípio basilar do Estado de Direito - o barão de Montesquieu, autor do célebre Espírito das Leis - não era verdadeiramente um democrata. Bem pelo contrário, era defensor de um sistema de governo misto, em que a legitimidade monárquica dominava o poder executivo, a legitimidade democrática estava na base do poder legislativo e, finalmente, a legitimidade aristocrática presidia ao preenchimento dos lugares e ao exercício do poder judicial.

Não por acaso, Montesquieu era um aristocrata e exercia funções de juiz no tribunal de Bordéus - como, aliás, era comum na época. Ciente da dificuldade em justificar, com tal fundamento, a existência de um poder judicial independente dos demais, Montesquieu seguiu dois caminhos. Por um lado, empenhou-se em desvalorizar o poder judicial que ele próprio tinha autonomizado: chamou-lhe "poder nulo" e disse dos juízes que eram apenas "a boca que pronunciava as palavras da lei".

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JMJ pode ser oportunidade para atrair jovens portugueses para a Igreja, diz sociólogo

José Pereira Coutinho vê nas atividades para jovens, como a Missão País e os campos de férias de inspiração católica, uma alternativa "para quem pensa que não há vida para lá dos festivais de verão". A Jornada Mundial da Juventude que se vai realizar em Lisboa em 2023 pode ser uma oportunidade de atrair jovens para a Igreja, considera o sociólogo da religião José Pereira Coutinho.

O autor do livro "Religião em Portugal - Análise Sociológica", que é também investigador no Centro de Investigação em Teologia e Estudos de Religião, da Universidade Católica Portuguesa, explica que o mais natural é que os participantes estrangeiros na JMJ sejam já católicos convictos, mas que de Portugal é possível que participem pessoas que estão apenas curiosas.

"Em Portugal, à partida, os que vêm de fora, sobretudo os que vêm de mais longe, têm de ser muito convictos. Os que estão em Portugal serão católicos de todos os tipos, ou mesmo não-católicos, ou que são batizados, mas não estão envolvidos na Igreja."

É precisamente por essa razão, considera, que faz sentido que o este seja um megaevento capaz de rivalizar com outras propostas que já existem para atrair os jovens no verão. "Isso é importante para chamar as pessoas. O carisma, a emoção, este calor é importante. Alguns vão ficar. Alguns que até podiam estar fora, ou não estavam tão dentro, podem voltar, podem converter-se na altura.

Tudo é possível, as conversões são muito diversas e há várias moradas de conversão dentro da Igreja, portanto toda esta emoção e este espetáculo é importante para chamar, sobretudo os jovens, que são muito sensíveis a estas questões, até pela questão da concorrência de outros megaeventos que há todos os verões em Portugal, portanto tem de ter alguma coisa que chame sobretudo aqueles que são menos convictos." "E depois, lá dentro, com certeza que serão despertados novamente para a fé, ou então para os que já são, ficarem com mais.

Olhando para a Igreja ela certamente só tem a ganhar com estes eventos - obviamente mantendo dentro da linha católica, para não se secularizar e não perder a sua catolicidade", diz o especialista. Contudo, o entusiasmo gerado pela Jornada tem de ser bem aproveitado pela Igreja, porque não dura para sempre.

José Pereira Coutinho aponta para os dados recolhidos pelo académico francês Charles Mercier, que publicou recentemente uma análise histórica e sociológica das JMJ durante o pontificado de João Paulo II. "Ele analisa as consequências ao nível da religiosidade, da pertença, das práticas e diz basicamente que no curto prazo há realmente um crescimento, mas no médio a longo prazo isso desvanece. 

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Trabalho remoto: vantagens, riscos e desafios

É um dos temas mais debatidos na actualidade, não só pela força das circunstâncias mas, e em particular, no que respeita à sua possível adopção por muitas organizações no período que se seguirá ao desejado fim da pandemia.

Mas é também terreno fértil para muitas interrogações, tanto por parte das empresas como dos próprios trabalhadores e não é possível chegar a um consenso generalizado no que respeita aos seus prós e contras, na medida em que existe um conjunto de variáveis que pode ditar o seu sucesso ou insucesso.

Arménio Rego e Miguel Pina e Cunha foram os professores convidados a reflectir e a partilhar o que já se sabe e se aprendeu com esta nova forma de trabalhar, mas ambos concordam que é arriscado antecipar, com precisão, o que vai acontecer no futuro próximo.

Discutir os desafios do trabalho remoto, as suas vantagens e desvantagens e, em particular, a sua adopção ou não pelas organizações no pós-pandemia foi o mote para as intervenções dos professores Arménio Rego, da Católica Porto Business School, e Miguel Pina e Cunha, da Nova SBE, no âmbito de um conjunto de conferências temáticas que o núcleo do Porto da ACEGE está a organizar para ajudar a pensar o futuro pós-Covid.

Tema de investigação actual para ambos os professores, e de interesse geral para todos aqueles - líderes ou liderados - que passaram a trabalhar neste modelo por via das circunstâncias impostas pela pandemia, o teletrabalho não reúne consenso generalizado no que respeita aos seus prós e contras e tendo em conta os dados já existentes, fruto de variadas pesquisas que têm sido feitas sobre os mesmos, em particular ao longo dos últimos meses.

Como afirma Arménio Rego, "há resultados para todos os gostos", mas ambos os professores concordam num ponto essencial: apesar do que indicam muitas das tendências actuais, é arriscado antecipar com precisão o que vai acontecer [no período pós-pandemia] e, tal como sugere Miguel Pina e Cunha, nestes casos o melhor é seguir o exemplo de Peter Drucker, que afirmava que, sendo tão difícil prever o futuro, era antes preferível prever o passado.

Ambos os professores concordam no que de essencial é possível apurar, para já, em termos de vantagens e desvantagens desta (semi) nova forma de trabalhar, mas as suas apresentações, sendo complementares, serão aqui apresentadas de forma individual. Arménio Rego: "O trabalho nas instalações das organizações facilita a expressão da empatia, encoraja a confiança e promove o capital social, realidades que não podem ser descuradas ou perdidas na impossibilidade de uma realidade laboral presencial" Começando por tecer algumas considerações gerais sobre a temática, o director do LEAD.lab da Católica Porto Business School considera fundamental que se compreenda que os desafios do trabalho remoto em tempo de pandemia não serão equivalentes aos desafios do trabalho remoto em tempos ditos normais.

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Polónia
França

Francisca Guedes de Oliveira: "Menos por menos dá mais"

É bem sabido que os algoritmos automáticos de seleção de pessoas para um sem-número de funções têm um enviesamento que potencia a discriminação previamente existente na sociedade, com preferência, em geral, para o homem branco.

Da mesma forma, as aplicações de tradução automática para línguas em que o termo traduzido tem género, têm um claro enviesamento que deriva das fontes (livros, documentos históricos) que são usados para as máquinas aprenderem a traduzir.

Se colocarmos no tradutor do Google "The Professor", a tradução vem O Professor, mas se colocarmos "The Housekeeper", vem A Governanta. Isto justifica-se, porque a aprendizagem da máquina se faz com base nos dados existentes e esses refletem todo um conjunto de preconceitos.

Se, para escolhermos alguém para um lugar de chefia, tivermos como critério quantos homens foram CEO de sucesso vs. quantas mulheres o foram, teremos que necessariamente escolher um homem, pois o número é avassaladoramente maior.

Ora, é precisamente isso que o algoritmo vai aprender e nos vai dizer: que é mais provável sermos bem-sucedidos se escolhermos um homem (branco, de preferência).

Li recentemente um artigo muito interessante sobre este tópico. O artigo, intitulado "We need more bias in artificial intelligence", publicado pelo think tank Brugel em 21 de abril, chama precisamente a atenção para este enviesamento, mas com uma perspetiva diferente.

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Nuno Crespo: "O mais novo de todos os artistas"

Sempre fui fascinado pelos olhos do Julião. Atentos, curiosos, cheios de energia. Olhos de felino sempre vigilante a todas as criaturas e a todas as coisas que o rodeavam. A sua visão era de quem está sempre a descobrir coisas, a estabelecer relações, a encontrar motivos de conversa, de admiração, de perguntas. Um olhar que se foi sempre renovando e que fazia com que fosse, de todos, o artista mais novo.

A partir do seu modo de ver, conseguiu, mais do que desenvolver pinturas, desenhos, filmes, performances ou instalações (o que realmente fez), expressar e materializar um corpo artístico único. Um todo, como ele gostava de dizer. Se as telas brancas e o vestido preto (“the sexy litle black dress”) são as suas imagens icónicas, os diálogos que estabeleceu com outros artistas e a maneira como fez da sua prática artística um campo fundamental de experimentação e descoberta do mundo são as maiores lições que nos deixou.

Foi sempre notável a maneira como o Julião queria experimentar coisas novas, conhecer novos artistas, desenvolver novos projectos. Tinha sempre alguma ideia nova para nos contar e em que nos queria envolver. Estava sempre a puxar-nos pela manga e a dizer “Anda cá ver isto.” Não se tratava de um programa ou de uma estratégia, era a sua posição no mundo: insaciável, movido por uma enorme curiosidade e dono da maior e da melhor juventude de todas.

Essa juventude, que fez dele sempre o artista mais novo, tinha um poder mobilizador enorme. E foi à volta dessa juventude que tantos de nós crescemos: artistas, críticos, curadores, amigos. E foi sempre imenso aquilo que nos deu.

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Categorias: Escola das Artes

França
França

Economia cai 5,2% no primeiro trimestre

A economia voltou a cair no primeiro trimestre, mas a queda foi inferior ao ‘trambolhão’ provocado pelo primeiro confinamento, no ano passado. É o que esperam os economistas ouvidos pelo Expresso em antecipação à divulgação da primeira estimativa do Instituto Nacional de Estatística (INE) que ocorrerá no final da próxima semana.

A expectativa é que o PIB tenha estado no vermelho durante os primeiros três meses do ano, mas passe para o verde no segundo trimestre, quando os economistas antecipam um crescimento nos dois dígitos. Com maior ou menor grau de pessimismo, todos os economistas ouvidos pelo Expresso apontam para uma queda do Produto Interno Bruto (PIB) nos primeiros três meses do ano, tanto em relação aos primeiros três meses de 2020 (variação homóloga) como face ao trimestre anterior (variação em cadeia). Uma evolução onde pesa o recuo do consumo privado.

Na comparação homóloga, as projeções oscilam entre -3% (BPI) e -7% (Católica-Lisbon Forecasting Lab), com o Millennium bcp a apontar para -4,1%, o ISEG para -5,1% e o Santander para -6,6%. A média indica uma contração de 5,2%, quando no segundo trimestre do ano passado atingiu 16,4%. Quanto à comparação em cadeia, as previsões vão de -0,7% (BPI) até -5% (Católica-Lisbon Forecasting Lab), com a média a ficar nos -3,1%. A confirmar-se, interrompe variações positivas no terceiro e quarto trimestres do ano passado.

Ainda assim, mais uma vez, fica longe da queda em cadeia de 14% no segundo trimestre de 2020. Os resultados do Inquérito Rápido e Excecional às Empresas (INE e Banco de Portugal) corroboram. Na primeira quinzena de fevereiro, as empresas respondentes registaram uma redução de 18% no volume de negócios, face à situação sem pandemia, o que corresponde a cerca de metade da variação reportada em abril de 2020. É o resultado de programas de ajuda em pleno funcionamento, da adaptação das empresas e dos trabalhadores, com teletrabalho, comércio online e take-away na restauração, e do enquadramento internacional mais favorável.

Mas, a diferenciação sectorial manteve-se, com os serviços que envolvem contactos pessoais com quedas mais significativas. Economia volta a crescer Vários indicadores já registaram em março variações homólogas positivas, pela primeira vez desde o início da pandemia, beneficiando da conjugação de dois fatores: o desconfinamento em curso e o efeito de base — um ano antes o país entrou em confinamento e a atividade caiu a pique. Entre esses indicadores está o montante de levantamentos nacionais, de pagamentos de serviços e de compras em terminais de pagamento automático na rede Multibanco e as vendas de veículos automóveis. Quanto ao segundo trimestre, e como resultado desses fatores, o número de compras na rede Multibanco aumentou 75,3% em termos homólogos na primeira quinzena de abril.

Além disso, a média móvel semanal do indicador diário de atividade económica, calculado pelo BdP, regista incrementos homólogos da ordem dos 20% até à semana terminada em 11 de abril (última informação disponível). “Se o plano de desconfinamento se mantiver nos traços já anunciados haverá certamente um fortíssimo crescimento homólogo, de dois dígitos quase de certeza”, aponta João Borges de Assunção, professor da Católica-Lisbon. Bruno Fernandes, economista do Santander, fala em “velocidades superiores a 10% a 15%”.

Nota: Pode ler o artigo completo na edição impressa do Jornal Expresso de 23 de abril de 2021.

CBQF no programa "Mentes Que Brilham" do Porto Canal

A Escola Superior de Biotecnologia da Universidade Católica Portuguesa e a empresa americana, Amyris, estão atualmente a desenvolver um projeto de produção de adjuvantes para vacinas profiláticas, que têm um papel fundamental na resposta imunitária provocada pelas vacinas incluindo algumas contra SARS-Cov2.

O Centro de Biotecnologia e Química Fina (CBQF) recebeu Cláudia Fonseca, do programa "Mentes que Brilham" do Porto Canal para conhecer o projeto, o laboratório e, a equipa que está por detrás do mesmo, entrevistando João Carlos Fernandes da Escola Superior de Biotecnologia.

Assista aqui à reportagem completa no Porto Canal.

Paulo Cardoso do Amaral: "A auto-execução ecossistémica e o futuro da blockchain"

A auto-execução ecossistémica é tão ou mais revolucionária que a própria invenção do computador e da internet. Mas o que é a auto-execução ecossistémica?

A base do funcionamento da economia é a informação. A partir dos anos 60, os dados desmaterializaram-se em suporte informático e melhoraram extraordinariamente a forma como essa informação passou a ser tratada, dentro e entre as organizações.

Antes da blockchain, esses dados careciam de uma custódia para responsabilizar quem os detinha, isto porque a informática não é indelével como o papel. Além disso, os agentes económicos tiveram de complicar extraordinariamente a informação que cada organização detém sobre as outras para poder verificar a correção e a coerência desses mesmo dados.

Foram também criadas organizações para manter cópias dos dados das outras, isto para reduzir o risco de fraude, dada a facilidade com que se alteram os dados desmaterializados na computação tradicional. Além disso, também apareceu um número enorme de organizações com a função específica de aumentar os níveis de confiança entre os vários actores. E depois temos os tribunais para resolver as disputas.

Ler artigo completo aqui.

Arménio Rego: "Narcisistas são melhores ou piores líderes?"

O narcisismo dos líderes é um pau de vários bicos. É por essa razão que o debate e a investigação sobre a matéria são inconclusivos. Não é possível responder de modo perentório à questão de saber se os líderes narcisistas são, ou não, melhores líderes - e se devem, ou não, ser selecionados ou promovidos. Porque várias pessoas me têm perguntado como devem lidar com líderes narcisistas, aqui partilho cinco reflexões.

#1. O líder narcisista é alguém que se tem em grande conta, se admira a si próprio e procura constantemente a admiração dos outros. Ter amor próprio é saudável e ajuda a prosperar na vida. Mas, quando exagerado, o narcisismo é tóxico para o próprio líder e os liderados. Transforma-se numa desordem da personalidade caraterizada por obsessão com a autoimagem, desejo permanente de atenção e adulação, pensamento fantasioso, e ausência de empatia pelos outros. O narcisista retalia contra quem não lhe devolve os encómios que ele julga merecer.

#2. Há, pelo menos, dois tipos de narcisismo (embora haja quem combine ambos): o vulnerável e o grandioso. O narcisista vulnerável é um "vidrinho de cheiro" desconfiado e agressivo perante quem não valida a sua autoimagem favorável. Portanto, a grande autoconfiança que este líder expressa pode esconder baixa autoestima e grande vulnerabilidade. É por isso que o líder narcisista detesta ser criticado e retalia. A consequência é que se rodeia de quem o bajula e lhe comunica o que ele quer ouvir. O narcisista grandioso é diferente. Dotado de maior autoestima, procura ser o centro das atenções, é arrogante e dominador, e pretende ser tratado como "especial".

#3. No mundo empresarial, o narcisista grandioso pode ser bem-sucedido. Mostrando autoconfiança e enveredando por projetos ambiciosos que fazem jus à sua autoimagem insuflada, é mais persuasivo - o que lhe permite ascender na carreira e envolver outras pessoas nos seus projetos. Esta ambição capacita-o para alcançar o que outros líderes não conseguem. Quando os arrojados projetos singram, o sucesso tende a ser enorme. Mas há um reverso da medalha: o narcisista grandioso subestima riscos, pelo que os seus projetos ambiciosos podem, também, ser irrealistas e fracassar. Após o falhanço, o líder narcisista pode mesmo resistir a abandonar o projeto, de modo a preservar a sua autoimagem. Consequentemente, em termos globais, os líderes narcisistas não obtêm melhores resultados do que os líderes não narcisistas. Mas geram resultados mais extremados - ora fantásticos, ora desastrosos.

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Apresentação do livro "Padre José Bacelar e Oliveira" de Carlos Morujão

Assista à entrevista de Carlos Morujão ao programa Ecclesia, no dia 9 de junho, disponível no canal de Youtube da Agência Ecclesia.

 

Teletrabalho? Agora sim, vai começar.

Nunca, como nos últimos meses, a palavra teletrabalho esteve tão presente. Mas após um ano a lidar com esta realidade, que se sobrepôs a todas as vontades de forma inesperada e imparável, é tempo de fazer balanços, perspectivar o futuro e, acima de tudo, assumir que o verdeiro teletrabalho ainda está por acontecer.Catarina Morais  e Filipa Sobral, investigadoras do Centro de Investigação para o Desenvolvimento Humano (CEDH) da Faculdade de Educação e Psicologia do Porto

Quatro anos antes do início da pandemia, e de acordo com últimos dados do Eurofound, apenas 3% dos europeus exercia o seu trabalho de forma remota. Hoje, mais de um ano após o início da pandemia, e embora sem números oficiais, sabemos que todos aqueles cujas profissões o permitiram, estiveram, estão, e eventualmente estarão nos próximos tempos, a trabalhar a partir de casa. Mas isso não significa que tenham estado, que estejam ou que estarão verdadeiramente em teletrabalho.

Por isso, será com o fim do teletrabalho obrigatório que se tornaram mais claras as mudanças que a pandemia trouxe ao mercado de trabalho e quais as empresas que estarão preparadas para assumir formatos de trabalho mais flexíveis. Flexíveis no que se refere ao controlo de horários, de assiduidade, de localização física do trabalhador e, no limite, flexíveis no sentido de total adaptação ao regime que melhor convém a cada um dos seus trabalhadores - seja esse regime a exclusividade do trabalho remoto, do trabalho presencial ou um regime híbrido.

No âmbito do Projecto Work@Home, do Centro de Investigação para o Desenvolvimento Humano da Universidade Católica Portuguesa (CEDH-UCP), foram inquiridos 2757 trabalhadores em teletrabalho (831 a ocupar cargos de chefia). Os resultados do projecto mostram isso, que a transição abrupta para o teletrabalho trouxe muitas desafios relacionados com questões logísticas, como falta de equipamentos ou a necessidade de formação em tecnologias de informação; mas também, e sobretudo, desafios relacionados com a gestão do espaço e do tempo no que concerne à conciliação da vida pessoal com a vida profissional. Desafio particularmente presente para aqueles que tiveram de partilhar espaço de trabalho com outros elementos da família também a trabalhar, a estudar ou a necessitarem de cuidados constantes.

Curiosamente, e também de acordo com os dados do mesmo estudo, as chefias responderam usando os princípios do conceito acima referido: flexibilidade. Ou seja, mesmo neste regime de teletrabalho abrupto, onde o dia-a-dia foi sendo improvisado, o instinto das chefias levou-as a apostaram em atribuir maior autonomia às suas equipas, em fazer um controlo da gestão do trabalho através do cumprimento de metas, objectivos e prazos (ao invés do controlo de horas e de assiduidade) e permitir que os trabalhadores pudessem ajustar o tempo de trabalho às rotinas da sua vida pessoal.

No final, é interessante perceber que, de acordo com os resultados obtidos, os trabalhadores e as chefias apresentam genericamente uma visão positiva deste regime e estão preparados para se manterem a trabalhar num formato de trabalho que não seja exclusivamente presencial. Agora que o teletrabalho começa a deixar de ser obrigatório, muitas empresas começarão assim a debater internamente qual o futuro do teletrabalho. Naturalmente que "cada caso é um caso" e o teletrabalho não serve todas as empresas, nem todas as funções, e muito menos todos os trabalhadores.

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A transição digital e a inovação social não são nossas amigas?

O conceito de transição digital vem sendo anunciado, há já alguns anos, como uma progressiva e incontornável realidade para múltiplos setores da sociedade. A pandemia veio acelerar a sua introdução em diversas vertentes, e isso tem também feito levantar outras tantas questões. A conjugação da tecnologia com a inovação social e as oportunidades geradas por esse movimento são o tema central do Switch to Innovation Summit, uma iniciativa organizada pela Câmara Municipal de Valongo e pela CDI Portugal, entre hoje e amanhã.

Na opinião de Filipe Santos, reitor da Católica Lisbon School of Business & Economics, uma das vantagens das tecnologias digitais reside, precisamente, na capacidade que estas podem ter para ajudar a resolver assuntos de índole social. "A inovação social, normalmente, nasce da perceção de problemas concretos das comunidades. O que a tecnologia traz é um potencial de alcance e de escalabilidade das soluções muito diferente do que era possível e que permite inovações sociais, como novas plataformas de acesso remoto à saúde ou a criação de comunidades de interesses que partilhem recursos e resolvam problemas", comentou o académico.

Num âmbito mais local, ao nível das autarquias, a questão da digitalização pode servir enquanto ferramenta eficaz de auxílio aos munícipes, mas isso não será suficiente se não houver uma mudança mais alargada em termos de organização. A ideia é defendida por Carlos Oliveira, presidente-executivo da Fundação José Neves: "O objetivo deve ser resolver os problemas dos cidadãos com menos esforço e maior velocidade. Para isso, é preciso alterar a cultura organizacional porque, por si só, a tecnologia não vai resolver isto".

Estas transformações sociais por via tecnológica manifestam os seus efeitos, igualmente, no campo empresarial. De tal forma que, para Luísa Ribeiro Lopes, coordenadora-geral do programa Incode.2030, "quer as empresas quer as pessoas não podem estar afastadas do digital". No seu entender, a preponderância deste fenómeno é tanta que pode estabelecer-se uma correlação entre a resiliência dos empreendedores e o seu grau tecnológico. "Cidadãos e empresas com maior capacitação digital têm maior resistência às crises. Aliás, um estudo das Nações Unidas mostrou que os três países com maior resiliência à crise pandémica foram aqueles com maior nível de digitalização: Estados Unidos, Finlândia e Dinamarca".

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Notícias de 17 de junho de 2021.

Alemanha
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Universidade Católica lança coleção de biografias

A Universidade Católica Portuguesa vai dar a conhecer "uma coleção de biografias de grandes personalidades ligadas à Universidade, intitulada ‘TIMELINE – Biografias Intemporais' ", refere um comunicado da instituição.

Com esta iniciativa, a UCP quer dar "a conhecer a vida de cada uma das personalidades retratadas, através dos seus projetos profissionais e intelectuais".

A nota acrescenta que "mediante os ensinamentos e reflexões destas grandes figuras, procura-se que cada legado sirva de inspiração não só para o presente, como também para as gerações futuras".

O evento conta com a participação, entre outros, "de D. Manuel Clemente, Cardeal-Patriarca de Lisboa, Isabel Capeloa Gil, Reitora da Universidade Católica, Vasco Mello, Presidente da Fundação Amélia de Mello, Peter Heinrich Hanenberg, Vice-Reitor da UCP e o Professor Catedrático Germano Marques da Silva que fará a apresentação da coleção".

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Categorias: A Católica

Francisca Guedes de Oliveira: "Quem paga a crise?"

Quem paga a crise? Já aqui escrevi que esta crise tem sido particularmente prejudicial para aqueles cujo ponto de partida já era mais frágil ou difícil. Em contrapartida, verifica-se que do ponto de vista económico tem sido particularmente favorável para aqueles que, antes, já estavam muito bem.

Num artigo do “Financial Times” de 14 de maio, Ruchir Sharma chama a atenção para o facto de a pandemia ter acelerado algumas tendências sociais e económicas que já estavam em marcha. Em particular, o número de bilionários tem crescido a um ritmo verdadeiramente recorde: no último ano, a nível mundial, tem surgido aproximadamente um novo bilionário por dia. Adicionalmente, os bilionários que já existiam têm visto a sua riqueza, em percentagem do PIB, aumentar continuadamente.

A riqueza total dos 2.755 bilionários listados na “Forbes” cresceu, em 12 meses, de cinco triliões (na métrica americana) de dólares para 13, o aumento mais rápido alguma vez registado pela revista. O artigo cita alguns exemplos bastante impressionantes, como o do empresário Amancio Ortega (Inditex) ou do empresário Bernard Arnaut (Louis Vuitton), ambos com uma riqueza avaliada em cerca de 5% do PIB dos respetivos países.

Em certa medida, esta evolução dos super-ricos deriva da política monetária seguida por uma parte significativa dos bancos centrais: dinheiro fácil e barato que continua a ser lançado na economia a um ritmo significativo. Desde o início da pandemia já foram injetados cerca de nove triliões de dólares para manter a economia mundial à tona. Uma parte substancial deste estímulo é dirigido aos mercados financeiros de onde “salta” para os bolsos dos bilionários. Do ponto de vista político a situação é reconhecida e vai sendo mais ou menos discutida (em baixa voz, para não assustar ninguém).

Em vários países fala-se em taxar os bilionários não só no rendimento, mas também na riqueza. Isto permitiria arrecadar receita e também ajudaria a nivelar um pouco as assimetrias. Em Portugal temos dois bilionários na listagem da “Forbes” de 2021: Maria Fernanda Amorim no lugar 608 e José Neves (Farfetch) no lugar 1.249. A viúva de Américo Amorim conta com uma fortuna avaliada em 3,9 mil milhões de euros que corresponde, grosso modo, a 2% do PIB português e que , ainda, segundo a “Forbes” ,, teve um crescimento de 20% num ano. De acordo com o “The Wealth Report 2021” (knightfrank.com), o número de super-ricos em Portugal deverá crescer 17% entre 2020 e 2025. Este cenário é particularmente grave quando olhamos para os números no outro extremo da distribuição. 

Ler artigo completo aqui.

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Fernando Ilharco: "Suficientemente bom"

John Goodenough, cientista norte-americano e professor da Universidade do Texas, faz 99 anos para a semana. Há dois anos foi distinguido como Prémio Nobel da Química, pelo seu trabalho no desenvolvimento das baterias de filio, hoje uma tecnologia essencial nas comunicações móveis e nos carros eléctricos.

Talvez o apelido Goodenough seja modesto para um exemplo de trabalho e de longevidade tão notável. Vale a pena, contudo. lembrar que ser suficientemente bom, geralmente, é mesmo ser bom o suficiente para se atingir os objectivos. O resto, essencial de igual maneira, é a persistência, adeterminação e o passartempo.

Nada que pareça ter faltado a Goodenougb. Oregisto dos Prémios Nobel, no entanto, mostra que na questão da idade ele não está isolado.A idade média dos vencedores dos Nobel é de 60 anos. Há mais vencedores de Prémios Nobel depois dos 80 anos de idade do que antes dos 35 anos.

É certo que muitos deles fizeram as descobertas quejustificaramadistinção muitos anos antes, mas ainda assimteriam,10, 50 ou 60 anos de idade. A ideia comum de que o empreendedorismo, a inovação e o sucesso são típicos dajuventude não é rigorosa A idade não é o essencial para o sucesso, evidentemente.

O essencial tem de ser algo característico do que se faz, e que tem sucesso. Um estudo do National BureauofEconomicResearch, dos EUA, mostra que é mais provável uma pessoa ter sucesso num nov projecto aos 50 anos deidade do que aos 30 anos. O sucesso depende da aprendizagem, das tentativas que se fazem e do acaso.

Ora, os jovens tentam muito mais vezes dogue as pessoas mais velhas e, por isso,, acertam mais vezes em termos absolutos. E por isso, e também por causa do mito dojovem empreendedor, que há mais histórias de empreendimentos de sucesso protagoniza das porjovens do que por pessoas mais velhas.

Nota: Pode ser o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 16 de julho de 2021.

Francisca Guedes de Oliveira: "O que temos de melhor!"

Temos uma tendência natural para a crítica, o queixume e a maledicência. Pois eu, sem lamechices e sem demagogia, vou elogiar. Em particular o SNS e os seus profissionais fantásticos. Somos um povo de gente queixosa. Temos uma tendência natural para a crítica, o queixume e a maledicência.

Geralmente esta prática é inconsequente e no momento de agir para tentar melhorar aquilo de que nos queixamos, nada acontece. E, infelizmente, não temos a prática oposta de dizer bem e elogiar quando as pessoas, os serviços e o sistema funcionam bem. Pois eu, sem lamechices e sem demagogia, vou elogiar.

Temos um Serviço Nacional de Saúde (SNS) com inúmeros problemas, mas cheio de profissionais de primeira qualidade. Somos geralmente desorganizados, mas conseguimos montar um processo de vacinação muito eficaz. A minha experiência, e a de todos os que à minha volta já foram vacinados, é muitíssimo positiva. Sobretudo no que diz respeito aos profissionais que nos estão a atender.

São, na sua grande maioria (na minha experiência na sua totalidade), simpáticos, pacientes, cuidadosos e claramente competentes. Não perdem a calma, falam de forma tranquila e segura, respondem às perguntas e dúvidas de forma delicada, mesmo quando vêm na forma de reclamação.

No meu caso em particular, se na primeira toma, apesar deste ambiente cuidadoso e profissional, senti uma certa desorganização no processo, esse sentimento desapareceu na segunda toma: melhoraram o sistema, organizaram-se e garantiram uma fluidez e facilidade que, apesar de algum tempo de espera, não permitiu que ninguém se sentisse incomodado.

Trabalham horas longuíssimas, devem aguentar o insuportável, e continuam com boa cara e a prestar um serviço de primeira qualidade. Mas este não é o único exemplo dos profissionais fantásticos que temos no nosso SNS. Uma sobrinha minha que vive fora, veio passar uns dias a minha casa. Ficou doente e num estado de fraqueza muito preocupante.

Falei com a minha médica do centro de saúde que, por haver suspeitas de Covid, me aconselhou o centro ao qual me devia dirigir. Fomos fabulosamente atendidas. 

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Faculdade de Medicina integra Plataforma mundial de cientista no combate à tuberculose

A Faculdade de Medicina, da Universidade Católica Portuguesa (UCP), passou a integrar a plataforma mundial de cientistas no combate à tuberculose (Collaboration for Tuberculosis Vacine Discovery – CTVD).

“Foi um reconhecimento muito importante para a Faculdade de Medicina da Universidade Católica, ao passarmos a integrar este grupo que reúne os melhores cientistas do mundo, numa verdadeira partilha de conhecimento científico”, afirma o professor Paulo Bettencourt, em representação da Faculdade de Medicina da UCP, num comunicado enviado hoje à Agência ECCLESIA.

Prestes a dar início ao seu primeiro ano letivo, com data marcada para 13 de setembro, a integração na Plataforma significa uma adesão, efetivada a 15 de julho, a uma “rede de cientistas que desenvolvem projetos associados à investigação de vacinas mais eficazes contra a tuberculose e facilita a colaboração entre os seus membros”.

“Trata-se da maior plataforma mundial de cientistas, que se dedicam ao desenvolvimento de novas vacinas contra a tuberculose”, indica o comunicado, acrescentando que a CTVD é financiada pela Fundação Bill e Medinda Gates.

“Este grupo de trabalho procura melhorar a única vacina contra a tuberculose – BCG. A tuberculose é uma doença que registou 10 milhões de novos casos e 1.4 milhões de mortes em 2019”, pode ainda ler-se.

A UCP informa que Paulo Bettencourt é formado em Biotecnologia pelo Instituto Superior de Humanidades e Tecnologias, Lisboa, concluiu o mestrado em Imunologia e Imunogenética pela Universidade de Manchester, doutoramento em Farmácia pela Universidade de Lisboa, e o Pós-doutoramento em Vacinologia no Instituto Jenner da Universidade de Oxford, onde a vacina contra a COVID-19 da AstraZeneca foi criada e desenvolvida.

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Grécia

Ana Filipa Morais Antunes: "Pandemia, (des)equilíbrio contratual e prudência do julgador"

É fundamental que os tribunais avaliem, com ponderação, os meios de tutela jurídica concretamente mais adequados na situação individual. E que privilegiem a virtude cardeal da prudência.

O Tribunal da Relação de Lisboa, por Acórdão de 8 de Abril de 2021, decidiu que a pandemia por Covid-19 constitui um motivo para a resolução, válida e legítima, de um contrato de arrendamento comercial, com fundamento na alteração anormal e superveniente das circunstâncias.

Esta decisão assume um relevo particular, por três razões essenciais: primeiro, considera vários preceitos legais (quer comuns, quer extraordinários, porque aprovados em "contexto pandémico"); segundo, ensaia uma construção adaptada ao momento actual, com base, designadamente, na dicotomia "situações normais e regulares" e "situações excepcionais", e na ideia central de "equilíbrio contratual"; terceiro, autoriza a resolução extrajudicial do contrato por alteração das circunstâncias.

A pandemia por Covid-19 constitui um evento que interferiu no cumprimento da generalidade dos contratos, em particular, os duradouros e de execução diferida no tempo. Em Março de 2020, impôs-se aos contraentes como um facto exterior, imprevisível, inimputável e inevitável. O juízo quanto à exigibilidade das prestações a que cada contraente se vinculou tem hoje de ser feito em termos distintos do que sucederia num cenário "Covid-free".

A rigidez do postulado da estabilidade dos contratos deve ser matizada em situações como as que se têm vivido desde Março de 2020. A conduta de cada um dos contraentes passa a ser sindicada à luz de padrões de probidade, lisura e lealdade qualificados. Em especial, os contraentes "profissionais" (como sucede nos contratos "B2B") devem actuar com transparência e com verdade, e colaborar reciprocamente, com respeito integral pelas exigências de fair dealing.

Por outro lado, a pandemia tem determinado consequências distintas nos vários momentos temporais e em função dos diferentes vínculos estabelecidos: nesta matéria, "one size does not fit all". Na verdade, uma das lições do "novo normal" é a necessidade de se privilegiar um exame casuístico, que releve as circunstâncias concretamente relevantes, como, v.g., o tipo de contrato, a sua duração, a função correspondente, a natureza das relações entre os contraentes, e a particular ingerência em cada prestação contratualizada.

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"A ideia de que a universidade serve apenas para formar técnicos é algo que me assusta" - Entrevista a Nelson Ribeiro

A Faculdade de Ciências Humanas da Universidade Católica que dirige, desde 2016, é a escola onde estudou, se tornou professor e coordenador da área Científica em Ciências da Comunicação. Membro do Conselho de Direção do Centro de Estudos de Comunicação e Cultura, onde coordena o Grupo de Investigação Media Narratives and Cultural Memory, Nelson Ribeiro, que é formado em Comunicação Social e Cultural e doutorado em Media and Culture Studies, pela Universidade de Lincoln, tem como áreas principais de investigação a história dos media e da propaganda, os estudos de jornalismo e a economia política dos media.

Nesta entrevista defende o papel fundamental da Universidade na formação das novas gerações e na defesa da democracia, desmonta a aparente dicotomia sonho-empregabilidade, explica o que faz com que a FCH-Católica tenha das mais altas taxas de empregabilidade do país, antecipa um número recorde de estudantes estrangeiros em mestrado e doutoramento no próximo ano letivo e adianta novidades na licenciatura em Comunicação Social e Cultural. "O jornalismo é hoje mais necessário do que no passado", salienta.

Porque escolheu estudar e trabalhar na FCH-Católica?

Nos anos 90, escolhi a FCH para estudar pela reputação da escola e pelo plano curricular da licenciatura em Comunicação Social e Cultural que tinha uma forte componente interdisciplinar que eu procurava. Trabalhar na FCH acabou por ser algo que aconteceu. Quando terminei a licenciatura fui convidado para colaborar como Assistente e, após o meu doutoramento, como Professor Auxiliar convidado. Só mais tarde tomei a decisão de ficar em exclusivo na universidade e deixar a minha carreira nos media.

Na altura de escolher o curso, o que deve priorizar o aluno no caso das duas coisas não coincidirem: o sonho ou a empregabilidade?

Curiosamente não acredito que esta dicotomia exista. Quando um jovem tem um sonho e estuda algo que realmente gosta, acaba por desenvolver verdadeiramente as suas capacidades e competências. Não tenho dúvidas de que tal lhe haverá de abrir muitas portas na sua carreira profissional. Quem entra num curso sem vocação, apenas porque acredita que tal é mais seguro, acaba habitualmente infeliz e a não conseguir tirar um grande rendimento da sua passagem pela universidade. Uma das razões pelas quais a FCH tem das mais altas taxas de empregabilidade do país é também porque a grande maioria dos nossos alunos estão a estudar o que escolheram e a tirar proveito da sua passagem pela universidade para crescerem enquanto pessoas e profissionais.

Na sua perspetiva, o que é mais importante: formar pessoas ou formar técnicos?

A missão da universidade tem de ser a de formar pessoas altamente qualificadas. A ideia de que a universidade serve apenas para formar técnicos é algo que me assusta verdadeiramente pois significa reduzir a universidade a uma função meramente instrumental, tornando-a incapaz de formar novas gerações capazes de pensar pela própria cabeça, de inovar e de desenvolver um espírito crítico. Se apostamos em formar técnicos na melhor das hipóteses estamos a formar para o presente e na universidade precisamos de formar para o futuro e de contribuir para que as novas gerações possam construir uma sociedade mais justa e mais inclusiva.

Os vossos cursos estão desenhados tendo em conta as saídas profissionais?

Os nossos cursos são desenhados procurando garantir que todos os estudantes podem desenvolver competências transversais, que lhes serão úteis para a vida, e competências técnicas na sua área de especialização. Não ignoramos a importância de os nossos alunos serem tecnicamente competentes mas o que mais os distingue no mercado de trabalho são as suas competências analíticas, o seu pensamento crítico e as capacidades de inovação e adaptação a diferentes contextos.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal Económico de 6 de agosto de 2021.

Acesso a recursos subscritos fora do campus

Para aceder aos recursos subscritos fora do campus da Universidade é necessário proceder à configuração do seu equipamento.

Utilizadores de Lisboa, Braga e Viseu:

Para a configuração deste acesso consulte a informação que consta na página: https://www2.lisboa.ucp.pt/vpn/bon.php

Utilizadores do Porto:

Para a configuração de acesso contacte o Helpdesk STI através do portal https://suporte.porto.ucp.pt ou através do endereço de e-mail suporte@porto.ucp.pt

Biblioteca da Faculdade de Medicina

Biblioteca Faculdade de Medicina PT

A Biblioteca da Faculdade de Medicina da UCP tem como missão apoiar e fortalecer os processos de ensino e aprendizagem, a investigação e a simples pesquisa realizada no âmbito das atividades desta Faculdade, assim como servir toda a comunidade da Universidade Católica Portuguesa, em particular no âmbito da Medicina, mas também das Ciências da Saúde em geral. Pretende contribuir para o crescimento intelectual e para a criatividade de cada um, desenvolver uma coleção capaz de estimular e de responder às necessidades de todos os seus utilizadores, e proporcionar o acesso a recursos de informação que apoiem os interesses, as suas preferências e competências. A capacitação para a utilização eficaz desses recursos e o desenvolvimento de aptidões ao nível da literacia da informação e digital são igualmente almejados. A Biblioteca da FM, em alinhamento com as necessidades que decorrem da adoção da metodologia Problem-based Learning (PBL), procurará disponibilizar espaços físicos bem equipados e funcionais que promovam a aprendizagem coletiva e individual, assim como explorar e implementar tecnologias inovadoras e serviços, de modo a fornecer os recursos de informação necessários aos seus utilizadores a qualquer hora e em qualquer lugar.

Anatomia

Farmacologia

Bioética

Imagiologia

Ciências da Saúde

Medicina

Número de títulos

4175 (180 físicos + 3995 e-books)

Número de periódicos

1244

Número de postos de trabalho

60

Número de terminais de pesquisa

4

Número de gabinetes estudo (individual e grupo)

3

Formulário de Prestação de Serviços

Outros recursos disponíveis: fotocopiadora, impressora, digitalizador

Católica lança postos de carregamento de carros elétricos em parceria com Mota Engil

A Universidade Católica Portuguesa vai disponibilizar postos de carregamento de veículos elétricos (smart sharging) nos campi de Lisboa e Porto, já a partir de setembro. O projeto envolve a empresa Mota Engil Renewing, com a qual a Católica estabeleceu uma parceria estratégica para soluções de energia e mobilidade elétrica.

Numa primeira fase serão colocados carregadores em cada campus, integrados na rede de abastecimento de mobilidade elétrica nacional (Mobi.e). Mas isto é só o inicio. A parceria para continuar no futuro prevê outros serviços transformadores como é o caso dos shuttles elétricos para tornar a mobilidade dos docentes e alunos cada vez mais sustentável.

"Pretendemos construir e ampliar, ao longo do tempo, soluções nas nossas áreas de atuação, criando verdadeiros hubs de referência tecnológica e de sustentabilidade ao serviço da sua comunidade", afirma Manuel d´Estrade Abecasis, CEO da Mota Engil Renewing, que elogia a Católica como "espaço de excelência", com "uma comunidade científica e académica, tradicionalmente com um posicionamento de "early adopters", no que se refere à implementação de novas soluções e serviços digitais e tecnológicos".

Ler artigo completo aqui.

Categorias: A Católica

A agricultura e a culinária vão mudar. Gosta de feijão alado?

O que é que a bambara tem? E o que traz de novo o milho-painço? Estarão os europeus prontos para o feijão alado? Todas estas questões deverão ter resposta, dentro de quatro anos, quando o projeto europeu RADIANT der a conhecer os resultados obtidos com o cultivo de 15 grupos de vegetais provenientes de outros continentes ou que, entretanto, caíram em desuso. Os testes começam num grupo de 20 quintas, e deverão expandir-se mais tarde a outras 45, por convite. Estão envolvidas 29 entidades de 12 países. A participação nacional é garantida por duas vias: além da inclusão da Herdade do Freixo do Meio, em Montemor-o-Novo, e da Quinta Biofontinha, na ilha Terceira, Açores, o RADIANT conta com a coordenação da Universidade Católica Portuguesa (UCP).

“Mais do que combater a escassez de alimento, o projeto pretende evitar dietas cada vez mais monótonas. A agricultura tem vindo a produzir mais do mesmo. O que pode ter como resultado a perda de qualidade dos solos e de diversidade dos vegetais. A ideia é que estes alimentos sejam produzidos de forma sustentável e com custos acessíveis”, explica Marta Vasconcelos, professora na Escola Superior de Biotecnologia da UCP.

O projeto, que conta com um total de 5,9 milhões de euros de financiamento, não só vai testar o cultivo de vegetais que geralmente não constam nas safras e nos pratos europeus como prevê testes de degustação, inquéritos e rotulagem que enaltece os benefícios nutricionais dos novos vegetais que vierem a ser cultivados. Também está previsto o desenvolvimento de uma app que ajude os agricultores a apurar quais as espécies que melhor se adequam às condições agrícolas e meteorológicas de cada região.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Expresso de 13 de agosto de 2021.

Grécia
Hungria

Isabel Capeloa Gil: "O valor da universidade"

A maior reserva de crescimento de um país está no conhecimento que gera e no talento que alimenta. As universidades são instituições definidoras deste modelo de desenvolvimento que passa necessariamente por uma adaptação às necessidades emergentes de formação, pelo antecipar de caminhos e pela inovação, mas também pelo cultivo daquilo que são os saberes estruturantes da matriz do país, a sua história, o que se pensou, criou e discutiu. Ou seja, as universidades - e saliento que o termo deve ser sempre plural - garantem o presente, estruturam o futuro e preservam o passado.

Face a um antecipado inverno demográfico, são excelentes as notícias acerca do crescimento de candidatos ao ensino superior, o mais elevado desde 1996. Como são também positivas as medidas que permitem um aumento de vagas no ensino superior estatal, e que, imaginamos, estarão potencialmente em linha com os limites impostos pela Agência de Acreditação do Ensino Superior nas acreditações destes ciclos de estudos. Da mesma forma, acredito, porque estar empenhado no país significa acreditar nas instituições, que este aumento não deixará de ter reflexo no número de vagas autorizado pela mesma agência para as instituições não-estatais. Num sistema que se robustece na diversidade, o contrário seria arbitrariedade e nepotismo.

Para que este seja verdadeiramente um momento de viragem que permita um crescimento sustentado de estudantes, atingindo em 2030 a meta delineada pelo Governo de conseguir que 6 em cada 10 estudantes que terminam o ensino secundário frequente o ensino superior, é necessário um pacto com três vetores: económico, político e social. Começando pelo último, que a sociedade nos seus vários setores, e as famílias, assumam como indiscutível o valor do ensino universitário para que os jovens e o país tenham um futuro de qualificação profissional robusta, conceptualmente sólido e capaz de se reinventar continuamente. Um dos co-fundadores do MIT - Media Lab, Nicholas Negroponte, disse-me um dia que a missão deste instituto de vanguarda é "reinventar o futuro a cada seis meses". Que as universidades são os locais onde esta transformação se faz, não pode ser um discurso de Reitores, mas uma constatação da sociedade.

Ora essa assunção inequívoca, esse pacto, social, diria com o ensino superior, passa necessariamente por um outro pacto de natureza económica e política. Pela consciência do custo e investimento necessários para que o sistema tenha qualidade e possa ser competitivo na atração global de talento. O ensino superior de qualidade tem um custo financeiro elevado, mas com um retorno económico muito superior para o graduado, e sobretudo para o país. Este custo é pago por todos os contribuintes portugueses, para as universidades estatais, e duplamente pelas famílias cujos filhos frequentam instituições não-estatais.

Escrevi acima que universidade é um termo que se deve grafar no plural, como universidades, porque apesar do ideário matricial da universidade europeia ser comum, os projetos das universidades atuais devem necessariamente ser distintos, com valências de especialização diversa, respondendo a outras tantas necessidades de territórios muito variados e, sobretudo, exigindo, para poderem manter a competitividade posicionamentos diversos. A apologia do consórcio, da associação, entre instituições, que está na base do programa de Universidades Europeias, justifica-se pela coligação de modelos diversos, distintos, cujo valor radica na articulação e na projeção que esta diversidade dialogante consigo traz. Universidades, portanto. E universidades com projetos institucionais, pedagógicos e de missão distintos potenciam a possibilidade de escolha do estudante.

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Categorias: A Reitora

A ameaça dos poderes autoritários e um guião para salvar as democracias liberais

"Manter os ideais democráticos", reforçar a "cooperação entre as democracias consolidadas" e regular a utilização da tecnologia de acordo com padrões democráticos são instrumentos importantes para enfrentar os "poderes autoritários emergentes", de acordo com um estudo apresentado pelo Centro de Investigação do Instituto de Estudos Políticos (CIEP) da Universidade Católica Portuguesa.

Identificando a Rússia e a China (esta com maior impacto e influência em Portugal) como ameaças às democracias ocidentais, este estudo - divulgado no âmbito do "Estoril Political Fórum" promovido pela Católica, que decorre esta semana e junta estudantes, académicos e peritos da área da ciência política - procurou "compreender as novas formas dos poderes autoritários que se estão a infiltrar no mundo democrático" através de tecnologia sofisticada, da economia e da desinformação, refere o relatório final desta investigação.

O designado projeto "Raising Powers" (poderes emergentes) foi desenvolvido no último ano e meio por dois professores e seis bolseiros de mestrado e doutoramento, com o apoio do Institute for War and Peace Reporting e do Global Engagement Center do Departamento de Estado norte-americano, contando também com várias conferências e artigos publicados.

"O nosso foco principal foi sobre os desafios autoritários em Portugal e na União Europeia, bem como as forças autoritárias influenciam os processos de democratização e o desenvolvimento económico nos países africanos de língua oficial portuguesa", é sublinhado no relatório final a que o DN teve acesso.

Esta equipa trabalhou em três áreas principais que, no seu entender, mais estão a corromper as democracias liberais. A primeira engloba a "Inteligência Artificial" e a "vigilância cibernética autoritária", no âmbito das quais "a tecnologia 5G desempenha um papel cada vez mais importante e generalizado na política e relações internacionais".

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Itália
Itália

Católica e Planetiers apresentam hoje hub de Inovação em Sustentabilidade e Regeneração

A Universidade Católica Portuguesa e a Planetiers apresentam hoje, quarta-feira, um novo hub de Inovação em Sustentabilidade e Regeneração, um espaço de inovação e gestão numa perspetiva circular. O evento de lançamento do INSURE.hub decorre esta tarde na Católica no Porto e será transmitido online.

"A Planetiers New Generation foi criada com a ambição de desenvolver um programa de transformação para Portugal orientado pela Sustentabilidade e a Regeneração pelo que sermos parceiros do INSURE.hub é um passo natural", explica António Vasconcelos, da Planetiers New Generation.

O INSURE Hub, que foi criado pela Católica no Porto, através das suas Faculdades - Católica Porto Business School e Escola Superior de Biotecnologia - e pela Planetiers New Generation, têm em vista a promoção e implementação de processos de inovação e gestão numa perspetiva circular, com o objetivo da sustentabilidade plena (net-zero) e/ou regeneração (positive pursuits), antecipando o futuro e a adaptação aos desafios ambientais globais, é referido no comunicado enviado à imprensa a propósito do lançamento.

"Pretendemos que o INSURE.hub se consubstancie numa iniciativa que envolve todos os stakeholders para preparar soluções em linha com as metas 2030," comenta a diretora do Centro de Biotecnologia e Química Fina (CBQF) da Universidade Católica no Porto, Manuela Pintado.

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Isabel Capeloa Gil: "Depois de acabar de vez com a cultura"

Depois de acabar de vez com a cultura, fica o vazio. Ou talvez não. Portugal é um país sem política de cultura. O que não é necessariamente mau, se pensarmos que qualquer projeto programático tem sempre laivos de controlo e se há coisa a que a cultura deve, por natureza e missão, resistir é a ser instrumento do Estado. A história tem demonstrado que entre esta sensibilidade intelectual e a prática real há um abismo imenso. Não faltam os filhos do(s) regime(s) e a lógica distributiva das migalhas que os governos lançam abaixo da mesa da arte encontra sempre clientes habituais. Neste estado amorfo, surgiu a pandemia, que parecia vir para acabar de vez com a cultura. E, no entanto, ela move-se. Move-se nos processos de reinvenção de artistas suspensos, na depauperada, mas resiliente, programação dos subfinanciados museus nacionais, nos banhos de público da programação musical logo que foi possível o regresso dos espetáculos, na sede de cultura de um público que não desiste.

Apesar do lamento dos críticos, da crise real de financiamento do setor, é da essência mesma do gesto cultural e artístico resistir sempre. Todavia, reduzir o gesto artístico a resistência à adversidade do financiamento e do investimento é desde logo retirar-lhe a capacidade de ser estruturante para o desenvolvimento, e também o crescimento do país. Este setor alargado com um contributo de 4,5% para o PIB tem a singularidade de em conjunto cultivar a formação estética, essencial a uma participação cívica consistente, fomentar a criatividade e a inovação e promover o crescimento do país. Estas três dimensões exigem mecanismos de desenvolvimento diferenciados: uma estrutura de formação de base adequada, flexibilidade das organizações de apoio à cultura para acolhimento de iniciativas e práticas artísticas com natureza mais ou menos institucional, um conjunto diferenciado de mecanismos de financiamento, mas também de investimento, adequados ao setor e políticas de promoção - não de programação - consistentes.

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Francisca Guedes de Oliveira: "Algo substancialmente diferente"

Não é fácil fazer previsões ou sequer comentários ao cenário macroeconómico do último trimestre sem repetir, em larga medida, o que já tem sido.

Alguns dados novos, contudo, podem ajudar na tarefa.

Em julho tudo indicava que iríamos fechar o segundo trimestre com um crescimento do PIB de 4,9%. Em setembro confirmou-se que o segundo trimestre trazia efetivamente crescimento, mas que este teria ficado pelos 4,5%. 0,4 pontos é bastante num cenário em que se precisa de recuperação rápida. Este facto pode dificultar que se atinjam as ambiciosas metas propostas para o final de 2021 e até para 2022.

O Banco de Portugal prevê, neste momento, um crescimento de 4,8% para 2021 (que compara com 5% para a zona euro (ZE)), e 5,6% para 2022 (4,6% para a ZE). No caso de Portugal estas previsões são sobretudo suportadas por um crescimento do consumo privado, do consumo público e mesmo das exportações, acima da média europeia. As notícias menos boas são que o crescimento do investimento em Portugal fica quase dois pontos percentuais abaixo do da ZE, e que a recuperação portuguesa, mais lenta que a média dos seus congéneres, vem depois de uma quebra bem mais acentuada, em 2020 (-8,4% para Portugal vs. -6,5 para a ZE).

A taxa de desemprego parece manter-se contida, com 6,8% este ano e 7,1% no próximo.

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Entrevista a Isabel Capeloa Gil

Como figuras de eleição, em resposta ao questionário de Proust, proposto pelo Diário de Notícias no último verão, escolheu a chanceler Angela Merkel, o cônsul Aristides de Sousa Mendes e a filósofa Edith Stein. “Têm todos uma ligação a algo que tem muito que ver com a minha formação, a fidelidade aos princípios”, justifica Isabel Capeloa Gil, 56 anos, a germanófila que, desde 2016, assume o cargo de reitora da Universidade Católica Portuguesa. No mês passado, inaugurou a nova Faculdade de Medicina, a primeira do setor privado no País.

A primeira pergunta não é para a reitora, é para a investigadora: a que se deve esta voragem humana pelo conhecimento?

O conhecimento é um processo que tem como objetivo a melhoria das condições de vida, estando estas não apenas centradas no ser humano mas também no respeito pelo ambiente. Não numa lógica predatória, de imposição à Natureza, mas de compreensão daquilo que são os fenómenos naturais. Costumo citar Francis Bacon, que esteve na origem do método experimental do século XIX: ele dizia que a função da Ciência era melhorar a condição humana e, portanto, não contribuir para a destruição. É verdade que, às vezes, perdemos um pouco este horizonte. Ainda há pouco lia uma afirmação de Margrethe Vestager, a comissária europeia para a concorrência, sobre a necessidade de interagirmos essa melhoria no que se refere aos processos de desenvolvimento de Inteligência Artificial, a qual, se não for bem utilizada, pode ter um efeito absolutamente danoso.

Na pandemia, a Ciência, com todos os seus avanços e recuos, esteve muito presente no dia a dia. Isto permitiu reforçar a sua importância?

Sim, sobretudo porque foi uma demonstração clara de que as instituições científicas, as universidades, os laboratórios, as grandes empresas e as farmacêuticas estavam preparados para produzir produtos que tiveram um efeito de mitigação e de combate à pandemia.

A colaboração entre os cientistas tornou esse processo inédito?

A Ciência, por natureza, é colaborativa e cosmopolita. Há uma lógica política das nações que não é a lógica dos cientistas. No século XIX, Goethe já dizia que não existe Ciência patriótica. E isto é interessante, porque os projetos das universidades, sobretudo na universidade moderna que nasceu do modelo alemão, estão muitos ligados à afirmação da Nação. Claro que as instituições científicas são um poderoso acelerador da capacidade de projeção do poder dos países, mas a prática científica faz-se de forma comunitária, através da interação e da colaboração. Quer a União Soviética quer o Estado nacional-socialista utilizaram os mecanismos da Ciência para processos de manipulação do conhecimento, para fins contrários ao que são estes princípios...

Do bem comum?

Exato, do bem comum.

Escreveu há pouco um artigo sobre como a experiência da pandemia veio reforçar a importância do contrato social. Vê sinais deste recentramento?

Vivemos num tempo em que é muito fácil pôr a circular narrativas falsas, que têm o efeito de descredibilizar, causar a incerteza, aprofundar a ansiedade das populações. Mas, nos momentos de crise, é absolutamente essencial reafirmar aquilo que são os princípios básicos do contrato social e do respeito pelo Outro, os valores essenciais das sociedades democráticas. Tem muito que ver com a tal prossecução do bem comum. Tivemos situações extraordinárias na sociedade civil como, por exemplo, a dinâmica criada por um grupo de jovens que, durante os surtos nos lares, se organizou para acompanhar os idosos, quando as equipas dos cuidadores estavam contaminadas.

Que papel podem ter as universidades, além de contribuir para o conhecimento?

A universidade é uma instituição central para a coesão das sociedades, porque capacita profissionais mas também educa cidadãos. Aliás, só formando pessoas é que podemos ter profissionais competentes. Formar pessoas significa fornecer-lhes os instrumentos para poderem gerir a própria vida com espírito crítico, terem a capacidade de eleger os seus caminhos, as competências para poderem escolher, de forma responsável, aquilo que vão ser ao longo da vida. Aquele discurso de que os indivíduos estão ao sabor das decisões dos outros é terrível: o “eles” – o governo, a igreja, a empresa... – é uma expressão retórica terrível na Língua Portuguesa. Somos cocriadores do nosso destino.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa da Visão de 7 de outubro de 2021.

Categorias: A Reitora

João Borges de Assunção: "Mudança de ciclo"

Apesar de já ter começado o outono, o país está a renascer. Isso sente-se em Portugal e um pouco por toda a Europa.

Há no ar a perceção que podemos estar a entrar num novo ciclo. Os seus contornos estão ainda muito indefinidos. E, por exemplo, o próximo governo alemão pode trazer uma nova geração de políticas públicas.

Eu tenho curiosidade sobre os contornos desse governo, e sobre a sua consistência estratégica e durabilidade. Numa primeira fase a agenda política do próximo governo alemão será determinada por fatores internos à própria Alemanha. Porém, se essa agenda for consistente e duradoura, irá alinhar a agenda política de muitos países europeus, incluindo Portugal.

Os temas de política externa têm também uma importância vital e poderão alterar a relação da Alemanha, e da Europa, com as principais potenciais mundiais. Há ainda muitas ditaduras no mundo, algumas geograficamente próximas. E os recentes acontecimentos no Afeganistão reduziram a confiança nos Estados Unidos para garantir os princípios básicos de transição pacífica de governos de base democrática. Isso coloca desafios novos à Europa e responsabilidades acrescidas para o governo alemão.

Na agenda económica interna será interessante perceber a consistência de políticas entre o SPD, da família socialista europeia, os verdes e os liberais, a composição provável da primeira tentativa de base de apoio do próximo governo. A chamada coligação do semáforo.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 8 de outubro de 2021.

Itália

Paulo Cardoso do Amaral: "Vem aí o MiCA, mas não chega"

O parlamento europeu está a avançar com o MiCA (Regulation on Markets in Crypto-Assets), a regulação específica para os tão discutidos criptoactivos. Apesar de ser uma legislação necessária e interessante, está muito aquém do que precisamos para melhorar a competitividade das nossas economias quando comparado com o que se está a passar noutras geografias, nomeadamente nos EUA.

É verdade que precisamos de mais legislação para proteger os investidores, e a diferença entre a Europa e os EUA é abismal. Nos EUA, qualquer investimento com expectativa de mais-valias que inclua a contribuição de outrem tem sempre por base um título devidamente regulado.

Já na Europa, com a directiva para os mercados de instrumentos financeiros em vigor desde Junho de 2014 (MiFID II), e implementada segundo indicações da ESMA (European Security and Markets Authority), apenas os títulos relativos ao investimento acima de determinado valor estão sujeitos a todas a protecções. Esse valor varia entre 1MEUR e 8MEUR dependendo do país em causa, e em Portugal é 5MEUR. Só estes títulos é que estão sujeitos à existência de um prospecto, e todos os investimentos abaixo desse valor são considerados crowdsourcing, com todas as implicações na falta de protecção ao investidor que daí advêm.

Alguns países têm regras específicas para o crowdsourcing, e outros, nem por isso, como é o caso de Portugal (segundo a própria ESMA). Ora, com tudo o que se tem passado em torno do lançamento de criptomoedas e outros criptoactivos, em particular com base nos tão falados ICO (Inicial Coin Offerings), entre outros, é apenas natural ver os reguladores no nosso espaço económico avançar no sentido da protecção dos investidores.

Para já, o ponto de situação é o seguinte. Depois da proposta avançada em Setembro de 2020 pela Comunidade Europeia, esta passou à discussão no contexto do Parlamento Europeu e espera-se a sua promulgação até 2023, devidamente transposta para a nossa legislação. Quando isso acontecer, os vários tipos de criptoactivos identificados no Diploma passam a ser reconhecidos como instrumentos financeiros e terão de obedecer às regras agora propostas, deixando assim de serem considerados crowdsourcing. Em particular, terá de haver responsabilização pela emissão, custódia e garantia dos direitos associados a cada criptoactivo em particular.

Na verdade, é o que acontece, já hoje, com todos os instrumentos financeiros, e é esse o problema. Há mesmo quem defenda a regulação da #DeFi - finanças descentralizadas baseadas em tecnologia blockchain - na linha do próprio MiCA, propondo, desde já, uma camada adicional de regulação especialmente adaptada ao que a maioria das pessoas chama de serviços descentralizados. Pois bem, não é esse o caminho.

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Itália

Céline Abecassis-Moedas: A liderança do futuro tem um rosto feminino

Céline Abecassis-Moedas foi a responsável pela primeira palestra individual da manhã, feita em inglês e intitulada "Is Womens Leadership a Leadership for the Future?". Administradora não executiva de diversas empresas, Céline Abecassis-Moedas assumiu a direção da formação de executivos da Católica Lisbon em fevereiro de 2019, depois de um percurso de 14 anos nesta universidade. "Este é um tema que me é muito caro e vejo o meu papel aqui, na Católica, como uma agente de mudança - sinto-me responsável por fazer com que as coisas mudem a partir de dentro", começou por dizer usando como exemplo a série de ficção The Chair, onde disse rever muitos dos desafios mais prementes da liderança feminina numa instituição académica.

"Os cargos de liderança são muitas vezes oferecidos às mulheres em alturas de crise, quando as hipóteses de fracasso são grandes."

"Porque é a liderança feminina é um desafio? Primeiro, porque os cargos de liderança são muitas vezes oferecidos às mulheres em alturas de crise, quando as hipóteses de fracasso são grandes. Tal como uma das protagonistas da série diz, sinto que alguém me entregou uma bomba-relógio porque queriam assegurar-se que era uma mulher que a tinha nas mãos quando explodisse. Isto soa familiar a algumas de vós?" Outra razão para ser desafiante é o facto de "as mulheres terem que escolher muitas vezes entre serem vistas como competentes ou agradáveis. As mulheres pagam um preço alto pela competência, sendo geralmente vistas como arrogantes e não como amáveis." Em terceiro lugar, o desafio também está no facto de as mulheres que assumem estes papéis nas organizações quererem ser vistas como agentes de mudança.

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Itália

Católica faz nova edição do Programa Avançado em Empreendedorismo e Gestão da Inovação

Estão a decorrer as candidaturas à próxima edição do PAEGI-Programa Avançado em Empreendedorismo e Gestão da Inovação. Um curso que fornece uma orientação de gestão para a procura constante de novas oportunidades de negócio, da promoção de uma cultura de inovação, e também do desenvolvimento de skills de empreendedorismo. Esta é a proposta da nova edição do PAEGI com início marcado para o dia 24 de setembro.

Sob a direção dos professores Filipe Santos (diretor da Católica-Lisbon) e Ricardo Jorge (Tribe Leader Collections & Recoveries @ Santander) e com um corpo docente diversificado, o programa vai capacitar os participantes para atuarem como agentes de mudança, com capacidade de acelerarem a criação e a aplicação de novos projetos, com lucro e impacto na sociedade.

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Rui Soucasaux Sousa: “Digitalização da indústria: que prioridades de investimento?”

A adoção de tecnologias digitais tem estado no topo da agenda das empresas industriais nos últimos anos, sob rótulos como a «Indústria 4.0" ou a "Quarta Revolução Industrial". Estas tecnologias incluem a Internet das Coisas, impressão 3D, computação cloud, realidade aumentada, análise de dados e inteligência artificial, entre outras. O processo de adoção destas tecnologias iniciou-se antes da pandemia, mas hoje o contexto é muito diferente. O vírus veio alterar dramaticamente o contexto macroeconómico, o comportamento dos consumidores e as formas de trabalho, entre muitos outros fatores. É, assim, útil revisitar as prioridades de investimento na digitalização da indústria e perceber como devem ser adaptadas a este novo contexto. Tal reflexão é particularmente pertinente em Portugal e na Europa, pois as empresas destas regiões têm agora acesso (ou espera-se que venham a ter) a fundos avultados no âmbito Plano de Recuperação e Resiliência (PRR).

Do ponto de vista estratégico, podemos dividir as tecnologias digitais para a manufatura em duas categorias: internas (suporte à atividade de manufatura dentro da fabrica); e externas ou de conectividade (suporte às interações da empresa com outros atores da sua cadeia de abastecimento, nomeadamente, clientes e fornecedores). Internamente, a pandemia causou falta de mão de obra, impôs a necessidade de trabalho remoto e gerou esforço adicional das equipas para tarefas urgentes e imprevistas. Externamente, houve falhas no fornecimento de matérias-primas e componentes e oscilações dramáticas na procura. Quem não se lembra da famosa corrida ao papel higiénico que rapidamente desapareceu das prateleiras dos supermercados no início da pandemia, ao mesmo tempo que a procura de outros produtos caiu quase para zero de um dia para o outro. A recente retoma provocou um pico de procura de bens, e sente-se hoje a falta de chips para computadores, materiais de construção, etc. Estas situações têm um denominador comum: a incerteza.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 21 de setembro de 2021.

Nuno Moreira da Cruz: "Ser um "Responsible Business"

Começo normalmente as minhas aulas de Mestrado e cursos de Formação Executiva sobre "Responsible Business" pedindo a alunos e executivos que associem palavras a este conceito. Palavras que sempre surgem andam invariavelmente à volta de sustentabilidade, ambiente, igualdade, ética, stakeholders, comunidades locais, responsabilidade social corporativa, e outras do género. Quando lhes peço em seguida que esqueçam a palavra responsible e associem palavras apenas a business tudo muda, na sala aparecem de imediato os suspeitos do costume: lucro, rentabilidade, acionistas, crescimento.

Este exercício espelha a sociedade e os mercados que temos e é isto que, felizmente, está em rápida transição. Acredito profundamente que dentro de uma década este exercício em classe deixará de fazer sentido - pura e simplesmente porque não haverá business se não for... um responsible business.

Cada vez há menos espaço no mercado para a "irresponsabilidade corporativa" e a pandemia veio reforçar ainda mais o sentimento globalmente aceite da emergência climática e das grosseiras e crescentes desigualdades sociais. Dois relatórios recentes ilustram bem o ponto a que chegámos:

  • Do ponto de vista ambiental, o relatório do IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change), cujas conclusões foram bem sintetizadas por António Guterres, "o documento é um código vermelho para a humanidade";

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Projeções da Universidade Católica

A projeção da Universidade Católica para a RTP admite a vitória da coligação "Novos Tempos" (PSD/CDS-PP/Aliança/MPT/PPM) à Câmara de Lisboa, com um resultado entre os 32 e os 36 por cento, em empate técnico com o atual presidente da autarquia, Fernando Medina (PS e Livre), que poderá contabilizar entre 31 e 35 por cento dos votos. No Porto não há surpresas: o independente Rui Moreira deverá assegurar a continuidade à frente da Câmara do Porto com uma percentagem de votos entre 39 e 44 por cento. Em Coimbra, José Manuel Silva conquista a autarquia ao PS com alguma margem, enquanto Almada volta a escolher a socialista Inês de Medeiros. Nestas estimativas, prevê-se que Santana Lopes conquiste a Figueira da Foz e, na Amadora, os resultados da projeção apontam para a vitória da atual autarca, Carla Tavares (PS).

Carlos Moedas poderá ser o próximo presidente da Câmara de Lisboa e obter entre seis a oito mandatos. De acordo com a projeção da Universidade Católica para a RTP, o candidato da coligação "Novos Tempos" poderá obter entre 32 e 36 por cento dos votos, enquanto o socialista Fernando Medina fica a um por cento de distância, com entre 31 e 35 por cento dos votos. Também poderá eleger entre seis a oito vereadores.

De acordo com esta estimativa, a coligação "Mais Lisboa", composta pelo PS e pelo Livre, fica longe dos resultados de 2017, quando obteve 42 por cento dos votos.

Carlos Moedas, da coligação "Novos Tempos", que reúne PSD, CDS-PP, Aliança, MPT e PPM, consegue desta forma melhorar os resultados do PSD e do CDS-PP se estes tivessem concorrido juntos em 2017 (30,81 por cento).

Segundo a projeção da Católica para a RTP, a Coligação Democrática Unitária (CDU), liderada por João Ferreira, obtém entre 10 e 13 por cento dos votos, números que ainda não asseguram o segundo vereador.

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Paulo Pinto de Albuquerque é Doutor Honoris Causa na Ucrânia

Paulo Pinto de Albuquerque foi distinguido com o título de Doutor Honoris Causa pela Universidade de Direito Nacional Yaroslav I, um dos mais prestigiados centros académicos da Ucrânia e da Europa de Leste. O doutoramento foi proposto por Oksana Kaplina, professora daquele país, que organizou em livro a tradução para ucraniano de vários artigos assinados pelo especialista em Direito Penal. O prefácio da obra foi escrito pelo presidente do Tribunal Constitucional ucraniano, Viktor Horodovenko.

"Considero que esta é uma distinção que a Ucrânia quis fazer a todos os portugueses e, em particular, aos juízes portugueses. Recebi este doutoramento como um ato de reconhecimento do meu trabalho realizado no Tribunal Europeu dos Direitos Humanos (TEDH), em prol de uma Europa mais unida e solidária", afirmou, ao JN, o galardoado.

Paulo Pinto de Albuquerque mostrou-se ainda "muito honrado por uma universidade tão prestigiada" considerar que o seu trabalho, ao longo da última década, "foi importante para que os direitos fundamentais dos cidadãos europeus fossem respeitados e promovidos pelas autoridades nacionais".

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Ana Maria Gomes e Manuela Pintado: "Mar Português – uma fonte inesgotável de valor"

“E ao imenso e possível oceano
Ensinam estas Quinas, que aqui vês,
Que o mar com fim será grego ou romano:
O mar sem fim é português”

Mar Português, Fernando Pessoa

Assinala-se na última semana de setembro o Dia Mundial do Mar, uma data criada em 1978 pela Organização Marítima Internacional, agência das Nações Unidas. A data pretende alertar para a importância de um desenvolvimento marítimo seguro e eficiente e da proteção dos mares e dos oceanos, essenciais para a vida no planeta e para a sociedade. A beleza natural, riqueza mineral e centenas de milhares (238 700, Fundação Oceano Azul) de espécies marinhas habitante do mar são elemento de fascínio que exigem proteção e valorização apoiadas no conhecimento científico, e numa economia azul sustentável, circular e inclusiva, alinhado com o Pacto Ecológico Europeu.

É indelével a alma marítima de Portugal que atravessa séculos e serve de inspiração à literatura e cultura portuguesas desde a arte à gastronomia. Com uma linha de costa de cerca de 2500 km, incluindo uma das maiores zonas económicas exclusivas do mundo que se estende por 1,7 milhões de km2 (Estratégia Nacional para o Mar 2021-2030) Portugal goza de um espaço de excelência que conjuga valores naturais únicos com uma grande ocupação humana. A importância da preservação da biodiversidade e da integridade dos ecossistemas e recursos e da prevenção da acidificação e poluição destas zonas, na promoção da qualidade de vida dos cidadãos e nas respetivas economias, implica uma atenção redobrada na sua gestão e desenvolvimento. Urge contribuir para a sua proteção, gestão e conservação alavancando a sustentabilidade das dinâmicas da orla costeira em termos ambiental, económico e social suportadas na tecnologia, conhecimento científico e inovação. Todos os intervenientes são interpelados a agir de forma articulada e colaborativa num modelo multi e interdisciplinar desde as universidades, centros de investigação, indústria, empresas, associações do sector, entidades da Administração Pública e a sociedade civil. São já vários os projetos relevantes neste domínio da multidisciplinaridade, como são o ValorPeixe, o ValorMar e o CVMar+i, com enfoque na valorização de recursos marinhos e seus subprodutos através do desenvolvimento de novos produtos com aplicações na alimentação animal e humana, cosmética, materiais e biomédica, farmacêutica, têxtil ou mesmo agricultura.

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Jorge Pereira da Silva: "Máscaras na hora do adeus?"

Quando a pandemia terminar, alguém devia escrever uma história das máscaras. Não apenas das regras de uso, mas também das máscaras propriamente ditas. Primeiro não havia, nem sequer devíamos utilizar, por causa da celebérrima “falsa sensação de segurança”. Médicos e enfermeiros, naturalmente, tinham de usar, para se protegerem. Mas isso de passar elásticos atrás das orelhas (e meter os narizes para dentro) não é para qualquer um. Importa ter o grau académico adequado.

Em matéria de decisões políticas baseadas na ciência não foi o começo mais auspicioso. Felizmente que o sistema capitalista está em grande forma e o mercado – quer dizer, a China – passou a fabricar máscaras em grande abundância e a vendê-las ao mundo inteiro. A quantidade aumentou, o preço caiu a pique e as regras mudaram. Como não há fome que não dê em fartura, as máscaras passaram rapidamente de aconselhadas a obrigatórias. Primeiro no interior, na rua depois. Para os adultos primeiro, para as crianças mais tarde. Centenas de tutoriais, colocados no YouTube por especialistas em saúde desejosos dos seus cinco minutos de fama, ajudaram o povo ignaro a afixar as máscaras no sítio certo.

Nascidas irmãs gémeas das viseiras, as máscaras rapidamente esmagaram a concorrência. Como na evolução das espécies, sobreviveu aquela que tinha maior capacidade de adaptação. Pelo meio ainda surgiram umas espécies híbridas, material transparente como as viseiras, presas como as máscaras, mas com um emaranhado de elásticos. Irremediavelmente votadas ao fracasso, nem a funcionalidade “mostrar o sorriso” lhes valeu.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal Económico de 1 de outubro de 2021.

Universidade Católica. D. Manuel Clemente vai presidir a abertura do ano letivo 2021-2022

O cardeal patriarca de Lisboa vai estar na sessão de abertura do ano letivo 2021-2022 da Universidade Católica Portuguesa, numa cerimónia marcada para o dia 6 de setembro, às 16h00.

"A cerimónia, realizada pela primeira vez a nível nacional, vai ser presidida pelo Magno Chanceler da UCP, D. Manuel Clemente, e conta com a participação do Prof. Aníbal Cavaco Silva e do Dr. Paulo Macedo, que irão entregar os prémios Democracia e Desenvolvimento (Católica - Lisbon) e UCP-Caixa Geral de Depósitos respetivamente", informa um comunicado enviado hoje à Agência ECCLESIA.

A Reitora da UCP, Isabel Capeloa Gil, "fará o discurso de abertura da cerimónia de graduação de mais de três mil estudantes".

A cerimónia está marcada para o auditório Cardeal Medeiros, em Lisboa, mas, devido à pandemia que limita a capacidade do espaço, a sessão será transmitida "online".

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Cavaco Silva questiona se Portugal é uma "democracia plena"

O antigo Presidente da República, Aníbal Cavaco Silva questionou, esta segunda-feira, a existência de uma "democracia plena" em Portugal e algumas decisões importantes que têm sido tomadas no país e que não têm em conta o mérito.

Cavaco Silva entregou na Universidade Católica duas edições do Prémio "Democracia e Desenvolvimento", criado pelo próprio em 1996 com o dinheiro que recebeu de uma instituição alemã pelo contributo para a redução do desemprego em Portugal.

Em discurso feito durante a cerimónia, o antigo primeiro-ministro e Presidente da República apontou que alguns relatórios internacionais dizem que Portugal "é uma democracia com falhas":

"A aproximação ao nível do desenvolvimento médio da UE continua hoje, em 2021, a ser uma ambição dos portugueses", afirmou.

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Arménio Rego: "Bajulação inflacionada"

Mao Tsé-Tung, que liderou uma das ditaduras mais perversas da história, fez a seguinte recomendação a Ho Chi Minh, líder do Vietname, em 1966: "Segue o meu conselho: nem todos os teus súbditos te são leais. É possível que a maioria seja leal, mas talvez um pequeno número diga que te deseja longa vida quando, na realidade, te deseja morte prematura. Quando eles gritam longa vida, deves ter cautela (...). Quanto mais te elogiam, menos podes confiar neles".

O conselho está tão repleto de sabedoria quanto de veneno. Alguns líderes, para se protegerem dos perigos da bajulação, rodeiam-se de quem lhes diz a verdade, por mais desconfortável que seja. É uma postura sábia. Mas outros líderes, com pendor autoritário, encaram o conselho de forma perversa e semeiam veneno. Incapazes de lidar com vozes discordantes, rodeiam-se de bajuladores. Desconfiados da autenticidade dos encómios, ficam atentos ao mais pequeno sinal de "deslealdade" e tornam-se obsessivamente doentios na forma como lidam com as pessoas que os rodeiam. Os liderados captam o perigo e começam a competir no campeonato da bajulação: para darem mostras de lealdade ao líder, acrescentam bajulação à que outros liderados já praticam. O que ocorre no campeonato das "vivas" e aplausos dirigidos a alguns "queridos líderes" é elucidativo: ninguém quer ser o primeiro a baixar as mãos. Ser o primeiro pode ser interpretado como revelador de menor entusiasmo pelo líder - um risco muito perigoso.

Este caldo relacional e emocional ajuda a explicar a emergência do culto da personalidade. Matando (por vezes literalmente) o mensageiro da má notícia e vivendo num permanente estado de paranoia perante qualquer sinal de deslealdade, esses líderes conduzem os liderados a tudo fazerem para caírem nas suas boas graças ou, pura e simplesmente, salvarem a pele. Os liderados mais empedernidos tornam-se ridículos - mas esperam compensar essa imagem com as graças provindas do chefe.

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Inauguração da Faculdade de Medicina é início de «tempo novo» – Isabel Capeloa Gil

A reitora da Universidade Católica Portuguesa (UCP) disse hoje que a inauguração da Faculdade de Medicina desta instituição é o início de “um tempo novo”.

“Para tudo há um tempo, há um tempo para imaginar, para propor, planear, discutir e finalmente há um tempo para fazer. Hoje, inicia-se um tempo porque inauguramos a Faculdade de Medicina da UCP que foi sonho e agora é realização”, referiu Isabel Capeloa Gil, na cerimónia de inauguração que decorreu no Campus de Sintra.

A nova faculdade da UCP, destacou a responsável, quer promover “uma mudança de paradigma” com a criação do primeiro projeto integralmente privado de Medicina em Portugal, num investimento inicial de cerca de 25 milhões de euros.

A Faculdade da UCP tem como “parceira clínica” o Grupo Luz Saúde, que coloca o seu corpo clínico ao “serviço de um projeto de formação único no país”, frisou Isabel Capeloa Gil.

A Universidade Católica Portuguesa “deve estar onde se debate o futuro da ciência” e onde “se define os limites do conhecimento”, acrescentou.

Num contexto excecional – “um cisne negro” – ao nível da saúde e de outras áreas da sociedade devido à pandemia de Covid-19, Isabel Capeloa Gil observou que existem também potencialidades que “podem robustecer” o sistema.

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Categorias: A Reitora

"Um esforço de muitos anos". Inaugurada a primeira faculdade privada de Medicina no país

A primeira faculdade privada de Medicina foi inaugurada, esta terça-feira, pela Universidade Católica Portuguesa (UCP). Na cerimónia participaram, entre outras figuras, o primeiro-ministro e o Cardeal Patriarca de Lisboa. Conta com apenas 50 vagas para o primeiro ano letivo e mais de 600 alunos manifestaram interesse em candidatar-se.

Veja aqui a reportagem.

Alemanha

Ana Filipa Morais Antunes: "Responsabilidade empresarial e dever de diligência"

A empresa "do futuro" tem de ser responsável, sob pena de ser responsabilizada. Numa palavra, tem de fazer mais e melhor para minimizar o risco de uma actuação prejudicial. Da futura matriz sobre "ESG" - Environmental, social and governance A trilogia "Proteger, Respeitar, Remediar" é, hoje, um benchmark nas empresas.

Completa-se, este ano, uma década sobre a aprovação dos "Princípios Orientadores sobre Empresas e Direitos Humanos", das Nações Unidas, e do "Guia sobre o Dever de Diligência para uma Conduta Responsável das Empresas", da OCDE. O último trimestre ficou marcado pela Resolução do Parlamento Europeu, de 10 de Março de 2021, sobre o dever de diligência das empresas e a responsabilidade empresarial, que inclui uma proposta de Directiva, a transpor no prazo de 24 meses, a contar desde a sua entrada em vigor.

Pretende-se introduzir um quadro normativo, de âmbito geral e vinculativo, na União Europeia (UE), que assegure uma abordagem jurídica comum em matéria de sustentabilidade social, ambiental, e de governação das empresas. A nova matriz regulatória transcende o modelo de "guidelines" e impõe um dever de diligência, de cumprimento necessário. São destinatárias do futuro regime as empresas que operam no mercado interno, com sede na UE ou noutro país.

Abrange-se a actividade da empresa, assim como a das relações empresariais sob o seu controlo, e ao longo da sua cadeia de valor (incluindo fornecedores, subcontratações e empresas participadas). As medidas propostas têm um figurino bicéfalo: por um lado, devem ser aptas a prevenir a ingerência prejudicial (potencial ou real) nos direitos humanos, no ambiente, e na boa governação; por outro lado, têm de incorporar mecanismos proporcionados e eficazes para reagir aos efeitos negativos causados.

Para tal, as empresas devem implementar uma estratégia efectiva, que incorpore uma análise de risco, adequada ao volume de negócios, ao sector e contexto de actividade, e que tem de ser dinâmica, através de actualizações periódicas. Privilegia-se o diálogo com as "partes interessadas", como os trabalhadores e seus representantes, accionistas, crianças, comunidades indígenas, associações de cidadãos, e outras organizações da sociedade civil.

Nesse sentido, tem de se garantir o acesso à informação, publicitando a estratégia adoptada, e instituir um mecanismo de reclamação acessível, que deve tutelar o anonimato de quem seja afectado por condutas prejudiciais. Uma empresa que não adopte ou execute estratégias efectivas de sustentabilidade e de dever de diligência em matéria de direitos humanos, ambiente, e boa governação, é susceptível de incorrer em responsabilidade jurídica. 

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Fact check. É possível falsificar um teste antigénio Covid para obter um falso positivo?

Há relatos de estudantes a usar sumo de laranja ou coca-cola para simular um teste positivo à Covid-19. O objetivo? Faltar duas semanas à escola A imaginação humana não tem limites... Lembra-se de ver, nos filmes, adolescentes a encostar o termómetro ao candeeiro para assim aumentar a temperatura e simular um episódio de febre, de modo a faltar às aulas? Agora o "truque" faz-se com os testes caseiros à Covid-19. Da imprensa inglesa chegam-nos vários relatos de que há estudantes a usar sumo de laranja, coca-cola ou mesmo ketchup para obterem um resultado positivo no teste caseiro de antigénio.

Dizem que basta colocar uma porção desses produtos no dispositivo de leitura do teste e, em poucos minutos, voilà!, temos um falso positivo. Na verdade, não pode chamar-se "falso positivo" ao resultado, uma vez que este termo é usado no caso de se seguirem todos os protocolos, nomeadamente recolher a amostra com uma zaragatoa e mergulhar a mesma num tubo com um líquido. É essa solução que depois é vertida para o dispositivo de leitura do teste.

Já a falsificação do teste rápido será feita sem mergulhar o sumo de laranja, por exemplo, no tal líquido. Já veremos porquê. "O fenómeno - que foi verificado pelo Guardian através de uma experiência - não significa que o sumo de laranja contenha o vírus. Antes parece estar ligado à acidez do produto que, essencialmente, arruina o teste", escreve o conceituado jornal inglês. "Eu próprio já fiz a experiência com Coca-cola e deu positivo", revela Germano de Sousa, antigo bastonário da Ordem dos Médicos e fundador dos laboratórios Germano de Sousa. E explica: "Quando há um positivo, isso significa que existem vestígios de um anticorpo contra as proteínas do vírus. Acontece porque se dá uma reação que se passa num determinado PH ótimo".

Ora, é justamente para se ter a certeza de que o teste está bem feito e dentro do PH ideal - que pode ir dos 7,5 aos 8,5 - que se mergulha a secreção recolhida na zaragatoa dentro do tubo que contém um líquido tampão, ou seja, uma solução que vai garantir o PH. "A Coca-cola tem um PH de 3; o sumo de laranja é extremamente ácido. Claro que vão alterar todas as reações", continua Germano de Sousa, sublinhando que, em laboratório, os testes são "impossíveis de falsificar". "Por isso é que um teste rápido deve ser sempre confirmado por um PCR. Se for feito fora dos primeiros cinco dias de sintomas, já pode originar falsos negativos", diz o médico.

Seja como for, o objetivo dos estudantes (e até há vídeos no Tik Tok a explicar como se faz) fica cumprido, ignorando porventura que, pelo motivo fútil de faltar às aulas, vão prejudicar a vida de muita gente, incluindo dos pais e outros familiares, e dos professores e colegas. Mas já antes dos estudantes, um deputado austríaco quis demonstrar no seu parlamento como os testes são falíveis, vertendo uma porção de Coca-cola num teste rápido. Claro que não a passou pelo tubo com o líquido tampão, de modo que o "truque" acabou por ser desacreditado. O deputado era Michael Schnedlitz, secretário-geral do Partido da Liberdade da Áustria, situado no espectro político da extrema-direita populista.

"É preciso haver investigação e conhecimento por detrás de uma ideia como essa para falsificar os testes. É uma ideia malévola que tem como objetivo prejudicar os sistemas de saúde dos países ocidentais", conclui Henrique Lopes, especialista em Saúde Pública e professor na Universidade Católica Portuguesa. 

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Comunicados

Leia as mensagens de Isabel Capeloa Gil, Reitora da Universidade Católica Portuguesa, à comunidade académica.

"Na transformação voraz de estruturas e mentalidades, agravada pelos desafios da pandemia, que o século XXI trouxe, renovar e atualizar os valores do humanismo face à nossa realidade complexa constitui uma obrigação."

"Ao entrarmos na semana em que celebramos o renovar da vida, quero desejar a toda a comunidade da UCP uma Páscoa feliz. Há cerca de um ano, celebrávamos a primeira Páscoa em confinamento, num tempo pleno de incertezas e de medo. Passado um ano, sabemos mais sobre a nossa condição, se bem que ainda não tudo."

"A educação constitui o mais elevado valor intangível de uma sociedade. Dela depende a possibilidade de uma comunidade ter futuro, dando esperança e ambição aos jovens, capacitando-os profissionalmente, incutindo-lhes princípios e estrutura para a vida."

Informação à comunidade académica de 30 de outubro de 2020.

Comunicado do dia 12 de junho de 2020.

"Iniciamos por estes dias, a quarta semana de suspensão de aulas presenciais na UCP. As causas para esta situação singular nos 53 anos de vida da universidade são conhecidas, se bem que extraordinárias. E é também em momentos como este que a força da instituição se manifesta." 

"Acompanhando a celebração da paixão e ressurreição do Senhor e a vida renovada que Cristo representa para nós, a Reitoria da Universidade deseja à comunidade académica e às suas famílias uma Santa Páscoa."

"A visão de uma universidade católica centrada no cultivo da ciência e na contribuição para o bem comum coloca exigências acrescidas aos padrões habituais de ensino e investigação universitários."

Discurso de Inauguração da Faculdade de Medicina da UCP

Eminência Reverendíssima Magno Chanceler da Universidade Católica, Cardeal Patriarca de Lisboa, D. Manuel Clemente

Senhor Primeiro Ministro, Dr. António Costa,
Excelência Senhor Ministro da Ciência, Tecnologia e Ensino Superior, Prof. Manuel Heitor
Senhores Presidentes das Câmaras de Sintra e de Oeiras
Senhor Presidente Cavaco Silva
Senhores Embaixadores,
Senhor Presidente do CRUP e Senhores Reitores e Vice-Reitores de Universidades portuguesas,
Dear Rectors, Provosts and Deans of international universities;
Antigos Reitores da UCP,
Senhores Vice-Reitores, Pró-Reitores e Senhora Administradora da UCP,
Senhores Diretores de unidades académicas e senhor Diretor da Faculdade de Medicina,
Senhora Presidente da Comissão Executiva do Grupo Luz Saúde, Engenheira Isabel Vaz,
Suas Altezas Reais, os Duques de Bragança,
Senhora Presidente da Soc. Científica da UCP,
Membros do Conselho Superior da UCP
Digníssimas autoridades académicas, religiosas, civis e militares
Ilustres convidados,
Senhores professores,
Caros estudantes da Faculdade de Medicina
Estimados colaboradores da UCP,
Minhas senhoras e meus senhores

Para tudo há um tempo. Há um tempo para imaginar, para propor, planear, discutir e finalmente há um tempo para fazer. Hoje inicia-se um tempo novo. Inauguramos a Faculdade de Medicina da Universidade Católica Portuguesa, que foi sonho e agora é realização.

Chegámos aqui, em primeiro lugar por missão, identidade e compromisso. Inscrevemo-nos no imperativo de conhecimento e de posicionamento ético, matricial das grandes universidades católicas que de Louvain a Georgetown e Navarra, (e futuramente Croácia), que se posicionam na linha da frente do ensino médico e da investigação em saúde. Mas também por vocação. Na senda de formar as pessoas, cultivar a ciência, renovar o país e o mundo, a UCP afirma os seu valor com valores, pugnando pela capacitação de profissionais de qualidade, capazes de estruturar eticamente as suas decisões e solidários com um modelo de desenvolvimento social orientado para o bem comum, defendendo a justiça, a democracia, valores estruturantes para o crescimento económico e a melhoria das condições de vida. E finalmente, fazemo-lo pelo ímpeto de inovação e criatividade, algo disruptivo até, com que a UCP ao longo do seu meio século de existência tem vindo a criar valor para o sistema científico nacional. Gostamos de caminhar onde outros ainda não pisaram, como foi quando criámos Biotecnologia em Portugal, gostamos de recriar, repensar e reinventar.

Estamos conscientes de que este projeto constitui uma mudança de paradigma. A criação do primeiro projeto integralmente privado de Medicina, com um investimento inicial de cerca de 25 milhões de Euros assenta numa importante estrutura de parceria. Em primeiro lugar uma parceria clínica com o Grupo Luz Saúde, que coloca a sua importante rede hospitalar, as valências do hospital universitário, o Hospital da Luz Lisboa, o recentemente inaugurado Centro de Simulação Luz Learning Health e o seu corpo clínico ao serviço de um projeto de formação único no país. Salientamos igualmente o acordo com a Universidade de Maastricht, no campo da educação médica, que assume a marca estruturalmente internacional do projeto. Quero ainda destacar a importante parceria científica com o Instituto Gulbenkian de Ciência que incubará o Centro de Investigação Católica Biomed e que permitirá a dupla afiliação de investigadores, potenciando a co-criação de conhecimento. Na ecologia global de parcerias que robustece o eixo académico, clínico e de investigação do futuro Centro Académico Clínico saliento também a colaboração com a União das Misericórdias e com a ARS, LVT.

Iniciar um novo projeto universitário de Medicina em 2021 não significa olhar para o passado, completar a matriz do que constituem os saberes estruturantes do desenvolvimento das universidades – tanto na tradição medieval europeia como nas escolas da Pérsia e Norte de África, mas antecipar, preparar e motivar para um futuro melhor, sem deixar de olhar para a realidade social, económica e cultural em que se insere. E fazê-lo no espaço de fronteira onde se colocam as mais interessantes e desafiantes questões para o conhecimento científico, no cruzamento da tecnologia com a biologia, da física com a biomedicina, mas também onde se levantam questões éticas determinantes para o futuro da humanidade. A Universidade Católica deve estar onde se debate o futuro da ciência, onde se redefinem os limites do conhecimento, e vai fazê-lo com o sentido de procura, curiosidade e responsabilidade, que sempre marcou a sua ação.

O contexto que vivemos é excecional no que tem de crítico e de oportunidade. Os cuidados de saúde e a preparação de profissionais para lidar com novos e não antecipados riscos sanitários são cruciais para o sucesso das políticas de desenvolvimento. Se é certo que a situação pandémica constituiu um cisne negro que pressionou de forma insuportável os sistemas de saúde, também é certo que aprendemos que com a resposta a esta pandemia estamos a robustecer o que será o controlo e a mitigação de, inevitáveis, pandemias futuras. Vivemos, também momentos de excecional oportunidade, sobretudo pelas possibilidades que o crescente cruzamento da tecnologia com a medicina dão para robustecer a evidência, melhorar o diagnóstico, e tornar mais eficiente a organização do sistema, reforçando a responsabilidade e tornando transparente a intervenção dos profissionais no processo de diagnóstico e tratamento. Tornou-se por isso consensual que a evolução da educação médica se faz cada vez mais com um forte apoio de base tecnológica, com uma prática ativa da multi- e transdisciplinariedade, com o desenvolvimento de soft skills, que vão desde a comunicação à relação interpessoal. Trata-se de uma formação que educa para a análise integrada da complexidade, com forte capacidade analítica e uma sólida formação ética que torna estes profissionais aptos a tomar decisões informadas em situações limite. Poderíamos até dizer que, no século XXI, a formação do médico não se esgota na medicina, quer nos saberes convocados para a sua formação como no setor de atividade onde vai intervir. Com este novo curso estamos portanto a contribuir para a formação de profissionais altamente qualificados essenciais para o desempenho de funções de elevada complexidade, determinantes para que o país tenha futuro.

E neste processo de capacitação não podemos deixar os estudantes portugueses para trás. A criação da nona Faculdade de Medicina em Portugal é dedicada totalmente à geração de talento português. Jovens que esperam das instituições de ensino superior do seu país, a capacidade para lhes dar futuro. Num encontro há cerca de um ano com estudantes portugueses de Medicina na República Checa, ouvi de um deles um lamento: “o meu país não me quis.” As universidades portuguesas são o garante do futuro do talento português. É nossa obrigação cuidar da sua vocação, cultivar o potencial e a capacidade de inovar que nos fará verdadeiramente competitivos. Na competição global pelo talento as nossas armas são porventura financeiramente mais frágeis que as dos nossos concorrentes, mas temos outras vantagens: a qualidade do sistema, a nossa cultura, um ecossistema de inovação com enorme potencial e uma singular apetência para abraçar a transformação aberta ao mundo. A janela de oportunidade, no entanto, é curta. É preciso agir agora superando o narcisismo das pequenas diferenças que descura o interesse comum.

Há um tempo para imaginar, para planear e discutir. Há um tempo para combater e há um tempo para realizar. Hoje é tempo de deixar o combate e de trabalhar em conjunto para o futuro de Portugal.

Gostaria de referenciar e agradecer a presença dos Reitores das Universidades portuguesas e os colegas de instituições internacionais que testemunham este momento inaugural. Iremos, como até aqui, colaborar em todas as iniciativas que nos permitam crescer e reforçar a competitividade do sistema de ensino superior. Seremos grandes no que fazemos, se formos inteiros, como escreveu o poeta e, em conjunto, continuaremos a fazer mais e melhor pelo país e pelas regiões.

O curso de Mestrado Integrado em Medicina constitui o culminar de um processo longo de capacitação da UCP, seguindo mais de 20 anos de intervenção sólida no campo alargado das Ciências da Saúde, desde logo em Medicina Dentária, Enfermagem, Ciências Biomédicas, Neurociências, Ciências da Nutrição, e várias áreas de Bioengenharia – e que nos permitiu preparar corpo docente e de investigação e ser competitivo no recrutamento nacional e internacional. Este é um projeto de longue durée maturado ao longo de 30 anos.

Não é um projeto de protagonistas, mas desiderato de lastro institucional, que com continuidades e ruturas atravessou quatro reitorados. O primeiro projeto de foi lançado há 30 anos pelo Reitor D. José Policarpo que constituiu o primeiro grupo de trabalho para a instalação da Faculdade de Medicina. Em 2001 o Reitor Manuel Braga da Cruz projeta uma nova fase de desenvolvimento das Ciências da Saúde na UCP, com o início das atividades de Medicina Dentária em Viseu e mais tarde a criação do grupo de projeto para Medicina e a integração de duas Escolas de Enfermagem. Este processo deu azo à criação do Instituto de Ciências da Saúde. O atual dossier de Medicina foi em 2016 pela Reitora Maria da Glória Garcia, suscitado pelo ICS com Alexandre Castro Caldas e Ricardo Batista Leite, pelo Creating Health.

Os protagonistas de hoje, que há 5 anos têm vindo a desenvolver a estruturação da nova Faculdade são, portanto, e apenas, a face de um legado, representantes de um momento e mobilizadores de uma coligação institucional de vontades, que, por imperativo de tempo, me permito reconhecer a título representativo. Desde logo o decano de Medicina Alexandre Castro Caldas, que aqui saúdo, e que hoje vê consagrado o projeto que o trouxe há 20 anos para a universidade, transmitindo o legado ao Diretor da Faculdade de Medicina António Medina Almeida, que terá a grande responsabilidade de liderar este projeto único. Saliento igualmente toda a equipa de projeto, liderada de forma sempre cuidada e exigente pelo Vice-Reitor para Desenvolvimento Infraestrutural Miguel Athayde Marques. Nele cumprimento toda a equipa técnica multidisciplinar que fez avançar este projeto e que pugnou para que num tempo relâmpago a Faculdade estivesse integralmente operacional. Fundar uma nova Faculdade é um projeto institucional que agrega todas as vontades da universidade, ou então não é. E na UCP foi. Agradeço ao Magno Chanceler a confiança total que em nós depositou para levar a cabo um projeto sonhado, tolerado por muitos, mas que a início poucos acreditavam vir a ser possível. Na sua pessoa cumprimento o Conselho Superior da universidade que debateu profundamente e em sessões sucessivas os méritos e os riscos desta proposta e que, unanimemente, deu à Reitoria a autorização para prosseguir. A consciência de que a nova Faculdade de Medicina não será apenas um recetor universal das competências desenvolvidas noutras unidades académicas, mormente nas ciências básicas, mas que também ela será um doador universal para reforçar o modelo de ecologia integral de saberes que, inspirado na encíclica Laudato si', a universidade coloca como nodal do seu projeto científico e pedagógico, tem estado presente na política de colaboração entre unidades académicas e centros de investigação. Um agradecimento especial à Diretora do Centro de Investigação Interdisciplinar em Saúde que em colaboração com o Diretor de Investigação da FM, Pedro Simas, acolhe o desenvolvimento do novo braço de Medicina do CIIS, e também à Diretora do Instituto de Bioética, Sandra Martins, integrado agora na Faculdade de Medicina. A todos os diretores de serviços da sede da UCP o meu agradecimento pela capacidade de resistir à enorme pressão para finalizar o dossier de Medicina. E também à equipa Reitoral, atual e os Vice-Reitores que terminaram o mandato no ano transato, porque foi uma equipa que esteve sempre on.

Ao nível institucional agradeço a todas as equipas do Grupo Luz, corpo clínico, à Diretora do Centro de Simulação Learning Health, à Comissão Executiva e cumprimento na Engª Isabel Vaz – companheira de percurso e de partilha de todas as dificuldades e sucessos – o caminho trilhado em conjunto para uma formação médica que sabe cuidar. Sem a relação de confiança que estabelecemos certamente que os escolhos seriam rochedos e as dificuldades precipícios. Foram apenas desafios. À Fundação Calouste Gulbenkian – Dra Isabel Mota - e ao IGC agradeço a confiança para um projeto científico comum que será transformador. To the team at the School of Health Professions Education at Maastricht University I thank you for the commitment to change that this project brings. Um agradecimento reconhecido também a todos os parceiros, União das Misericórdias, ARS – LVT, aos nossos patrocinadores o Grupo Fidelidade, a GLINTT e aos patrocinadores de bolsas para estudantes.

Este é um projeto único, porque emerge da sociedade civil e é por ela patrocinado. Não seria possível sem as famílias que pagam a formação destes estudantes e confiam na qualidade da instituição. É uma formação cara, sim, porque é caro formar um médico. O comprometimento da UCP é o de conseguir os apoios necessários para que também em Medicina possamos alargar a base de acesso e apoiar todos os estudantes com dificuldades.

Uma Faculdade é um grande centro de conhecimento que se estabelece num território, e terá sucesso se se imbricar com as forças vivas, com o tecido empresarial, o ecossistema de conhecimento, respondendo e antecipando necessidades e contribuindo para a solução de problemas. A Faculdade de Medicina da UCP estabeleceu-se no conselho de Sintra e quero nesta ocasião agradecer o grande empenhamento da Câmara Municipal na pessoa do seu Presidente para que este projeto não fosse sonho, mas se tornasse realidade. É na adversidade que se conhece o bom combate e fizemo-lo sempre com o apoio da CMSintra.

É para nós uma particular honra e um privilégio que esta inauguração se faça com a presença do Sr. Primeiro Ministro António Costa e do Sr. Ministro da Ciência e Tecnologia Manuel Heitor. Acompanhamos a sua visão de desenvolver um sistema científico e de educação superior competitivo, exigente, mas também diversificado e plural, potenciando a articulação entre atores estatais e nãoestatais e alargando o acesso em áreas, como a Medicina, que são cruciais para que Portugal seja um verdadeiro hub de desenvolvimento internacional na formação médica, ao mesmo tempo que reforça a nossa capacidade interna. Os interesses corporativos não podem limitar o desenvolvimento o país. Sr. Primeiro Ministro agradeço o apoio que desde sempre deu a este projeto transformador. Com ele fixamos talento no país, renovamos a formação médica e contribuímos para aumentar, de forma substancial, o investimento privado em conhecimento. Sobretudo, reforçando a capacidade formativa, queremos contribuir em colaboração com atores distintos, da academia às empresas e às entidades do SNS, para fazer mais e melhor medicina. Conte connosco no projeto de robustecer Portugal.

Finalmente uma saudação aos professores da Faculdade, a quem agradeço a motivação e a energia para mudar o paradigma da educação médica em Portugal, e aos estudantes do primeiro curso de Mestrado integrado em Medicina da Universidade Católica. Fazem agora parte de uma instituição que tem capacidade de ousar e foi a nossa ousadia que vos trouxe até aqui. Não vos prometemos tempo fácil, mas exigência, responsabilidade e rigor. Sobretudo apelo a que estudando a mais humana de todas as ciências, saibam contribuir de forma concreta e viável, como nos inspira o Papa Francisco, para um mundo melhor, e sem plano de retaguarda.

Terminou o combate. Este é o tempo da paz sem vencedores nem vencidos, como disse Sophia. É o tempo de começar.

Isabel Capeloa Gil
Reitora da Universidade Católica Portuguesa
14-09-2021

Discurso do Dia da Universidade 2021

O Valor de uma Universidade com Valores: Por uma universalidade específica


Sua Eminência Reverendíssima, Cardeal Patriarca de Lisboa, D. Manuel Clemente;
Excelência Reverendíssima, D. Ivo Scapolo, Núncio Apostólico
Srs. Bispos,
Srs. Reitores,
Antigos Reitores da UCP,
Senhor Bastonário da Ordem dos Médicos Dentistas,
Srs. Vice-Reitores, Srs. Pro-Reitores, Senhora Administradora,
Senhores Membros do Conselho Superior,
Senhores Diretores de Faculdades e Institutos,
Senhores Professores, estudantes e colaboradores da UCP,
Benfeitores e alumni da UCP, Distintos convidados,
Minhas senhoras e meus senhores

Em tempos de sobriedade global provocada pela pandemia, reunimo-nos num modelo virtual que não será o novo normal, mas que nas condições do presente tem sido determinante para demonstrar a resiliência de uma das mais antigas instituições europeias: a universidade. Ao longo do último ano, a mudança, sobretudo a mudança tecnológica, tornou-se estratégia e não mais obstáculo. O temor da disrupção deu lugar ao deslumbramento da descoberta, mas o choque projetado sobre o sistema também foi oportunidade. Desde logo para a ciência, instrumental para delinear um caminho de saída do labirinto COVID, e ainda para todos aqueles setores que no arrefecimento societal que estamos a viver, se manifestaram como determinantes para a sobrevivência das sociedades, dos países, das pessoas. A saúde certamente, o setor social, mas também e, inevitavelmente, a educação, abrangendo todos os seus níveis.

Se o cuidar do corpo defende o presente, a educação garante o futuro. Um dos maiores riscos desta pandemia é justamente o de perdermos o futuro. Apesar de vozes, como a de Scott Galloway na Univ. de Nova Iorque, que anunciam que a pandemia trouxe às universidades ‘o dia do juízo final’; apesar dos inovadores disruptivos que anunciam o fim do modelo transversal do curso conferente de grau a favor de microcredenciais de enfoque profissionalizante acumuladas ao longo da vida; apesar das transformações discursivas da ideia de universidade, certamente a distanciar-se do que defenderam Wilhelm von Humboldt e John Henry Newman, apesar de todas estas transformações, a universidade continua a ser afirmadamente o garante de que chegados a encruzilhadas, de ordem sanitária, ambiental, social, económica, política, as sociedades estão habilitadas com especialistas, líderes, profissionais que ajudam à tomada de decisão certa. A universidade é o garante da escolha livre e por isso atacada e idolatrada.

E assim tem sido na COVID. Os avanços no diagnóstico e tratamento da doença têm sido estruturados a partir de investigação produzida nas universidades e nos seus centros. Na Aliança Estratégica de Universidades Católicas de Investigação, de que somos membros fundadores, todas as 8 instituições da rede (ACU, Boston College, Sophia University, U. Sacro Cuore, Ramon Llul, PUC Chile e PUC -Rio de Janeiro) têm estado ligadas ao esforço global de combate ao vírus. Além do enorme trabalho de apoio ao SNS através das nossas escolas de enfermagem, na UCP quero destacar o trabalho do Salivatec, que através do projeto CoVTec estabeleceu novos protocolos para o diagnóstico da COVID-19 utilizando como fluido de diagnóstico a saliva e bem assim o consórcio internacional do CBQF – Centro de Biotecnologia e Química Fina com a empresa Amyris e o American Infectious Disease Research Institute para desenvolver adjuvantes sustentáveis para vacinas profiláticas.

Neste belo cenário virtual, - para nós presença real - comemoramos a Universidade Católica Portuguesa e com ela uma ideia de universidade vocacionada para a criação de novos protagonistas. Hoje mesmo foi aprovado o Plano de Desenvolvimento Estratégico 2021-2025 “O Valor dos Valores: A Criar 3 Futuro no Presente” que afirma o compromisso sólido da universidade para a construção de um futuro orientado para melhorar a experiência de vida na casa comum. Já não simplesmente ‘the relief of Man’s Estate’ como dizia Francis Bacon, mas “the relief of Humankind and the Planet”. Assumimos o compromisso de adotar e implementar objetivos estratégicos que garantam o respeito pela pessoa e equidade social, pelo ambiente e pelo desenvolvimento económico, orientados para o bem comum, de forma a criar comunidades prósperas, saudáveis, solidárias, diversificadas e resilientes para esta geração e gerações vindouras.

A Católica não é uma ideia de universidade no pedestal, mas imbrica-se na sociedade em que está inserida, comprometida em propiciar respostas sólidas que promovam a dignidade, a justiça, a democracia, um crescimento económico com progresso, combatendo a desigualdade, cultivando a arte e a ciência. Esta imbricação fez-nos criar o Fundo COVID 19, para apoiar estudantes em dificuldades, o Fundo Papa Francisco para auxílio a migrantes e refugiados e que, queremos tornar mais operacional através da parceria com a Plataforma Global, presidida pelo Dr. Jorge Sampaio. Faz-nos estar na linha da frente do cuidado e da resolução de problemas. Uma universidade que busca a verdade num território complexo e impuro, cheio de conflitos, combates ideológicos, fake news (notícias falsas), atravessado por uma crise sistémica: ambiental, social, económica. Estamos no território para ouvir e depois agir. Como referiu o nosso Magno Chanceler, D. Manuel Clemente, no recente Encontro Nacional de Docentes e Investigadores organizado pela Pastoral do Ensino Superior, nesta sociedade de pressa mediática é necessário praticar a ‘arte de ouvir’. O tempo da universidade, o tempo da ciência, não é o tempo da informação. Temos de comunicar bem, mas sem atraiçoar o tempo do conhecimento, que idealmente deverá ser também o da sabedoria.

Dizia, por isso, que a universidade não está no pedestal. Ela será sempre ideal, de valores, princípios, mas age na impureza do presente para preparar o futuro. Orienta-se por um amplexo universal, de busca de saber feito em relação, entre áreas disciplinares, procurando abraçar as mudanças concretas do presente. Não se trata de um universalismo abstrato, de princípios sem fundamento. Não podemos defender o Humanismo e deixar de usar os nossos dons para combater o flagelo da desigualdade. Defender a dignidade, sem ouvir o clamor da terra e dos pobres, que constituem o primeiro e o 2.º dos Objetivos Laudato si' de Desenvolvimento, construídos a partir da carta encíclica Laudato Si. A universalidade da universidade tem necessariamente de ser crítica do Humanismo sem face. Como escreveu Edward Said, numa obra essencial Humanism and Democratic Criticism (2004): “É possível ser crítico do Humanismo em nome do Humanismo (...) imaginando-o de uma forma que absorba as grandes lições do passado e continue a estar sintonizado para escutar as vozes emergentes e as correntes do presente, muitas delas extraterritoriais e sem teto.” (2004:11). A universidade persegue uma universalidade específica, que olha a particularidade do momento, a diferença dos territórios, das pessoas, e com isso gera futuro.

O lema do dia da Universidade Católica Portuguesa foi este ano ‘O valor de uma Universidade com Valores’. O nosso compromisso é o de unir a qualidade do nosso legado com a ambição de inovar para que todos tenham um futuro.

A educação constitui o mais elevado valor intangível de uma sociedade. Dela depende a possibilidade de uma comunidade ter futuro, dando esperança e ambição aos jovens, capacitando-os profissionalmente, incutindo-lhes princípios e estrutura para a vida. O valor da educação, e em particular de uma educação superior, pode ser aferido na sua dimensão social, ética e moral, e também materializar-se no retorno económico para o graduado. Todavia, no seu cerne, e sobretudo para uma Universidade Católica, o valor da educação é formar para a vida digna, a própria e a dos outros que nos rodeiam. O valor com valores é, por isso, a um tempo económico, epistemológico e axiológico, manifesta-se como crescimento económico, conhecimento, formação ética e moral.

Em ano de desconcerto, fizemos a diferença. Desde logo a acreditação do primeiro curso de Medicina numa universidade não-estatal. A Faculdade de Medicina não constitui capricho, não é a obsessão megalómana de incisão, uma espécie de exegi monumentum aere perennius de pendor pós-moderno. Trata-se de um projeto de missão que após 54 anos de vida se oferece ao país para transformar, como sempre foi nossa marca, o paradigma da educação médica em Portugal. E neste ano, conseguimos também um outro feito único: no competitivo universo das Business Schools, a UCP é talvez uma das únicas universidades no mundo que possui duas Business Schools habilitadas com a competitiva acreditação Triple Crown, após a CLSBE – a primeira no país a obter esta tripla acreditação – também a CPBS conclui com sucesso este objetivo. Criámos ainda novas unidades, como a Católica Doctoral School e o novo think tank, Laboratório de Ética Digital.

Em contexto de pandemia, o valor de uma educação fundada nos valores do humanismo cristão ultrapassa largamente o utilitarismo instrumental. A pandemia afetou tudo e, como salientou o Papa Francisco*, demonstrou que o que está em causa “ é uma crise na forma como nos relacionamos com a realidade e uns com os outros.” O que está em causa é, portanto, uma crise de perceção do mundo e da humanidade, que exige um impulso transformador. E uma educação superior transformadora, como é missão da Universidade Católica Portuguesa, deverá ser radical na forma como faz dos jovens do presente o garante de um futuro melhor. Empenha-se na interpelação de todos os níveis e setores da sociedade, ancorada no respeito pela dignidade humana, na defesa da justiça, da democracia, no cultivo do bem e na valorização estética, contribuindo para o crescimento económico baseado na equidade. Uma educação superior baseada nos valores é arriscada num contexto de crise de princípios, mas por isso mesmo necessária.

Porque o certo é que a universidade não faz ciência para simplesmente criar produtos, isso torná-la-ia, como salientava Montaigne, bastante medíocre (“Na verdade vivemos num século que só produz coisas, e bem medíocres.” Essais - 1580). No nosso século que produz muitas e admiráveis coisas, frequentemente medíocres, o valor da universidade mede-se de muitas formas. Podemos olhar para indicadores quantitativos, que medem o crescimento – de alunos, docentes, indicadores de investigação, capacidade de aumentar a receita, sobretudo resultante de internacionalização. E aqui em ano de pandemia, estivemos bem, crescemos 6,6% no número de estudantes, reforçámos a capacidade de atrair talento, com novos programas de cátedras, como a Cátedra VdA em Digital Governance, ocupada pelo Prof. Miguel Poiares Maduro, melhorámos os indicadores e a receita de I&D oriunda da FCT, em 69%; conseguimos medir o impacto da internacionalização na receita (cerca de 18% em 2019). Em apoio a estudantes carenciados despendemos 5.246.519,24 Euros. Mas devemos igualmente avaliar a forma como nos olhamos como organização, a experiência que a comunidade tem dos serviços. O Inquérito ao Clima Organizacional 2020 indica que a UCP é universidade inclusiva para 69% dos colaboradores e 83% dos docentes; que é uma instituição confiável enquanto empregadora para 84% dos colaboradores e docentes; que 77% dos colaboradores, 72% dos docentes e 75% dos investigadores consegue um bom equilíbrio entre trabalho e vida privada; 70% dos colaboradores e docentes sentem-se valorizados na instituição; 84% dos docentes e 83% dos colaboradores sabem exatamente o que a universidade deles espera e 78% dos docentes sente ter capacidade de evoluir aqui. Mas nem tudo está bem, não poderia ser. 59% dos docentes sente que não há partilha de boas práticas nem comunicação entre áreas académicas e faculdades. Não fazemos produtos, formamos pessoas e por isso o compromisso que hoje firmámos inclui o compromisso institucional de desenvolvimento pessoal e profissional que obrigue a um compromisso individual de cada um para com o futuro da UCP. 

No ano em curso e no que se avizinha, lançaremos um novo projeto transformador: a Licenciatura em Filosofia, Política e Economia, que com grande tradição no universo anglo-saxónico, nasceu da convicção de que no nosso quadro conceptual em mudança, o estudo do pensamento filosófico e político e a análise de grandes quadros económicos e sociais é crucial para o desenvolvimento da sociedade e da formação de pensamento crítico com uma rigorosa base analítica, comprometido com a compreensão das grandes questões que movem a humanidade. Inauguramos a 13 de setembro a Faculdade de Medicina da UCP e com ela tornaremos real o projeto renovador que estabelecemos com a Univ. Maastricht e o Grupo Luz. Mas também temos desafios internos, desde logo a revisão dos Estatutos da Universidade e a criação do Estatuto de Investigador. Está em curso a criação do Católica Digital Hub e nos demais eixos temos a responsabilidade de cumprir o ambicioso Plano Estratégico hoje mesmo aprovado.

Afinal, e com isto termino, o valor de uma universidade de valores verte-se no assumir de um certo pressuposto radical de mudança. Tomo para tal de empréstimo as palavras do Papa Francisco, na audiência aos participantes na conferência que deu início à sua proposta de um novo pacto educativo global: “Educar é arriscar, mostrando ao presente uma esperança que estilhace o determinismo e o fatalismo que a ideologia, o egoísmo dos fortes e o conformismo dos fracos, nos querem convencer ser o único caminho.” (Papa Francisco, GCE).

Isabel Capeloa Gil
26-03-2021


*Papa Francisco, Mensagem à Congregação de Educação Católica, por ocasião do Encontro ‘Global Compact on Education”, 15 de outubro 2020. (GCE)

A Universidade como protagonista do futuro

Discurso do Dia da Universidade Católica Portuguesa 2020

Excelência, Sr. Presidente da República, Prof. Marcelo Rebelo de Sousa
Excelência Reverendíssima Sr. Bispo do Porto, D. Manuel Linda,
Senhor Presidente do Supremo Tribunal de Justiça
Senhor Ministro da Ciência, Tecnologia e Ensino Superior, Prof. Manuel Heitor
Senhora Conselheira Maria dos Prazeres Beleza,
Senhora Professora Manuela Albuquerque Veloso
Senhores Embaixadores e demais representantes diplomáticos,
Senhores Reitores e Vice-Reitores,
Senhor Presidente do Instituto Politécnico do Porto,
Senhor Vice-Presidente da Câmara do Porto,
Senhores Comandantes de Academias Militares e do Instituto Universitário Militar
Senhores Bastonários das Ordens dos Médicos, Médicos Dentistas e Nutricionistas,
Senhores antigos Reitores da Universidade Católica Portuguesa,
Senhores Vice-Reitores da Universidade Católica Portuguesa e senhora Administradora,
Senhores Membros do Conselho Superior da UCP,
Senhores Presidentes de Centros Regionais da UCP,
Doutores Honoris Causa pela UCP,
Senhores Diretores de unidades académicas e centros de investigação,
Senhores Professores,
Caros membros das Associações de Alumni da UCP,
Caros estudantes e colaboradores,
Novos doutores e suas famílias,
Demais autoridades académicas, religiosas e civis,
Distintos convidados,
Minhas senhores e meus senhores,

Permito-me começar por agradecer e assinalar a particular honra da presença de Sua Excelência, o Presidente da República, Prof. Marcelo Rebelo de Sousa neste Dia da Universidade Católica Portuguesa, universidade que muito lhe deve e de quem é amigo. E agradecer também reconhecida o privilégio da presença do Senhor Ministro da Ciência, Tecnologia e Ensino Superior, Prof. Manuel Heitor, sobretudo porque sei que teve de reorganizar a sua agenda e um importante compromisso para hoje estar aqui, tal como esteve na assinatura do protocolo em Menlo Park que deu origem ao grande projeto Alchemy. Estou-lhe muito grata. Este é um dia feliz para a Católica, porque inauguramos o novo edifício da Escola Superior de Biotecnologia e porque congregamos neste auditório muitos daqueles que enquanto docentes e investigadores, parceiros empresariais e de conhecimento e decisores autárquicos, têm acompanhado o crescimento da universidade. Não existimos isolados na torre asséptica da investigação, porque é na validação do impacto do que aqui estudamos na vida, nas organizações e na ação das comunidades em que estamos inseridos, que a verdadeira relevância da Católica se mede. É justamente o que referia há dias o Presidente da Univ. de Georgetown, John deGioia, ao assinalar que toda a ação de uma universidade católica, no ensino e na investigação, está intimamente comprometida com o trabalho em prol da justiça social. Neste horizonte, temos vindo a cumprir há 53 anos uma missão de defesa dos valores inclusivos, ecuménicos e justos do humanismo e de capacitação académica e científica do país. Não o faríamos sem a confiança e a aposta da sociedade civil, de várias instituições de I&D e das empresas. Neste Dia da UCP, a todos deixo os meus agradecimentos.

Para 2020, a Universidade Católica Portuguesa escolheu como lema do seu dia nacional “A Universidade como protagonista do futuro”. Vivemos um tempo em que protagonismo se confunde frequentemente com celebridade, populismo ou mesmo autoritarismo carismático. Numa lógica institucional, os protagonistas situam-se no plano das organizações internacionais, nos partidos políticos, nas empresas líder de mercado ou nos players emergentes, reúnem-se em Nova Iorque, Davos, Bruxelas, Frankfurt, Tóquio e nestes clubes, em regra, não se incluem universidades. Todavia, não podemos esquecer que protagonistas – neste caso da desilusão - são também os atores que nas ruas contestam a globalização da indiferença, os que perante a realidade de uma crise de recursos e de uma crescente e evidente exaustão do planeta, se sentem os perdedores da contemporaneidade, ao mesmo tempo que olham a quarta revolução tecnológica como desafiando o futuro do trabalho e bem assim da vida ativa como definidora da matriz do humano. Se é certo que os seres humanos se tornaram ‘agentes climáticos’ (Dipesh Chakrabaty, 2016), intervindo com dano no equilíbrio frágil do 3 planeta, também é certo que um discurso em torno de protagonistas não pode deixar de olhar a natureza e o ambiente como desempenhando o papel principal na crise do presente. Como assinala o escritor indiano Amitav Gosh, ao descrever as florestas de mangustos na Baía de Bengala no Bangladesh: “(...)a terra está evidentemente viva, (...) não existe por qualquer acaso exclusivamente para ser o palco da ação da história humana, mas (...) é, em si, protagonista.” (Gosh, 2016:6)*.
Não é de descurar o facto de universidades não terem porventura ido suficientemente longe na consciencialização, prevenção e ataque às alterações climáticas. Mas ainda não é tarde.

Acresce que na sociedade de conhecimento os espaços de produção de ciência se alargaram às empresas, que não raro criaram também as suas academias. A universidade não é mais, e bem, a diva da ópera do saber. Tal não significa, contudo, que se deva limitar a um papel secundário na condução do desenvolvimento societal, interiorizando uma crise que tem ciclicamente informado o discurso sobre a universidade. Os intensos debates sobre o papel, o lugar e a relevância da universidade ocorrem em geral em momentos de charneira, quando uma perceção de crise inspira à mudança. Estes momentos têm sido abundantes e recorrentes, o que pode indiciar que a crise é a condição natural das universidades. Na verdade se olharmos à controvérsia entre a ideia de universidade defendida pelo Cardeal John Henry Newman e a visão de Bernard Shaw, passando pela Misión de la universidad de José Ortega y Gassett, às reflexões de Virginia Woolf e de Adrienne Rich sobre o lugar das mulheres na universidade, ou, já em 2018, o trabalho notável do matemático Chris Brink, antigo Vice-Chanceler da Univ de Newcastle, The Soul of a University. Why Excellence is not enough, verificamos que o debate em torno da missão da universidade e do impacto da sua ação são definidores da sua matriz autonómica e de exploração do pensamento livre.

Num tempo de explosão de novos e contraditórios protagonistas, pensar a universidade como protagonista do futuro significa reclamar o direito a fazer diferente, uma autonomia sem condições, significa encontrar uma proposta de valor que não decorra da reação às tendências ou às necessidades de curto prazo, mas que antecipe a transformação, que arrisque e que também saiba falhar, refazer e recomeçar. Ser protagonista não significa exclusivamente reclamar o papel principal, como na tragédia grega. Na verdade, se olharmos para a origem da expressão, que congrega o prefixo grego prótos, que significa primeiro, e agonistes, formado a partir do étimo agon, luta, combate; verificamos que protagonista é o lutador que faz o primeiro combate, o que ousa levar a ação avante. Protagonista será o mobilizador, quem abre caminho, de forma resiliente, combativa, inovadora. Ora é no assumir desta função de liderança combativa em prol de uma sociedade mais justa, economicamente robusta, digna e ecologicamente solidária, que se joga a alma da universidade, antecipando o futuro e não simplesmente reagindo ex post. E essa antecipação faz-se diariamente nas nossas salas, nos laboratórios, sempre que mentes criativas procuram formas de melhorar a nossa condição.

É justamente por isso que exercendo em tudo o que faz o impulso transformador que é próprio da sua missão, o verdadeiro protagonismo da universidade apenas se realizará na medida em que produzir e der poder a outros novos protagonistas, os seus graduados, os jovens que irão verdadeiramente gerir o futuro que aqui antecipamos. Na audiência à Federação Internacional das Universidades Católicas, em novembro de 2019, o Papa Francisco afirmou que a grande missão das universidades católicas se define pela formação sólida de novos protagonistas. “A forte pressão sentida em diversos âmbitos da vida socioeconómica, política e cultural, interpela a vocação da própria universidade, em particular a tarefa dos professores de ensinar, investigar e preparar as gerações mais jovens para que se convertam não só em profissionais qualificados nas diversas disciplinas, mas também protagonistas do bem comum, em líderes criativos e responsáveis na vida social e civil (...). É neste sentido que as universidades hoje se devem interrogar que contribuição podem e devem dar para a saúde integral do ser humano e uma ecologia solidária.”

Na Católica nunca nada foi fácil, o que dá mais gosto aos conseguimentos. Temos espírito pioneiro e por isso é com redobrado orgulho que hoje inaugurámos o novo edifício da Escola Superior de Biotecnologia, a primeira unidade académica dedicada à Biotecnologia em Portugal, fundada em 1984. Com o novo edifício conclui-se a concentração de todas as unidades académicas do Centro Regional do Porto na Foz e ao mesmo tempo fecha-se a incubação do grande projeto Alchemy, resultado de uma parceria entre o Estado Português, através da AICEP, a Universidade Católica e uma empresa líder em ciência e tecnologia e no desenvolvimento e produção de ingredientes puros e sustentáveis para os mercados da Saúde e Bem-Estar, Beleza e Sabores, a americana Amyris, numa iniciativa cujo valor totaliza 42,3 milhões de Euros. Este investimento em investigação, desenvolvimento e inovação tem uma duração de 5 anos e produziu já um impacto muito relevante na criação de emprego científico, permitindo a contratação de 70 novos investigadores, além de reforçar o posicionamento do Porto e de Portugal como grande pólo de desenvolvimento de conhecimento no campo da biotecnologia e da economia circular. Quero salientar os protagonistas deste projeto, a Profa Manuela Pintado, Diretora do CBQF, John Mello, CEO da Amyris que acreditou que a investigação da Católica traz valor acrescentado ao trabalho do cluster da biotecnologia da grande área de conhecimento de S. Francisco, e o Estado português, que cumprimento na figura do sr. Ministro Manuel Heitor e bem assim a AICEP, representada pelo seu presidente Luís Castro Henriques, a quem a UCP agradece o apoio estratégico para a realização de uma parceria pioneira que dará novo protagonismo a Portugal.

O reforço do ecossistema de investigação na que tem vindo a ser desenvolvido a partir da reorganização efetuada em 2015, associado a uma orientação estratégica, que contempla um sistema de incentivos e prémios, resultou no reconhecimento da excelência da investigação UCP, que se verteu num aumento de 69% de financiamento FCT no último exercício de avaliação dos centros de I&D. Em 2020, cerca de 20% do orçamento da UCP é resultado de financiamento competitivo de I&D. Do mesmo modo, ao longo de 2019, os protagonistas da UCP, os nossos investigadores e docentes, foram galardoados com 27 prémios científicos, 2 doutoramentos honoris causa em universidades do Reino Unido e Estados Unidos, registaram 29 protótipos e outros outputs de base tecnológica e têm 13 novas patentes nacionais ativas e 21 patentes internacionais.

Ser protagonista implica arriscar, desbravar caminho e ultrapassar barreiras. Para a Católica, tal implicou, por exemplo, ser first mover na criação de formações inexistentes no país, de Gestão a Bioengenharia, até à recente licenciatura dupla em Direito e Gestão. Significou apostar há 12 anos em acreditações internacionais e obter a ambicionada Triple Crown (a acreditação de três agências na área de Gestão e Economia, Equis, AMBA e AACSB) antes de qualquer outra escola de Gestão, mas significou também criar um laboratório pioneiro de diagnóstico de saliva, o SalivaTech, que em associação à Faculdade de Medicina Dentária, em Viseu, é um exemplo modelar de articulação entre investigação básica e transferência de conhecimento com empresas da área biomédica. Continuamos a arriscar, com o futuro lançamento do LED – Laboratório de Ética Digital, uma iniciativa que congrega recursos da Faculdade de Filosofia e Ciências Sociais, de Braga, da Escola de Lisboa da Faculdade de Direito e da Faculdade de Ciências Económicas e Empresariais (CLSBE) além de parcerias estratégicas com a CISCO, com quem foi assinado um protocolo de cooperação em matéria de inovação e desenvolvimento, a Microsoft e Facebook. E porque atingimos o limite de capacidade infraestrutural e estamos a crescer, vamos investir no desenvolvimento do novo Campus Veritati, em Lisboa, com a construção de um novo edifício para a CLSBE, que duplica a sua capacidade, e um espaço multifunções para servir toda a universidade, num projeto da autoria do Arquiteto Carrilho da Graça, ao mesmo tempo que se reconfigurará o campus Sul, numa ótica de sustentabilidade ambiental (retirando estacionamento da zona de relvado central), apostando na mobilidade suave e otimizando energeticamente os edifícios existentes.

Ser protagonista significa resiliência, ousadia, lutar contra o ‘sempre foi assim’ e não hesitar em fazer o bom combate. Sabemos que iremos protagonizar a primeira Faculdade de Medicina não estatal em Portugal, porque o país necessita, estamos preparados e o projeto tem qualidade, parceiros de referência e reforçará a educação médica no país. Sem hesitações, afirmo que o projeto é necessário para reforçar o sistema de saúde, que na próxima década poderá ficar dependente de contratações não-nacionais retirando capacidade ao país, à medida que populações mais envelhecidas e com maior esperança de vida necessitam de mais cuidados.

Mas é também necessária porque o país não se pode dar ao luxo de desperdiçar talento, obrigando-o a formar-se no exterior, e também porque queremos poder controlar a qualidade da formação dos médicos que aqui trabalham. E é relevante pelo valor acrescentado que traz para Portugal, criando impacto real na economia do conhecimento num projeto sem intervenção de subsídios do Orçamento de Estado. Acreditamos no funcionamento das instituições, na transparência, na concorrência leal. Os portugueses merecem mais do que o narcisismo das pequenas diferenças e o jogo interpretativo dos números, colocando uma folha excel sobre a realidade da vida, refletindo afinal aquilo que o economista John Kay chama ‘a maldição da quantificação fraudulenta (bogus quantification)”. A questão, afinal, é ter a coragem de decidir agora o que apenas terá impacto na saúde dos portugueses daqui a 10 anos. Contrariando o poeta, não podemos adiar Portugal.

Porventura, a missão mais nobre da universidade é dar espaço a novos protagonistas, ser uma plataforma de crescimento. Hoje em dia, tornou-se inevitável falar de investimento de impacto, acautelando o ambiente, a equidade social e a governança transparente. A matriz identitária da Católica faz com que a sua missão seja necessariamente orientada para o bem comum. A transferência de conhecimento não se realiza apenas na forte ligação que temos às empresas, mas também se joga na forma como possibilitamos a ação de novos protagonistas e lhes damos a capacidade de aspirar a um novo futuro. E é o que fazemos nas consultas de medicina dentária comunitária, oferecidas gratuitamente em Viseu; no projeto de intervenção comunitária para a população vulnerável que usa o Balneário de Alcântara em Lisboa, efetuado pelo Mestrado de Enfermagem; no apoio a jovens empreendedoras de Moçambique no projeto Girl Move, em articulação com a CLSBE, mas também na inspiração para o que podemos chamar o ‘currículo da misericórdia’, e nas múltiplas intervenções de responsabilidade social da CASUS – Católica para a Sustentabilidade, nos 4 campus da universidade. Cerca de 75% dos nossos alunos de licenciatura estão envolvidos em iniciativas de voluntariado e queremos em 2020 poder lançar o programa piloto ‘Ser Capaz’ destinado a estudantes em situação de fragilidade social, potenciado por acompanhamento tutorial específico para desenvolvimento académico e cultural. É com orgulho que as duas Faculdades da área de Gestão, a Católica Lisbon School of Business and Economics e a Católica Porto Business School se associam às iniciativas a ter lugar em Assis no âmbito do grande projeto ‘A Economia de Francisco’, dedicado a repensar o modelo económico vigente. E ainda nesta linha, a CLSBE acaba de criar o primeiro Yunus Social Business Center em Portugal, uma parceria com o Prof. Muhammad Yunus e focada no desenvolvimento do ODS 17, Parcerias de Impacto e Desenvolvimento Sustentável, que permitirá aprofundar parcerias intersectoriais entre corporações e empreendedores sociais para o desenvolvimento de iniciativas de impacto.

Hoje celebramos também outros protagonistas, os novos doutores pela UCP, que aqui cumprimento, e ainda os colaboradores com 25 anos de presença na instituição e que constituem a força estruturante e muitas vezes invisível do trabalho da universidade. E temos o enorme prazer e orgulho de reconhecer o trabalho e a carreira de uma grande agente de mudança, uma líder do conhecimento que intervém na estruturação de um dos debates centrais do atual horizonte de ciência, a questão da inteligência artificial e da interação homemmáquina. A Profa Dra Maria Manuela Magalhães de Albuquerque Veloso é detentora da cátedra Herbert A. Simon, do Departamento de Ciências de Computação da Universidade de Carnegie Mellon e autoridade mundial em machine learning e inteligência artificia, área que investiga há mais de 30 anos. Co-fundou o RoboCup, uma iniciativa para o estudo de robots autónomos e desenvolveu os ‘coBots’, robôs colaborativos que partilham informação entre si e com os humanos. Com uma obra científica distinguida por vários prémios, e antiga Presidente da Associação para o Avanço da Inteligência Artificial, acredita na inevitabilidade de um futuro de automação simbiótica, que não tornará os seres humanos obsoletos, antes reforçará a sua dimensão de atores numa verdadeira economia de talentos. Em 2018, foi convidada para dirigir o centro de investigação em inteligência artificial do Banco JP Morgan. Pela excelência e pioneirismo do seu trabalho na procura de um entendimento fecundo entre a máquina e o ser humano, pelo empenho no estruturar das relações entre a comunidade científica dos EUA e Portugal, pelo serviço à causa do bem comum, a Universidade Católica Portuguesa outorga-lhe hoje o grau de Doutora Honoris Causa pela Escola Superior de Biotecnologia.

Pelo seu serviço à Católica, o Conselho Superior da UCP decidiu ainda atribuir à Juíza Conselheira Maria dos Prazeres Beleza a Medalha de Ouro da instituição. Docente da Escola de Lisboa da Faculdade de Direito desde 1981, onde atualmente é regente da disciplina de Processo Civil, tem sido uma das professoras assinaladas pelos estudantes como mais marcantes para o seu percurso, e inspiradora para o demais corpo docente, o que lhe valeu o Prémio Alumni em 2015. O percurso académico e profissional da Conselheira Maria dos Prazeres Beleza destaca-se por uma notável dedicação, integridade e sentido de serviço. Foi Juíza Conselheira do Tribunal Constitucional, eleita pela Assembleia da República, em maio de 1998, e é desde 2006 Juíza Conselheira do Supremo Tribunal de Justiça, tendo sido eleita em 2018 como Vice-Presidente, a primeira mulher a ocupar tal cargo. Por uma carreira de serviço ímpar, pelo legado notável a gerações de licenciados em Direito na Universidade Católica, é-lhe atribuída em reconhecimento e gratidão, a Medalha de Ouro da UCP.

Nesta cerimónia seria também agraciado o título de Benemérito o sr. Dr. José António Colares Pereira Fernandes Soares, a quem o Conselho Superior da UCP, nos termos da alínea l, do n.º 2, do art.º 28 dos Estatutos da UCP, deliberou atribuir o título de Benemérito pelo apoio concedido à UCP para a preparação de pessoas com valores, capazes de construir uma sociedade aberta, inclusiva, democrática, social e emocionalmente estável.

Concluo afirmando que a Universidade Católica será protagonista na medida em que souber formar e dar espaço a novos protagonistas, que não ignorem a complexidade que nos rodeia, mas que saibam, com criatividade e responsabilidade, contribuir para um futuro transformado no campo profissional, social e cultural. Nas suas atividades de ensino, investigação e transferência de conhecimento, a Universidade Católica Portuguesa não será um epígono da tecnocracia, mas protagonista de uma ecologia solidária e de um futuro eticamente responsável, socialmente inclusivo, respeitador dos direitos da justiça e preservando a dignidade humana e bem assim a vitalidade e diversidade da nossa casa comum. Parabéns aos novos doutores e aos galardoados e muito obrigada pela vossa atenção.

Isabel Capeloa Gil
7-02-2020


*Amitav Gosh, The Great Derangement. Climate Change and the Unthinkable, Chicago University Press: 2016

UCP: Padres do Porto, Coimbra e Vila Real refletem sobre Saúde Mental em tempos de pandemia

Na Universidade Católica Portuguesa – Polo do Porto vai realizar-se um encontro, dia 20 deste mês, às 10h30, com padres das dioceses de Coimbra, Porto e Vila Real para refletir sobre «Saúde Mental em tempos de pandemia».

A iniciativa, que decorre no Auditório Carvalho Guerra, reúne párocos e académicos que vão debater temas como a “Prestação de cuidados a idosos: Avaliação de necessidades de saúde mental no contexto da pandemia por Covid-19”; a “Saúde Mental em Crianças e Jovens Portugueses em Acolhimento Residencial”; “A Hospitalidade para todos, a “CUP: Clínica Universitária de Psicologia da Católica no Porto”, lê-se numa nota enviada à Agência ECCLESIA.

Ler artigo completo aqui.

Homenagem Prof. Francisco Carvalho Guerra

Homenagem a um Homem com Qualidades - Prof. Francisco Carvalho Guerra

Homenageamos hoje um homem com qualidades. Um homem, que pensa e age em sentido inverso ao da personagem do singular romance de Robert Musil, O Homem sem Qualidades, o cientista que olha o mundo como laboratório, mas que luta constantemente entre a razão e o espírito, olhando todas as possibilidades como viáveis, mas incapaz de se decidir e arriscar. Ulrich, o homem sem qualidades constitui um diagnóstico da situação aporética do sujeito da modernidade tecnológica, que face às enormes possibilidades de transformação que a ciência oferece à sociedade permanece tolhido, incapaz de escolher, de agir, de transformar. Não é esta a história do nosso homenageado, nem da instituição (a Universidade Católica Portuguesa) que, como disse Manuel Braga da Cruz, “lhe ofereceu o espaço de liberdade para inovar e criar em termos científicos e culturais.” A história da UCP, que celebrou 50 anos, e do seu Centro Regional do Porto, que agora assinala o seu 40.º aniversário, fez-se de quem soube transformar o pensamento em ação. A era dos fundadores, aqueles que lhe deram robustez institucional e jurídica e traçaram as grandes linhas do seu desenvolvimento, foi seguida pela dos visionários que a expandiram e fizeram crescer, e dos construtores que robusteceram o projeto académico, a profissionalizaram e modernizaram. Francisco Carvalho Guerra moldou a Católica, aliou o olhar de cientista aos valores da fé, a curiosidade intelectual ao gesto empreendedor, a visão global ao cultivo de um empenhamento inabalável no local. Um homem com qualidades, portanto, que aliou a curiosidade da descoberta à realização.

Voz tonitruante, gesto largo, sorriso franco, um homem grande em pensamento, visão e ação, foi esta a primeira impressão deixada por Francisco Carvalho Guerra numa jovem Diretora da Faculdade de Ciências Humanas, na sua primeira reunião de Conselho Superior, num primaveril dia de março de 2005. Entre os que aqui hoje se reúnem para homenagear o Prof. Francisco Carvalho Guerra, assinalando o início das celebrações do 40.º aniversário da fundação das atividades da Universidade Católica no Porto e do lançamento do 1.º curso de Direito no Norte do país, sou talvez daquelas que há menos tempo o conhece, mas nem por isso a admiração que por ele sinto e o reconhecimento pelo seu labor de construtor da UCP é menor. Efetivamente, nele tudo é inspirador, resoluto, assumido sem hesitação, o que, convenhamos, em espaços de diplomacia académica como o Conselho Superior não deixava/deixa de causar alguma agitação criativa. Mas era de clareza que se tratava e o nosso homenageado sempre foi um homem de causas claramente assumidas. Essas eram as causas do serviço à Igreja, do cultivo da ciência, da capacitação de Portugal e last but certainly not least de afirmação do Porto como grande pólo de conhecimento. É um homem grande para causas grandes, por definição sempre inacabadas, e justamente por isso o admiro desde a primeira hora.

Mais de 13 anos volvidos sobre esse primeiro contacto, dirijo-me ao Prof. Carvalho Guerra em nome da instituição que tem vindo a ajudar a construir ao longo dos últimos 40 anos. Faço-o também em nome dos 5 Reitores que me antecederam e com quem o Professor construiu o sonho, que se tornou projeto e hoje matéria singular: a Universidade Católica Portuguesa. Porventura, o mais simples é dizer que Carvalho Guerra foi um homem para as circunstâncias, agarrando-as com a generosidade de entender que na sua leitura empenhava o seu próprio desenvolvimento, como assinalou Ortega y Gassett nas Meditaciones del Quijote.

Dom José Policarpo, então Cardeal Patriarca de Lisboa, escreveu no livro de homenagem que lhe foi dedicado pelo CRP que: “Homenagear uma pessoa [...) é situála em determinados processos históricos em que participaram, recordá-la a agir, na grandeza dos ideias, na nobreza das motivações, na generosidade da entrega. As pessoas tornam-se grandes quando, com a sua ação, engrandeceram projetos que se revelaram positivos para a sociedade, quando deram um contributo positivo à história.”

De forma singular, os eventos da história também produzem a identidade e no caso de Francisco Carvalho Guerra não deixa de ser sintomática a sua relação com o percurso deste académico cosmopolita de raízes nortenhas. Em 1958, quando a Europa do pós-guerra, após a assinatura do Tratado de Roma em 1957, assumia que era na ciência que se encontrava o fundamento do seu futuro, celebrada efusivamente na Exposição Universal de Bruxelas, cujo lastro futurante se materializa no Atomium, Francisco Carvalho Guerra ruma aos Estados Unidos, onde se torna Fellow em Farmacologia na School of Medicine da Washington University, no Missouri. Os estudos que conduzem ao Doutoramento em Bioquímica na Universidade do Porto, em 1964, são o começo de um percurso internacional notável, sobretudo se pensarmos que ocorre bem antes da viragem internacional da ciência portuguesa. Ao reconhecimento internacional com importantes funções em variados e reputados organismos internacionais, desde o Comité Científico da Nato, a UNESCO, ou comités e iniciativas científicas da CEE, acresce a sua nomeação como membro da New York Academy of Sciences (em 1973), acompanhando a sua clara liderança no panorama científico nacional, destacando-se como Diretor do Centro de Estudos de Bioquímica (U.Porto) (1965-1975), por duas vezes Presidente da Soc. Portuguesa de Bioquímica (1976-78 e 1989-91), ou da Soc. de Ciências Farmacêuticas (1999). O reconhecimento ocorre também por via das ordens profissionais, como a Ordem dos Farmacêuticos, da qual foi eleito Bastonário em 1973. O país, que por vezes é ingrato, reconheceu o seu valor, condecorando-o como Grande Oficial da Ordem da Instrução Pública, a Universidade do Minho outorgou-lhe o grau de Doutor Honoris Causa, a França concedeu-lhe a Ordem das Palmas Académicas (Ordre des Palmes Académiques), o Papa São João Paulo II condecorou-o com a Comenda de S. Gregório Magno.

Homem de fé, tem-se desde sempre empenhado na afirmação pública da sua identidade como católico. Ao cientista não se conhece qualquer contradição entre a racionalidade analítica que consubstancia a investigação e a exigência ética dos valores de matriz cristã. Viveu efusivamente o tempo do Concílio Vaticano II e com especial atenção assumiu o desiderato da Declaração Gravissimum Educationis, que dele resulta (1965), em particular o incentivo ao desenvolvimento de institutos científicos nas universidades católicas: “Visto que as ciências progridem sobretudo mercê de investigações especiais de maior alcance científico, favoreçam-se o mais possível nas Universidades e Faculdades católicas aqueles institutos cujo fim primário é a promoção da investigação científica.” Em 65, não existia Universidade Católica em Portugal. Carvalho Guerra era um jovem doutor da Universidade do Porto, e ao serviço dessa casa fez uma carreira académica brilhante, tornando-se Prof. Catedrático em Bioquímica, em 1971, e assumindo múltiplas responsabilidades de gestão académica e científica, incluindo como Vice-Reitor entre 1985 e 1991.

Em 1978, respondendo a um quesito de D. António Ribeiro, então Patriarca de Lisboa, se o Porto não quereria a UCP na cidade, o Prof. Francisco Carvalho Guerra, juntamente com o Prof. Mário Pinto, então Diretor da Faculdade de Ciências Humanas apresentam a ideia ao Bispo do Porto, D. António Ferreira Gomes. Inicia-se assim o Curso de Licenciatura em Direito (o 1.º no Norte do país) e o processo de alargamento da UCP ao Porto, que desde esta data e em fases sucessivas foi sendo coordenado pelo nosso homenageado. Em 1991, torna-se Presidente do Centro Regional do Porto da UCP, cargo que ocupa até 2006. Nestes anos, o seu pioneirismo visionário revela-se na capacidade de olhar para os limites do desenvolvimento da ciência, de pensar à frente (think ahead), criando a primeira Escola de Biotecnologia do país, hoje líder na investigação em várias áreas cruciais para o futuro da humanidade (sistemas alimentares sustentáveis, valorização de resíduos e economia circular), ou a Escola das Artes, com um projeto pedagógico-científico centrado no cruzamento entre arte e tecnologia, absolutamente inovador no panorama nacional.

Francisco Carvalho Guerra é um homem para e das circunstâncias. O local e a família onde nascemos e fomos criados, a língua que falamos, a comunidade a que pertencemos, os estudos que fazemos, os afetos que geramos, fazem-nos crer que a singularidade identitária é sobretudo um espaço de colisão dialógica de mundos e pessoas que nos co-criam. E é por isso, que não deixamos de ser também contraditórios e por isso mesmo fascinantes e inteiros seres humanos. Porque destas circunstâncias faz também parte a imagem de um marido carinhoso, que conheceu a sua mulher aos 12 anos, pai de 11 filhos, de um homem de Braga apaixonado pelo mundo rural, que poda as árvores de fato e gravata, grande apaixonado do Rali de Portugal e organizador de campeonatos de matrecos na Praia da Aguda. O Pe Roque Cabral liga o cientista cosmopolita ao português nortenho, dizendo que é um ‘intelectual com alma de camponês’. Sobretudo, como escreveu o seu amigo Mário Soares, Francisco Carvalho Guerra é ‘homem bom’. A Católica que ajudou a construir não poderá com palavras expressar o muito que lhe deve, o tanto que por ela fez, os caminhos que por ela desbravou. Consciente desta insuficiência verbal para expressar o sentimento coletivo, ouso, por isso, utilizar as palavras de um grande poeta D. José Tolentino de Mendonça para um agradecimento final, dizendo-lhe que “O que por palavras nos está oculto/no silêncio crepita/ em intimidade.”

Obrigada, Prof. Francisco Carvalho Guerra.

Isabel Capeloa Gil
Reitora
29-11-2018

INSERT promove literacia fílmica em escolas do norte de Portugal

O projeto de investigação INSERT, desenvolvido pelo Centro de Investigação em Ciência e Tecnologia das Artes (CITAR) da Escola das Artes da Universidade Católica no Porto, tem como objetivo educar e incluir através da promoção de uma linguagem artística em torno do Cinema. O INSERT terá a duração de 18 meses e decorrerá entre 2022 e 2023.

“O principal propósito do INSERT é o de diminuir as desigualdades sociais através da promoção da literacia fílmica”, explica o coordenador do projeto, Pedro Alves, docente da Escola das Artes e investigador do CITAR. Para o efeito, pretende “proporcionar e orientar professores e alunos para a utilização de um conjunto de recursos que contribuirão para a dinamização de projetos cinematográficos pedagógicos em contexto escolar, de caráter flexível, autónomo e inclusivo”, acrescentou Pedro Alves.

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Países Baixos

Raquel Campos Franco: "Como estão hoje os idosos nos lares, alguém sabe?"

O sector sem fins lucrativos é, antes de mais, um produto da ação voluntária dos cidadãos. Mas uma parte desse sector – as IPSS, é em Portugal, também um produto das políticas públicas. Os efeitos destas no setor sem fins lucrativos escapam normalmente à sociedade, porque não há, muitas vezes, transparência sobre os resultados e os impactos das mesmas.

Não há, para começar, uma avaliação séria e continuada sobre os efeitos dessas políticas públicas. A questão da falta de transparência não será, objetivamente, do foro da má intenção. Mas é resultado de uma falta de clareza quanto aos focos prioritários da política pública. E de uma relação pouco saudável entre o Estado que financia, e não se avalia, e as instituições que dele são dependentes para sobreviver.

Uma relação em que as instituições, porque são privadas e independentes, deveriam poder ser publicamente francas, repetidamente e até à exaustão, para que a sociedade percebesse que vivem cronicamente subvencionadas. E que por isso nem sempre prestam os serviços com os níveis de qualidade que se esperaria. Muitas fazem o que podem e mais do que o que podem. E a sociedade portuguesa precisa de perceber isso.

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Paulo Cardoso do Amaral: "O Metaverse é outro tiro no pé"

Os anúncios bombásticos do senhor Zuckerberg já não são novidade. Volta e meia aparece mais um, com resultados que fazem lembrar a alegoria da montanha que pariu um rato. Aconteceu com o Facebook Places, o Facebook Deals, o Messenger Pay, a Libra, o Diem, o WhatsApp Pay e o Facebook Pay, só para referir os que estão mais presentes na memória.

O Facebook enquanto plataforma teve, e tem, um sucesso inquestionável, para além de resultados financeiros admiráveis à custa de uma atitude ética no mínimo discutível. Pois parece que o senhor Zuckerberg quer estender essa sua ética a todos os elementos das nossas vidas, digitais ou não. Bem-vindos ao Metaverse.

A ideia do Metaverse é desenvolver as tecnologias digitais de forma tão apelativa que levará os consumidores a não conseguir evitar a sua utilização no dia-a-dia, em todos os aspetos relacionados com comunicação, desde as redes sociais, aos telefonemas, às reuniões, ou mesmo às compras. Estamos a falar de realidade virtual e de realidade aumentada fazendo parte do nosso dia-a-dia. Será que o Metaverse nos fará confundir a vida com um jogo? Não obstante, este novo sonho do Senhor Zuckerberg não deixa de ser uma criação de valor enorme e irresistível para todo o tipo de consumidores, incluindo as empresas. Mas então porque é um tiro no pé?

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Francisca Guedes de Oliveira: "Liberdades individuais e vacinação"

Somos um país que dá uma enorme importância às liberdades individuais, e muito bem!

Duas questões, a propósito das vacinas da Covid-19 e da liberdade de cada um, estão na ordem do dia: torná-las obrigatórias e usá-las nas crianças dos 5 aos 12 anos. Os efeitos da vacina não são, pelo menos para mim, ainda claros no que diz respeito ao seu impacto na transmissibilidade.

Já se tornou evidente que fazem diminuir os casos graves e as mortes, mas que não bloqueiam nem a contaminação nem a transmissão. Mas, não bloquear, não significa não diminuir, e essa é, para algumas decisões, a questão central.

A diminuição da gravidade dos casos é suficiente para justificar a vacinação em massa dos adultos, quer por questões de saúde pública e defesa da vida, quer por questões de salvaguarda do SNS e dos custos associados. E, se a gravidade baixar para níveis semelhantes aos da gripe usual, estaremos em condições de retomar a “vida normal”, que nunca foi condicionada por causa da gripe, mesmo quando as urgências hospitalares ficaram saturadas e as mortes, sobretudo dos mais velhos, assumiram números significativos.

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João Borges de Assunção: “Sempre a aprender”

Aprender é, acima de tudo, uma necessidade humana. Nomeadamente para quem já tem satisfeitas outras necessidades mais utilitárias ou higiénicas.

Claro que há muitas aprendizagens utilitárias. O chamado saber-fazer (know-how) entra nesse tipo de aprendizagem. Há ainda o aprender com os outros, que corresponde a compreender coisas que antes não compreendíamos. Essa é a aprendizagem mais importante no contexto universitário em que os alunos aprendem com os professores, com os outros alunos e lendo os livros adequados a cada tema.

A internet e em particular o Youtube têm hoje material inesgotável de aprendizagem sobre qualquer assunto. Desde a reparação da máquina de café (know-how) à compreensão da teoria da relatividade.

Hoje podemos, sobre qualquer tema ou assunto, aprofundar extraordinariamente o nosso conhecimento.

Mas há conhecimento que só se adquire com alguma experiência pessoal, preferencialmente partilhada com outros em circunstâncias semelhantes.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 10 de dezembro de 2021.

Itália

Jorge Pereira da Silva: "Morreu o sonho de Martin Luther King Jr."

Quando a 28 de agosto de 1963, no Lincoln Memorial, em Washington D.C., Martin Luther King Jr. proferiu o seu mais famoso discurso – “I have a dream” – estaria certamente longe de imaginar que a luta pela igualdade que ele encarnava haveria de seguir, décadas mais tarde, o caminho oposto ao do seu sonho.

O homem que melhor simboliza o movimento pelos direitos cívicos – luta pela qual pagou o preço mais elevado –, tinha o sonho de que um dia os filhos dos antigos escravos e os filhos dos antigos donos dos escravos se sentassem à mesma mesa como irmãos. E tinha o sonho de viver numa sociedade em que todas as pessoas fossem julgadas não pela cor da sua pele, mas apenas pelo conteúdo do seu carácter.

Em pleno século XXI, porém, a igualdade deixou de significar que todos os homens e mulheres são irmãos, porque partilham da mesma dignidade intrínseca. As muitas diferenças que as pessoas ostentam – de cor, raça, género, origem, condição social ou orientação sexual –, e que durante décadas se procurou que não tivessem nenhuma consequência no respetivo estatuto jurídico e político, transformam-se agora, para muitos, na razão de ser da sua própria existência.

Onde o movimento pelos direitos civis queria aproximação e união, os novos ativistas pela “justiça social” querem identidade, separação e confronto. Das universidades à comunicação social, dos parlamentos aos serviços públicos, do mundo da cultura às organizações não governamentais, de todo o lado surgem exemplos de novos “apartheids”, designadamente sob a forma de “safe spaces”.

Tal como Marx acreditava que a luta de classes podia explicar toda a história da humanidade, assim os novos doutrinadores “woke” julgam que a dicotomia entre privilegiados e oprimidos ou entre maiorias e minorias explica todas as relações sociais, sem exceção.

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Que pressões sentem os colaboradores nas empresas? Católica discute hoje ética no trabalho

Que pressões sentem os trabalhadores nas suas organizações? Quais as principais más práticas observadas? Como avaliam os colaboradores as suas chefias relativamente à ética e que diferenças de perceção existem em função da idade ou do género?

Estas perguntas foram exploradas e respondidas no âmbito do estudo Ethics at Work: 2021 Survey of Employees, desenvolvido pelo IBE - Institute of Business Ethics, em parceria com o Fórum de Ética da Católica Porto Business School, e serão debatidas na Conferência "A Voz dos Portugueses - Ethics at Work 2021" que se realiza hoje no Porto.

Os resultados globais do mais recente estudo Ethics at Work revelam que nos 13 países abrangidos as organizações parecem ter sido capazes de responder bem aos novos desafios éticos com que fomos confrontados no período da pandemia.

Revela também que a maioria dos trabalhadores inquiridos afirma não ter notado nesse período alterações no comportamento ético das suas organizações e 37% consideram que até melhorou. Assim, "vamos apresentar dados complementares alusivos à realidade portuguesa e debatê-los em conjunto com gestores e académicos," referem Helena Gonçalves e Ana Roque, coordenadoras do Fórum de Ética da Católica Porto Business School.

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Itália
Itália

Menos violência contra as mulheres, mais ação

A pandemia agravou as situações de extrema pobreza, de discriminação e violência contra as mulheres, em Portugal e um pouco por todo o mundo. Os números têm sido crescentes. À beira da quinta vaga de covid-19 - que segundo alguns epidemiologistas já terá chegado mesmo ao nosso território, ao ponto de alguns membros do governo admitirem a necessidade de voltar ao regime de teletrabalho -, teme-se um novo agravar da situação.

[...]

Uma nota final para dar os parabéns a uma mulher portuguesa e pioneira: Isabel Capeloa Gil, reitora da Universidade Católica Portuguesa (e cronista habitual no DN), será agraciada amanhã, com o título de doutora honoris causa pelo Institut Catholique de Paris (ICP). Será a primeira mulher a receber a distinção por esta universidade. O Institut Catholique de Paris foi fundado em 1875 e é uma das mais prestigiadas universidades francesas. Conhecido como "La Catho", tem entre os honoris causa Amartya Sen, René Girard e Jacques Delors. Isabel Capeloa Gil é reitora da UCP desde 2016 e presidente da Federação Internacional das Universidades Católicas desde 2018. Em 2019 recebeu o título de doutora honoris causa pelo Boston College, nos Estados Unidos.

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Germano Marques da Silva: "A Justiça em 2022 - o que não podemos esperar, mas devíamos"

A crise da justiça não é de agora, é de sempre. A vontade constante de dar a cada um o que lhe pertence (Ulpiano) alimenta a tensão eterna entre os ideais da Justiça e o Direito, por uma parte, e entre a Lei e a sua aplicação, por outra. A crise, aqui e agora, não resulta da lei votada e promulgada em conformidade com os valores e regras que a Constituição democrática consagra, é fruto da sua má aplicação. Mesmo uma má lei, e também as há atabalhoadas, quando bem interpretada e aplicada no espírito do sistema, ou seja, em conformidade com a dignidade da pessoa humana que constitui a pedra basilar da nossa República, ainda pode permitir realizar a Justiça, mas uma boa lei mal interpretada dificilmente conduz ao bonum et aequum que caracteriza o Direito justo. Não são precisas reformas profundas das leis, bastam atualizações para acompanhar a dinâmica social; precisa é a disposição dos meios materiais e humanos suficientes e capazes para que as leis que temos, em geral boas leis, possam ser bem executadas e em tempo razoável porque a aplicação da lei fora de tempo raramente conduz a decisões justas.

Nunca teremos boa Justiça se os meios forem insuficientes e são-no. São-no desde logo no equipamento frequentemente obsoleto, na falta de magistrados e funcionários adequados ao volume de processos que lhes são atribuídos – basta pensar no que se passa com a pendência nos tribunais administrativos e fiscais e com as investigações criminais a arrastar-se por anos a fio! -, mas também, e não menos relevante, no que respeita à formação de todos os agentes da Justiça. A boa execução da lei pressupõe que quem a administra possui o sentido da Justiça, que é uma sensibilidade extremamente exigente, um habitus mentis, que precisa de ser cultivada e se afina com a experiência da vida, a imitação dos maiores, a humildade intelectual e muito estudo. Não compreendo, por isso, que perante as dificuldades por carência de magistrados se siga o caminho mais fácil: o encurtamento da duração dos cursos de formação como foi decretado ainda agora pelo Decreto-Lei n.º 115/2021, de 15 de dezembro. Também o acesso ao CEJ pela via profissional necessita de ser revisto porque quem não aprende na escola, muito dificilmente aprende depois, ademais com cursos encurtados!

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Isabel Capeloa Gil: "A liberdade é para os outros"

A liberdade, tal como a justiça, não é um ideal abstrato. Ou pelo menos, sendo também ideal, não se esgota nele. A liberdade é uma prática situada, que decorre de um contexto histórico-político e por isso representa coisas diferentes para comunidades distintas.

Até ao alvor da modernidade, a liberdade era concebida sobretudo como aspiração individual e interior, essencialmente centrada na exigência de liberdade de pensamento, ou então designava uma condição social, distinguindo os homens e mulheres livres dos escravizados. Fruto das transformações filosófico-políticas do iluminismo, a Declaração de Independência dos Estados Unidos consagra a liberdade como um direito inalienável do indivíduo ao mesmo tempo que dá corpo à tendência crescente de coletivizar a liberdade, que na levée en masse das revoluções se transforma em exigência, aspiração e combate dos direitos de grupo. E neste contexto começa a configurar-se uma tensão.

De um lado, situa-se a dimensão aspiracional da liberdade, como valor e ideal, que decorre de uma pulsão individual; de outro, a luta coletiva para conceder liberdade. Ora é justamente aqui que se situa o nó tensional, que a voz do poeta alemão Friedrich Schiller tão claramente exprime: "Pode deixar-se alguém ser livre, mas não se pode dar liberdade." E que liberdade? Significa esta liberdade coletivizada, emancipação? Exigência de justiça social? Autonomia? Independência? Rejeição da submissão da vontade individual que o contrato social consagra?

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Nuno Moreira da Cruz: "Humildade como traço de liderança"

“A grandeza do ser humano, a sua verdadeira riqueza, não está naquilo que se vê, mas naquilo que traz no seu coração. A grandeza do homem não lhe advém do lugar que ocupa na sociedade, nem do papel que nela desempenha, nem do êxito social. Tudo isso lhe pode ser retirado de um dia para o outro. Tudo isso pode desaparecer num nada de tempo. A grandeza do homem está naquilo que lhe resta precisamente quando tudo o que lhe dava algum brilho exterior se apaga. E que lhe resta? Os seus recursos interiores e nada mais”.

Este pensamento de Etty Hillesum (jovem judia, deportada para Auschwitz, onde faleceu) acompanhou-me ao longo de grande parte da minha carreira profissional e sempre a ele recorri nos momentos em que me achava “mais do que era”.

Um estudo recente publicado no Journal of Management revelou que a humildade nos CEO conduz sempre a equipas de liderança de maior desempenho e a uma maior colaboração no desenvolvimento e implementação de estratégias. A Administrative Science Quarterly, em estudo semelhante, veio demonstrar que traços associados à humildade – tais como a solicitação de feedback e o focalizar nas necessidades dos colaboradores – geraram níveis mais elevados de engagement e desempenho no trabalho por parte dos reportes diretos.

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Como vai ficar a economia em 2022?

João Borges de Assunção, docente na Católica Lisbon School of Business and Economics, foi o convidado do programa "Tudo é Economia", da RTP3, do dia 4 de janeiro de 2022.

Pode ver o comentário de João Borges de Assunção aqui.

Leonor Sopas: "Crescimento, complexidade e cooperação"

Para crescer, a economia portuguesa precisa de produzir mais produtos complexos, isto é, exigentes no saber-fazer necessário ao seu fabrico.

Os produtos e/ou serviços complexos não podem ser feitos por uma única pessoa a trabalhar sozinha. Por mais inteligente que seja, um indivíduo não consegue deter todo o conhecimento necessário para fabricar uma impressora 3D, por exemplo. É necessária uma organização, ou rede de organizações, capaz de reunir os conhecimentos especializados que se encontram no cérebro de vários indivíduos. Quanto mais complexo o produto, mais extensa e diversa a rede de capacidades a mobilizar.

Da análise da estrutura exportadora resulta que Portugal tem uma variedade de capacidades que lhe abre muitas oportunidades de diversificação no sentido de produtos mais complexos. Apesar disso, ao longo da última década a complexidade económica do país tem-se mantido estável, na posição 38 entre as 133 economias analisadas no Atlas da Complexidade Económica. A estrutura produtiva portuguesa não tem evoluído como se poderia esperar face ao conhecimento tácito que o país possui.

Parecem existir, assim, obstáculos à concretização de oportunidades de diversificação para produtos mais complexos. A sua identificação e ultrapassagem são essenciais para que Portugal cresça.

Ler artigo completo aqui.

Ana Côrte-Real: "2022: Silêncio, que temos de nos ouvir!"

Depois do Natal, testei Positivo à Covid 19. A maioria das pessoas com quem mais privo padeceram de poucos sintomas, mas eu não tive essa sorte. Tivesse cá o meu Pai e diria que seria o “azar dos Castros”.

Perante o cansaço, o corpo reclama “não fazer nada”, reclama silêncio, reclama paragem.  E foi perante esta imposição do corpo que se sobrepôs à mente (e, valha a verdade, também perante um livro maravilhoso que recebi como  presente de Natal), que decidi escrever este artigo e dar-lhe o título “2022: silêncio, que temos de nos ouvir!”.

Na verdade, como refere Kagge, no seu livro “Silêncio na era do Ruído”, esta questão acima mencionada não é de todo uma reflexão recente. Já o filósofo Blaise Pascal, no Sec. XVII, referia que “Todos os problemas da humanidade decorrem da incapacidade de o homem ficar tranquilamente sentado sozinho no seu quarto”.

Ora, com base nestes ingredientes, na minha paragem obrigatória dei comigo a pensar em várias questões que se relacionam com o que acima referi: a nossa (in)capacidade de saber esperar, a nossa (in)capacidade de estarmos aborrecidos, a busca incessante pela abundância de atividades, a permanente conectividade, a permanente (in)disponibilidade, a falta de estarmos sem fazer nada e a falta de silêncio nas nossas vidas, pessoais e profissionais.

Saber estar em silêncio é uma arte difícil. Por exemplo, na minha formação de coaching, um dos grandes desafios foi saber estar em silêncio na condução de uma sessão de coaching… aquele silêncio colocava-me uma pressão tal que rapidamente eu desatava a falar, assim prejudicando o caminho de autodesenvolvimento e aprendizagem do coachee. Atropelando a escuta ativa.

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Um ano da invasão ao Capitólio e os "EUA continuam divididos"

Especialista em assuntos internacionais, Lívia Franco, fala de “forte polarização” sobre o que se passou no Capitólio. Donald Trump deve ser candidato republicano nas próximas eleições.

Pode ouvir a entrevista a Lívia Franco, docente do Instituto de Estudos Políticos, aqui.

Paulo Cardoso do Amaral: "Haverá lugar para os NFT na economia tradicional?"

O mundo dos criptoactivos activo está a ficar cada vez mais interessante. Fala-se menos de tecnologia e mais de exemplos da sua aplicação, como é o caso dos Non Fungible Tokens (NFT). Os NFT têm sido difundidos à conta dos activos virtuais, mas serão aplicáveis aos activos reais?

O conceito de criptoactivos tem origem na representação de valor no mundo da auto-execução, incluindo os seus direitos associados. Vamos com certeza continuar a assistir a exemplos surpreendentes deste novo mundo em função da inovação tecnológica e das propostas de valor, em conjunto com a evolução da própria legislação. Nesta linha, os NFT ganharam uma importância significativa a partir do momento em que começaram a ter impacto directo em actividades económicas, e é esse o ponto de partida para esta reflexão. Afinal, os criptoactivos são muito mais do que reserva de valor, pois, em última análise, o que interessa é o incremento económico proporcionado desses investimentos.

Aliás, quando a valorização dos activos é sustentada permanentemente apenas com base em expectativas, a bolha acaba sempre por rebentar. Ora, os NFT vão muito para além das expectativas quanto à reserva de valor, pois servem de suporte a transacções com criação de valor económico. É isso que interessa discutir.

Já aqui falámos anteriormente dos vários tipos de tokens, nomeadamente dos Utility Tokens, dos Security Tokens, e também de uma forma particular dos primeiros: os Tokens Não Fungíveis, ou NFT (Non Fungible Tokens). É que os Utility Tokens tanto podem ser fungíveis, que é o caso das famosas criptomoedas, como não fungíveis. Para ilustrar estes conceitos, vamos imaginar um cripto-jogo de Monopólio.

Num cripto-Monopólio, representaríamos o dinheiro, as casinhas (verdes) e os hotéis (vermelhos) com Tokens fungíveis, por serem todos semelhantes entre si. Já os títulos de propriedade serão representados com NFT, pois cada terreno imaginário é diferente.

Mas atenção, enquanto no Monopólio tradicional os terrenos são representados por pequenos cartões, cujo direito de propriedade passa pela sua posse física, os NFT são desmaterializados. Então, como garantir o direito de propriedade durante o jogo quando a sua representação não é física?

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Bernardo Ivo Cruz: "Para os problemas complicados do mundo não há soluções simples"

Há um ano um presidente em exercício de funções incentivou os seus apoiantes a invadirem a sede do poder legislativo para impedir a conclusão do processo eleitoral em que fora derrotado. Isto não se passou num qualquer Estado falhado num canto qualquer perdido do planeta, mas nos Estados Unidos, e embora a América do ex-presidente Trump possa ser um caso extremo, não é o único caso de populismo que contaminou os sistemas democráticos pelo mundo.

O que leva os eleitores de democracias estáveis e consolidadas a escolherem soluções de governo nacionalistas, que recusam o conhecimento científico, que se sentem confortáveis com respostas autoritárias e que entendem que os mecanismos e processos democráticos e judiciais estão capturados por grupos organizados e corruptos? Haverá nas sociedades democráticas um grupo significativo de pessoas que recusam a democracia representativa por razões ideológicas?

Os estudos realizados em diferentes países por universidades reputadas sobre o perfil de quem escolhe as soluções populistas dizem-nos que se trata maioritariamente de pessoas mais velhas, que estudaram pouco, que têm um trabalho indiferenciado ou não trabalham, que pertencem a grupos socioeconómicos mais frágeis e que não viajam. São pessoas que têm menos instrumentos para lidar com a abertura das fronteiras, com a concorrência económica, com a deslocalização das empresas ou com o desaparecimento dos empregos. E tudo isto antes de somarmos os impactos da pandemia nas nossas vidas e nas nossas expectativas. Ou seja, são as pessoas que perdem com a modernidade e para quem a esperança média de vida no mundo todo ter passado de cerca de 35 anos em 1900 para cerca de 70 anos em 2000 não é consolo.

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Itália

Cérebro: o que se passa lá dentro e como se revela cá fora?

Neste tempo de tantas alterações provocadas pelo impacto da pandemia, mas também por uma digitalização acelerada, o que se passa dentro do cérebro? Como é afetado? Como observamos essas mudanças no comportamento humano?

Na opinião de Alexandre Castro Caldas, “deixar de escrever à mão vai mudar biologicamente o nosso cérebro, porque temos uma área específica para isso que vai desaparecer”.

Já a psicóloga Maria Luísa Pedroso Lima considera que “as redes sociais permitiram proximidade apesar do distanciamento, baixando os níveis de sofrimento psicológico nos confinamentos”.

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Conferência assinala Dia internacional do combate à violência contra as mulheres

A Faculdade de Direito da Universidade Católica Portuguesa – Polo do Porto realiza hoje uma conferência online para assinalar o Dia Internacional do Combate à Violência contra as mulheres, a partir das 18h00.

Uma nota enviada à Agência ECCLESIA informa que este evento comemorativo conta com quatro oradores com “diferentes perspetivas” sobre a proteção da vítima de violência doméstica.

A Faculdade de Direito da UCP – Polo do Porto – explica que a conferência conta com as reflexões da juíza Beatriz Pacheco, mestre pela Escola do Porto desta faculdade, vencedora do prémio Teresa Rosmaninho; Luciana Couto, agente da PSP, que trabalha desde 2014 no gabinete de atendimento e informação a vítimas de violência doméstica.

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Itália
Itália

Teresa Oliveira: "Relações problemáticas nas equipas: um problema ou um sintoma?"

Numa sessão de coaching recente, um cliente relatava as suas dificuldades de relação com a hierarquia. Considerava esta pessoa bastante desorganizada e pouco focada nas prioridades. "Pede-me coisas em cima do prazo", referiu com irritação, "Não entendo como uma pessoa assim pode ter um lugar com esta senioridade". "Em que medida as características da vossa organização podem explicar este tipo de comportamento?" perguntei. "Nada, as outras pessoas cumprem, o problema é esta pessoa", respondeu. "Há pouco disse-me que, numa situação específica, toda a equipa, C-level incluído, tinha estado a trabalhar até bastante tarde para cumprir um deadline. Haverá algo na forma como organizam o trabalho que também pode explicar este tipo de situações?". "Sim, é verdade. Às vezes, há outros atrasos". O insight do meu cliente permitiu levar a conversa para um outro nível: das dificuldades de relação entre duas pessoas evoluímos para a descoberta de formas construtivas de lidar com alguns processos de trabalho, que se tornam especialmente ineficientes quando é necessária a colaboração entre ambas.

Ao longo dos anos, no meu trabalho com pessoas e equipas, tenho encontrado e vivido situações semelhantes: quando há problemas de performance nas equipas, focamo-nos frequentemente na dinâmica das relações entre pessoas. Rapidamente podemos considerar que uma ou duas pessoas são o problema, sem nos questionarmos sobre disfunções no sistema onde estamos inseridos, que alimentam e perpetuam estas dificuldades.

O foco nas dinâmicas internas de uma equipa pode explicar o impacte limitado de muitas intervenções de team building: melhorar a relação entre as pessoas é crucial, promover a reflexão e a aceitação das diferenças dentro da equipa é crucial, co-construir processos de trabalho é crucial. A questão é: até que ponto a equipa procura melhorar as suas dinâmicas internas tendo como ponto de partida a razão de ser da sua existência na organização? Até que ponto a equipa procura melhorar a sua cooperação interna tendo como pano de fundo as expectativas e o feedback dos seus stakeholders?

Leia o artigo completo de Teresa Oliveira, Co-coordenadora do programa Leading and Energizing Teams for Performance da Católica Lisbon School of Business & Economics, no site do Observador.

Bernardo Ivo Cruz: "Uma nova Guerra Fria?"

Menos de um ano após o fim da II Guerra Mundial, o primeiro ministro britânico Winston Churchill avisava que "uma cortina de ferro" separava as democracias ocidentais dos países ocupados pela União Soviética. A Guerra Fria que se seguiu opôs duas formas de olhar o mundo e marcou o sistema internacional até à noite de 9 de novembro de 1989, quando a queda do Muro de Berlim simbolizou o rasgar da Cortina de Ferro e o início de uma década de colaboração à volta dos princípios do multilateralismo e da negociação internacional. Não sendo um sistema perfeito, permitiu resolver ou minorar alguns dos dramas e aflições do planeta, incluindo guerras e conflitos, independências e transições para a democracia, codificação de direitos internacionais e criação e reforço de novos direitos individuais e coletivos.

Com altos e baixos e maior ou menor eficácia, o sistema multilateral foi central nas relações internacionais até ao surgimento de líderes populistas em alguns países que influenciam o mundo de forma particular e a afirmação de outros que, nunca se sentindo confortáveis com a ideia e a prática de limitação da soberania nacional, tornaram-se mais afirmativos e mais vocais nas suas críticas.

Temos hoje uma parte da Comunidade Internacional, onde pontuam os Estados Unidos, a maior parte dos países da União Europeia, o Japão, a Coreia do Sul, a Austrália, a Nova Zelândia, a África do Sul, Cabo Verde ou o Botswana que defendem o papel das organizações multilaterais na gestão dos assuntos do mundo e dos estados. Visões diferentes têm a Rússia ou a China, que entendem que a cooperação internacional não pode nem deve ter papel ou impacto na organização política interna dos países. Ou seja, para uns há um papel para a comunidade internacional na promoção de modelos que contribuam para o crescimento económico, o desenvolvimento social, a sustentabilidade ambiental e, também, a boa governação. Para outros, a cooperação em matérias internacionais é necessária mas no interior de cada país, e citando ditado popular, "só sabe o que se passa no convento quem mora lá dentro".

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Céline Abecassis-Moedas e Pierre Gein: "Confiança e comunidade: a chave para um ecossistema empreendedor diverso"

A crise provocada pela Covid-19 teve um impacto muito mais severo nas mulheres empreendedoras. As mulheres têm, por norma, empresas mais pequenas e que atuam nos setores onde estas desenvolvem os seus negócios os mais afetados. São também as mulheres que assumem mais responsabilidades em casa. O empreendedorismo no feminino é marcado por acentuadas discrepâncias no acesso a investimento. Como mudar isto?

Sabemos que um em cada três empreendedores com negócios com potencial altamente escalável são mulheres. No entanto, os apoios aos negócios concentraram-se em organizações de baixo rendimento. Neste contexto, é preciso ter em conta que – só nos EUA – apenas 13% das VCs têm mulheres como decision makers. Com os homens a terem muito menos tendência para investir em projetos de mulheres, sabemos que, tendo em conta esta realidade, haverá sempre menos investimento nas startups com liderança feminina.

É preciso contrariar esta tendência. Nisto, é essencial criar políticas e awareness para a falta de diversidade na pool de empreendedores apoiados pelas capitais de risco. Sem esta consciência, é muito difícil ter um impacto positivo nestes números, hoje nada representativos da realidade das nossas sociedades onde as mulheres ocupam papéis tão fundamentais. Embora não sejam poucos os exemplos de mulheres bem sucedidas, acontece que nem sempre lhes é dado palco ou espaço para que comuniquem os seus sucessos.

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Itália

Maria da Conceição Andrade e Silva: "Avaliar ou não avaliar: Eis a questão"

O tema da avaliação do desempenho é transversal a várias áreas da economia e da gestão. Por exemplo, na área das operações há uma longa tradição de práticas e ferramentas de medição de desempenho, na área da contabilidade e do controle de gestão também há um grande número de ferramentas de avaliação de desempenho, com destaque para o balanced scorecard. Na área dos recursos humanos, a avaliação de desempenho é um tema de grande importância e normalmente ligado a questões de compensação e promoção. Na área da economia a medição de desempenho está tipicamente relacionada com a medição da eficiência e da produtividade (de empresas, de países, de regiões, etc.). Enfim, cada indivíduo na sua vida profissional ou pessoal já se deparou com sistemas de avaliação disto ou daquilo.

A febre da avaliação e da accountability (em particular do benchmarking e das avaliações comparativas) tiveram seu momento inicial nas décadas de 80/90 e começou nas escolas. Como se estabeleceu, antes disso, que os alunos deveriam ser avaliados por testes padrão a área da educação passou a ser profícua em medidas de desempenho dos alunos. Mais do que isso essas medidas eram compráveis porque os alunos faziam todos o mesmo teste (ou exame). Daí até se agregarem os desempenhos dos alunos para medir e comparar desempenho entre escolas foi um passo muito pequeno. No fim da década de 90 vivi um ano em Inglaterra e fiz a minha tese de mestrado precisamente sobre avaliação de escolas Inglesas. Na altura havia grandes discussões académicas e públicas, sobre as League Tables (o equivalente aos nossos rankings que apareceram pela primeira vez em Portugal em 2001, e em 2002 foi criada legislação para a avaliação interna e externa das escolas) falando-se de comparar o comparável, e portanto da necessidade de contextualizar os resultados dos alunos à luz das condições das escolas e dos próprios alunos.

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Itália

Congresso na UCP aprofunda a poesia de Daniel Faria

A Universidade Católica Portuguesa – Polo do Porto vai realizar um congresso internacional, de 04 a 06 de novembro, sobre «A violenta escuridão de se abeirar da Luz» integrado nas comemorações do cinquentenário do nascimento do poeta Daniel Faria.

No primeiro dia, às 21h30, realiza-se uma conversa/recital com os poetas Miriam Reyes, Sandra Costa e Valter Hugo Mãe e moderação de José Rui Teixeira que vão abordar o tema central do congresso internacional, lê-se no programa enviado à Agência ECCLESIA.

Nesta iniciativa onde se recorda o poeta Daniel Faria, nascido a 10 de abril de 1971 e falecido a 9 de junho de 1999, vários oradores vão aprofundar a realidade poética deste jovem das letras.

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Isabel Capeloa Gil: "O que me estimula no cargo de Reitora é a capacidade de transformar"

Isabel Capeloa Gil é a segunda mulher reitora da Universidade Católica Portuguesa, tendo assumido o cargo em 2016. Nesta entrevista fala sobre a influência de Macau na formação do seu caráter, a realização do sonho de três décadas de abrir a Faculdade de Medicina e também o seu contributo para formar mais mulheres para a liderança.

Isabel Capeloa Gil é investigadora e Reitora da Universidade Católica Portuguesa, instituição com mais de meio século de história, 18 mil alunos, 1000 docentes e 1500 colaboradores, distribuídos por Lisboa, Porto, Braga e Viseu.

Nasceu em 1965, em Mira, e cresceu em Macau, onde o pai, que era da Marinha, foi colocado. Aí percebeu que o mundo era maior do que o grupinho de portugueses que se juntava no recreio e, com apenas 7 anos, decidiu aprender cantonense para melhor conhecer os outros. Mais tarde acrescentaria o alemão, que a atraiu pelo nível de dificuldade e que acabaria por a levar a fazer o mestrado e o doutoramento em Estudos Alemães.

Foi em Macau que viveu o 25 de abril, a Guerra do Vietname e a morte de Mao Tsé-Tung. Voltou a Portugal em 1981, com 16 anos, e licenciou-se em Línguas e Literaturas Modernas, variante de Estudos Ingleses e Alemães - apesar de gostar de Físico-Química e Matemática a paixão pela Literatura falou mais alto, até mesmo do que a licenciatura em Economia que o pai tanto queria que fizesse.

É investigadora - tem mais de 150 trabalhos publicados - e tem ocupado vários cargos em associações científicas nacionais e internacionais.

Durante sete anos, foi Diretora da Faculdade de Ciências Humanas, tendo contribuído para o desenvolvimento de uma estratégia de especialização para a unidade, sobretudo nas áreas de Comunicação e Cultura, e pelo alargamento da relação com o mundo empresarial nestes setores. Na gestão universitária, tem-se destacado no desenvolvimento da estratégia de internacionalização e investigação da Universidade Católica Portuguesa (UCP), da qual foi Vice-Reitora entre 2012 e 2016 e responsável pela Investigação e Internacionalização.

Desempenha ainda funções de presidente da Federação Internacional de Universidades Católicas, desde 2018 (é a primeira mulher a dirigir a organização), integra o Conselho Consultivo da Fundação Calouste Gulbenkian e é presidente do Conselho de Administração da Fundação UCP, além de ser Reitora da Universidade desde 2016, tendo iniciado o segundo mandato em 2020. No ano anterior, a 20 de maio, quando recebeu o grau de doutor honoris causa no Boston College foi convidada a fazer o discurso de graduação dos finalistas daquele ano. Para um estádio com 30 mil pessoas recordou que Virginia Woolf fora impedida de caminhar sobre a relva do campus da Universidade de Oxford, direito que estava reservado aos homens. A igualdade de oportunidades é uma das suas missões de vida.

Nasceu em Portugal, mas cresceu em Macau. De que forma é que isso a marcou?

Marcou muito. Fui para Macau com 7 anos e quando regressei a Portugal tinha 16, por isso foi um período verdadeiramente marcante para a modelação da minha visão do mundo, dos meus amigos de base.

Sempre que regresso a Macau sinto-me em casa. Volto recorrentemente porque a Universidade Católica criou uma universidade em Macau em 1998, que hoje é uma universidade independente, mas com a qual mantém uma relação muito forte, inclusivamente em termos dos órgãos de governo - sou vice-presidente do Conselho Geral.

Macau é um encontro de culturas do Ocidente e da China, é um espaço chinês com uma marca portuguesa. Por um lado, há as práticas, o culto, a etnia das pessoas, os cheiros, tudo o que são as vivências asiáticas e chinesas, e, por outro lado, uma presença portuguesa - as igrejas, a religiosidade, a arquitetura tradicional portuguesa. Ao mesmo tempo é um entreposto das maiores marcas de luxo e tem os casinos. É um espaço muito singular, que cria uma sensação de desconforto a muitas pessoas, porque parece que se está num espaço fora do espaço, mas eu sinto-me mais em casa em Macau do que propriamente em Coimbra, na zona de Mira, de onde a minha família é natural.

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Categorias: A Reitora

Análise a temas da atualidade política

Análise a temas da atualidade política com André Azevedo Alves, professor de Ciência Política da Universidade Católica.

Pode ver o comentário de André Azevedo Alves no programa "Jornal 2" da RTP2 aqui, a partir dos 4:46 minutos.

"A UCP é uma universidade inclusiva a todos os níveis" - entrevista a Isabel Capeloa Gil

A Universidade Católica Portuguesa (UCP), numa iniciativa pioneira, irá leccionar, a partir de fevereiro, "Cadeiras ODS (Objetivos de Desenvolvimento Sustentável)". O Igreja Viva falou com a Reitora da UCP, Isabel Capeloa Gil, para perceber como será desenvolvido o projecto e de que forma se integra na agenda para a sustentabilidade da Universidade.

[Igreja Viva] Como surgiu a ideia de a UCP leccionar “Cadeiras ODS”?

[Isabel Gil] A ideia das “Cadeiras ODS” surgiu no âmbito do desenvolvimento do Plano de Desenvolvimento Estratégico (PDE) da Universidade, que foi aprovado em Março último e que tem como uma das ideias centrais preparar a Universidade para aquilo que são os grandes desafios do desenvolvimento sustentável. Não só os Objectivos de Desenvolvimento do milénio, mas articulando-os igualmente com aquilo que são os Objectivos Laudato Si’ (OLS), em decurso da encíclica do Papa Francisco. Trabalhar estes objectivos obrigava-nos a olhar para a sustentabilidade como algo que não fosse adicional ao PDE, por isso não colocámos a sustentabilidade como um objectivo isolado: a sustentabilidade é que ancora e estrutura tudo o que é o projecto de desenvolvimento! Ou seja, não é um objectivo a atingir, é o pressuposto que permitirá que os objectivos de desenvolvimento possam vir a ser atingidos. A sustentabilidade aqui não é algo adicional ao Plano, é o Plano!

[Igreja Viva] Como funcionará concretamente a leccionação?

[Isabel Gil] As cadeiras ODS podem ser frequentadas por estudantes de qualquer ciclo de estudos e nos quatro campi, como optativas, e serão leccionadas a várias mãos. Justamente por as matérias relacionadas com os ODS não serem monodisciplinares, não serem monoculturas, exigem a agregação dos vários saberes. Estamos a fazer, para já, ao nível do ensino, duas coisas: a primeira foi o lançamento das disciplinas ODS. Estas disciplinas – a primeira é sobre o Ambiente – vão congregar professores de várias escolas, de Biotecnologia, de Gestão, de Economia, Direito, Teologia… Ou seja, vão ser abordadas de perspectivas distintas. Vamos ter uma outra cadeira sobre a pobreza, que é o primeiro dos ODS do milénio e dos OLS. Isto são macro questões, não são questões para uma área disciplinar! Portanto, o desafio destas cadeiras, que implica também alterar a maneira como os estudantes olham para a própria formação que estão a fazer, para o seu desenvolvimento pessoal e para aquilo que pode ser o seu contributo para a sociedade, é fazê-los entender que, independentemente das funções que venham a ter na vida, o mundo é muito mais do que a disciplinaridade que eles cultivam. O impacto que eles vão ter na sociedade envolvente e no mundo que querem criar implica necessariamente uma relação, uma relação de algo com outras áreas adjacentes. Esta preparação, que é uma preparação de consciência, mas também de conhecimento, enquanto universidade temos responsabilidade de a fazer. Não só pelo nosso comprometimento com um mundo mais sustentável, mas também pela missão e pelo mandato que o Papa Francisco nos deu com a encíclica. Ao mesmo tempo, pedimos aos docentes – e esta é a novidade absoluta – que associem os conteúdos e a componente curricular das disciplinas que leccionam aos ODS. Em que medida é que, por exemplo, uma disciplina de Teologia Sistemática, pode contribuir para os ODS? Como é que contribui para os OLS? Como é que Macroeconomia ou Análise Matemática contribuem? E não há argumento que me convença que não contribuem! Têm que contribuir, ou não estamos aqui a fazer nada! (risos) Portanto, queremos pôr as pessoas a pensar em como o que estão a fazer – não na sua torre disciplinar, precisamente para não pensarem que vivem numa – tem impacto no mundo que projectamos. E, já agora, um outro elemento: vamos criar um novo Doutoramento em Ecologia Integral que representa, enquanto ciclo de estudos conferente de grau, precisamente esta perspectiva.

Nota: Pode ler o artigo completo na edição impressa do Diário do Minho de 13 de janeiro de 2022.

Categorias: A Reitora

Grandes iniciativas

Com uma sólida e diversificada carreira na academia, Isabel Maria de Oliveira Capeloa Gil é a 6.ª Reitora da Universidade Católica Portuguesa (UCP), e a 2.ª mulher a ocupar este cargo, encontrando-se atualmente a cumprir o seu segundo mandato.

Desde 2016, Isabel Capeloa Gil tem vindo a reforçar a posição da Universidade enquanto instituição de excelência no ensino e investigação, levando a Católica a consagrar-se, e já pelo 3.º ano consecutivo, a melhor instituição de Ensino Superior em Portugal, segundo o prestigiado ranking do Times Higher Education.

Para Isabel Capeloa Gil, “a universidade situa-se no coração do desenvolvimento da sociedade, estando permanentemente convocada a dar uma formação integral e qualificada aos profissionais do futuro”. A sua ação enquanto Reitora assenta na missão de formar as pessoas, cultivar a ciência, renovar o país e o mundo pela excelência do exemplo.

Grandes iniciativas do primeiro mandato

Entre as grandes iniciativas que marcaram o seu primeiro mandato como Reitora, destaca-se, em 2018, o projeto de investigação Alchemy, estabelecido entre a Universidade Católica Portuguesa, a empresa americana de biotecnologia Amyris, Inc. e o Estado Português, no valor de 42 milhões de euros. É o maior projeto de I&D na história da Católica, com cerca de 100 investigadores envolvidos entre as duas entidades, agregando diversas competências, nomeadamente de bioengenharia, microbiologia e bioanalítica. Inaugurado em fevereiro de 2020, o novo edifício de Biotecnologia, no campus no Porto, conta com 90 laboratórios e salas de aulas.

Outras das concretizações deste mandato são

  • o forte desenvolvimento da investigação produzida pelas unidades de I&D e da formação de 3.º ciclo, através da criação da Católica Doctoral School
  • a transformação da universidade como um espaço aberto à arte, com o lançamento da área Cultura@Católica
  • o lançamento do projeto Campus Veritati, consubstanciado no desenvolvimento de um novo polo de infraestruturas na sede da universidade. Com a adição de dois novos edifícios à sede da UCP, o novo campus vai oferecer instalações altamente tecnológicas e de grande vanguarda, proporcionando um novo espaço para a Católica Lisbon School of Business and Economics, bem como um Centro de Conferências Multifuncional, com 700 lugares sentados.

Em setembro de 2020, já na reta final deste mandato, realiza-se a acreditação pela A3ES do Mestrado Integrado em Medicina.

Reitora da Católica Isabel Capeloa Gil na Inauguração da Faculdade de Medicina

Na área da sustentabilidade, destaque para as seguintes iniciativas:

  • Lançamento da CASUS – Católica para a Sustentabilidade, com os seus quatro eixos estratégicos: campus social e ambientalmente responsável; gestão social do conhecimento; formação profissional e cidadania responsável e universidade solidária e promotora do desenvolvimento sustentável.
  • Criação do Gabinete de Responsabilidade Social, que dinamiza e implementa a estratégia de sustentabilidade da universidade, reforçando o seu compromisso com a concretização dos Objetivos de Desenvolvimento Sustentável das Nações Unidas, sobretudo no que diz respeito à Educação de Qualidade, Saúde e Bem-Estar e Paz e Justiça.
  • Desenvolvimento e participação pessoal em iniciativas que visam reconhecer o talento feminino e impulsionar a liderança feminina. Isabel Capeloa Gil criou a primeira task force para mulheres líderes, no âmbito da Federação Internacional de Universidades Católicas, e atua continuamente para a dignidade e o empoderamento femininos.
  • Criação e implementação do projeto "Ser Capaz", com o objetivo de ajudar estudantes em situações de fragilidade social, orientando-os durante a sua formação académica. A Universidade tem vindo a trabalhar, desde 2019, com jovens de escolas secundárias, acompanhando-os no seu percurso académico, quer aquele anterior aos estudos universitários, quer na prossecução dos mesmos.
  • Lançamento do Fundo Papa Francisco, dedicado a suportar a integração de refugiados, migrantes e pessoas em situação de fragilidade social e, em 2020, o Fundo Solidariedade Covid, que tem vindo a apoiar estudantes afetados pela crise económica em resultado da pandemia.
Joana Rafael, Isabel Capeloa Gil e Celine Abecassis Moedas

Grandes iniciativas do segundo mandato

No primeiro ano do seu segundo mandato, foi realizado o novo Plano de Desenvolvimento Estratégico 2021-2025 da Universidade "O Valor dos Valores: A Criar Futuro no Presente". Naquele, é apresentada uma estratégia assente em três eixos: convergência e inovação; posicionamento global e sustentabilidade.

Em setembro de 2021, foi inaugurada a Faculdade de Medicina da UCP, a primeira instituição de ensino superior não-estatal em Portugal a oferecer um curso de Medicina, que arrancou o seu 1.º ano letivo nessa altura.

Em janeiro de 2022, foi divulgado o Plano para a Igualdade de Género, que reforça o compromisso da UCP com a igualdade de oportunidades entre mulheres e homens. Foram também lançadas as Cadeiras ODS, uma iniciativa estratégica inovadora em Portugal. Trata-se de disciplinas dedicadas ao estudo e compreensão dos Objetivos de Desenvolvimento Sustentável. A primeira a ser lecionada foi a "Cadeira ODS - Os grandes desafios da Humanidade", focada no ODS #13 (Ação Climática).

Países Baixos

Debate entre António Costa e Catarina Martins - análise

André Azevedo Alves, docente no Instituto de Estudos Políticos da Universidade Católica Portuguesa, foi um dos convidados do programa "3 às 10", da RTP3, no dia 12 de janeiro de 2022.

Pode ver o comentário de André Azevedo Alves aqui, a partir dos 09:37 minutos.

Mensagem de Páscoa da Reitora

"Acompanhando a celebração da paixão e ressurreição do Senhor e a vida renovada que Cristo representa para nós, a Reitoria da Universidade deseja à comunidade académica e às suas famílias uma Santa Páscoa. Nesta quadra de particular centralidade na nossa vida cristã, recordo a solidariedade com a comunidade da Universidade Católica de Moçambique, brutalmente afetada pela destruição do ciclone Idai. Por missão e responsabilidade somos Católica. Este sentido solidário insere-se na consciência, repetidamente recordada pelo Papa Francisco, de uma ‘ecologia integral’, que nos une neste momento particular àqueles que partilhando a nossa missão educativa se debatem com os efeitos terríveis da catástrofe natural. Agradeço os donativos já enviados e o espírito de solidário encontro da comunidade académica, desejando a todos um descanso merecido e Feliz Páscoa!"

Isabel Capeloa Gil
Reitora da Universidade Católica Portuguesa

Lisboa, 15 de abril de 2019

Itália
Itália
Polónia

Ana Rijo da Silva: "O futuro do trabalho e a resposta social das empresas"

Estamos a viver mais um período de acentuada mudança com grande impacto nas empresas. São vários os veículos dessa mudança.

Quais são as tendências do Mercado de Trabalho nos dias de hoje?

1) Gig Economy: pessoas que trabalham em posições temporárias ou trabalhadores independentes. As plataformas digitais ligam estes freelancers com as empresas, que adaptam a dimensão da força de trabalho consoante as necessidades. Estes trabalhadores, na grande maioria dos casos, têm uma fraca capacidade negocial, pelo que a regulação deste mercado é urgente;

2) Empresas em rede: este modelo caracteriza-se por estruturas fluídas e descentralizadas, com base virtual (plataformas), é operado por equipas semiautónomas, que exigem aprendizagem e feedback constante;

3) Digitalização: ou seja, reengenharia de processos, mais mecanismos de controlo e teste, flexibilidade e trabalho remoto. Re-skilling é imperativo para garantir empregabilidade.

Quais são as tendências da Sociedade?

1) Sustentabilidade: os objetivos de desenvolvimento sustentável (ODS) levaram a que a Sociedade espere que as empresas tenham em linha de conta o impacto dos seus actos no planeta e nas pessoas. Assim, os processos de trabalho, os modelos de negócio e a gestão das pessoas devem assegurar progresso económico, equidade social e qualidade ambiental;

2) Alterações nos hábitos de consumo: compras online e preferência por modelos de consumo sustentáveis estão a crescer.

Artigo completo disponível no Observador.

Rita Figueiras: "A guerra grassroot"

A centralidade da Internet, das redes sociais e dos smartphones no mundo contemporâneo tornou inevitável a digitalização e a datificação da guerra na Ucrânia. A desplataformização de Putin e a hiperplataformização de Zelenskii mostram na perfeição como as tecnologias são uma infraestrutura vital num conflito que, se dúvidas ainda houvesse, também demonstra como as grandes empresas tecnológicas são atores políticos incontornáveis na atualidade. 

Esta realidade digital reflete-se, igualmente, na estratégia de comunicação do Governo ucraniano. De facto, estamos a assistir a uma nova forma de fazer comunicação de guerra na era da conectividade, cuja originalidade reside na aposta numa campanha grassroot [raízes de erva, cuja força decorre da rede horizontal].

Sendo a de Barack Obama a mais conhecida, estas campanhas grassroot são bem-sucedidas quando conseguem mobilizar os cidadãos comuns e acrescentar modalidades ativas de envolvimento: voluntários para ajudar na organização, participantes para assistir aos eventos e donativos para a causa. O empenho online é indissociável: a produção de conteúdos, a somar aos dos organizadores, é fundamental para que o tema se dissemine pelas várias plataformas e se mantenha no topo da atenção dos usuários. A construção de uma liderança inspiradora é imprescindível para mobilizar e manter a comunidade envolvida e motivada, bem como para alimentar a visibilidade mediática e a notoriedade pública da causa.

A Ucrânia está a fazer isto tudo de modo muito profissional. Com uma hábil estratégia de comunicação, posicionou discursivamente o conflito muito para além da disputa geográfica e identitária. À defesa do território físico associou a dos valores do mundo livre e elevou a guerra a uma luta pela democracia, constituindo-se, assim, uma causa com ressonância internacional.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Público de 12 de março de 2022.

Maria Alice Trindade: "Porque querem saber onde estou?"

Os dispositivos móveis tornaram-se um elemento essencial da vida cotidiana de milhões de pessoas. Em todo o mundo, dispositivos como smartphones e tablets tornaram-se ferramentas essenciais para comunicação, informação e entretenimento. Em 2020, de acordo com Statista (2021), o número de usuários únicos de Internet móvel era de 4,28 bilhões, indicando que mais de 90% da população mundial usa pelo menos um dispositivo móvel no seu dia a dia.

O Covid-19 veio reforçar e intensificar uso desses mesmos dispositivos. De acordo com a mesma fonte, a maioria das aplicações teve um aumento da procura ao longo deste período. Neste contexto, é também visível o crescente número de aplicações móveis com recurso à localização geográfica. Numa era em que os ataques cibernéticos são uma realidade, a partilha de localização pessoal é uma questão sensível, que traz consigo preocupações acerca da privacidade dos dados dos seus utilizadores.

Num estudo conduzido por uma estudante de mestrado Católica Porto Business School, sob supervisão do Prof. Doutor Jorge Julião, sobre os riscos e benefícios percebidos pelos utilizadores na partilha da sua localização geográfica, efetuada a utilizadores de aplicações móveis, em Portugal (amostra de 305 inquiridos), foi possível verificar que existem diferenças significativas nos benefícios e riscos percebidos por parte de diferentes gerações.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

Polónia

José Luís Ramos Pinheiro: "Ucrânia: a China ao virar da esquina?"

O bloqueio económico europeu e americano, essencial para defender a Ucrânia, fechou quase todas as portas para negociações de paz patrocinadas por uma potência ocidental. Sobra a China e pouco mais.

A emergência da China como grande potência diplomática internacional é, provavelmente, uma das poucas saídas para a invasão militar russa da Ucrânia.

O estatuto económico da China é conhecido e o seu poderio militar tido em conta. Porém, falta à China capacidade e estatuto para a intervenção diplomática nas grandes questões internacionais.

Sem mudanças políticas internas no Kremlin e sem o recurso a uma guerra nuclear - que ninguém em seu perfeito juízo pode desejar - resta a mesa das negociações.

Artigo completo disponível na Rádio Renascença.

Francisco Proença Garcia: "Os nossos filhos têm de estar preparados para um dia combaterem pela UE"

Francisco Proença Garcia é beirão, nascido em Almeida, Guarda, há 54 anos. É professor do Instituto de Estudos Políticos da Universidade Católica, no Instituto Universitário Militar e vice-coordenador para a área da defesa nacional no Conselho Estratégico Nacional do PSD.

Tenente-Coronel de Infantaria na reforma, ocupou diversas posições de relevo em operações políticas e militares na área da Defesa. Também representou Portugal na NATO na área das ciências e tecnologia.

Tem um olhar valioso de investigador académico e pragmático de um militar sobre a guerra na Ucrânia, mas também sobre as nossas Forças Armadas e as suas capacidades.

Quem é que está a ganhar esta guerra?

Estamos todos a perder, a começar pelos ucranianos que perdem vidas humanas e património. Também Vladimir Putin está a perder prestígio internacional. Por outro lado, a guerra trouxe-nos algo em que estamos todos a ganha: a união da Ucrânia, porque os ucranianos mostraram grande unidade; o fortalecimento dos laços transatlânticos que estavam um pouco esmorecidos desde o período Trump; e o fortalecimento da União Europeia (UE) porque, de repente, os nossos líderes têm uma afirmação muito interessante e num curto espaço de tempo.

Uma invasão é, por definição, uma guerra de infantaria, mesmo que antecedida por operações aéreas e marítimas que, na prática, visam neutralizar as defesas e causar algum impacto psicológico. Em que fase estamos da operação militar especial russa, como lhe chamou Putin?

Espero que estejamos a chegar a uma fase em que os objetivos políticos que o presidente Putin definiu estejam a ser alcançados, para ver se encontramos um cessar-fogo e uma solução para o conflito.

Porque quanto mais se arrastar, mais gente vai morrer de um lado e de outro. Já estamos em negociações, espero que estejamos a chegar a uma fase onde se encontre um cessar-fogo e quanto mais rápido melhor.

Artigo completo disponível no Diário Notícias

“A Universidade participa de forma privilegiada no esforço coletivo de pensar o mundo”

Professor catedrático da Faculdade de Direito da Universidade Católica Portuguesa, Miguel Poiares Maduro é aos 55 anos de idade o novo Diretor da Católica Global School of Law. Nesta Escola, pioneira em Portugal e uma das primeiras da Europa continental a oferecer programas de LL.M. (Magister Legum or Legum Magister), ensina e co-coordena o LL.M. Law in a European and Global Context e é titular da Cátedra VdA em Digital Governance. Doutorado em Direito no Instituto Universitário Europeu, em Florença, Itália, onde foi professor, dirigiu o Programa de Global Governance. Muito jovem ainda foi advogado geral no Tribunal Europeu de Justiça no Luxemburgo. E em Portugal, onde é considerado um príncipe da política, foi ministro Adjunto e do Desenvolvimento Regional do Governo do PSD liderado por Pedro Passos Coelho. Nesta entrevista fala-nos do futuro do ensino do Direito e da internacionalização da Escola e estabelece a fasquia: fazer dela uma das melhores e mais reputadas escolas de Direito do mundo.

Sente-se mais político ou professor de Direito?

Professor de Direito. A política é um exercício cívico de participação pública que pode ser feito de formas diferentes, mais ou menos intensas, ao longo da vida. Mas a minha profissão e aquilo que me define intelectualmente é ser professor. Investigar e ensinar é aquilo que mais me define. Mas também não esqueço a relação entre ser professor e ter participação cívica. Cada vez mais os investigadores e professores têm uma responsabilidade em transferir conhecimento para o espaço público, embora isso não tenha de assumir formas de participação política partidária. A política, por sua vez, ganharia muito se prestasse mais atenção ao método e qualidade dos processos de decisão como exige a ciência.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

João Matos: "Quando negociar, quando lutar?"

Em 2010, Robert Mnookin, na altura Presidente do Comité de Direcção do Programa Negocial da Harvard Law School, escreveu um interessante livro intitulado Bargaining with the Devil: When to Negotiate, When to Fight que nos tempos conturbados e perigosos em que nos encontramos ganha uma particular atualidade.

Nesta obra, o autor faz a análise aprofundada de diversos conflitos, desde aparentemente irreconciliáveis posições entre irmãos relativamente a uma herança, passando por uma acérrima disputa entre empresas de software devido a copyrights, sem esquecer negociações com um enorme impacto na história recente, como seja o fim do regime do apartheid na África do Sul. Em todos estes conflitos, a grande questão é o dilema entre o pragmatismo e os princípios. Normalmente o pragmatismo indica o caminho da negociação, enquanto que os princípios rotulam a negociação como algo errado, já que não é possível um acordo entre uma parte que defende o bem e outra parte que defende o mal.

A conclusão de Mnookin relativamente à difícil questão de saber se devemos negociar com o diabo é: “nem sempre, mas mais vezes do que lhe apeteceria.” “Nem sempre” por o autor não concordar com a ideia de que devemos estar sempre dispostos a negociar; “mais vezes do que lhe apeteceria” por duas razões: por um lado, porque as emoções podem levar-nos a lutar quando uma análise mais fria nos levaria a negociar, por outro porque os princípios podem levar-nos a considerar que negociar é imoral.

Artigo completo disponível no Observador.

João César das Neves: "O poder que a imprensa económica tem é a sua credibilidade"

A imprensa económica é um setor que sofreu uma das mais profundas transformações estruturais em Portugal nas últimas décadas. E grande parte dela tem precisamente a ver como poder. Menos com o poder que ela tem do que com o poder que a pretende sempre dominar.

A atividade, como aliás toda a imprensa, depois de décadas de subserviência política, foi decapitada após o 25 de Abril de 1974, e teve então de se reconstruir com novas personalidades e novas orientações. No entanto, durante os primeiros anos da democracia, a análise económica dos jornais seguiu a mesma linha da ditadura, mantendo-se estritamente política, mesmo se de sinal contrário. Tudo parecia determinado pelas decisões dos ministros, pelos programas dos governos, pelas orientações da lei. Qualquer problema tinha sempre solução nas secretarias.

Neste campo, como em tantos outros, o desenvolvimento da economia e a adesão à Europa mudaram tudo. Primeiro evoluiu a procura, quando consumidores, trabalhadores e empresários começaram a exigir informação sobre os fatores realmente relevantes, que estavam muito mais nos preços, mercados, concorrentes e bancos que nos discursos das autoridades. Em reação, as publicações tiveram de contratar bons economistas como repórteres e comentadores, e assim nasceu a imprensa que hoje temos.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Correio da Manhã de 19 de março de 2022.

Roménia

DiTDesk para Docentes, Colaboradores e Investigadores

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  • Da DiTDesk online, um portal para registar incidentes e pedidos
  • Da aplicação móvel da DiTDesk, disponível para Android e iOS
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Países Baixos

Horta Osório recebe Doutoramento Honoris Causa da Católica

A Universidade Católica Portuguesa vai atribuir, no dia 11 de fevereiro, o grau de Doutor Honoris Causa a António Horta Osório, economista, gestor português e ex-presidente do Credit Suisse.

A atribuição do grau honorífico vai ter lugar na sessão solene do Dia Nacional da UCP, que este ano tem por tema “Por um novo humanismo”, presidida pelo Magno Chanceler da Universidade, cardeal-patriarca de Lisboa, D. Manuel Clemente.

Além de Horta Osório, vai ser agraciado com o grau de Doutor Honoris Causa o professor Joseph Weiler, reitor do Instituto Europeu de Florença (2013-2016) e titular da Cátedra Jean Monnet, na Universidade de Nova Iorque, informa em comunicado a Católica.

Ler artigo completo aqui.

Categorias: A Católica

Países Baixos

Membros

Conheça as personalidades que integram a CETCH no biénio 2022-2023

André Costa Jorge é membro da Comissão de Ética em Ciências Sociais, Tecnologia  e Humanidades. Coordena a  Plataforma de Apoio aos Refugiados (PAR), e é diretor-geral do Serviço Jesuíta ao Refugiado.

Célia Manaia é Bioquímica, com doutoramento em Microbiologia. Tendo concluído os seus estudos na Universidade de Coimbra, é docente e investigadora na Escola Superior de Biotecnologia da Universidade Católica Portuguesa, no Porto, desde 1998. Leciona nas áreas da Microbiologia e da Genética, nas quais também investiga. Os seus trabalhos de investigação científica incidem no estudo da taxonomia, diversidade e ecologia bacteriana, com especial interesse na interface humanos-ambiente e na dispersão ambiental de bactérias resistentes a antibióticos. A sua atividade científica tem-se caracterizado pela integração de equipas internacionais e multidisciplinares, com interesses que passam pela engenharia e inovação no tratamento de águas residuais, a ecologia bacteriana, genética microbiana, bioinformática, entre outras. No âmbito da sua área de investigação tem tido também interação com entidades empresarias e públicas, interessadas na avaliação e desenvolvimento de políticas públicas (p.e. FAO, JRC-EU). Como microbióloga, atualmente é Vice-Presidente da Sociedade Portuguesa de Microbiologia, é membro do International Committee on Systematics of Prokaryotes, é editora do International Journal of Systematics and Evolutionary Microbiology e co-editor- in-chief do jornal Environmental Science: Advances.

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Ciência-UCP

Doutorada em Psicologia pela Faculdade de Psicologia e Ciências da Educação da Universidade de Coimbra. Professora Auxiliar na Universidade Católica Portuguesa - Viseu, onde é responsável pelas seguintes disciplinas: Interação Pessoal e Profissional, Métodos e Técnicas de Investigação, Comportamento Organizacional, Psicologia Social e Gestão de Recursos Humanos. Coordenadora de Cursos de Educação Especial. Possui diversas publicações nas áreas da Psicologia, Educação e Gestão. Coordenadora dos Centros de Dislexia e Hiperatividade e Outras Perturbações do Comportamento e do Gabinete de Estágios Extracurriculares do Instituto de Gestão e das Organizações da Saúde. Membro Efetivo da Ordem dos Psicólogos Portugueses (nº 15222), especialista em três áreas: Psicologia da Educação; Psicologia do Trabalho, Social e das Organizações; Psicologia Comunitária.

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Ciência-UCP

Francisco Roumier Ribeirinho, tem dupla nacionalidade, portuguesa e espanhola, e nasceu em Lisboa no ano de 1954.

Estudou Gestão de Empresas na Universidade Católica Portuguesa, onde mais tarde realizou a pós-graduação em Media & Entretenimento, foi bolseiro da Konrad Adenauer Stiftung e frequentou diversos cursos, destacando o último de Empreendedorismo inter-geracional, no âmbito do Programa UAW.

Ao longo da sua actividade política, nos anos 70 e 80 foi fundador e Secretário-Geral da Juventude Centrista e, por inerência, dirigente de diversas organizações internacionais de estudantes e de Juventude.  Foi membro fundador da ALTAN - Associação Luso Atlântica de Jovens Quadros Políticos - onde foi Vice-Presidente, da FTJDC Federação de Juventude Democrata Cristã, e mais tarde da APIT, Associação Portuguesa de Produtores Independentes de Televisão, tendo sido o primeiro presidente.

Nos anos 80 colaborou, como adjunto, nos gabinetes dos três primeiros governos constitucionais: Negócios Estrangeiros, Habitação e Obras Públicas e Assuntos Sociais. Mais tarde foi chefe de gabinete e coordenador de angariação de fundos na campanha eleitoral de Diogo Freitas do Amaral, para as eleições presidenciais de 1987.

Ao longo do seu percurso profissional, desempenhou funções de gestão e de direção em várias empresas nas áreas de Construção Civil e Obras Públicas, e de Media - Imprensa e Audiovisuais, com uma breve passagem pelo Teatro Nacional de S. Carlos.

Actualmente acumula as posições de Vice-Presidente da Comissão Executiva do Instituto Amaro da Costa - IDL, de consultor comercial da Confederação de Agricultores Portugueses e, pontualmente, exerce também funções de fiscalização de obra civil.

É também representante em Portugal da Academia latino-americana de Líderes Católicos, membro da Comissão de Ética: Tecnologia, Ciências Sociais e Humanidades da UCP, membro da Irmandade do Santíssimo Sacramento da Igreja da Madalena, Presidente do Conselho Fiscal da Associação Humanitária dos Bombeiros de Campo de Ourique, membro da direção do GAPNA (Grupo de amigos do Palacio Nacional da Ajuda) e agente literário do autor Ramon Tamames.

Pontualmente, escreve na Vida Nueva Digital do Chile e colabora com a Radio Capital de Espanha.

Professora Associada da Faculdade de Educação e Psicologia da Universidade Católica Portuguesa (FEP-UCP), onde atualmente coordena os Cursos de Mestrado em Ciências da Educação. Doutorada em Filosofia pela Faculdade de Letras da Universidade do Porto (FLUP, 2005), com tese sobre: Capacidade ética e desejo metafisico, uma interpelação à razão pedagógica; Mestre em Filosofia da Educação pela mesma universidade, com tese sobre Estatuto ético da relação educativa (FLUP, 1996).

Provedora de Ética (Centro Regional do Porto da Universidade Católica Portuguesa (CRP-UCP); Presidente do Conselho de Acompanhamento da Carta Ética da Sociedade Portuguesa de Ciências da Educação (SPCE). Diretora da Revista “A Página da Educação”(www.apagina.pt). Investigadora do Research Centre for Human Development (CEDH/-UCP/FCT) e do Research Centre on Adult Education and Community Intervention (CEAD-UAlg/FCT). Principais áreas de ensino, investigação e publicação: Éticas Educacionais, Ética e Investigação Científica, Filosofia da Hospitalidade, Pedagogia Social.

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Ciência-UCP

Joana Silva é Professora Associada na CATÓLICA-LISBON desde 2019. A sua investigação foca-se na microeconomia aplicada, com particular ênfase em desenvolvimento económico, economia do trabalho, comércio internacional, dinâmicas empresariais e avaliação de políticas públicas e reformas estruturais. Os seus trabalhos foram publicados em revistas científicas de topo, incluindo a American Economic Review, o Journal of International Economics e a Review of International Economics, entre outras revistas especializadas. Joana Silva tem mais de 12 anos de experiência em trabalho empírico em questões de relevância para o desenho e análise de políticas económicas. Passou a maior parte da sua carreira no Banco Mundial, onde a sua agenda de investigação se focou (i) no impacto das políticas económicas nas flutuações do emprego, bem-estar e crescimento económico a longo prazo, (ii) no comércio internacional e desempenho/produtividade das empresas, examinando a origem e as implicações das exportações ao nível da empresa, e, de forma mais abrangente, analisando como os ciclos económicos e a globalização afetam a evolução da atividade empresarial e a procura de mão-de-obra, e (iii) no ajustamento da economia face a abrandamentos e crises económicas, analisando os canais de transmissão destes choques entre países, e como as empresas e os trabalhadores respondem a estes choques. Na sua investigação, Joana usa dados granulares de grandes bases de dados administrativas de países desenvolvidos e em desenvolvimento para realizar avaliações do impacto de programas sociais e reformas económicas, assim como para investigar a globalização e os seus impactos no crescimento e na desigualdade. A Joana liderou programas de estudos económicos regionais de larga escala nas áreas da Pobreza, Desigualdade, Mercado de Trabalho e Programas Sociais. Também foi coautora de dois relatórios regionais insígnia do Banco Mundial e geriu operações de financiamento a vários países. A Joana detém uma vasta experiência no aconselhamento e assessoria a Governos no desenho e análise de reformas económicas, programas sociais e sistemas de monitorização e avaliação. Antes de ingressar no Banco Mundial, a Joana trabalhou no Nottigham Center for Research on Globalization and Economic Policy e ensinou na Universidade de Nottingham. Detém um doutoramento em economia da Universidade de Nottingham.

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Ciência-UCP

Professor Auxiliar da Faculdade de Direito da Universidade Católica Portuguesa, instituição onde se licenciou (1993), obteve o grau de mestre (2002) e de doutor (2014), sendo autor da Tese “Deveres do Estado de Proteção de Direitos Fundamentais”. Tem desenvolvido investigação nas áreas do Direito Constitucional, dos Direitos Fundamentais, da Teoria Geral do Estado e da Ciência Política.

Foi docente convidado no Instituto de Estudos Políticos da UCP e no Instituto de Estudos Superiores Militares. Coordena o Curso de Executivos sobre o Regulamento Geral de Proteção de Dados, na Católica-Lisbon SBE, foi Diretor da Escola de Lisboa da Faculdade de Direito da UCP, e é membro do Conselho Científico do Instituto de Bioética da UCP.

Fora da academia, Jorge Pereira da Silva conta com atividades como assessor do Representante da República para a Região Autónoma dos Açores; membro do Conselho de Redação da revista “Jurisprudência Constitucional”; membro do Conselho Editorial da revista “Nova Cidadania”; colunista de imprensa de referência; jurisconsulto e Árbitro.

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Ciência-UCP

Nasceu em 1974 (Porto). Licenciou-se em Economia (1997), pela Faculdade de Economia da Univ. Porto. Entre 1997 e 2001 trabalhou na banca e fundou uma empresa de representações internacionais ligada à indústria electromecânica. Em 2001 entrou na Companhia de Jesus (Jesuítas). Foi ordenado sacerdote em 2011. Fez estudos de Filosofia em Braga (2003-5), e depois teve um período de missão apostólica em Moçambique (2005-7). Obteve a Licenciatura em Teologia (2010), pela Univ. Pontifícia de Comillas (Madrid). Depois obteve o Mestrado em Teologia (2012), especialização em Ética Económica e Social, pelo Boston College. É mestre em Filosofia das Ciências Sociais (2013), pela London School of Economics and Political Science (LSE). É doutor em Filosofia (2020), pela Univ. Warwick (Inglaterra), com uma tese sobre “A reciprocidade e o seu papel na cooperação económica”. 

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Ciência-UCP

Vice-Reitor para a Investigação e Inovação, Diretor da Católica Doctoral School (CADOS), Doutorado em Línguas e Literaturas Modernas pela Universidade de Bamberg, Alemanha, desde 2006 Professor Associado da FCH.  De 1988 a 1995 assistente na Universidade de Bamberg e, entre 1995 e 2006, coordenador da área de Alemão na Faculdade de Letras da UCP em Viseu. De 2006 a 2010 Presidente da Associação Portuguesa de Estudos Germanísticos (APEG). Investigador do Centro de Estudos de Comunicação e Cultura (CECC) que coordena desde 2012. Entre 2016 e 2019 Diretor-adjunto da FCH. As suas principais áreas de investigação são a literatura e a cultura europeias desde o século XVI, a ideia da Europa e a sua representação, bem como o diálogo entre Ciências Cognitivas e Estudos de Cultura.

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Ciência-UCP

Rita Francisco é doutorada em Psicologia, na especialidade de Psicologia da Família, e licenciada em Psicologia, na variante de Psicologia Clínica Cognitivo-Comportamental, Cognitiva e Sistémica, pela Faculdade de Psicologia da Universidade de Lisboa.

É Professora Auxiliar da Faculdade de Ciências Humanas da Universidade Católica Portuguesa. Leciona no curso de licenciatura em Psicologia e em vários cursos de pós-graduação e mestrado. É atualmente coordenadora do Mestrado em Psicologia do Bem-estar e Promoção da Saúde, e da Pós-graduação sobre Sistema de Promoção e Proteção de Crianças e Jovens.

É Diretora do CRC-W: Católica Research Centre for Psychological, Family and Social Wellbeing desde que este foi criado (em 2017). Tem desenvolvido atividade científica marcadamente nos domínios da família e da saúde, com publicações em revistas e livros com arbitragem científica. Os seus interesses de investigação incidem sobre perturbações alimentares, literacia em saúde, bem-estar e ajustamento de crianças/adolescentes em diferentes situações sociais e familiares, entre outros.

Tem mais de 14 anos de docência universitária num leque alargado de disciplinas, com responsabilidades de coordenação de ciclos de estudo e criação dos mesmos, vasta experiência de orientação de estágios académicos e profissionais, mestrados e doutoramentos, nomeadamente na Faculdade de Psicologia da Universidade de Lisboa, onde lecionou durante vários anos.

Tem significativa experiência clínica de serviço à comunidade no âmbito da intervenção psicológica individual e familiar com adolescentes e adultos. Possui o título de especialista em Psicologia Clínica e da Saúde, conferido pela Ordem dos Psicólogos Portugueses.

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Ciência-UCP

Rita Valadas, Presidente da Cáritas Portuguesa, é licenciada em Política Social pelo ISCSP-Universidade de Lisboa e tem um percurso profissional nas áreas da intervenção Social, das respostas sociais, do voluntariado e da inovação social. Tem formação em Liderança Criativa pela THNK School of Creative Leadership/ Lisboa. É Vice-Presidente da Associação das Antigas Alunas do Instituto de Odivelas e participa nos órgãos sociais de várias organizações. É assessora na Santa Casa da Misericórdia de Lisboa onde desenvolveu a maioria da sua atividade técnica, desempenhou vários cargos dirigentes e foi Administradora Executiva das áreas da Ação Social, do Empreendedorismo e Economia Social e do Voluntariado. Foi adjunta em vários gabinetes ministeriais na área da Intervenção Social e lecionou a cadeira de Métodos e Técnicas de Investigação no Instituto Piaget.

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Ciência-UCP

William Hasselberger é Professor de Política na Universidade Católica Portuguesa e Investigador no Instituto de Estudos Avançados em Cultura da Universidade da Virgínia.  Recebeu o seu Doutoramento em Filosofia na Universidade da Virgínia em 2012, tendo depois realizado uma Bolsa de Pós-Doutoramento no Instituto de Estudos Avançados em Cultura.

A sua investigação atual incide sobre a antropologia filosófica, ou a filosofia da natureza humana, carácter moral e agência, tal como é compreendido tanto pelos pensadores clássicos como pelos modernos. Nomeadamente, a natureza das virtudes éticas e cívicas – traços de carácter como justiça, coragem, moderação e sabedoria. Em particular, está a estudar a relação das virtudes com o conhecimento prático (formas de conhecimento que não podem ser codificadas em teorias ou proposições sistemáticas), como tradições partilhadas de práticas permitem a formação e transmissão de virtudes, e o papel que estas desempenham no bem-estar.

Relacionado com isto, preocupa-se em identificar e contestar práticas e estilos de pensamento contemporâneos que asfixiam o desenvolvimento das virtudes éticas e que impedem a construção de vidas gratificantes e significativas e comunidades humanas bem ordenadas.

O seu trabalho tem sido publicado em revistas como The European Journal of Philosophy, Social Theory and Practice, Philosophy, The Pacific Philosophical Quarterly, Utilitas, e The Hedgehog Review. Vive atualmente em Lisboa, Portugal, e também fala fluentemente português.

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Ciência-UCP

Covid-19: portugueses mais felizes e satisfeitos com a vida do que antes da pandemia

Os portugueses parecem estar mais felizes e satisfeitos com a vida quase dois anos depois do início da pandemia de covid-19, sugere um estudo divulgado hoje que aponta níveis de felicidade melhores até do que em 2019.

Esta é uma das conclusões do mais recente estudo do Observatório da Sociedade Portuguesa, da Universidade Católica em Lisboa, que se debruçou, entre outros temas, sobre os níveis de felicidade e satisfação dos portugueses.

Quase dois anos a viver em plena pandemia, dos mil inquiridos entre 29 de novembro e 9 de dezembro, a grande maioria dizia sentir-se feliz ou muito feliz (80%) e também satisfeito ou muito satisfeito (79,1%) com a sua vida.

Comparativamente ao início da pandemia, em março de 2020, a percentagem de pessoas felizes aumentou nove pontos percentuais, o mesmo número em que diminuíram aquelas que se diziam sentir infelizes.

Artigo completo disponível no Expresso.

Bernardo Ivo Cruz: "O mundo está mais feliz quando todos estamos ligeiramente infelizes"

Há semanas que o mundo olha com aflição para a fronteira entre a Rússia e a Ucrânia, sem saber se a diplomacia será capaz de evitar uma guerra. Para que não fiquem quaisquer dúvidas, a Ucrânia é um Estado independente que tem todo o direito a tomar as decisões que entenda sem ser invadida e, ao mesmo tempo, tanto os países da NATO como a Rússia necessitam de estabelecer os mecanismos de defesa que lhes permitam sentirem-se seguros ao longo das suas fronteiras comuns. O mundo visto de Bruxelas, de Kiev e de Moscovo tem cores e formas diferentes.

Há 30 anos, quando o Muro de Berlim caiu e a União Soviética desapareceu, teria sido útil termos estabelecido mecanismos de consulta e informação entre os países da NATO e Moscovo mais eficazes e permanentes do que os que criámos. E hoje será importante não cairmos no mesmo erro no nosso relacionamento presente e futuro com a China.

Artigo completo disponível no Diário de Notícias.

Paulo Cardoso do Amaral: "A irrelevância do Euro Digital na estratégia do SEPA Council"

O anúncio do Euro Digital pelo Banco Central Europeu tem multiplicado as discussões sobre o futuro dos pagamentos no espaço SEPA (Single Euro Payments Area). Essa também tem sido, aliás, a preocupação oficial do Banco de Portugal, pois o Euro Digital nas wallets dos consumidores traria à economia a eficiência de se poder realizar qualquer pagamento com a facilidade de enviar mensagens de texto ou ler QRcodes.

Será que o Euro Digital virá mesmo a fazer a diferença no que toca aos pagamentos do dia-a-dia?

Os pagamentos no espaço SEPA passam hoje pelo uso intensivo do numerário e das transferências bancárias, com ou sem cartão. É que o dinheiro físico tem provado continuar a ser a escolha preferencial dos consumidores para os pagamentos são de baixo valor.

Ora, segundo um recente relatório do Euro Retail Payment Board (ERPB), mais de 80% dos pagamentos no ponto de venda ainda são realizados em dinheiro físico e essa contagem aumenta para mais de 90% se o valor da transacção for inferior a cinco euros (nota: o ERPB é a face visível SEPA Council, do qual fazem parte representantes de todos os tipos de actores no mundo dos pagamentos, das empresas aos consumidores, passando por todas as entidades financeiras, incluindo os bancos centrais).

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

Polónia

Sondagem: quer captar o voto dos jovens? Aposte nos debates

À pergunta “qual a influência que os debates entre candidatos têm no seu sentido de voto”, 52% dos inquiridos pelo Centro de Estudos e Sondagens de Opinião (CESOP) da Universidade Católica respondem: “Os debates têm confirmado o meu sentido de voto original”.

Na sondagem do CESOP para o PÚBLICO, RTP e Antena 1, há depois 25% que dizem “não ver notícias nem notícias relacionadas com os debates”, 9% que respondem estar agora mais indecisos quanto ao sentido de voto e ainda 5% de entrevistados que assumem ter alterado a respectiva intenção de voto após terem visto os debates.

O quadro relativo a esta pergunta refere ainda uma “nota” que dá conta de que “é entre o eleitorado mais jovem que se encontra maior abertura para alterar sentido de voto em função dos debates”.

Ler artigo completo aqui.

Países Baixos

Entrevista Antena 1

Ricardo Ferreira Reis, Diretor do Centro de Estudos e Sondagens de Opinião (CESOP) da Universidade Católica Portuguesa, foi o convidado do programa "Entrevista Antena 1", no dia 26 de janeiro de 2022.

Pode ouvir o comentário de Ricardo Ferreira Reis aqui.

"Diário da Campanha"

Ricardo Ferreira Reis, Diretor do Centro de Estudos e Sondagens de Opinião (CESOP) da Universidade Católica Portuguesa, foi um dos convidados do programa "360º", da RTP3, no dia 27 de janeiro de 2022.

Pode ver o comentário de Ricardo Ferreira Reis e Manuel Carvalho, Diretor do Público, na RTP3 aqui, a partir dos 29:04 minutos.

Legislativas 2022. Projeção da Universidade Católica prevê 49 a 54% de abstenção

A abstenção deverá situar-se entre os 49 e os 54 por cento, de acordo com a projeção da Universidade Católica para a RTP. Nas Legislativas de 2019 verificou-se uma abstenção de 51,4 por cento.

Esta estimativa, refere a Católica, “foi calculada com base nos resultados de participação eleitoral às 16h00 divulgados pela Secretaria Geral do Ministério da Administração Interna às 17h00”.

Ler artigo completo aqui.

Países Baixos

Paulo Cardoso do Amaral: "Vamos tokenizar a economia à francesa?"

“Até que ponto é necessário regular os activos digitais? Como controlar os riscos inerentes à tecnologia blockchain sem limitar projectos inovadores? Como reduzir o risco das transacções ilícitas sem restringir de forma injustificada as liberdades públicas? Como regular as empresas europeias sem reduzir a sua competitividade relativamente aos seus concorrentes internacionais?”

Estas perguntas não são minhas, nem foram colocadas por nenhuma instituição portuguesa. Fazem parte do relatório nº 4753 publicado Dezembro passado na Assembleia Nacional Francesa, e mostra bem a justa preocupação dos legisladores gauleses em dar largas a todo o potencial da auto-execução ecossistémica possibilitada pela blockchain. Será que estão no caminho certo? E por cá, será que ainda vamos a tempo e podemos fazer melhor?

O seu impacto nas actividades económicas que resulta da evolução tecnológica é um assunto muito sério. Ao contrário do que, volta e meia, se ouve dizer por aí, a legislação tem de estar a par com a economia, pois tudo é direito. Esperar pela evolução tecnológica para depois legislar é um erro indesculpável. Além disso, para se compreender uma tecnologia é preciso exercitá-la, pois não basta ouvir falar das coisas para as compreendermos verdadeiramente.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

Aldino Campos: "Em tempo de guerra não se limpam armas. Será mesmo assim? "

Da mesma forma que o Sol ofusca as estrelas no firmamento durante o dia, também a magnitude da atual crise militar na Ucrânia nos ofusca as diversas crises que permanecem acima do horizonte. Falamos da recente crise energética, da ainda existente crise sanitária, da sistemática crise económico-financeira e da potencial crise climática. É sobre esta última que o secretário-geral das Nações Unidas, António Guterres, chamou a atenção na última semana. Numa declaração, clara e cirúrgica, advertiu para as consequências do processo de mitigação de algumas das crises poderem agravar outras. Como exemplo, referiu a crescente procura de alternativas ao petróleo e gás russos e de como isso poderia precipitar o aquecimento global. O desespero de soluções imediatas poderá, nas suas palavras, negligenciar ou menosprezar as políticas de redução do uso de combustíveis fósseis.

A posição norte-americana, como reação impulsiva aos acontecimentos, acaba por ser ambígua. Por um lado, somos confrontados em fevereiro por Jen Psaki, porta-voz da Casa Branca, que afirma ser necessário tirar partido das crises e transitar da dependência do gás e petróleo estrangeiro para as energias renováveis. Um sinal muito positivo e alinhado com as políticas climáticas de Biden. Por outro lado, assistimos na semana passada ao anúncio de um ambicioso plano, por Joe Biden, por forma a fornecer parte dos recursos energéticos à Europa, reduzindo assim a dependência russa. Todavia, o que não foi explicado foi como se iria realizar essa operação, uma vez que os EUA se encontram perto do limite da sua capacidade de exportação desses recursos. Este facto, por si, aponta para um sinal claro de que se possa legitimar o aumento da produção de petróleo e gás por parte dos Estados Unidos devido à crise na Ucrânia, contribuindo para o reequilíbrio geopolítico na Europa em termos energéticos.

Constrangidos por margens mínimas de variação dos valores de temperatura, adotadas no Acordo de Paris, este aumento de produção de combustíveis fósseis poderá comprometer a meta de limitar o aquecimento global a 1,5 graus Celsius, sendo para tal necessário um corte na ordem dos 45% nas emissões globais até 2030. Este caminho poderá ser o oposto, uma vez que os recursos excedentários russos poderão ser colocados a mais baixo custo em outros mercados que não o europeu, forçando dessa forma uma inversão na curva de regressão das emissões globais. António Guterres relembra que, se assim continuarmos, a meta de 1,5 graus ficará fora do nosso alcance, enfatizando que até mesmo a dos 2 graus poderá estar comprometida e "isso seria uma catástrofe".

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 29 de março de 2022.

Eslovénia
Polónia

Bernardo Ivo Cruz "Uma guerra aberta entre Rússia e NATO seria, literalmente, o fim do mundo"

Força de dissuasão posta em alerta por Putin, central nuclear ucraniana em chamas...A ameaça nuclear é apenas uma forma de dissuadir a NATO de ir em socorro da Ucrânia ou é uma ameaça que pode tornar-se real?

Mesmo assumindo que o Kremlin ainda domina o processo de decisão e que os acontecimentos ainda não ganharam uma dinâmica própria e fora do controlo do próprio Putin, o risco de uma catástrofe nuclear é real e não deve ser menosprezado. Este risco explicará, em grande parte, a contenção e cabeça fria da NATO e dos países ocidentais quando, embora apoiando a Ucrânia de forma nunca vista, evitam uma situação em que pudessem ter de confrontar o Exército russo diretamente. Uma guerra aberta entre a Rússia e a NATO seria, literalmente, o fim do mundo. Mas o risco de uma catástrofe nuclear não vem só das decisões que os dirigentes russos possam ou não tomar. Como o bombardeamento da Central Nuclear de Zaporizhzhia mostrou, um erro de cálculo, um comandante no terreno que desobedeça ou que simplesmente não saiba o que está a fazer e a Europa pode ver-se a braços com uma tragédia que nos marcaria por muitas décadas.

As forças russas parecem estar a encontrar mais resistência do que estariam à espera. Perante isso, é expectável que Putin passe para ataques mais destrutivos e mortíferos para tentar acabar com a guerra mais rapidamente?

A diferença de meios e capacidade militar entre a Rússia e a Ucrânia é de tal forma substantiva que as expectativas dos dirigentes russos antes da invasão seriam de uma vitória rápida e Putin não poderá deixar a guerra arrastar-se por muito tempo. Mas, claramente, o Estado-Maior russo subestimou a capacidade militar ucraniana, a vontade do seu povo e a resposta da comunidade internacional. Se a Rússia utilizar toda a sua capacidade militar de forma indiscriminada, mesmo sem recurso a armamento nuclear, certamente será capaz de obter uma vitória militar na Ucrânia, mas será um Estado-pária, isolado na comunidade internacional, numa altura em que ninguém, por maior e mais poderoso que seja, consegue sobreviver fora dos mecanismos económicos, comerciais e de cooperação internacional modernos. Não nos esqueçamos que o PIB da Rússia era em 2020 de cerca de 10 mil dólares por pessoa, enquanto o nosso PIB per capita no mesmo período era de quase 22.500 e o dos Estados Unidos era de 63.500 dólares.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Diário de Notícias de 7 de março de 2022.

"Europa e EUA estão a apostar em sanções à Rússia que constituem uma espécie de "guerra nuclear económica"

A invasão da Ucrânia só pode terminar com uma rendição ucraniana ou acredita que é possível uma mediação que salve a face a Vladimir Putin e permita a Volodymyr Zelensky manter a soberania do país?

Sim, acredito que é possível uma mediação que salve a face a Putin e permita a Zelensky manter a soberania do país. Infelizmente, essa solução - que poderá ocorrer quando a Rússia capturar pontos vitais na Ucrânia - implicará a perda de integridade territorial neste país. A definição da partição e a garantia da neutralidade da Ucrânia constituirão o epicentro das negociações de mediação.

É só o risco de uma guerra nuclear que impede a NATO de intervir em favor da Ucrânia?

Acima de tudo é o risco de escalada nuclear que impede a NATO de intervir no terreno. Mesmo que não existisse este risco, uma intervenção direta num país com a dimensão da Ucrânia (que não é membro da NATO) exigiria recursos humanos, operacionais e equipamento a uma escala muito maior do que qualquer anterior intervenção pela NATO em situações de conflito. A Europa e os EUA estão a apostar na aplicação de sanções à Rússia que constituem uma espécie de "guerra nuclear económica", segundo a convicção que "a ambição militar de um país é limitada pela sua capacidade de resistência económica".

Acredita que a unidade atual na NATO e na UE são para manter depois de esta guerra terminar?

A invasão da Rússia pela Ucrânia obriga a UE e os seus Estados membros a repensar a política de defesa comum e as responsabilidades nacionais neste domínio. São expectáveis divergências, quer dentro da UE, cuja geografia alargada acarreta prioridades nacionais diferentes, quer na articulação da missão e responsabilidade das forças comuns de defesa NATO e europeias. Recorrendo ao pensamento de um dos grandes analistas da integração europeia, Ernst Haas, as "contradições apenas poderão ser sanadas através da intensificação de cooperação".

Artigo completo disponível no Diário de Notícias.

Os efeitos da guerra em análise

Bernardo Ivo Cruz, investigador no Centro de Instituto de Estudos Políticos da Universidade Católica Portuguesa, foi um dos convidados no programa 360º da RTP3, no dia 8 de março de 2022.

Pode ver o comentário de Bernardo Ivo Cruz aqui, a partir dos 45:00 (Parte 2).

Alemanha
Alemanha

Fernando Ilharco: “O bem-estar profissional”

A maioria das pessoas com uma vida profissional activa passa mais tempo no local de trabalho, a trabalhar à distância, a partir de casa ou de outro local, ou a pensar em assuntos profissionais do que a fazer qualquer outra coisa. O bem-estar profissional, por isso, é determinante para o bem-estar geral de uma pessoa.

O mal-estar profissional, além de ser imediatamente penalizador, pode levar à incapacidade de enfrentar desafios e aproveitar oportunidades, ao aumento de erros e à maior conflitualidade, ao bloqueio do desenvolvimento pessoal, à despersonalização, à baixa realização pessoal, à exaustão, além de a resultados mais graves, como o esgotamento, o rompimento de relações, a depressão ou o abuso de álcool ou drogas. Em geral, o mal-estar profissional conduz a desempenhos medíocres ou maus, tanto individuais como organizacionais, e as organizações e os gestores estão crescentemente atentos a esta realidade.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 11 de fevereiro de 2022.

Formar verdadeiros profissionais de saúde

Formar “verdadeiros profissionais de saúde”, que tenham “atenção ao doente”. Nas palavras do diretor da Faculdade de Medicina da Universidade Católica Portuguesa, António de Almeida, este é o objetivo do novo curso, um sonho com mais de 20 anos que se concretizou neste ano académico. Maria do Rosário Magriço e Gonçalo Ruivo são dois dos 56 alunos e falam dos desafios de ‘estrear’ uma faculdade e do método de ensino “baseado em problemas”.

À pergunta do Jornal VOZ DA VERDADE ‘Como serão os médicos do século XXI formados na Faculdade de Medicina da Universidade Católica Portuguesa?’, o diretor da recém-criada faculdade, António de Almeida, sublinha a importância de os futuros médicos “olharem o doente” e estarem preparados para a evolução da Medicina. “Uso sempre a analogia – que se calhar já é antiquada – do Buck Rogers [uma série televisiva norte-americana, transmitida entre 1979 e 1981], que era um militar americano que ficou congelado e acordou passado cinco séculos, num mundo completamente diferente. Os médicos que são formados agora vão ter essa experiência. Vão ser formados com uma certa medicina tecnológica, e vão, ao longo da sua carreira, ver uma transformação total da Medicina, como eu vi na minha carreira, no fim do século XX, princípio do século XXI. Portanto, o que é muito importante para os médicos que vão sair daqui, e são esses os médicos que vamos formar, é que vão ser profissionais de saúde que olham para o doente, vão ser profissionais de saúde flexíveis, capazes de ir buscar informação, capazes de se adaptar a novas tecnologias, mas ainda assim nunca perdendo o fito principal da sua profissão que é o cuidado e o acompanhamento das pessoas”, destaca o diretor da FMUCP.

O desejo, assume este responsável, é “estar na vanguarda da Medicina no mundo”. “Nós temos um curso em Inglês e queremos formar médicos para o mundo. É óbvio que Portugal precisa de médicos, mas não podemos esquecer que, primeiro, há uma mobilidade enorme e, segundo, o mundo inteiro precisa de médicos – até mais do que Portugal –, em muitas regiões. Queremos incutir esta responsabilidade social, esta preocupação pelo mundo, nos nossos alunos. Queremos verdadeiramente que os nossos alunos sejam médicos para o mundo, onde quer que eles vão. Podem ser o especialista mais especializado numa certa área de cirurgia ou podem ser o médico de família rural, no Alentejo. É indiferente. Têm é que ser médicos capazes de trabalhar em qualquer sítio do mundo”, assinala.

Ler artigo completo aqui.

Francisca Guedes de Oliveira: "Impostos e taxas"

A propósito do cheque ensino e do artigo que escrevi no dia 21 de janeiro, neste jornal, tive diversas reações positivas umas, negativas outras, mas várias com argumentos válidos. Há, no entanto, um argumento que é utilizado sistematicamente por quem discorda e que revela bastante desconhecimento de conceitos económicos básicos.

O argumento reza mais ou menos assim: quem tem os filhos em colégios privados paga duas vezes a educação dos seus filhos, uma diretamente ao colégio escolhido e outra através dos impostos que (acrescentam geralmente) já são dos mais elevados da Europa.

Este argumento é duplamente falso: porque não são dos mais altos da Europa e porque parte da confusão entre o que é um imposto e o que é uma taxa.

Um imposto não serve para pagar um serviço, seja ele de educação ou outro qualquer. Aliás a receita fiscal nem sequer pode (salvo raríssimas exceções) ser consignada. Isto é, o Estado, nem que quisesse, podia pegar na receita do IRS, por exemplo, e destinar uma parte dela para pagar a escolaridade obrigatória.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

Noruega
Polónia

Análise à Guerra na Ucrânia

Maria Isabel Tavares, docente na Escola do Porto da Faculdade de Direito da Universidade Católica Portuguesa, foi uma das convidadas do programa "360º", da RTP3, no dia 1 de março de 2022.

Pode ver o comentário de Maria Isabel Tavares aqui, a partir dos 24:38 minutos (Parte 1).

Gonçalo Saraiva Matias: "O que pode fazer a ONU?"

A Assembleia Geral da ONU reuniu-se de emergência, o que só tinha acontecido 10 vezes em toda a sua história.

Esta reunião é uma grande vitória da diplomacia Ucraniana que tem demonstrado, no plano da política e do direito internacional, a mesma inteligência e capacidade de resistência que tem mostrado no campo de batalha.

Tudo fazia crer que a ONU se tinha colocado num plano de irrelevância perante a invasão Russa da Ucrânia uma vez que a Rússia, na sua posição de membro permanente do Conselho de Segurança, iria vetar todas as tentativas de ação, ou mesmo de condenação do conflito.

Contudo, a ação diplomática Ucraniana tem conseguido, de forma criativa, manter aceso o debate, e abrir à ONU opções de atuação.

Depois de, na passada sexta-feira, a Rússia ter usado o seu direito de veto para reprovar uma resolução do Conselho de Segurança que condenava a invasão da Ucrânia em termos muito veementes, viu agora a decisão histórica de reunião da Assembleia Geral convocada de emergência pelo mesmo Conselho de Segurança.

Artigo completo disponível no Diário de Notícias.

Trabalhadores online sentem-se "encurralados"

As pessoas que trabalham em múltiplas plataformas online são as que sentem maior ansiedade e pressão, chegando até a sentir-se "encurraladas". As consequências mentais fazem-se sentir com maior impacto nas mulheres, em pessoas com filhos e naquelas que têm escolaridade mais elevada.

As conclusões são de um estudo do Instituto de Ciências da Saúde da Universidade Católica Portuguesa, publicado há dias no "International Journal of Environmental Research and Public Health", e permitem perceber que, apesar do efeito positivo das novas tecnologias, estas também podem ter "efeitos nefastos para a saúde mental e que estes efeitos dependem das características sociodemográficas dos trabalhadores e das suas expectativas e perceções sobre as TIC [Tecnologias da Informação e Comunicação]", diz a investigadora principal Ana Maria Abreu.

Por isso, acrescenta, devemos "repensar a disseminação generalizada do teletrabalho, impulsionada pelo confinamento".

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Notícias de 2 de março de 2022.

Inês Quadros: "Todas as coisas se tornam incertas quando os homens se afastam do Direito"

A frase é de Grócio, considerado o pai do Direito Internacional, foi afirmada no séc. XVII e tenho-me lembrado dela nos últimos dia.

No momento em que escrevo, o conflito avança com uma notável capacidade de resistência da Ucrânia e uma impressionante unidade em torno da condenação da Rússia, descontados os seus aliados da parte do mundo que não é livre. E, no entanto, o conflito não tem fim à vista e as soluções jurídicas parecem ter encontrado o seu limite.

Como é sabido, a utilização da força é permitida no Direito Internacional apenas no âmbito de uma ação coercitiva decidida pelas Nações Unidas ou em legítima defesa.

As ações coercitivas só podem ser desencadeadas por ordem do Conselho de Segurança. É este que decide da sua necessidade — em face de uma agressão ilícita por parte de um Estado, por exemplo — e é ele também que assume o comando último das operações. A NATO só pode, assim, contribuir para uma intervenção militar deste tipo se mandatada pelo Conselho de Segurança. 

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal Económico de 4 de Março de 2022.

Polónia

Fernando Ilharco: "Velhas e novas ideias"

Fez, porque não sabia que era impossível, ouve por vezes dizer-se, ironicamente. Mas esta constatação pode ser mais literal do que pareça. Por um lado, o que uma pessoa acredita ser possível ou não, inevitavelmente, molda o que ela acaba por conseguir. Por outro lado, quando não se sabe, não se sabe. Tipicamente, os principiantes têm menos informação do que os incumbentes, os profissionais e as organizações estabelecidas.

"A razão por que Jeff Bezos, na Amazon, reinventou o grande consumo foi porque não tinha experiência no grande consumo; não tinha trabalhado nas grandes lojas do comércio", diz Robert Frank, autor de bestsellers sobre o mundo dos grandes empreendedores, que acrescenta que "o motivo pelo qual Elon Musk está a revolucionar a indústria automóvel é não ter trabalhado no sector automóvel." "Eles não sabiam o que não se podia fazer nos negócios em que se lançaram...", conclui. Aliás, quando se tem uma visão inovadora, disruptora, a maioria das pessoas costuma dizer que não tem sentido algum ou que não é possível. Mas, isso é um bom sinal, avisa Robert Frank. Quando toda a gente diz que a ideia é muita boa, o mais certo é ela já estar em curso em vários locais ou ser algo que não é necessário.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 4 de março de 2022.

Pedro Celeste: "Um novo denominador comum: incerteza"

As sociedades, empresas e famílias vivem momentos que colocam à prova as grandes fragilidades a que estamos sujeitos por via de uma envolvente que é cada vez mais volátil, complexa e incerta, seja pelo contributo dos efeitos pandémicos, políticos, económicos ou sociais.

Se nos últimos dois anos assistimos à necessidade de transformação e adaptação de muitos setores de atividade por via da pandemia, agora vivemos na incerteza do impacto económico que pode resultar do equilíbrio (ou desequilíbrio) entre as grandes potências internacionais, por via dos conflitos políticos e militares conhecidos.

O preço do petróleo disparou, o preço de produtos alimentares, consumíveis e energia vai disparar, o acesso a canais de distribuição alternativos será mais difícil e mais caro, o sistema financeiro internacional sofreu um revés, as bolsas ressentiram-se e tudo isto coloca sérios problemas a toda e qualquer empresa (e seus colaboradores), precisamente porque a incerteza se tornou uma palavra comum, não a longo prazo, mas no dia-a-dia.

Essa mesma incerteza já constava das preocupações de empresários, gestores e trabalhadores, fruto das alterações constantes e substantivas do mundo digital, com particular destaque para o impacto provocado pelo 5G (brevemente pelo 6G) e pela evolução da inteligência artificial. Apesar disso, essa insegurança tem estado a ser colmatada com aprendizagem, evolução tecnológica, implementação de boas práticas, trabalho remoto, orientação para o cliente, etc…

Artigo completo disponível no Observador.

Itália

Lívia Franco: "Um balanço da guerra"

Passado mais de um mês do início da guerra na Ucrânia, que balanço podemos fazer? Antes de mais, é notório que a aposta da liderança russa em intervir militarmente e em larga escala naquele país saiu gorada nos seus pressupostos de base: Primeiro, e ao contrário das expectativas do Kremlin e do que aconteceu em 2004-2005 e 2013-2014, desta vez, os ucranianos têm mostrado uma resistência inquebrantável. Segundo, inversamente ao planeado e esperado por todos, as forças russas experimentam graves fragilidades logísticas, operacionais e de ânimo. Terceiro, e inesperadamente, tendo em vista o que acontecera depois da ocupação e anexação da Crimeia, os países ocidentais, apoiados por uma parte significativa da comunidade internacional, reagem à agressão russa com assertividade e a uma só voz. Quarto, a China que no início das operações defendera as razões da jogada russa coloca-se, entretanto, numa posição de maior cautela e de expectativa estratégica. Quinto, longe de conseguir partilhar com o mundo a sua narrativa dos acontecimentos, a Rússia vê a sua reputação desfeita, encontrando-se agora numa situação de Estado quase-pária. Significa tudo isto que a guerra tem os seus dias contados? É pouco provável.

O que se passa na Ucrânia não tem a ver apenas com o difícil processo de emancipação daquele país da esfera de influência de Moscovo, mas também com o declínio da Federação Russa enquanto potência global. Mas, principalmente, decorre do choque entre dois modos de vida e de organização da ordem internacional que são diametralmente opostos: viver em liberdade e segundo regras claras, ou sob o jugo da tirania e de acordo com os seus caprichos. Tudo isto se joga na guerra da Ucrânia. Os ucranianos percebem-no bem, os restantes povos do mundo nem sempre.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Público de 3 de abril de 2022.

Paulo Cardoso do Amaral: "Vamos legislar as DAO?"

O conceito de organizações autónomas e distribuídas (DAO – Distributed Autonomous Organizations) é novo e polémico. Goste-se ou não, acredite-se ou não, o conceito existe, e até já foi legislado pelo estado de Wyoming nos EUA. Então, o que é, e para que serve?

DAO começa por ser outra forma de nos referirmos à auto-execução ecossistémica, mas com a nuance de lhe chamar organização, o que faz toda a diferença. A ideia é dar valor legal aos Smart Contracts através do reconhecimento de direito da organização em que se insere, e cujo funcionamento é autónomo por estar assente numa blockchain.

Será, então, que uma entidade autónoma pode ser responsabilizada perante a lei? É que nas situações em que não é preciso verificar o cumprimento da lei também não há necessidade de chamar organização a seja o que for. Por exemplo, quando jogamos Monopólio, tudo se passa de uma forma muito parecida com a realidade, mas não se trata, de facto, de nenhuma realidade empresarial a nenhum título. Já quanto às verdadeiras transacções económicas, das quais dependem a nossa riqueza, a nossa cultura tem reflectido a vontade em viver num estado de direito, e assumimos que é para continuar, pois afinal vivemos numa democracia.

Ora, uma organização (verdadeira/real) está obrigada a opor-se às transacções não legítimas, da mesma forma que qualquer um de nós, como indivíduos, também não podemos obedecer a ordens não legítimas. É aliás por isso que as instituições financeiras têm sido levadas a ter cada vez mais cuidado com as verificações sobre a proveniência de fundos e sobre os actores envolvidos nas respectivas transacções.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

José Miguel Sardica: "A historicidade do populismo português"

Esta conjuntura, que se soma a tendências já mais profundas de contestação popular à opacidade das democracias representativas, de cisões sociais entre os de “cima” e os de “baixo”, e de confrontos culturais entre nacionalismos identitários e multiculturalismos fraturantes, cria, na política, o fenómeno generalizado de procura de pretensas soluções salvíficas, e de proliferação da oferta de populismos que lhe pretende dar resposta.

Escreveu um dia Ralf Dahrendorf que “o populismo é simples; a democracia é complexa”. A complexidade desta é óbvia; mas a simplicidade daquele é enganadora, porque o populismo – a maldita palavra da moda – é um conceito híbrido e muito fluido: pode ser ideologia, movimento, discurso, síndrome, protesto, contracultura; pode ser uma ameaça desabrida, conspirativa e iliberal à democracia, mas também um instrumento para democratizar e “repopularizar” essa mesma democracia.

Artigo completo disponível na Rádio Renascença.

Cultura@Católica

Através de programação regular nos espaços culturais e da programação em espaços públicos dos campi, a UCP promove a interligação entre as artes e as várias áreas científicas, com exposições, concertos, instalações, conversas com artistas, cinema, teatro, residências artísticas, entre outros, procurando a participação de toda a comunidade académica.


Galerias e salas de exposições

Inauguração da Exposição: "Por ser a terra muito calmosa"

Galeria Fundação Amélia de Mello

Edifício da Biblioteca Universitária João Paulo II

Palma de Cima

1649-023 Lisboa

Horário: dias úteis das 14h00 – 17h00

Visitas de grupo noutro horário (5 pax min.)

Contacto/Marcações: culturaatcatolica@ucp.pt

 

Sala de Exposições da Escola das Artes

Sala de Exposições da Escola das Artes

Edifício das Artes, Piso 0

Rua Diogo Botelho, n.º 1327

4169-005 Porto

Horário: Terça a Sexta, das 14h00 às 19h00

 

 

 

Biblioteca D. José Pedro da Silva

Sala Monsenhor Celso Tavares da Silva

Biblioteca D. José Pedro da Silva , Piso 1

Estrada da Circunvalação

3504-505, Viseu

Horário: 8h30 às 13h00 e das 13h30 às 16h00

Contactos: 232 41 95 00 | bjps.viseu@ucp.pt

 

 

Revista Alma Mater

A Alma Mater é uma revista semestral, idealizada pela Reitora da Universidade Católica Portuguesa, Isabel Capeloa Gil, que pretende ser “uma montra do presente e do futuro da UCP”, como refere Paulo Campos Pinto, diretor da AM. A publicação reúne artigos, reportagens e entrevistas com membros da comunidade académica, como alumni, docentes, colaboradores, alunos, investigadores e parceiros.

Consulte aqui a primeira edição da Alma Mater

Obras de arte na Católica

A arte e a cultura fazem parte do dia-a-dia no campus. Conheça as várias obras públicas da Universidade Católica Portuguesa, através dos vídeos Católica Artworks Collection. Descubra peças como “Os Livros”, dois baixos revelos da autoria de Emília Nadal, ou a “Pomba”, de Bordalo II, escultura que reutiliza lixo e desperdícios para passar uma mensagem sobre o ambiente.

Veja todos os vídeos aqui
 

Concertos no campus

Ao longo do ano, a Universidade organiza diversas atuações musicais, como concertos no jardim e concertos de Natal. Toda a comunidade académica pode participar nestes momentos, seja a assistir ou até a atuar.


Residências Artísticas

Laboratório das Artes — programa de residências artísticas

Apresentando-se como uma plataforma transdisciplinar de investigação que junta, anualmente, um artista ou um agente cultural e investigadores do CECC, o Laboratório das Artes. Programa de residências artísticas de investigação resulta de uma parceria entre o CECC, o Lisbon Consortium e o Cultura@Católica. 


Residências Artísticas da Escola das Artes

O programa de Residências Artísticas da Escola das Artes consiste num período de residência na Escola para desenvolver investigação e trabalho artístico nos campos das artes visuais, cinema, new media art, e som. Estas Residências fazem parte da filosofia da Escola como um "centro de arte", no qual as atividades em curso irão promover o conhecimento e a criação contemporânea. Também apoiam os diversos cursos de licenciatura, mestrado e doutoramento artísticos que a Escola oferece, proporcionando uma interação dos artistas com os estudantes num ambiente criativo.

Saber mais

Espanha

Cultura na Cidade

Lisboa é uma cidade histórica com um toque cosmopolita. A capital portuguesa tem 335 espaços culturais e oferece uma cultura vibrante e criativa, com vários festivais de cinema, e de música, além de diversos museus e monumentos.


Eventos

Festivais de Música (Junho - Agosto)

O tempo quente traz inúmeros festivais de música ao ar livre, com opções para todos os gostos, desde os que trazem artistas mundialmente conhecidos, como o Nos Alive, o Super Bock-Super Rock e o Rock in Rio, a outros mais temáticos como o Sumol Summer Fest e o Musa, ambos nos arredores de Lisboa.

Santos Populares (Junho)

As noites são animadas pelos arraiais nos bairros típicos de Lisboa, do Castelo à Mouraria, com muita música e dança ao ritmo das canções populares. Enfeitadas com grinaldas, as ruas são invadidas pelo cheiro da sardinha assada e pelos aromas dos manjericos. O dia de Santo António, 13 de junho, é feriado nacional, sendo a noite de 12 de junho de grande festa nestes bairros típicos.

Ana-Côrte-Real: "Sempre as Pessoas!"

Na semana passada, tive o prazer de moderar um painel sobre a Transformação Digital, no âmbito do MBA Executivo da Católica Porto Business School. Tivemos quatro convidados, que trouxeram a visão sobre o tema em geral e a visão mais específica dos setores aos quais estão ligados: João Vieira, Diretor Geral- Operações e Sistemas de Informação da MDS; Hugo Ribeiro da Silva, Managing Director/ Shareholder da XRS Motor SA – Centro Porsche Porto e Braga e CEO da Crewe Motor SA- Bentley Braga; Bruno Teixeira, Head of Big Data and Automation do El Corte Inglês; Paul Van Rooij, Former CEO da Kirchooff, Consultor de Empresas.

Não posso dizer que me tenha surpreendido que, numa conversa onde a tecnologia podia ser a chave, o foco tenha sido nas pessoas. Sempre as pessoas!

Artigo completo disponível na Executive Digest.

 

Cultura na Cidade

A Cidade de Braga prima por uma vasta oferta cultural, passando pelo Festival de Órgão de Braga, na Braga Barroca, o programa “À Descoberta de Braga”, na revitalização das Festas de São João, nas iniciativas de apoio à candidatura do Bom Jesus do Monte a Património da Humanidade ou no apoio à edição de livros sobre Braga. Há ainda iniciativas como o Festival para Gente Sentada, o Festival Internacional de Artes Performativas Vaudeville Rendez-Vous ou o Festival Semibreve.

Sílvia Almeida: "Produto versus negócio, erros frequentes nas estratégias comerciais das PMEs"

Imagine que quer lançar o seu negócio e criar uma empresa de sucesso. O primeiro passo, pensa para si, é inventar um produto inovador e de preferência escolher um setor sem concorrência. Certo? Pois, não é bem assim.

Muitas das grandes empresas de hoje, mesmo as tecnológicas, não foram as inventoras dos setores que lideram e cresceram não obstante concorrentes já bem implantados. Alguns exemplos, para os mais céticos: o Facebook não foi a primeira rede social, a Amazon não foi a primeira livraria online e o Google não foi o primeiro motor de busca na internet. Para leitores mais da minha geração e em Portugal: o Millennium BCP não foi o primeiro banco português e o H3 não foi a primeira cadeia de hambúrgueres.

Artigo completo disponível no Observador.

Fernando Ilharco: "Psique digital"

As dinâmicas psicológicas pessoais conscientes e inconscientes são modeladas crescentemente pela experiência nos media digitais sociais. "A psique fundiu-se com os media sociais", argumenta Geert Lovink na obra "Sad by Design". Cada vez mais desde tenra idade, a individuação, o desenvolvimento como pessoa, assenta de modo relevante nos media sociais. No online, a comunicação passou a ser um fluxo, um caudal em reconfiguração permanente, uma actualização sem fim. Para ficar onde estou, para ser quem sou, o mínimo que posso fazer é estar em "updates" constantes, comenta Wendy Chun em "Update to Remain The Same". Hoje, ser profissional ou socialmente activo é estar em comunicação constante, enviando sms, mensagens, emails, lendo mensagens, escrevendo posts, publicando fotografias, colocando likes, vendo e ouvindo isto e aquilo, etc.

O torrente comunicacional, imagética e auditiva, é estruturalmente emocional. A velocidade das imagens e dos sons, a simultaneidade do tudo-ao-mesmo-tempo, privilegia a imediatividade, o instinto, a intuição, o emocional. Faz apelo aos confins mais instintivos do cérebro reptiliano, focado na defesa e no ataque. O ambiente digital dificulta a distância, o pensamento racional e o entendimento da realidade em relações de causa e efeito. Se o texto favorece o pensamento. "A imagem é anti-pensamento", como disse Vilém Flusser, o pensador dos media checo-brasileiro.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 20 de maio de 2022.

Quatro escolas portuguesas no Top 50 da formação executiva mundial

O ranking Executive Education do Financial Times 2022 consolida a reputação de Portugal como destino de referência para aqueles que procuram ensino executivo de excelência. Às três escolas que há anos têm lugar cativo no ranking junta-se o ISEG, justamente no dia em que celebra 111 anos. Nesta edição, Portugal pontifica com quatro escolas, só sendo batido pela França e pelo Reino Unido.

O  ranking agregado é construído através de duas componentes: um ranking para os programas de inscrição aberta (open rank), e outro para programas customizados para empresas (custom rank ). O Financial Times avalia a performance das Escolas, tendo em conta metodologias de ensino, qualificação do corpo docente, contribuição para novas competências e aprendizagens, e o retorno do investimento dos participantes.

(...)

Nos Programas Customizados, o destaque vai para a CATÓLICA-LISBON que ocupa a 19ª posição a nível mundial e a 12º a nível europeu, o que lhe dá a liderança em Portugal neste segmento da formação, com especial destaque para os critérios analisados de Teaching Methods & Materials e New Skills & Learnings.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

Espanha

Aldino Santos de Campos: "A estratégia da China para o Ártico"

A estratégica de longo prazo levada a cabo pela China nas últimas décadas assenta numa abordagem de interdependência complexa, consolidando o país como potência económica global. Embora com características singulares, por vezes tensas ao nível da regularização das trocas comerciais, esta interdependência tem permitido evitar a escalada das tensões através de soluções ganhadoras para as partes envolvidas. Esta fórmula, que também contribuiu para o não envolvimento da China em qualquer conflito militar nas últimas quatro décadas, permitiu uma consolidação económica sem precedentes desta potência asiática. Facilmente podemos atestar esta realidade através da sua capacidade exportadora com o elevado número de facilidades portuárias que serve de polo agregador para esse fim. Não é, portanto, de estranhar que na lista dos 10 maiores portos comerciais do mundo se encontrem sete portos chineses.

Paralelamente às facilidades portuárias, há ainda a necessidade de assegurar rotas marítimas exequíveis para que a carga chegue ao seu destino, bem como garantir uma importação energética que sirva de motor económico. Dentro da iniciativa milenar da rota de seda, podemos hoje encontrar rotas marítimas perfeitamente consolidadas para o escoamento destes bens de consumo. Seja para leste, em direção à costa norte-americana do Pacífico e a passagem para o Atlântico através do canal do Panamá, ou para oeste, através do mar do Sul da China, estreito de Malaca e canal Suez, estas rotas marítimas estão sempre sujeitas a potenciais limitações inerentes aos diversos pontos de passagem restritos. 

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 24 de maio de 2022.

The Implications of China’s Economic Statecraft in the European Union: The case of China’s foreign direct investment in Portugal

Sexta-feira, 24 junho 2022 - 15:00

Sala de Exposições | Campus Palma de Cima - Lisboa

Autor Luís Pedro Moço da Costa Santos

Faculdade Instituto de Estudos Políticos

Francisca Guedes de Oliveira: "Inflação"

Nestes últimos três anos temos tido um conjunto de acontecimentos com impacto económico que soam muito a séc. XX. Um jornal que falasse de uma pandemia global, de uma guerra na Europa, da subida do preço do petróleo e gás, podia facilmente ter datas da década 20, 40 ou 70 do séc. passado. Agora, para completar esta série de eventos estamos a braços com inflação. Em Portugal a inflação em abril subiu aos 7,2%; na zona Euro, tal como na Alemanha, chegou aos 7,4%, em Espanha aos 8,3 e na Grécia a uns assustadores dois dígitos (10,2%).

Há muitos que acreditam que esta inflação é temporária. Outros que ela poderá ser mais persistente e difícil de debelar. A Guerra veio complicar as contas. O impacto do Covid nas cadeias de aprovisionamento veio afetar os preços de alguns bens e matérias-primas relevantes (tão díspares como os materiais de construção, ou os circuitos integrados para computadores) mas será de esperar que, no pós-C.

Artigo completo disponível no Jornal Económico 

Pedro Garcia Marques: "E agora? Ou as metaconsequências dos metadados"

E agora? Será a pergunta que terá ecoado, uma vez conhecido o recente acórdão do Tribunal Constitucional que declarou a inconstitucionalidade da agora já famosa lei dos metadados, por violação dos princípios da proporcionalidade e da intimidade da vida privada, constitucionalmente garantidos na nossa Lei Fundamental.

É palpável a tensão e o receio em face das mais que prováveis consequências da decisão em processos pendentes, e mesmo em relação a casos já transitados em julgado.

Lembremos, brevemente, o que está em causa.

A referência geral a metadados respeita, desde logo, a dados de tráfego de chamadas realizadas em telemóvel e de comunicações, em computador, por endereço de IP. Neles se incluem o momento da sua realização, a sua duração e localização, assim como a identidade dos interlocutores.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal Económico de 27 de maio de 2022.

Fotografia «Reflexos de vida num balneário público» retrata a «dignidade humana» e vence concurso Cuidar da Casa Comum

A diretora da Escola de Enfermagem do Instituto de Ciências da Saúde (Lisboa), da Universidade Católica Portuguesa, retratou uma mulher em condição de sem-abrigo a escolher roupa no balneário de Alcântara e venceu o concurso ‘Cuidar da Casa Comum’.

“Esta possibilidade de no meu dia ter a opção de escolher alguma coisa confere dignidade humana, autodeterminação, e este sentido de cuidar e auto-cuidar de si própria”, disse Amélia Simões Figueiredo, esta quarta-feira, em declarações à Agência ECCLESIA.

A professora de enfermagem explica que na fotografia há dois casacos, um rosa à direita, e a mulher em condição de sem-abrigo está a vestir o outro aos quadrados, e tem calçado um sapato de cada cor, “um preto e um castanho, e está a ver qual é o que fica melhor com o conjunto”, em frente a um espelho.

Artigo completo disponível na Ecclesia.

Ricardo Tomé: "Consegue gerir a sua comunidade?"

Antes de avançar na ideia deste texto, coloque os óculos de viagem, vista o fato especial, calce as luvas e as botas, encha os pulmões com o oxigénio artificial do fato mágico e visite comigo o fascinante mundo do nosso cérebro.

Notemos as suas células. Os finos filamentos de proteína que dão forma ao interior das células vivem apenas alguns minutos. E as proteínas recetoras precisam ser trocadas a cada par de dias (explica o neurobiologista Joe Tsien, da Universidade de Princeton). Ou seja, o cérebro que temos esta semana é diferente do que tínhamos na semana passada. E será certamente diferente daquele que vamos ter na próxima. Lembrando ainda que o nosso ADN precisa de ser reparado nesta contínua regeneração. Se considerarmos que “somos”, numa boa parte, um padrão de ligações sinápticas e uma rede de memórias, conseguir que tal padrão permaneça igual apesar da transformação molecular constante só é possível se considerarmos que tal ocorre num processo dinâmico, e não estático.

Aquilo que somos é uma evolução. Um filme. Não uma sequência de fotografias (bem sei que o filme é uma sequência de fotogramas, mas presumo que entenda a ideia na comparação direta) que ali ficam pasmadas longo tempo até que um dia são substituídas por outras.

Serve o enquadramento para apresentar de forma sorrateira o tema das comunidades online.

Qual movimento de placas tectónicas, as comunidades online da nossa marca, que gerimos e nas quais convivemos todos os dias, vão-se mutando. Ainda lembramos bem a grande comunidade fotográfica que era o Instagram. Aplicações cuidadas de filtros. Estética apurada. Fragmentos de um dia que mereciam a partilha. Hoje a comunidade subdivide-se em várias: algumas contas que se focam em inspiração. Outras na aprendizagem e no DIY. Outras ainda em simples informação. Muitas sobre a vida alheia. Ou sobre compras. Etc. Em fotos. Galerias. Histórias efémeras. Vídeos. Trocas de mensagens privadas.

Artigo completo disponível na Meios & Publicidade.

Espanha

Católica e PLMJ lançam curso breve “Crime e Impostos”

O Direito Tributário caracteriza-se por uma enorme complexidade, pela especialização de matérias e pelo crescente aumento da carga de tributação e das obrigações declarativas e de cooperação exigidas aos contribuintes. Atentos a este contexto, a equipa Católica Tax, em parceria com a PLMJ, apresenta esta semana o novo Curso Breve “Crime e Impostos”. O curso decorre nas instalações da Católica (em Lisboa) de 4 de maio a 1 de junho, em horário pós-laboral.

A Advocatus falou com Carla Castelo Trindade, coordenadora do curso e docente da disciplina de Contencioso Tributário e Arbitragem do Mestrado de Direito Fiscal da Faculdade de Direito da Católica e Paulo Farinha Alves, sócio de Resolução de Litígios da PLMJ, um dos formadores do curso. No programa constam ainda nomes como Sérgio Vasques, Américo Coelho, Germano Marques da Silva, Rosário Teixeira, Paulo Dá Mesquita, José Pedro Carvalho, Henrique Salinas e Rui Pereira Matias.

No direito tributário verifica-se um fenómeno de demasiada produção legislativa que torna a lei cada vez mais densa e complexa. Que mensagem gostariam de deixar ao poder político para melhorar esse status quo?

A hipertrofia legislativa é um fenómeno já há muito identificado e que se tem progressivamente agravado. O legislador tem de compreender que a instabilidade legislativa não aproveita a ninguém e levanta problemas muito significativos e a diversos níveis. Desde logo, na compreensão e adaptação dos contribuintes, das empresas e dos serviços. Depois na aplicação prática, porque se exige a constante articulação de diferentes regimes jurídicos que respeitam frequentemente a diferentes tributos e que muitas vezes se encontram dispersos em diferentes códigos, leis e regulamentos. E naquele momento em que parece encontrar-se alguma estabilização, o legislador muda tudo ou uma grande parte outra vez. E o pior é que esse caminho é feito de curvas e contracurvas, avanços e recuos. Tudo agravado por uma péssima qualidade das nossas leis, cuja densidade é reduzida através da sua conformação com recurso a conceitos vagos e indeterminados, cuja dificuldade de compreensão dificulta ainda mais a aplicação prática. Um dia teremos de parar para pensar se o país ganha alguma coisa com este caminho. Temos por certo que a resposta é negativa. Mas sobretudo é incompreensível que assim seja.

As principais vítimas desse estado das coisas são todos os contribuintes – sejam eles cidadãos e as empresas “comuns” – ou aqueles que têm recursos mais elevados?

Desde há muito que o Matthew Effect explica que os contribuintes “comuns”, que têm recursos mais limitados e, por vezes, uma literacia financeira pouco profunda podem ter dificuldades acrescidas para lidar com estes fenómenos, sofrendo por isso com maior intensidade as consequências e os problemas que deles resultam. Mas a verdade é que isto afeta transversalmente todos os contribuintes, cidadãos ou empresas e todas as classes sociais, com maior ou menor incidência. E por isso afeta o Estado no seu todo, a capacidade para atrair investimento e as nossas possibilidades de crescimento. É que a estabilidade do sistema fiscal é tão ou mais importante a este respeito do que o nível de tributação, já quem sem ela os agentes económicos não conseguem planear e conformar as suas condutas numa perspetiva de longo prazo. Não se entende portanto a razão pela qual temos de mudar partes tão significativas do regime fiscal todos os anos. E a razão pela qual é assim ano após ano. Ninguém pode garantir o que quer que seja sobre o nosso regime fiscal. Porque o mais certo é que não dure mais de 365 dias sem que seja alterado. E isso é esquizofrénico, sobretudo porque não se pensa para além de períodos tão curtos.

Artigo completo disponível no ECO.

Luís Barreto Xavier: "Metaverso e direito: algumas questões"

Cresce exponencialmente o hype do metaverso, um universo digital imersivo em 3D que beneficia de tecnologias como a realidade virtual, a  realidade aumentada e a inteligência artificial, que visa proporcionar uma emulação altamente realista do mundo físico e conectar pessoas, empresas e outras instituições.

Antes da popularização do conceito de metaverso no final de 2021, as experiências que o antecipavam vieram sobretudo do mundo dos jogos (Second Life, Fortnite), mas os investimentos empresariais atuais dirigem-se também para o marketing, o imobiliário, as indústrias criativas (música, espetáculos, arte), os ambientes virtuais laborais e profissionais, o retalho (virtual marketplaces) ou o ensino. E, claro, para o universo crypto, especialmente com a disseminação dos NFTs e de outros ativos digitais.

O metaverso, tal como o defini, ainda não existe. Vai implicar um enorme investimento em infraestrutura tecnológica, um brutal aumento da capacidade computacional e de conectividade (fala-se da web 3.0) e, sobretudo, um nível radicalmente diferente de interoperabilidade. Na verdade, o que hoje fundamentalmente temos à disposição é um conjunto de dispositivos de realidade virtual e aumentada, e de apps e outras portas de acesso para uma realidade digital fragmentada. E, claro, grandes plataformas a anunciarem investimentos substanciais, como é o caso da Microsoft (com a Mesh) e do grupo Facebook, que, sinalizando a centralidade da nova estratégia mudou de nome para Meta.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

Infraestruturas

  • Auditório Cardeal Medeiros | Edifício 4 - Piso 1
  • Auditório Padre José Bacelar e Oliveira (A1) | Edifício 1 - Piso 2
  • Auditório 2 | Edifício 1 - Piso 0
  • Auditório D. António Ribeiro (A3) | Edifício 1 – Piso 1
  • Auditório Santuário de Fátima (Sala 131) | Edifício 1 - Piso 3
  • Auditório 511 | Edifício 5 (CLSBE) - Piso 1
  • Auditório EY Ernest&Young (Sala 531) | Edifício 5 - Piso 3
  • Sala Thomson Reuters | Edifício 5 – Piso 0
    • Sala que dispõe de terminais Eikon que possibilitam a profissionais ligados à área financeira e a outras indústrias monitorizar e analisar em tempo real os dados do mercado financeiro.

Localização: Edifício 4 - Piso 3

Horário: 2.ª a 6.ª feira das 9h00 às 21h00; Sábado das 9h00 às 13h00

Mais informação

  • Sala Universia (Open Space com computadores em modo Self-Service | Edifício 4 | 09:00-21:00 de 2.ª a 6.ª feira).
  • Sala 343 (Open Space com computadores em modo Self-Service | Edifício 3 | 09:00-21:00 de 2.ª a 6.ª feira).
  • Átrios 1.º e 2.º pisos da Católica Lisbon School of Business and Economics (Open Space com computadores em modo Self-Service no | Edifício 5 | 24 horas).
  • Bar “Jardim dos Sabores”

Localização: Edifício 4 - Piso 0
Horário: 8h30 – 18h30 de 2.ª a 6ª. feira | 8h30-11h45 ao sábado
 

  • Restaurante "Vila Plana"

Localização: Edifício 5 - Piso 4

Horário: 12h30-15h:00 de 2.ª a 6ª. feira

O restaurante abre excecionalmente para grupos fora do horário de funcionamento indicado quando acordado previamente com a empresa concessionária.
 

  • Cantina e bar Eurest

Localização: Edifício 1 (Piso 1) | Edifício 5 (Piso 0)

Horário de funcionamento da cantina: De 2.ª a 6.ª feira: 12h30-15h:00 / 19h00-21h00; Sábados: 12h30-15h:00

Horário de funcionamento do bar: De 2.ª a 6.ª feira: 7h30-20h00

  • Estúdio de Rádio
    Edifício 3 - Piso 0
     
  • Sala SONY (Estúdio de Televisão)
    Edifício 4 (Piso 2)
     
  • Laboratório de Enfermagem
    Edifício 2 - Piso -1

Localização: Edifício da Biblioteca Universitária João Paulo II - Piso 0

Contacto: capelao@ucp.pt

Capelão: Pe. Miguel Vasconcelos

Horário da Missa: de 2.ª a 6.ª feira, às 13h00

Serviços

Localização: Edifício 4 - Piso 0

Horário de funcionamento:

  • 2.ª a 6.ª feira| 09h00 às 18h30

Contactos: (+351) 217 21 40 24 | livraria.sede@ucp.pt

Localização: Edifício 4 (Piso 0)

Horário de funcionamento: 1 a 12 de agosto e 30 e 31 de agosto | 08h45 às 12h30 | 13h30 às 17h30
A partir de 1 de setembro | 2.ª à 6.ª feira | 08h45 às 17h30

Contactos: (+351) 217 21 40 26 | papelaria.sede@ucp.pt

Localização: Edifício 4 - Piso 0

Horário de funcionamento:

  • De 2.ª a 6.ª feira: 9h30 - 18h30
  • Sábados: 9h00 - 12h00

O centro de cópias e impressão encontra-se encerrado nos seguintes períodos:

  • Segunda quinzena do mês de agosto (de 15 a 31 de agosto);
  • Feriados religiosos;
  • Época Natalícia (de 24 a 26 de dezembro);
  • 1 de janeiro;
  • Páscoa.

Contactos: (+351) 217 21 40 25 | ucp@duplix.pt

Apenas aceita inscrições de estudantes do sexo feminino.

Qualquer estudante do ensino superior pode inscrever-se, embora as alunas da UCP tenham prioridade. As inscrições podem ser feitas durante todo o ano, mas as vagas só são atribuídas em julho.

A RUF encontra-se a meia distância das estações de metro da Cidade Universitária e Entrecampos e é servida por quatro carreiras de autocarros: 31, 32, 54 e 701.

Indo a pé, situa-se a 15 minutos da UCP e a 10 minutos da Cidade Universitária.

  • Contactos: (+351) 217 95 87 61 / (+351) 217 95 85 49 | dirruf@ucp.pt
  • Morada: Rua Diogo de Macedo, nº 5
    1600-055 LISBOA

Localização: Edifício 4 - Piso 0

E-mail:
Serviços Académicos: academicservices.lisboa@ucp.pt
Candidaturas: admissions.lisboa@ucp.pt

Horário de atendimento presencial: 2.ª a 6.ª feira | 09h00 às 18h00

Consulte aqui mais informações sobre o funcionamento da Secretaria Escolar.

Localização: Edifício 4 (Piso 0)

E-mail: tesouraria.sede@ucp.pt

Horário de atendimento presencial: 2.ª a 6.ª feira | 09h30 às 12h30 | 14h00 às 16h00

O cartão é obrigatório, gratuito e necessário para usufruir de várias valências no campus da UCP, oferecendo vantagens adicionais que resultam da parceria Universidade Católica Portuguesa/Caixa Geral de Depósitos.

Assim, este cartão de identificação é imprescindível para:

  • Obter desconto na cantina e na compra de livros na livraria da universidade;
  • Aceder e beneficiar de um valor fixo reduzido no parque de estacionamento;
  • Aceder à biblioteca e ao serviço de empréstimo de livros e de outras publicações;
  • Imprimir e utilizar as fotocopiadoras self-service nos vários edifícios do campus.
  • Localização: Edifício 4 - Piso 5
  • E-mail: grs.sede@ucp.pt
  • Telefone: (+351) 217 21 40 37
  • Horário de atendimento presencial: 2.ª a 6.ª feira | 10h00 às 12h00 | 14h00 às 16h00
     

Apoio Social e Bolsas

Mais informação

E-mail: hramalho@ucp.pt

Telefone: (+351) 217 21 40 64

Horário de atendimento presencial: 2.ª a 6.ª feira | 09h00 às 13h00 | 14h00 às 18h00

A DiTDesk é a plataforma de suporte informático da UCP, transversal a todos os campi, onde os utilizadores podem solicitar apoio informático, fazer pedidos ou consultar informação via online, aplicação móvel ou endereço de e-mail helpdesk@ucp.pt

Mais informação

Como Chegar

Autocarros: 764, 755 e 768

Metro:

  • Cidade Universitária 
  • Laranjeiras 
  • Jardim Zoológico

Comboio: Sete Rios

GPS:

  • N 38º 44' 51,11''
  • W 9º 10' 1,84'' 
  • Parque coberto, com 186 lugares, com acesso pela Rua Azevedo Neves (Palma de Cima)
  • Parque exterior Sul, com 466 lugares, com acesso pela Rua Azevedo Neves (Palma de Cima)
  • Parque exterior Norte, com 177 lugares, com entrada pela Av. Lusíada e ligação à UCP por passagem aérea para peões.
  • Smart Charging: Dois postos de carregamento para o carregamento de quatro carros em simultâneo no Parque Exterior Sul, junto à entrada, logo após as cancelas de acesso ao parque.

A Cidade

Conhecida como a cidade das sete colinas, Lisboa é a capital portuguesa e a maior cidade do país. Tem vários pontos de interesse turístico, histórico e artístico, entre os quais se destacam a Torre de Belém, a Praça do Comércio, a Sé Catedral, o Panteão Nacional, o Castelo de São Jorge e o Mosteiro dos Jerónimos, entre muitos outros.

Descubram mais sobre Lisboa aqui

Transportes

  • Bilhete de Metro: 1,50€
  • Bilhete de Autocarro: 2€
  • Carris/Metro/CP‎: ‎10,60€ (bilhete diário)
  • Passe Mensal: Entre 12€ e 40€
  • Os táxis começam em 3,25€ 

Alojamento

  • Quarto: desde 300€/mês

Alimentação

  • Gastos mensais: cerca de 180€/mês
  • Refeição no Refeitório da Universidade: 4,50€

Hospitais e Clínicas

  • Hospital Santa Maria

Av. Prof. Egas Moniz MB, 1649-028 Lisboa | (+351) 217 80 50 00

R. José António Serrano, 1150-199 Lisboa | (+351) 218 84 10 00

  • Hospital dos Lusíadas

R. Abílio Mendes 12, 1500-458 Lisboa | (+351) 217 70 40 40

Av. Lusíada 100 |  (+351) 217 10 44 00

 

Contactos de Emergência

  • Número nacional de emergência
    112
  • Posto Policial Centro Comercial Colombo
    (+351) 217 11 35 01
  • Linha Saúde 24
    (+351) 808 24 24 24
  • SOS Voz Amiga
    Website | (+351) 213 54 45 45 | (+351) 912 80 26 69 | (+351) 963 52 46 60 | das 16h às 24h

Praça do Império 7, 1449-003 Lisboa | (+351) 213 61 24 08

Espanha

Cardeal-Patriarca propõe senado dos idosos. "Estamos a desperdiçar um enorme capital acumulado de sabedoria"

O Cardeal-Patriarca de Lisboa avisa que a sociedade está a desperdiçar a sabedoria dos mais velhos e sugere a criação de um senado nas autarquias composto por pessoas mais velhas

Em declarações à Renascença, à margem da apresentação do seu mais recente livro “O Catolicismo, Portugal e a Europa – Uma relação criativa”, D. Manuel Clemente sublinhou que essa maior atenção à sensibilidade dos mais velhos é "um desejo e um benefício para a sociedade em geral".

"Estamos a desperdiçar um enorme capital acumulado de sabedoria, de experiência de vida. Já tenho, mesmo, proposto que, quando falo com autarcas, das freguesias aos municípios, devia haver uma espécie de senado com representantes mais idosos das diversas particularidades que cada sociedade tem, quer no campo profissional, cultural, artístico e essas pessoas não digo para decidirem - para isso temos os políticos e os governantes - mas para serem obrigatoriamente ouvidos", defendeu.

Artigo completo disponível na Rádio Renascença.

 

Fernando Ilharco: "Conversa decisiva"

Nem tudo o que cada um acredita ou não acredita sobre si próprio estará correcto, naturalmente. É expectável que cada um esteja um pouco, ou muito, enganado quanto a quem é e do que é capaz. Por um lado, o autoconhecimento é dificil. Por outro lado, a pessoa não é estável, é diferente aqui e ali, e vai mudando. Além disso, o ser deste ou daquele modo é também um ser-para-alguém.

Não somos assim tanto como pensamos ser. Mesmo quando o que fazemos bem ou mal confirma o que acreditamos ser, podemos estar errados. Pode dar-se o caso de ter sido o que acreditávamos conseguir ou ser que levou a que quiséssemos e fizéssemos o que conseguimos. Trata-se de jogos mentais, de crenças e atitudes, que tanto podem ser positivas como negativas.

Hoje sabe-se que as pessoas estão em evolução, em mudança contínua, ao longo da vida. Pode sempre aprender-se novos conhecimentos, competências e actividades. Ora, este conhecimento, o saber que somos maleáveis a vida toda, em termos do bom desempenho pessoal e profissional, parece poder ter consequências superiores a técnicas e a práticas motivacionais mais usuais.

Meia hora de uma conversa bem estruturada sobre a maleabilidade da pessoa, sobre o facto de o cérebro estar constantemente em mudança e de os comportamentos, as atitudes e a personalidade também irem mudando, mostrando provas científicas disso mesmo, pode ser um dos métodos mais eficazes para aumentar a confiança e motivar alguém a melhorar ou a ser mais como quer ser.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 29 de abril de 2022.

Girl Talk

À hora em que entrávamos na suite do Martinhal Chiado, o novo Governo de António Costa estava a tomar posse. Os desafios do executivo são significativamente diferentes daqueles que se esperavam quando, no final do ano passado, o chumbo do Orçamento do Estado para 2022 atirou Portugal para eleições antecipadas: a inflação disparou e a guerra na Ucrânia, que rebentou a 24 de fevereiro, parecia ainda mais longe de terminar.

Cátia Batista, economista, professora da Nova SBE e diretora científica da Novafrica, e Isabel Capeloa Gil, reitora da Universidade Católica Portuguesa, olham para o futuro com otimismo, apesar da incerteza, e refletem sobre alguns caminhos e aprendizagens que a História já devia ter solidificado.

Inevitavelmente, a conversa arrancou com as profundas alterações sociais e económicas que a guerra nos trará, numa altura em que apenas a paz era dada por garantida.

“Acho que temos consciência de que vivemos um momento absolutamente excecional”, começa por dizer Isabel Capeloa Gil. “E isto desde 2015. A começar com a migração em massa para a Europa vinda da guerra da Síria, e depois, a pandemia, passados quatro anos. Quando se acreditava que o sistema económico e social iria conseguir acomodar aquilo que foi o fluxo de migrantes, vem um novo evento cisne-negro e, no momento em que achamos que estamos a combater a pandemia, vem a guerra”, resume a professora catedrática.

“Sem esquecer que, precisamente em 2015, estávamos a sair da crise económica. Temos, portanto, tido uma série de eventos que estão fora dos ciclos, que não são antecipados. Alguns diriam que é uma tempestade perfeita. Num continente que estava a habituar-se a uma certa estabilidade social, política – relativamente, porque começámos também a assistir a alguma polarização política e com dificuldade de os partidos do centro conseguirem maiorias estáveis para governar...”, enumera. 

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa da Revista Exame de 1 de maio de 2022.

Categorias: A Reitora

Espanha

Paulo Cardoso do Amaral: "Contratos auto-executáveis, ou como dar suporte legal aos ‘Smart Contracts’"

O valor legal dos Smart Contracts tem sido tema de discussão desde que o conceito inventado por Nick Szabo em 1994 ganhou força com a sua aplicação à blockchain exactamente vinte anos depois, em particular com o aparecimento do Ethereum. O conceito é fantástico, mas o seu nome deixa muito a desejar. É que os Smart Contracts são um conceito puramente informático e, sem reconhecimento legal, não podem ser lei.

Por exemplo, nada impedia a informática de produzir facturas electrónicas desde sempre, porém, só depois da legislação apropriada é que pudemos passar a usufruir do conceito na prática – com o actual decreto lei n.º 28/2019, de 15 de Fevereiro. Adicionalmente, para além de ser abusivo chamar contrato a um código informático, considerá-lo inteligente também não é razoável. É que inteligência implica algum tipo de conhecimento e capacidade de julgamento, coisa que este tipo de código informático não faz, pois apenas manipula dados.

Não obstante, sonhar a automatização das relações entre entidades passou a estar na ordem do dia, sempre dentro do ordenamento contratual do Estado de direito. Consequentemente, faz todo sentido pensar em que medida podemos dar valor legal à auto-execução ecossistémica, tornando assim o conceito informático de Smart Contract em Smart Legal Contract. Sim, vai acontecer simplesmente porque é possível.

A solução actual é a óbvia, porém menos interessante, e passa por responsabilizar uma qualquer pessoa jurídica pela execução do código informático, devidamente mandatada para tal. Por exemplo, qualquer organização pode implementar um sistema bancário, mas só as transacções oriundas das organizações com licença bancária são legalmente reconhecidas.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

Renovação dos contratos de PPP vai interessar mais às tecnológicas

Numa altura em que um conjunto de concessões rodoviárias em Portugal se aproxima do fim do prazo, Ricardo Ferreira Reis, do Observatório para as Parcerias Público-Privadas (OPPP) da Universidade Católica, defendeu esta quarta-feira, no congresso organizado pela Associação Portuguesa das Concessionárias de Autoestradas (APCAP) que "esta é uma oportunidade para repensar toda a rede rodoviária". E que, sendo esta "uma oportunidade de pensarmos a mobilidade de uma forma diferente", as empresas de inovação e tecnologia "serão as que estarão mais interessadas" na próxima fase destes contratos.

Em seu entender, faz sentido pensarmos a renovação dessas concessões "não caso a caso", mas repensando "toda a rede rodoviária de raiz". "Temos a infraestrutura toda para agora pensarmos a mobilidade", afirmou, admitindo, a título de exemplo, a instalação de catenárias nas autoestradas para as mercadorias elétricas.

Lembrando que as PPP rodoviárias em Portugal têm sido uma experiência de 30/40 anos, o diretor do Centro de Estudos Aplicados da Católica lembrou que este modelo passa por alocar o risco "a quem o gere da melhor maneira". Por isso, se os primeiros contratos foram entregues essencialmente a empresas de construção, na fase seguinte passaram para empresas de exploração e no momento em que estamos agora para fundos de investimento. Na renovação que irá acontecer, Ricardo Ferreira Reis afirma que se o que se quiser fazer destes contratos no futuro for estudar novas formas de mobilidade, quem vai ficar com os contratos, que melhor consegue alocar o risco, são "as empresas que se dedicam ao estudo das melhores formas de mobilidade".

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 5 de maio de 2022.

Miguel Poiares Maduro: "Muito mudou na democracia" com o digital

Miguel Poiares Maduro, que é diretor da Global Law School, Universidade Católica Portuguesa, e professor da Cátedra Vieira de Almeida, vai marcar presença na 31.º edição do Congresso da APDC, no painel de debate sobre democracia na era digital.

"Muito mudou na democracia" com o digital, afirma Miguel Poiares Maduro, salientando que se pode olhar para este tema de "muitas perspetivas" e "dimensões".

Mas "talvez aquela mais relevante e mais óbvia e que mais se discute tem a ver com as alterações na forma como funciona o nosso espaço público em que assenta a democracia", ou seja, a existência de "um espaço público onde as pessoas trocam opiniões, argumentos, formam a suas preferências" e com base nelas escolhem os políticos e responsabilizam esses políticos, aponta Miguel Poiares Maduro.

Ou seja, o espaço público "é o componente principal do ecossistema democrático" e "esse espaço público está em alteração profunda em consequência das alterações digitais", sublinha o professor.

Isto porque estas "alteram a forma como as pessoas se relacionam", não apenas a escala, já que as redes sociais permitem que seja possível comunicar "com muito mais pessoas ao mesmo tempo" do que anteriormente, mas também permitem o contacto direto, explica.

Artigo completo disponível no Notícias ao Minuto.

Santa Sé: Reitora da UCP nomeada consultora da Congregação para a Educação Católica

A reitora da Universidade Católica Portuguesa (UCP), Isabel Capeloa Gil, foi nomeada, este sábado, pelo Papa Francisco como consultora da Congregação para a Educação Católica.

Para além da reitora da UCP, o boletim de imprensa da Santa Sé indica também os outros membros nomeados para este organismo do Vaticano.

Isabel Maria de Oliveira Capeloa Gil (Mira, 22 de julho de 1965) é a sexta reitora da Universidade Católica Portuguesa, nomeada pela Congregação para a Educação Católica a 26 de setembro de 2016, por proposta do magno chanceler da instituição, D. Manuel Clemente.

Artigo completo disponível na Ecclesia.

Categorias: A Reitora

Espanha
Espanha

José Matias Alves: "Milhares de alunos sem professores: medidas de emergência"

Dizem os diversos media: no final do segundo período eram 30 mil alunos sem professor a pelo menos uma disciplina. E no próximo ano já serão cerca de 110 mil na mesma situação, conforme um estudo realizado. A lista de disciplinas com falta de professores é cada vez maior: Português, Matemática, Biologia e Geologia, Física e Química, História, Geografia, Inglês, Filosofia, Informática....

Não vou fazer aqui a história do passa culpas: que foi a Maria de Lurdes, o Crato, o Justino, o Tiago Brandão Rodrigues. Há, certamente, uma quota parte de responsabilidade na falha óbvia de planeamento, na gestão da progressão da carreira, na estrutura de remuneração, na degradação da imagem pública da profissão. Também não farei a proclamação da eliminação de disciplinas e da extinção dos dispositivos de autonomia e flexibilização curricular pois isso seria um grave retrocesso concetual e prático.

Enuncio, antes, algumas medidas óbvias e exequíveis requeridas pela emergência deste tempo:

1. Reduzir tempo letivo para que professores em idade legal de aposentação [em regra não mais do que três turmas] para que possam querer prolongar a vida ativa de docência e em apoio ao ensino. Há, certamente, milhares de professores que poderão, em regime de livre adesão, querer prolongar a sua vida na escola interrompendo um ciclo do fugir, logo que possível….;

Artigo completo disponível no Público.

Espanha

Porto vai criar zonas de contenção para o Alojamento Local

As propostas do PS e do BE para regular o Alojamento Local (AL) e criar zonas de contenção foram aprovadas pela maioria de Rui Moreira na reunião de câmara desta terça-feira. Neste momento, aproveitou para divulgar o vereador Ricardo Valente, a autarquia tem concluído o primeiro esboço do “futuro regulamento para as zonas de crescimento sustentável do alojamento turístico”.

Esse documento foi desenhado a partir dos resultados de um estudo encomendado à Universidade Católica, que calculou o peso do AL por freguesia e por rua, e que o vereador com o pelouro do Turismo prometeu apresentar “muito em breve” numa reunião camarária. A proposta final de regulamento não deverá ser apresentada, ainda assim, antes da publicação da lei europeia que está a ser delineada sobre este tema e prevista para o fim de Maio.

O Porto chegou a ter o seu regulamento de AL praticamente concluído, mas suspendeu-o durante a pandemia, alegando não querer prejudicar um sector que já estava a ser massacrado. As zonas de contenção, que estavam delineadas no centro histórico e no Bonfim, onde havia mais registos de AL, ficaram também suspensas. Depois disso, Rui Moreira já tinha prometido que voltaria a estudar o assunto.

Artigo completo disponível no Público.

Categorias: A Católica

Espanha

Católica Global School of Law lança concurso para apoiar startups de Legal Tech

Durante o evento, um grupo seleccionado de startups de Legal Tech terá a oportunidade de fazer uma curta apresentação perante um painel de investidores, empreendedores e especialistas, que analisarão a viabilidade dos projectos e seleccionarão um vencedor. Feedzai, Google, Microsoft e OutSystems são algumas das tecnológicas que marcarão presença na iniciativa.

Além da oportunidade de apresentar as suas ideias e desenvolver uma rede de contactos no South Summit, em Madrid, a startup vencedora terá acesso a um programa de mentoria, bem como a um conjunto de oportunidades de investimento que impulsionarão o desenvolvimento do projecto.

Artigo completo disponível na Human Resources.

João Borges de Assunção: "A vida do iPod"

A Apple anunciou no dia 10 de maio de 2022 que iria deixar de produzir e comercializar iPods. Um produto que teve uma vida extraordinária vendendo mais de 450 milhões de unidades nos seus cerca de 20 anos de vida.

O iPod é um leitor de ficheiros, mas para os seus utilizadores é a forma de ouvir, e guardar, as músicas que querem ouvir em qualquer altura ou local. Dando conteúdo prático à ideia de ubiquidade.

Um disco externo de dados é um produto bastante desinteressante e aborrecido. Mas uma caixa que toca todas as minhas músicas favoritas, incluindo os últimos êxitos, torna-me instantaneamente popular. Para tornar o produto atrativo, a Apple teve de proceder a um esforço de inovação quer no hardware quer no software. Afinal criar um sistema que permite organizar as músicas e torná-las acessíveis de muitas maneiras não é tão fácil assim. E a falta de qualidade na reprodução estraga a experiência de as ouvir.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 13 de maio de 2022.

Espanha
Espanha

Sustentabilidade, responsabilidade social e ética

"A formação é, desde sempre, um fator de competitividade das organizações. E é uma das razões para alguma da menor competitividade do país. O facto é que os setores mais importantes e competitivos da economia nacional têm níveis de formação aos seus trabalhadores, incluindo gestores, bem acima de outros setores. E a CPBS pode orgulhar-se de estar ligada a muitos dos setores que refiro, quer do lado da formação, quer do lado da investigação aplicada." Quem o diz é Carlos Vieira, diretor executivo para a Formação Executiva da Católica Porto Business School (CPBS).

O foco da CPBS sempre foi a formação de quadros superiores, essencial à dinamização do valor acrescentado económico, e, nos últimos anos, está focada na qualificação desses quadros "nas definições de sustentabilidade, responsabilidade social e ética". "Hoje sabemos que a visão de uma organização do futuro passa pelas componentes de hard e soft skills, mas a CPBS já o vem demonstrando há muitos anos", recorda o responsável da Escola de Negócios, acrescentando que essa é uma das mais-valias, que consegue fazer refletir na qualidade da sua formação, medida pelo grau de satisfação de quem a frequenta e no impacto que esta tem nas organizações. "Por isso, sem querer ser juiz em causa própria, recomendo vivamente a formação desenvolvida pela CPBS."

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 16 maio de 2022.

Susana Costa Ramalho: "A Família é o núcleo vital da sociedade"

Celebra-se hoje, dia 15 de Maio, o Dia Internacional da Família que, desde 1994 e por sugestão Assembleia Geral da ONU, pretende destacar a importância da Família como núcleo vital da sociedade, mas também sensibilizar e promover conhecimento relacionado com as questões que impactam a estrutura familiar.

Reconhecemos, na celebração deste dia, três pontos centrais sobre a importância da Família: 1) é o lugar privilegiado para a construção de vínculos potenciadores e protetores do desenvolvimento humano; 2) é o espaço para experienciar a proteção e segurança que permitem ao indivíduo crescer mais resiliente; e, 3)  edifica uma rede de relações humanas que – diferente de todas as outras – se destaca pelo significado pessoal único que lhe atribui cada um dos membros e a própria família enquanto grupo.

Artigo completo disponível no Observador.

Experts reflect on family migration ahead of International Family Day

The International Day of Families is celebrated annually on 15 May. The day provides the opportunity to promote awareness of issues pertaining to families and to increase knowledge of the economic, social and demographic processes affecting families.

This year’s theme: “Families and Urbanization,” aims to draw attention to the importance of sustainable, family-friendly urban policies.

According to the UN, sustainable urbanization is related to the achievement of several Sustainable Development Goals (SDGs) including poverty eradication, good health and well-being, making cities and human settlements safe, sustainable and inclusive and reducing inequality within and among countries.

These SDGs and their targets, the UN says, “depend on how well urbanization is managed towards benefitting families and enhancing the well-being of all generations living in cities.”

Academics share reflections on family migration

Ahead of the 2022 International Day of Families, experts from the Strategic Alliance of Catholic Research Universities (SACRU) have shared their personal contributions on the impact of migration of families in a document, in light of the Amoris Laetitia Family Year launched by Pope Francis in 20211 and the SACRU mission of global cooperation for common good.

Full article available on Vatican News.

Categorias: Press News

José Miguel Sardica: "O último Habsburgo"

A preparação de uma conferência recente e uma viagem, com bons amigos, ao Funchal no passado fim-de-semana pôs-me na esteira da vida de Carlos de Habsburgo, o último soberano do império Austro-Húngaro. Um século exato após a sua morte, na ilha da Madeira, a vida do último Habsburgo é uma utilíssima lição de história. Nascido na Áustria, em 1887, Carlos tornou-se monarca por acidente e no pior momento possível.

Tragédias sucessivas entre os Habsburgos fizeram dele sucessor direto do seu tio-avô, o velho imperador Francisco José. Quando este morreu, em novembro de 1916, o inexperiente príncipe herdou um trono multinacional, cindido por rivalidades territoriais, étnicas e religiosas, e mergulhado na destruição da I Guerra Mundial, onde a Áustria-Hungria integrava o eixo das chamadas Potências Centrais, capitaneado pela belicista Alemanha do Kaiser. No tempo político que ainda lhe restou, Carlos de Habsburgo quis sempre abreviar o apocalipse que martirizava os seus povos e outros, para lá das suas fronteiras. Como cristão, católico, político, pai, homem e ser humano – e em todas estas dimensões as suas virtudes e retidão eram reconhecidas – repugnava-lhe a realidade da guerra, cujo principal fruto, então, hoje e sempre, era e é a morte de incontáveis vidas. E enquanto tudo fazia para minorar os sacrifícios da população austro-húngara, foi o único político da I Guerra Mundial arealizar esforços palpáveis para alcançar a paz, oferecendo-a à França, com a qual a sua mulher, a imperatriz Zita de Bourbon-Parma, era aparentada.

Clémenceau não o quis, e virou-lhe as costas; Guilherme II, querendo uma vitória a todo o custo, não lho permitiu. E a Grã-Bretanha, ou os EUA, não apreciavam o trono católico dos Habsburgos. Esgotada, a Áustria-Hungria acabou a Guerra como parceiro sacrificado da Alemanha do Kaiser. Acresce que a derrota de 1918 impediu também o soberano austro-húngaro de levar a cabo uma reforma descentralizadora, federalizante e modernizadora da sua própria malha imperial, que teria decerto revitalizado a união dos muitos povos da Europa que retalharam o império numa multiplicidade de novos Estados.

Artigo completo disponível na Rádio Renascença.

Ensino

Programas de Ensino

A Faculdade de Medicina, da Universidade Católica Portuguesa oferece um Mestrado Integrado em Medicina, com um total de 360 ECTS, e duração de 6 anos letivos. O ciclo de estudos conta com a parceria do Grupo Luz Saúde e a estreita colaboração da Universidade de Maastricht, da Administração Regional de Saúde de Lisboa e Vale do Tejo, Instituto Público, do Hospital Beatriz Ângelo e da União das Misericórdias Portuguesas.

O curso tem como objetivo preparar e formar profissionais de excelência no exercício da medicina clínica, dotados de competências transformadoras, transversais e transferíveis, adquiridas com base em competências de pensamento científico decorrente da prática precoce de investigação no curso.

Esta formação é complementada pela promoção de um comportamento ético e humanístico à luz dos princípios humanistas da Católica, e pelo desenvolvimento de competências de liderança para que os formandos sejam futuros agentes transformadores das comunidades onde venham a exercer a sua atividade, seguindo o alinhamento educacional e as normas éticas e deontológicas aprovadas pelos países e agências da União Europeia (Directiva 93/16/CEE do Conselho, de 5 de Abril de 1993), nomeadamente, as adotadas pela Ordem dos Médicos Portuguesa. Único e inovador, o curso distingue-se pelas seguintes características:

  • Promoção da excelência na educação médica, através do desenvolvimento de um plano de estudos com uma metodologia pedagógica, já internacionalmente validada em centros universitários de grande prestígio, com provas dadas de sucesso e sujeita a monitorização constante da qualidade pela estrutura responsável – a Universidade de Maastricht – e por uma estrutura especificamente criada para o efeito (o Centro de Educação Médica), com apresentação de relatórios periódicos de avaliação do processo de ensino-aprendizagem-avaliação, a serem discutidos interna e externamente com os principais stakeholders;
  • Promoção da investigação com uma cultura de abertura ao mundo, cultivando a transversalidade de saberes e baseando-se nos princípios humanistas cristãos da UCP;
  • Cultura de proximidade e centralidade na pessoa, nas várias vertentes: ensino; investigação; orientação para a comunidade;
  • Lastro internacional do curso de Medicina.

Estas características são a mais-valia do programa e permitirão dotar a formação médica de condições para promover a simbiose, num mesmo profissional, da competência clínica e da capacidade de investigação de translação. Tal só é possível tendo em conta o modo de ensinar-aprender-avaliar neste novo ciclo de estudos, associado ao objetivo de formação científica que permitirá o desenvolvimento do espírito reflexivo e do pensamento crítico, essenciais ao exercício, em excelência, da prática clínica.

A escola de ensino pós-graduada - Católica Health Education tem como objetivo promover a educação pós-secundária e pós-graduada em todas as áreas da saúde, oferecendo cursos não conferentes de grau em parceria com o Hospital da Luz Learning Health e outras entidades. Os programas baseados na reconversão e atualização de competências, capazes de dar resposta à transformação dos mercados de trabalho e aos novos requisitos da empregabilidade e potenciando o sucesso dos diplomados no mercado de trabalho bem como promover a formação ao longo da vida.

Desenvolvidos em parceria ou em consórcio com empresas e empregadores públicos e privados, nacionais e internacionais, os cursos integram a formação contínua, o aprofundamento ou a aquisição de técnicas e de conhecimentos em determinadas áreas profissionalizantes, ou a abertura de novos domínios científicos e a aquisição de competências práticas ou tecnológicas em áreas especializadas, no campo da Medicina e das Ciências da Saúde, nomeadamente:

  • Cursos ou Programas de Pós-Graduação de atualização;
  • Cursos ou Programas de Pós-Graduação de aperfeiçoamento;
  • Cursos ou Programas de Pós-Graduação de especialização;
  • Todos os outros Cursos ou Programas de Pós-Graduação não definidos anteriormente (cursos avançados; workshops; simpósios; etc.)

A articulação entre investigação, ensino e prática clínica no âmbito do Centro Académico Clínico Católica Luz permitirá a criação de dois programas de pós-graduação em investigação biomédica e investigação clínica (ciclos de estudos conducentes ao grau de mestre) e um programa doutoral em biomedicina (ciclo de estudos conducente ao grau de doutor).

José Luís Ramos Pinheiro: "Os homens que a História faz"

Os livros estão recheados de homens que fizeram História. Mas a História também faz os homens. Alguns parecem predestinados a fazê-la. Outros emergem inesperadamente. E não a fazem pior.

Winston Churchill fez História. Falar em Churchill é falar num dos maiores responsáveis pela vitória sobre os nazis na II Guerra Mundial.

Porém, sem a II Guerra e o papel que nela desempenhou, Churchill seria provavelmente recordado como pessoa excessiva e político falhado, dotado de mais ambição do que glória.

Sem a invasão russa, Volodymyr Zelensky continuaria a ser olhado com sobranceria; nada mais do que um comediante que chegara, pasme-se, a Presidente da República.

Com a guerra da Ucrânia, Zelensky será lembrado, em qualquer caso, como rosto da resistência a um ataque desumano à liberdade, à segurança e à autonomia dos povos.

Artigo completo disponível na Rádio Renascença.

União das Misericórdias Portuguesas

União das Misericórdias Portuguesas (UMP) foi criada em 1976 para orientar, coordenar, dinamizar e representar as Santas Casas de Misericórdia. Os hospitais e cuidados continuados, que estão na sua génese, são as faces mais visíveis do seu trabalho, cujo objetivo é responder, com qualidade, às comunidades onde se inserem.

Na área dos cuidados continuados, as Misericórdias são responsáveis por mais de metade do total de camas da Rede Nacional de Cuidados Continuados Integrados, bem como detentoras de hospitais que, ao abrigo do Decreto-Lei nº 138/2013, estão integrados no Serviço Nacional de Saúde.

A sua rede de saúde conta também com meios complementares de diagnóstico e terapêutica, cuidados primários, farmácias e unidades de saúde mental. Adicionalmente a UMP e as Misericórdias têm promovido a reflexão sobre as novas necessidades de saúde dos portugueses, com particular enfoque nas demências e envelhecimento.

É perante este quadro de experiência e dedicação à comunidade que a União das Misericórdias Portuguesas, através das suas Unidades de Saúde, colabora com a Faculdade de Medicina no ensino clínico, tutorial e estágios curriculares dos estudantes.

Plano Estratégico de Investigação

Investigação de Excelência para uma Vida Digna

Investigação designa uma prática metodologicamente controlada de produção e alargamento de conhecimento, organizada segundo parâmetros de referência específicos de cada campo de estudos. Cultivando os domínios das ciências sociais e naturais, das tecnologias, das artes e das humanidades, a investigação na UCP tem como objetivo melhorar a condição da vida humana e do planeta, aprofundando horizontes da arte e da cultura ao serviço do bem comum. Assim, a sua ação desenvolve-se tanto na geração de conhecimento de base fundamental como na produção de aplicações práticas que geram inovação, promovendo o respeito pelo ambiente e a valorização económica, contribuindo para a criação de sociedades mais prósperas, saudáveis, socialmente robustas, coesas, sustentáveis e respeitadoras da diversidade e da dignidade humana.

 

Plano Estratégico de Investigação 2021-2025

Através das suas 15 unidades de investigação, e funcionando de modo colaborativo com parceiros nacionais e internacionais dos setores académico, empresarial e cultural, dando continuidade ao trabalho dos centros e laboratórios de excelência, a UCP pretende oferecer respostas robustas às interrogações centrais do presente, acompanhando a sociedade nos seus desafios urgentes. A UCP desenvolve investigação fundamental segundo os padrões de excelência da comunidade científica internacional, reconhecida por pares e apresentada nos meios de referência.

Do mesmo modo, promove a investigação aplicada e a colaboração com entidades do setor empresarial, industrial, social, cultural e artístico, prosseguindo o objetivo de transferência do conhecimento adquirido e de um impacto real. Tal como nas áreas de Bioengenharia, de Gestão e de Economia, das Artes, da Comunicação, da Cultura, das instituições políticas e sociais e do Direito, uma atenção especial neste sentido será dada à área da saúde no desenvolvimento da investigação clínica e aplicada, com o desenvolvimento do novo Center for Human Intelligence. Do mesmo modo, aposta-se no reforço do contributo da UCP para as agendas mobilizadoras para o país, a continuação da participação em grandes laboratórios colaborativos e o aprofundamento das apostas em grandes projetos de interesse nacional de base científica.

Ao longo dos últimos anos, a UCP tem aumentado significativamente os fundos de investigação, com um crescimento de 69% no financiamento FCT no exercício de avaliação de unidades de I&D de 2019, ao mesmo tempo que se alargava a diversidade das fontes de financiamento, oriundas de agências estatais, fundos europeus e atores privados. Esta tendência deve ter continuidade, ampliada à captação de verbas através de candidaturas a fundos nacionais, nomeadamente a nível do financiamento plurianual das unidades de investigação e a nível de projetos em todos os domínios científicos assegurados pela FCT, mas igualmente apostando com ambição em candidaturas ao Portugal2030 e outros fundos nacionais de cariz público e privado. Perante a progressiva competitividade neste campo e a escassez crescente de recursos, é ainda mais importante reforçar o empenho na angariação de fundos através de programas internacionais (com ênfase no Horizon Europe e colocando-se especial enfoque e na obtenção de ERC grants).

No século XXI, a investigação assume necessariamente um caráter internacional e colaborativo. Neste sentido a UCP aposta na constituição, participação e liderança de redes e alianças internacionais de elevada intensidade. Exemplos disso, são as muitas redes nacionais, europeias e globais, académicas e profissionais, institucionais e empresariais em que os centros colaboram na sua especialidade. A nível institucional, a promoção da aliança SACRU e a inclusão da UCP como membro pleno do EUROPAEUM (que reúne algumas das melhores universidades da Europa), assumem uma crescente importância, colocando-se agora o objetivo de integrar e/ou liderar a participação num consórcio estratégico do programa de universidades europeias. A cooperação em rede e aliança é um motor decisivo para dar resposta à complexidade dos desafios atuais e para assumir a responsabilidade pela casa comum.

A Ciência Aberta representa uma abordagem ao processo científico baseado no trabalho cooperativo e em novas formas de difusão do conhecimento através da utilização de tecnologias digitais e novas ferramentas de colaboração.

Ao longo dos últimos anos, a UCP tem desenvolvido um leque de medidas que promovem as políticas de Ciência Aberta definidas pela OCDE, pela Comissão Europeia e pela FCT, que irá assumir como compromisso estratégico em linha com as práticas internacionais de referência.  Destacam-se neste campo a participação viva da UCP no Repositório Científico de Acesso Aberto de Portugal (RCAAP) através do seu repositório VERITATI, uma política editorial que contempla cada vez mais o acesso aberto e, mais recentemente, através da criação do portal revistas.ucp.pt que disponibiliza o acesso aos conteúdos de 22 revistas científicas editadas por centros de investigação da UCP. Trata-se, agora, de alargar a política de ciência aberta a todo o ciclo de investigação nomeadamente com a implementação de um novo portal de monografias em open access (OMP), de rotinas no processo de disseminação de resultados de investigação através do sistema de gestão ciência.ucp bem como com a expansão do conceito a nível dos dados de investigação e demais formas colaborativas.

A UCP pretende estruturar um empenho inovador em 4 clusters interdisciplinares, procurando impacto nos ODS. Um primeiro cluster centra-se na relação entre Ética, Direito e Tecnologia visa responder às mudanças que a transformação digital traz para a sociedade contemporânea e articula-se com o Laboratório de Ética Digital (LED). Um aspeto especialmente relevante nesta área é a questão da Inteligência Artificial, cujo impacto na vida quotidiana se torna cada vez mais evidente. A Católica reformula as questões subjacentes à IA através da criação de um segundo cluster de estudos da Inteligência Humana que pretende entendê-la como um campo inesgotável de aprendizagem: desde a inteligência somática do organismo humano até às manifestações mais surpreendentes nas suas capacidades cognitivas e emocionais. Este estudo da inteligência humana na sua dimensão holística remete para uma terceira área: fenómenos como a migração, a pobreza e a lista infindável de guerras e conflitos tornam cada vez mais urgente uma reflexão sobre as formas de convivialidade que garantam tanto a diversidade como a paz na casa comum. Um terceiro cluster de estudos sobre Futuros Culturais Globais oferece uma reflexão sobre as dinâmicas inerentes às relações interculturais na resistência a uma globalização uniformizadora. Permitir futuros mais justos, com menos pobreza e no entendimento de uma responsabilidade global é também o repto a que se dedica um quarto cluster CARE for our Common Home, elaborando uma ecologia integral de sustentabilidade.

Dimensão de Missão Áreas Estratégicas Objetivos Estratégicos

Investigação

Investigação de Excelência para uma Vida Digna

 

Investigação em contexto: reforçar a descoberta, promover o impacto

  • Apostar na investigação em contexto, alargando fronteiras através da investigação fundamental
  • Apostar na investigação em contexto, potenciando o impacto e a translação de conhecimento e estimulando parcerias universidade-empresa

 

Financiamento e competitividade

  • Aumentar a competitividade no acesso a fundos de financiamento de I&D
  • Atrair e reter investigadores nacionais e internacionais de topo

Redes e Alianças Internacionais

  • Intensificar a participação ativa em redes e alianças internacionais

Ciência Aberta

  • Desenvolver boas práticas de Ciência Aberta

 

Interdisciplinaridade e Clusters

  • Criar clusters de investigação por problemas, articulando áreas de conhecimento e unidades de I&D
  • Assumir as responsabilidades de uma investigação consciente das suas implicações éticas e societais, aprofundando a ligação aos ODS

A ONU e o seu secretário-geral podem fazer a diferença na Ucrânia?

[...]

NÃO. Diretamente, não. Desde logo por razões que se prendem com a sua natureza e as suas capacidades. De facto, a ONU é uma organização intergovernamental composta por Estados e quem decide o que esta pode ou não pode fazer são os próprios países-membros, e não qualquer outra entidade acima ou independente deles.

Acresce que de entre os 193 países que integram a organização, apenas um punhado tem capacidade de determinar essas decisões, sobretudo quando estas dizem respeito a situações como a que assistimos na Ucrânia. Em particular, é ao seu órgão mais importante, o Conselho de Segurança, que compete velar pela manutenção da paz e segurança internacionais (Artº 24 da Carta das Nações Unidas), e decidir se existem ameaças ou ruturas à paz, bem como que medidas deverão ser tomadas para repor a própria paz (Artº 39).

Ora, acontece que este órgão tem apenas 15 membros representados, sendo que só cinco aí estão permanentemente (os P5, pois os outros 10 são rotativos), e só eles podem vetar qualquer resolução que não seja do seu interesse. Entre esses membros permanentes encontram-se a Federação Russa, bem como os Estados Unidos, o Reino Unido, a França e a República Popular da China (esta apenas desde 1971). Ao longo da sua história de quase 77 anos, a ação da ONU em matéria de segurança coletiva ficou muitas vezes bloquea da, precisamente em resultado do uso do veto por um dos P5 no Conselho de Segurança.

Nota: Pode ler o artigo, com a opinião de Lívia Franco, docente do Instituto de Estudos Políticos, e Ana Santos Pinto, Professora auxiliar do IPRI-Nova, na íntegra na edição impressa do Expresso de 8 de abril de 2022.

Susana Costa e Silva: "O marketing relacional e o farmacêutico"

O farmacêutico desempenha uma atividade profissional peculiar que incorpora um aspeto humano de relevância acrescida. Dentro dos papéis que assume está certamente o de ouvinte e conselheiro, sendo o seu parecer altamente importante para quem, muitas vezes, se encontra numa situação de maior fragilidade, dado o medo da doença e suas consequências, a solidão ou até o isolamento.

Mais, dada a localização do farmacêutico na cadeia de valor do serviço de saúde, é muitas vezes o último reduto no contacto pessoal a que o paciente tem acesso, e, por essa razão, a última chance deste estabelecer uma verdadeira interação, com questões e dúvidas que podem não ter surgido no anterior momento de contacto pessoal com o médico, ou que podem só ter surgido quando a medicação é dispensada.

Assim, o farmacêutico vê o seu papel estendido muito além daquilo que muitas vezes aprendeu nos bancos da universidade e as suas emoções são mobilizadas mais do que noutras carreiras em que o atendimento também é uma realidade. E é por isso que na atividade do farmacêutico, se podem e devem aplicar os conceitos do Marketing Relacional que, como sabemos, visa construir relações de longo prazo mutuamente satisfatórias com parceiros-chave, entre os quais os clientes desempenham, neste caso, o papel mais importante.

O objetivo é reter clientes e gerar negócio. Para isso acontecer é necessário que se crie valor para ambas as partes envolvidas. Logo, é crucial que o farmacêutico tenha condições para fazer a leitura das necessidades do cliente para melhor lhes dar resposta.  Senão vejamos: é muitas vezes ao balcão da farmácia que mesmo os mais envergonhados clientes se veem na necessidade de admitir as suas maleitas e os receios que os acometem, revelando assim o seu lado mais frágil e inseguro.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

Já conhece os Mestrados Executivos da CATÓLICA-LISBON? A escola de negócios vai lançar novas edições em setembro

Os Executive Masters são programas de formação sólidos, reconhecidos pelo mercado empresarial como instrumentos de valorização de conhecimentos e de competências, que têm permitido aos participantes a aquisição dos conceitos teóricos e ferramentas práticas de vanguarda, em cada uma das áreas de especialização.

Com 10 anos de experiência, a CATÓLICA-LISBON foi pioneira no lançamento destes programas e, como tal, soma já um percurso que permite antever as mais-valias para futuros formandos.

“A experiência tem mostrado que os Executive Masters têm um impacto significativo no percurso profissional dos nossos participantes. Temos um corpo docente de excelência que se distingue pela sua investigação científica internacional, pelo seu profundo conhecimento do tecido empresarial e pela sua intensa lecionação na formação de executivos”, garantem Vanda Páscoa Mineiro, Manager Executive Masters, e Guilherme Almeida e Brito, Dean for Academic Affairs, da CATÓLICA-LISBON. 

Artigo completo disponível na RH Magazine.

João Taborda da Gama: "‘Saúde em Portugal está muito contaminada pela ideologia"

A primeira pandemia em 100 anos, a primeira invasão da Europa em 75 anos, o primeiro pico de inflação transversal em todo o mundo em 40 anos. Esta combinação inusitada sinaliza uma mudança de paradigma e o início de uma nova era de choques e convulsões ainda mais agressivos?


Já é um cliché dizer que vivemos numa época curiosa e com as suas particularidades. A conjugação de fatores é tão forte que determina que, pela primeira vez, em várias décadas, esse cliché se possa considerar verdadeiro. A pandemia e a reação da ciência era algo para o qual, enquanto sociedade, não estávamos preparados. Ou, dito de outra forma, estávamos desabituados e demasiado confiantes. Guerras também já as tivemos, agora a conjugação simultânea e inesperada destes fatores é que torna este momento tão inusitado.

Artigo completo disponível na Ensino Magazine.

Céline Abecassis-Moedas: "O trabalho remoto e híbrido. Um equilíbrio"

Na semana passada, durante uma reunião com diretores de Recursos Humanos, um dos temas abordados foi o formato do trabalho. O que se verificou foi que cada empresa tem uma realidade diferente: numa, as pessoas podem trabalhar remotamente até três dias por semana, noutra, só dois e nalgumas só um dia.

A escolha dos dias em remoto é definida pelas chefias em algumas empresas, ou flexível e baseado nas preferências de cada um noutras. Uma das empresas insistiu para que a sexta-feira fosse um dia de trabalho no escritório, enquanto que outra, pelo contrário, deixou esse dia em remoto.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa de RH Magazine de 1 de julho de 2022.

Espanha

Ciências Sociais, Filosofia, Ciência Política, Comunicação e Cultura, História

Recursos Subscritos

Academic Search Complete

Academic Search Complete é uma base de dados de texto integral de revistas multidisciplinares com revisão por pares. Além do texto integral, esta base de dados oferece indexação e resumos de publicações, incluindo monografias, relatórios, atas de conferências, entre outros. A base de dados apresenta conteúdo em PDF desde 1887.

B-on

Biblioteca do Conhecimento Online (B-on) disponibiliza o acesso ilimitado e permanente a textos integrais de milhares de revistas científicas e livros de vários fornecedores de conteúdo, através de assinaturas negociadas a nível nacional.

EBSCO Discovery Service (EDS)

EBSCO Discovery Service (EDS) fornece acesso à coleção inteira dos recursos de informação digitais disponíveis na biblioteca. Pesquise conteúdos de bases de dados em texto integral e bases de dados de citações.

EBSCO eBook Collection

Pesquise e aceda a livros e capítulos de livro em texto integral.

EBSCO University Press eBook Collection

Coleção multidisciplinar que disponibiliza o acesso a mais de 38 000 ebooks publicados por mais de 90 editoras académicas

Encyclopedia of the Bible and Its Reception

A Encyclopedia of the Bible and Its Reception (EBR) é considerada uma das fontes mais completas no âmbito dos estudos Bíblicos e a sua receção, sendo uma referência indispensável para as áreas da teologia e dos estudos de religião, das humanidades, das artes, dos estudos culturais e das ciências sociais. A enciclopédia aborda questões relativas às origens e ao desenvolvimento da Bíblia nos cânones do judaísmo e do cristianismo, assim como a história da interpretação e a sua receção nas tradições e movimentos religiosos não ocidentais.

International Philosophical Bibliography

Base de dados bibliográfica na área da Filosofia. Atualizada quatro vezes no ano, atualmente contém mais de um milhão de registos, incluindo livros, capítulos de livros, artigos científicos e outras contribuições.

JSTOR

JSTOR permite aceder a artigos digitalizados de várias áreas científicas: Arts & Sciences III Collection (Language & Literature, Music, Film Studies, Folklore, Performing Arts Religion, Art & Art History, Architecture & Architectural History), Business Collection e Mathematics & Statistics Collection.

Library, Information Science & Technology Abstracts

Library, Information Science and Technology Abstracts é uma coleção de revistas científicas, livros, relatórios de investigação e atas de conferência. Especializada na área da biblioteconomia, classificação, catalogação, bibliometria, recuperação de informações on-line, gestão de informação entre outros. A cobertura na base de dados estende-se desde meados da década de 1960.

OpenDissertations

Criado com o apoio generoso da Fundação H.W. Wilson e do Congregational Library & Archives de Boston, incorpora as American Doctoral Dissertations, anteriormente lançadas pela EBSCO, e apresenta metadados de dissertações de faculdades e universidades selecionadas internacionalmente, do início do século 20 até ao presente.

Philosopher’s Index with Full Text

O recurso Philosopher's Index with Full Text é uma base de dados de texto completo que cobre todos os principais campos da filosofia e disciplinas relacionadas. Estão incluídos centenas de periódicos de filosofia de todo o mundo, muitos dos quais disponíveis sem embargo.

Publication Finder

Publication Finder oferece uma experiência de pesquisa intuitiva e inclui uma série de recursos como a sugestão de revistas durante a pesquisa, hiperligações para o texto integral, classificação de relevância e navegação por área científica.

ScienceDirect

ScienceDirect é uma plataforma multidisciplinar de acesso às publicações da editora Elsevier. Disponibiliza revistas científicas, artigos, livros e capítulos de livros.

Scopus

Scopus é uma base de dados de metainformação e citações de publicações com revisão por pares, tais como, revistas científicas, livros e atas de congressos. Fornece uma visão abrangente da produção científica internacional nas áreas de tecnologia, medicina, ciências sociais ou artes e humanidades. A Scopus apresenta ferramentas avançadas de pesquisa, análise e visualização de resultados. Através do índice de citações é possível analisar o número de citações de publicações ou de autores.

Taylor & Francis

Interface de pesquisa da Taylor & Francis, que disponibiliza o acesso a mais de 1900 revistas científicas publicadas pela editora.

Web of Science

Web of Science permite aceder a uma variedade incomparável de recursos de informação publicados numa lista de revistas científicas rigorosamente selecionada. Pesquise novas informações através de metadados e citações meticulosamente agregados.

 

Recursos em Acesso Aberto

Biblioteca virtual de Polígrafos

A Biblioteca Virtual de Polígrafos reúne cerca de 900 polígrafos espanhóis, portugueses, latino-americanos e brasileiros (entre escritores de ciência, literatura, pensamento, economia e outras ciências).

DeGruyter Open

DeGruyter publica revistas em acesso aberto nas áreas científicas, técnicas, médicas, humanidades e ciências sociais.

Frontiers

Frontiers é uma editora multidisciplinar de revistas em acesso aberto.

Fundação Alexandre de Gusmão (FUNAG)

FUNAG é uma fundação pública vinculada ao Ministério das Relações Exteriores do Brasil instituída em 1971. Líder em número de obras publicadas sobre temas da política externa, relações internacionais e da história diplomática do Brasil, as suas obras mais recentes estão disponíveis, de forma gratuita, na Biblioteca Digital do portal eletrónico da FUNAG.

MDPI

MDPI é uma editora multidisciplinar de revistas com revisão por pares em acesso aberto.

OAPEN Library

OAPEN Library disponibiliza em Acesso Aberto livros académicos nas áreas das humanidades e ciências sociais. OAPEN colabora com editores que garantem a qualidade das publicações e promove para editores, bibliotecas e financiadores de ciências serviços de depósito, disseminação e preservação digital.

OECD iLibrary

OECD iLibrary é a biblioteca digital da Organização para a Cooperação e Desenvolvimento Económico (OCDE). Disponibiliza livros, artigos e é o ponto de acesso para os dados estatísticas da OCDE.

Online Library of Liberty

O objetivo da Biblioteca Online da Liberdade é promover o acesso a livros e artigos de autores chave em diversas áreas no âmbito dos direitos humanos, liberalismo francês, anti-federalismo, entre outros.

OpenEdition Books

OpenEdition Books é uma plataforma de livros em acesso aberto da área das humanidades e ciências sociais.

OpenEdition Journals

OpenEdition Journals é uma plataforma de revistas da área das humanidades e ciências sociais, sendo que 95% dos artigos estão disponíveis em texto integral.

PQDT (ProQuest Dissertations & Theses Open)

PQDT Open fornece acesso ao texto integral de teses e dissertações em acesso aberto de várias áreas científicas.

RCAAP (Repositórios Científicos de Acesso Aberto de Portugal)

RCAAP tem como objetivos a recolha, agregação e indexação dos conteúdos científicos em acesso aberto existentes nos repositórios institucionais das entidades nacionais de ensino superior, e outras organizações de I&D.

SciELO

A Scientific Electronic Library Online – SciELO é uma biblioteca digital que abrange uma coleção selecionada de revistas científicas. O Projeto tem por objetivo o desenvolvimento de uma metodologia comum para a preparação, armazenamento, disseminação e avaliação da produção científica em formato digital. Todo o conteúdo está em Acesso Aberto.

SpringerOpen

SpringerOpen disponibiliza conteúdo em acesso aberto, livros e revistas, de todas as áreas científicas como tecnologia, medicina, humanidades e ciências sociais.

 

Informação Estatística

Eurostat

Eurostat é o serviço estatístico da União Europeia. Tem como missão fornecer estatísticas de alta qualidade da Europa. A plataforma oferece toda uma série de dados importantes que governos, empresas, instituições de ensino, jornalistas e público em geral podem utilizar.

Instituto Nacional de Estatística (INE)

O INE produz, de forma independente e imparcial, informação estatística oficial de qualidade, relevante para a Sociedade, promovendo a coordenação, a análise, a inovação e a divulgação da atividade estatística nacional, garantindo o armazenamento integrado de dados.

PORDATA

PORDATA recolhe, organiza, sistematiza e divulga a informação sobre múltiplas áreas da sociedade, para Portugal, municípios e países europeus. As estatísticas divulgadas são provenientes de fontes oficiais e certificadas, com competências de produção de informação nas áreas respetivas.

Educação e Psicologia

Recursos Subscritos

Academic Search Complete

Academic Search Complete é uma base de dados de texto integral de revistas multidisciplinares com revisão por pares. Além do texto integral, esta base de dados oferece indexação e resumos de publicações, incluindo monografias, relatórios, atas de conferências, entre outros. A base de dados apresenta conteúdo em PDF desde 1887.

B-on

Biblioteca do Conhecimento Online (b-on) disponibiliza o acesso ilimitado e permanente a textos integrais de milhares de revistas científicas e livros de vários fornecedores de conteúdos, através de assinaturas negociadas a nível nacional.

EBSCO Discovery Service (EDS)

EBSCO Discovery Service (EDS) fornece acesso à coleção inteira dos recursos de informação digitais disponíveis na biblioteca. Pesquise conteúdos de bases de dados em texto integral e bases de dados de citações.

EBSCO eBook Collection

Pesquise e aceda a livros e capítulos de livro em texto integral.

EBSCO University Press eBook Collection

Coleção multidisciplinar que disponibiliza o acesso a mais de 38 000 ebooks publicados por mais de 90 editoras académicas.

Education Source

Education Source é dirigida a investigadores na área da educação. Inclui revisas científicas, livros, atas de conferências e recensões. Utiliza vocabulário controlado para pesquisar testes educativos. Abrange todos os níveis de ensino desde a infância até ao ensino superior e compreende especialidades educativas, como multilinguismo e saúde, ensino à distância, financiamento governamental, educação multicultural / ética, questões sociais, formação profissional, entre outros.

ERIC (Education Resource Information Center)

ERIC (Education Resource Information Center) fornece acesso a revistas científica e recursos educativos. A base de dados contém revistas científicas indexadas no Current Index of Journals in Education e Resources in Education Index. Os conteúdos incluem periódicos, artigos, relatórios, material de conferências, teses e dissertações, e livros desde 1966.

OpenDissertations

OpenDissertations é uma base de dados construída para localizar dissertações e teses históricas e contemporâneas. Disponibiliza o acesso a recursos desde o século XX.

PsycArticles

PsycArticles é a fonte de artigos científicos em texto integral, com revisão por pares, da área da psicologia. Inclui todos os artigos, recensões, cartas ao editor e erratas de cada revista. Inclui revistas desde 1894.

PsycBooks

PsycBOOKS contem livros e capítulos publicados pela APA, e outros editores de renome, e inclui conteúdo digitalizado da Archives of the History of American Psychology (AHAP).

Psychology and Behavioral Sciences Collection

Psychology and Behavioral Sciences Collection é uma base de dados de revistas científicas especializadas em características emocionais e comportamentais, psiquiatria e psicologia, processos mentais, antropologia e métodos observacionais e experimentais.

Publication Finder

Publication Finder oferece uma experiência de pesquisa intuitiva e inclui uma série de recursos como a sugestão de revistas durante a pesquisa, hiperligações para o texto integral, classificação de relevância e navegação por área científica.

ScienceDirect

ScienceDirect é uma plataforma multidisciplinar de acesso às publicações da editora Elsevier. Disponibiliza revistas científicas, artigos, livros e capítulos de livros.

Scopus

Scopus é uma base de dados de metainformação e citações de publicações com revisão por pares, tais como, revistas científicas, livros e atas de congressos. Fornece uma visão abrangente da produção científica internacional nas áreas de tecnologia, medicina, ciências sociais ou artes e humanidades. A Scopus apresenta ferramentas avançadas de pesquisa, análise e visualização de resultados. Através do índice de citações é possível analisar o número de citações de publicações ou de autores.

Taylor & Francis

Interface de pesquisa da Taylor & Francis, que disponibiliza o acesso a mais de 1900 revistas científicas publicadas pela editora.

Teacher Reference Center

Coleção de revistas em texto integral na área da Educação. Permite o acesso a cerca de 230 revistas com revisão por pares.

Web of Science

Web of Science permite aceder a uma variedade incomparável de recursos de informação publicados numa lista de revistas científicas rigorosamente selecionada. Pesquise novas informações através de metadados e citações meticulosamente agregados.

 

Recursos em Acesso Aberto

Frontiers

Frontiers é uma editora multidisciplinar de revistas em Acesso Aberto.

MDPI

MDPI é uma editora multidisciplinar de revistas com revisão por pares em Acesso Aberto.

OAPEN Library

OAPEN Library disponibiliza em Acesso Aberto livros académicos nas áreas das humanidades e ciências sociais. OAPEN colabora com editores que garantem a qualidade das publicações e promove para editores, bibliotecas e financiadores de ciências serviços de depósito, disseminação e preservação digital.

OECD iLibrary

OECD iLibrary é a biblioteca digital da Organização para a Cooperação e Desenvolvimento Económico (OCDE). Disponibiliza livros, artigos e é o ponto de acesso para os dados estatísticas da OCDE.

OpenEdition Books

OpenEdition Books é uma plataforma de livros em acesso aberto da área das humanidades e ciências sociais.

OpenEdition Journal

OpenEdition Journals é uma plataforma de revistas da área das humanidades e ciências sociais, sendo que 95% dos artigos estão disponíveis em texto integral.

PQDT (ProQuest Dissertations & Theses Open)

PQDT Open fornece acesso ao texto integral de teses e dissertações em Acesso Aberto de várias áreas científicas.

RCAAP (Repositórios Científicos de Acesso Aberto de Portugal)

RCAAP tem como objetivos a recolha, agregação e indexação dos conteúdos científicos em acesso aberto existentes nos repositórios institucionais das entidades nacionais de ensino superior e de outras organizações de I&D.

SciELO

A Scientific Electronic Library Online – SciELO é uma biblioteca digital que abrange uma coleção selecionada de revistas científicas. O Projeto tem por objetivo o desenvolvimento de uma metodologia comum para a preparação, armazenamento, disseminação e avaliação da produção científica em formato digital. Todo o conteúdo está em Acesso Aberto.

 

Informação Estatística

Eurostat

Eurostat é o serviço estatístico da União Europeia. Tem como missão fornecer estatísticas de alta qualidade da Europa. A plataforma oferece toda uma série de dados importantes que governos, empresas, instituições de ensino, jornalistas e público em geral podem utilizar.

Instituto Nacional de Estatística (INE)

O INE produz, de forma independente e imparcial, informação estatística oficial de qualidade, relevante para a Sociedade, promovendo a coordenação, a análise, a inovação e a divulgação da atividade estatística nacional, garantindo o armazenamento integrado de dados.

PORDATA

PORDATA recolhe, organiza, sistematiza e divulga a informação sobre múltiplas áreas da sociedade, para Portugal, municípios e países europeus. As estatísticas divulgadas são provenientes de fontes oficiais e certificadas, com competências de produção de informação nas áreas respetivas.

Espanha

Gonçalo Saraiva Martins: "A crise energética e o hidrogénio verde"

Portugal e a Europa vivem uma das maiores crises energéticas de que há memória, em larga medida resultado da guerra e das suas consequências no plano do abastecimento de gás e de petróleo. Mas não só. Era já muito evidente a insustentabilidade do nosso modelo energético. Não por acaso, a estratégia europeia evoluiu para um modelo de transição para fontes de energia limpa, de preferência renováveis. Veja-se, a este propósito, que mesmo antes da guerra, e no contexto da recuperação das economias europeias da recessão causada pela pandemia, o PRR, tal como desenhado pelas instituições europeias, elegeu a transição energética como um dos pilares do futuro da economia europeia, no qual vale a pena investir.

Vem isto a propósito da aposta recente no hidrogénio verde, a partir da estratégia nacional para o hidrogénio.

Nota: Artigo completo disponível no Jornal Económico.

Ricardo Tomé: "Voltamos ao mesmo"

Pronto. É oficial. Depois de o Instagram andar a testar a solução, eis que também o Facebook a vai introduzir. Ambas as plataformas usaram as contas de amigos e marcas que nós decidimos seguir para decidir os posts dessas páginas e pessoas a mostrar. Mas agora, numa resposta à popularidade do TikTok e do seu For You Page, introduzirão o Home, que passa a incluir sugestões de posts/conteúdos de pessoas e páginas que não seguimos. Voltamos à mesma pergunta: quem e por que me escolhem isto?

Atenção que já mantínhamos a pergunta no Google e no TikTok. Ela simplesmente se renova. E aos utilizadores ela mantém-se inalterada e com respostas dadas que sempre soam suspeitas. A cada anúncio “recomendado” e que parece ter tido influência de um qualquer esquema de escutas dos microfones do telemóvel a fórmulas matemáticas dignas de um Nobel, já todos ouvimos tanto que no final sobra apenas uma coisa: desconfiança.

Artigo completo disponível na Meios & Publicidade.

 

 

Espanha
Espanha

Sofia Marques: "Se não soubermos quais são as causas dos abusos, não estamos verdadeiramente a preveni-los"

Nenhuma criança deve ficar a sós com um adulto, sem que outro tenha conhecimento. As salas, com vidros ou acrílicos nas portas, são mais seguras e por isso mais indicadas para conversas individuais entre um adulto e uma criança. Estas são algumas das estratégias abordadas nas ações de formação dinamizadas pelo Projeto Cuidar, que pretendem proteger menores e pessoas vulneráveis de qualquer forma de maus-tratos ou abusos.

Em entrevista à Renascença, Sofia Marques, coordenadora desta iniciativa, criada em 2020, defende que “é fundamental estudarmos as causas dos abusos a partir de situações concretas” e perceber o contexto de vida de cada abusador.

Numa altura em que decorrem campos de férias, um pouco por todo o país, Sofia Marques, que é também coordenadora do Serviço de Proteção e Cuidado de menores e adultos vulneráveis da Companhia de Jesus, sublinha a importância de perceber o “impacto que temos no outro”. E conta que todos os animadores e sacerdotes envolvidos nestas atividades frequentam ações de formação.

O projeto Cuidar apoia organizações que trabalham com crianças, jovens e pessoas vulneráveis na promoção dos cuidados das mesmas e na prevenção da ocorrência de crimes como abusos sexuais e maus-tratos. Em que consiste este trabalho?
O projeto Cuidar está ligado a um centro de estudos, o CEPCEP [Centro de Estudos da Faculdade de Ciências Humanas] que está integrado na Universidade Católica Portuguesa, com um apoio financeiro específico, para esta missão. O intuito inicial era dar apoio às organizações católicas, mas depois foi estendido a outras. Este projeto teve e ainda tem, porque vai ter continuidade, várias áreas de ação. Uma delas ligada à formação, outra ligada mais à consultoria e outra à investigação. Estes foram os principais eixos de trabalho do Cuidar, nestes últimos dois anos.

Nota: Artigo completo disponível na Renascença.

João Pereira Coutinho: "Nas nuvens"

As cenas de pugilato, em que os viajantes são removidos dos seus legítimos lugares à força, não param de crescer. Nos EUA, uma forma de lidar com estas barbáries passa por “leilões do avesso”: o passageiro, no momento do check-in, já informa qual é o seu preço para ceder o lugar.

Foi há muitos anos, numa das primeiras férias longe do olhar parental: cheguei ao aeroporto para embarcar. Uma senhora gentil informou-me que já não havia lugar para mim. Sorri. Disse-lhe que devia ser engano, com certeza, eu até tinha um bilhete.

Nota: Este Artigo está disponível em dois formatos na Sábado: Leitura e Áudio.

João Pereira Coutinho: "Horas de aperto"

Ao mesmo tempo que já controla 20% do território ucraniano, onde comete as suas atrocidades em paz e sossego, Putin faz lembrar Khrushchev, quando este dizia: “Berlim são os testículos do Ocidente. Sempre que eu quero que o Ocidente grite, eu aperto Berlim”.

VLADIMIR PUTIN lá vai brincando: liga o gás, desliga o gás, liga outra vez, desliga só um pouco. A Europa treme, os preços disparam, Putin sorri, Bruxelas quer solidariedade entre Estados-membros na partilha da energia, alguns recusam, outros acusam, e Putin liga o gás, e desliga, e volta a ligar. Parece um gato a brincar com um novelo de lã.
E então eu penso: ah, como tudo teria sido mais fácil se, desde o início, a Europa (e os Estados Unidos) tivesse respondido à invasão russa da Ucrânia com outra firmeza! Bastava ter olhado para a invasão como um ataque directo aos interesses europeus – não apenas de segurança, mas económicos e energéticos.
 

Nota: Este Artigo está disponível em dois formatos na Sábado: Leitura e Áudio.

Martinho Lucas Pires: "Paradoxos no "paraíso"

O clima para negócios cripto anda “nublado”. Criaram-se condições generosas para atrair talento e capital. Mas, por outro lado, colocam-se entraves práticos ao desenvolvimento da atividade.

Portugal, “país do sol”, tornou-se nos últimos anos um destino turístico concorrido, bem como o reduto de uma significativa comunidade de trabalhadores digitais, alguns deles programadores de protocolos e aplicações blockchain. Graças à tomada de posição da Autoridade Tributária, que decidiu por não taxar as mais valias ganhas por investimentos não profissionais em criptoativos, Portugal tornou-se, sem querer, um hub interessante para investidores nesse tipo de instrumentos, ganhando o título mediático de “paraíso fiscal cripto” na imprensa internacional.

A postura do Governo sobre a regulação dos criptoativos é mais cinzenta do que clara. O ministro das Finanças afirmou estar a estudar qual a melhor maneira de enquadrar fiscalmente as atividades com criptoativos; no entanto, não se vislumbra qualquer novidade no horizonte.

Quanto ao regular da atividade comercial, o Governo parece estar a aguardar pela publicação do Market in Crypto Assets Regulation (denominado por “MiCA”) da União Europeia, que trará novas regras de mercado, uniformes em todos os Estados-membros. Durante este hiato, resta apenas às entidades que desejam desenvolver negócios de compra e venda de ativos a legislação existente sobre branqueamento de capitais, que as obriga a um registo junto do Banco de Portugal.

Existem já algumas entidades com o registo efetuado. Ora, soube-se recentemente que algumas dessas entidades não conseguem abrir contas em bancos nacionais, que estão por seu turno a fechar e a rejeitar qualquer interação com entidades relacionadas com esse tipo de negócio. Basta que soe a palavra “cripto” para que a oportunidade se esfume, como se se tratasse de um ativo tóxico e nocivo.

Nota: Artigo completo disponível no Jornal Económico.

Suécia

Francisca Guedes de Oliveira: "Tempos de incerteza"

Um dos fatores para a definição de políticas é se esta inflação é mais conjuntural ou mais estrutural. Uma parte dela, pequena, é controlada pelos decisores políticos. Mas o resto é um exercício complicado de adivinhação.

A Economia é uma ciência cheia de incertezas. Pela sua natureza humana e social, não podia ser de outra forma. Nós, economistas, tentamos controlar alguma desta incerteza construindo modelos econométricos mais ou menos complexos que nos permitam fazer previsões com relativo grau de confiança.

Mas este tempo que vivemos agora é para a ciência e os cientistas particularmente frustrante. Com novos e inesperados fatores em jogo (nomeadamente a pandemia e a guerra) o aumento do grau de incerteza tem sido uma constante, tornando muito mais complicado qualquer forma de previsão. E a dificuldade de fazer previsões torna difícil definir políticas, uma vez que os cenários onde estas políticas podem impactar aumentam e se tornam mais difusos.

Uma das variáveis que nos últimos 20 anos não representava grande fonte de preocupação nas modelizações e previsões, era a inflação. Passamos as últimas décadas com uma inflação baixa (às vezes até baixa de mais) que parecia mais ou menos resistente, mesmo no contexto de políticas monetárias expansionistas.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

 

Que desafios traz o segundo semestre para as empresas: XXV Barómetro Executive Digest

A atracção e retenção de pessoas continua a ser dos principais temas para os gestores. Mas já há alertas sobre a retracção.

Este Barómetro conta também com a análise dos especialistas:

  • Vítor Ribeirinho, CEO / Chairman da KPMG
  • José Gonçalves, Presidente da Accenture Portugal
  • José Miguel Leonardo, CEO da Randstad Portugal
  • Rui Lopes Ferreira, CEO da Super Bock Group
  • Nelson Pires, General Manager da Jaba Recordati
  • Rui Minhós, Administrador e Director de Assuntos Institucionais da Tabaqueira
  • Rui Soucasaux Sousa, Dean da Católica Porto Business School 
  • José Galamba de Oliveira, Presidente da AP Seguradores
  • Paulo Teixeira, Director-Geral da Pfizer Portugal 

Nota: Pode consultar o barómetro aqui. Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa da Executive Digest nº 197 (Agosto 2022).

João Moreira de Campos: "A pobreza não se instrumentaliza"

O crescimento do produto não se traduz automaticamente no aumento do bem-estar material de que usufruem os habitantes de um dado território.

O debate em torno da capacidade existente na economia nacional para gerar riqueza tem vindo a intensificar-se em diferentes esferas. Não raras vezes, os argumentos apresentados baseiam-se nos níveis registados noutros países, a partir dos quais se equacionam os putativos fatores que possibilitam ritmos de crescimento mais elevados. Neste sentido, o Produto Interno Bruto é tido como a principal métrica do sucesso das opções coletivas tomadas e das políticas públicas implementadas, conferindo à noção de pobreza relativa um lugar central nas narrativas construídas. Pressupõe-se, assim, que uma inferior capacidade para produzir riqueza corresponde a um menor bem-estar material de que usufruem as pessoas residentes em Portugal, por comparação com o que se observa em latitudes distintas.

Os termos de comparação escolhidos passam, com frequência, pela Irlanda, pelos três Estados comummente associados ao mar Báltico e, desde há pouco tempo, pela Roménia. Na sequência da adesão à União Europeia, oficializada em janeiro de 2007, a criação de riqueza na Roménia tem crescido a uma taxa média anual que ronda os 3%, excluindo o efeito da inflação, o que a aproxima do montante produzido por residente em Portugal, caso não sejam consideradas as diferenças entre os níveis de preços praticados em ambos os países.

Nota: Este artigo faz parte dos conteúdos exclusivos para assinantes do Público.

Congresso Missionário debate necessidade de abertura ao diálogo com as religiões

Acontece de 14 a 15 de outubro, em Lisboa. Organizadores apontam que “aprender como viver juntos" como a questão essencial.

É urgente derrubar as “fronteiras que impeçam a fraternidade”. O apelo é dos promotores do Congresso Missionário "Fraternidade Sem Fronteiras" que debate, em Lisboa, de 14 a 15 de outubro, a necessidade abertura ao diálogo com as religiões.

[...]

O Cardeal espanhol D. Miguel Ángel Ayuso Guixot, presidente do Pontifício Conselho para o Diálogo Inter-Religioso, o ex-ministro Guilherme d"Oliveira Martins, D. José Ornelas, presidente da Conferência Episcopal Portuguesa e o Cardeal José Tolentino Mendonça, bibliotecário do Vaticano, são alguns dos oradores do congresso que discute “a fraternidade na política, na economia, no modelo social, na missão e no diálogo intercultural e inter-religioso”.

Organizado pelas Congregações Missionárias, as Obras Missionárias Pontifícias e a Conferência Episcopal Portuguesa, o congresso terá lugar na Universidade Católica Portuguesa, em Lisboa, em outubro.

Nota: Artigo completo disponível na Renascença.

Categorias: A Católica

Suíça

Salários ainda não dão sinais de estar a contaminar fantasma da "espiral inflacionista", mas OE será decisivo

Pressões inflacionistas com origem nos salários ainda estão "relativamente fracas" em Portugal, dizem economistas. Mas espiral assombra horizonte? "Tudo depende do sinal" que o Governo der no OE.

As pressões inflacionistas — ou a “espiral inflacionista”, expressão repetida pelo Governo — foi o fantasma usado pelo Executivo para contrariar os pedidos de subida dos ordenados dos funcionários públicos além dos 0,9% (decididos antes da guerra e da escalada da inflação e, portanto, insuficientes para evitar a perda de poder compra). A argumentação, então, era que a inflação seria temporária e que carregar nos aumentos salariais só a prolongaria. Para já, não há sinais em Portugal de que as subidas dos salários estejam a fomentar mais inflação, dizem os economistas ouvidos pelo Observador. Mas alertam que os próximos tempos podem trazer o fantasma da “espiral inflacionista” à superfície. E, nesse capítulo, o Orçamento do Estado para 2023 será decisivo — pelo “sinal” que o Governo der nas pensões e nos salários da função pública.

No primeiro trimestre do ano, o salário médio (mais concretamente, a remuneração bruta total mensal média por trabalhador) subiu 2,2% face ao mesmo período do ano anterior (embora, com o "imposto" inflação, a perda real tenha sido de 2%). Esta tendência foi acelerada nos três meses seguintes: no trimestre terminado em junho, os salários já cresceram 3,1% face a período homólogo (com o corte da inflação, a perda real foi de 4,6%). O avanço médio de 3,1% não significa uma pressão inflacionista, garantem os economistas contactados pelo Observador.

João Borges de Assunção, professor da Universidade Católica, considera, aliás, que subidas homólogas nominais nos salários entre 3% e 3,5%, como aconteceu no primeiro e segundo trimestres, são "relativamente normais desde que Portugal aderiu à moeda única". Daí que acredite que "as pressões inflacionistas oriundas dos salários ainda estão relativamente fracas em Portugal".

Nota: Este artigo faz parte dos conteúdos exclusivos para assinantes do Observador.

Francisca Guedes de Oliveira: "A semana de quatro dias"

No passado dia 13 de junho tive o prazer de ouvir no podcast “Perguntar não ofende” de Daniel Oliveira, Pedro Gomes, professor na Universidade de Birkbeck, falar sobre a semana de quatro dias. Gostei imenso de o ouvir porque me ajudou a organizar as minhas próprias ideias sobre o tema.

Alguns tópicos que me pareceram fundamentais.

Em primeiro lugar não há nenhum motivo económico para a economia ter que funcionar, na maioria das atividades, em cinco dias. Mais, o funcionamento em quatro dias com três de descanso, consecutivos, seria fundamental para potenciar um conjunto de atividades de lazer e de descanso e, concomitantemente, potenciar o crescimento do consumo.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

Adesão da Ucrânia à União Europeia

Nuno Sampaio, docente no Instituto de Estudos Políticos, da Universidade Católica Portuguesa, foi o convidado na entrevista Antena 1, no dia 23 de junho de 2022.

Pode ouvir o comentário de Nuno Sampaio aqui a partir de 00:30

Competências essenciais para trilhar uma carreira na advocacia

Jornal Económico: Quais são as novas skills necessárias para singrar na advocacia?

Ana Taveira da Fonseca: As Universidades devem dotar os seus estudantes de ferramentas que permitam suportar uma vida profissional longa. É, por isso, fundamental continuar a investir numa formação de base sólida e exigente. Isto não significa que os cursos não devam evoluir e proporcionar novas competências. Quando saem das Universidades, os jovens juristas devem estar preparados para trabalhar em contextos internacionais, mesmo que exerçam a sua profissão em Portugal. Conhecimentos aprofundados de finanças empresariais, de contabilidade financeira e de outras áreas da gestão de empresas têm-se revelado imprescindíveis para aqueles que pretendem trabalhar na área do direito dos negócios. É também importante que sejam capazes de abraçar os desafios que a evolução tecnológica trará, com toda a certeza, para o exercício das profissões jurídicas

Jornal Económico: Na sua perspetiva, as Escolas de Direito já estão a incorporá-las nas suas formações?

Ana Taveira da Fonseca: A licenciatura em Direito da Escola de Lisboa da Faculdade de Direito da UCP oferece um vasto leque de disciplinas optativas e obrigatórias, que integram o Transnational Law Curriculum, lecionadas em língua inglesa, através das quais se pretende que os alunos tenham do Direito uma perspetiva menos nacional e mais global. Na oferta de 2.º ciclo, temos um programa interdisciplinar em Direito e Gestão que permite aos alunos adquirir competências aprofundadas na área da gestão de empresas. Na licenciatura em Direito disponibilizamos várias disciplinas optativas na área do direito e tecnologia como o Direito e Inteligência Artificial, Blockchain and the Law, Introduction to Law in a Digital Economy, Digital Surveillance, Digital Governance, e Technology and the Laws of War. Nos Mestrados lecionados em língua portuguesa são oferecidas disciplinas como Fiscalidade das Indústrias Digitais e Plataformas Digitais. 

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal Económico de 24 de junho de 2022.

Ricardo Tomé: "Sabe qual é a melhor amiga do algoritmo?"

Num dia normal, terminamos o mesmo tendo referido a palavra “algoritmo” algumas dezenas de vezes. Debatemo-nos com as contas e as lógicas tentando entender (entre o limite do desespero e o entusiasmo do desafio) como jogar o jogo a nosso favor. Mas um bom exercício é colocarmo-nos, não deste lado, mas do lado das plataformas e percebermos como fazer o algoritmo funcionar.

A resposta à questão deste texto é breve e segue dentro de momentos. Mas comecemos pelo básico: um algoritmo precisa de informação. Para o cálculo lógico da atribuição de valor para o qual foi programado deve obrigatoriamente obter indicadores. São esses que depois terá em conta e entrarão na célebre equação mágica e desconhecida. É com base nesses que sairá um output (mostra A em vez de B).

Artigo completo disponível na Meios & Publicidade.

José Azeredo Lopes: "A urgência do tempo ucraniano"

Tivemos na última semana dias francamente maus, com avanços das forças russas em Lugansk, com o penacho da conquista de Severodonetsk e a previsível queda próxima de todo o oblast nas mãos do invasor. Como não há mal que sempre dure, a reunião do G7 (terminada ontem) e a Cimeira da NATO em Madrid (que começa hoje) dão-nos razões para acreditar que ainda há muito para jogar.

No plano operacional, deve dar-se o devido desconto à propaganda permanente e já cansativa que nos diz que a Rússia é incapaz desde há meses e está quase a colapsar ainda há mais tempo. Tenha-se presente que o conflito ainda não tinha começado há um mês e já os jornais reportavam que o Ministério da Defesa ucraniano “acredita que as forças russas têm apenas munições, combustível e alimentos suficientes para três dias”.

Artigo completo disponível na CNN Portugal.

 

Espanha

Paulo Cardoso do Amaral: "Os criptoactivos no combate ao branqueamento de capitais"

A Reuters publicou recentemente um excelente artigo de investigação dedicado à fraude e ao branqueamento de capitais, entre outros, na esfera da Binance, a qual é um dos mais importantes Exchanges de criptoactivos da actualidade. Aliás, a fraude, incluindo o branqueamento de capitais, tem sido apontada como um dos principais problemas associados à utilização da Blockchain.

Porém, como tudo na vida, os dois lados da moeda também se aplicam à tecnologia, e nem a internet foi excepção, com exemplos lamentáveis como a Darkweb ou a “Guerra da Informação” e a sua manipulação das redes sociais. Portanto, também temos de contar com este lado obscuro da tecnologia para dela podermos usufruir como merecemos. Assim, para aproveitarmos as vantagens incomensuráveis da auto-execução ecossistémica possibilitada pela Blockchain, já aqui sobejamente referidas, vamos ter de aprender a lidar com os seus riscos, branqueamento de capitais incluído.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

Filipe Santos: "50 anos uma reflexão pessoal"

Dia 9 de julho celebrei 50 anos de vida. Coincidentemente, este ano a Católica-Lisbon também celebra 50 anos de existência. E, em breve, o nosso país irá celebrar 50 anos de democracia. Dadas estas datas marcantes, este meu artigo terá um cunho mais intimista.

50 anos é um bom marco para balanços, do que foi realizado, do seu impacto e das oportunidades de futuro. Esse balanço pode ser feito a nível pessoal, organizacional e nacionaL O elemento comum, seja qual for o nível, é a noção de impacto diferencial-a diferença positiva que aquilo que fazemos gera na vida e bem-estar das pessoas.

A nível pessoal, o impacto pode medir-se na relação com o outro - na generosidade com que a encaramos e a inteligência com que a gerimos. A noção essencial é a criação de valor - o que cria maior valor futuro para aqueles que estão em relação comigo e como vou gerir essa relação para gerar esse valor.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 12 de julho de 2022.

A formação de topo não tem fronteiras

Reconhecida nacional e internacionalmente, a Católica Porto Business School (CPBS) enraíza-se num paradigma de exigência e qualidade. A ética e a sustentabilidade são centrais à sua missão, do mesmo modo que o desenvolvimento dos estudantes de forma integral faz parte do seu ADN.

Inovação com impacto. Mentalidade global. Ligações à prática. São os eixos estratégicos da CPBS que, ao longo de mais de 30 anos, tem preparado profissionais de excelência para os negócios globais nas áreas da gestão e da economia, com carreiras em Portugal e no estrangeiro.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 12 de julho de 2022.

 

 

Ovo português que não nasceu da galinha ganha BfK Awards

O projeto do notEggo resultou na criação de um ovo que não nasceu de nenhuma galinha, adequado para diferentes dietas e consumidores com restrições alimentares e alergias, 100% vegetal, onde se pode separar a ‘clara’ da ‘gema’ e que tem uma pegada ambiental bastante inferior à do ovo natural. A Escola Superior de Biotecnologia da Universidade Católica Portuguesa acaba de conquistar um galardão Born from Knowledge da Agência Nacional de Inovação com esta iniciativa.

Artigo completo disponível na Exame Informática.

Vamos falar de saúde mental no local de trabalho?

“Problemas de saúde mental no local de trabalho afectam não só os colaboradores, mas também a productividade e a competitividade das empresas e, consequentemente, a economia e a sociedade em geral”, revelam responsáveis da Organização Mundial de Saúde. Segundo esta entidade mundial, os problemas relacionados com a saúde mental tornaram-se uma das principais causas de absentismo laboral e de reformas antecipadas por toda a Europa e estão actualmente nas prioridades das agendas das empresas.

De facto, de acordo com a Sociedade Portuguesa de Psiquiatria e Saúde Mental, Portugal tem a segunda mais alta prevalência de doenças de foro psiquiátrico (22.9%) e estudos recentes revelam que cerca de 57% da população portuguesa sofre de algum stress psicológico.

Artigo completo disponível na Human Resources

Cuidados paliativos: Católica participa em projeto europeu com financiamento em mais de cinco milhões de euros

O projeto PALliative Care Yields Cancer welLbEing Support (PAL-CYCLE) tem como objetivo suavizar a transição entre o hospital e o domicílio para doentes com cancro, bem como melhorar a sua qualidade de vida.

De acordo com a investigadora do Centro de Estudos em Gestão e Economia (CEGE) da Católica Porto Business School e coordenadora em Portugal do projeto, está a ser investigada “se uma transição ótima de cuidados pode ser facilitada desde os cuidados hospitalares aos cuidados comunitários, de modo a que os doentes possam permanecer no domicílio durante mais tempo, recebendo cuidados paliativos de elevada qualidade, resultando numa melhor qualidade de vida para doentes com cancro em fase avançada e no fim de vida e seus familiares, promovendo uma comunicação compassiva sobre temas eticamente sensíveis, diminuindo hospitalizações desnecessárias e minimizando o sofrimento”.

Nota: Artigo completo disponível na Health News.

Categorias: Investigação

João César das Neves: "O suicídio da civilização"

A situação mundial é, de novo, crescentemente preocupante: inflação explosiva, ruturas de fornecimentos e riscos de derrocada económica. Aumentam os avisos de uma possível fome global e faltas de energia no Outono. Já nesta Primavera a carestia gerou tumultos em países como Sri Lanka, Iraque, Sudão, Albânia, etc. Num mundo ainda a sair da pior crise dos últimos 75 anos, causada por um vírus microscópico, é fácil ficar assustado. Mas o verdadeiro perigo não é nenhum destes.

Se a humanidade descrevesse o pior pesadelo da história, certamente lembraria os terríveis quinze anos de 1914 a 1929, onde a sequência da Grande Guerra de 1914-18, a epidemia da Gripe Espanhola em 1918-20 e a derrocada financeira de 1929 conduziram à calamidade global dos quinze anos de 1930 a 1945, com a devastadora Grande Depressão e a maior catástrofe da humanidade, a 2ª Guerra Mundial. 

Artigo completo disponível no Observador.

Espanha

Luís Marques lidera MBA Executivo da Católica Porto Business School

O MBA Executivo da Católica Porto Business School (CPBS) vai passar a ser dirigido por Luís Marques, que é professor auxiliar convidado nesta escola desde 2011 e que é atualmente administrador da Rangel Logistics Solutions.

Doutorado em Gestão pela Faculdade de Economia da Universidade do Porto (FEP), o sucessor de Ana Côrte-Real já foi também administrador da APA – Administração do Porto de Aveiro (2005 a 2014), onde foi igualmente diretor administrativo e Financeiro, tendo passado antes pela PwC e pela CFA – Cravo, Fortes, Antão & Associados.

Artigo completo disponível no ECO

Durão, honoris causa da Católica

A Universidade Católica vai atribuir o grau de doutor honoris causa ao ex-presidente da Comissão Europeia e diretor do Centro de Estudos Europeus da UCP, José Manuel Durão Barroso.

Nota: Pode ler esta notícia na edição impressa do Jornal Expresso de 29 de julho de 2022.

 

Reitora da Universidade Católica lembra João Seabra. "Uma figura que marcou gerações de estudantes"

A Universidade Católica Portuguesa (UCP) está de luto pelo falecimento de João Seabra, antigo capelão que morreu esta sexta-feira, aos 72 anos, após doença prolongada.

Numa nota enviada ao DN, a reitora Isabel Capeloa Gil fala do padre João Sabra como alguém a quem se observava "a simplicidade desarmante da vida, aliada a uma fidelidade rigorosa aos princípios". "Serviu de forma leal a Universidade Católica e foi uma figura que marcou gerações de estudantes, comprometido com uma educação de valores e orientada para o bem comum. O seu testemunho não será esquecido", refere.

Numa nota oficial da UCP, assinado pela reitora, é destacado que "o cónego foi um dos docentes e pastores que mais marcou o desenvolvimento da universidade nos seus 55 anos de existência", tendo sido homenageado com a Medalha de Ouro da UCP "pelos relevantes serviços a ela prestados e à Igreja".

Artigo completo disponível no Diário de Notícias.

Categorias: A Católica

Espanha

Análise à guerra na Ucrânia

Francisco Proença Garcia, docente no Instituto de Estudos Políticos, da Universidade Católica Portuguesa, foi o convidado no programa 360º, da RTP 3, no dia 4 de junho de 2022.

Pode ver o comentário de Francisco Proença Garcia aqui a partir de 25:00

Espanha

Francisco George: "Canábis"

É tempo de falar da canábis. A este propósito há que aplaudir a iniciativa de João Taborda da Gama que escreveu um atraente ensaio intitulado Regular e proteger: por uma nova política de drogas, publicado pela Universidade Católica. Trabalho oportuno que devia merecer a atenção de titulares de órgãos de soberania, incluindo os deputados do Parlamento.

Precise-se o tema da canábis.

Ora, o haxixe, à semelhança de tantas substâncias naturais, extraídas a partir de outras espécies vegetais*, tem indicação médica em certas situações. É obtido a partir de plantas das variedades Cannabis sativa e da Cannabis indica. A preparação para ser consumida é artesanal e muito simples (por maceração). Pode ser inalado (fumo), ingerido ou aplicado em creme.

Artigo completo disponível no Diário de Notícias.

Categorias: A Católica

Católica Porto Business School: Formação traz retorno pessoal

Em entrevista à Executive Digest, Carlos Vieira, director executivo para a Formação Executiva da Católica Porto Business School, explica como estes factores estão a potenciar um aumento da formação executiva, de iniciativa das empresas, e os principais desafios da instituição.

E depois da pandemia, surgiu o conflito na Ucrânia. Que efeitos tem esta nova situação nas vossas actividades? E nos vossos planos para 2022?

A expectativa que tínhamos, no pós-pandemia, era a de uma retoma geral da actividade de formação, mas com o foco nas formações presenciais que entendemos como as que melhor representam o modelo de educação e formação na Católica Porto Business School, incluindo a sua formação executiva. O facto é que o ensino em modelo de blended learning ou modelo híbrido permitiu que não tivesse existido quebra na nossa actividade, nestes dois anos, principalmente nos programas abertos. Existiu, sim, uma quebra na formação incompany (a que é solicitada e desenhada para empresas específicas), mas também essa, ligeira.

Há cerca de dois meses, o sentimento das escolas de negócio, era o de que as empresas estariam mais optimistas e preparavam-se para investir mais em formação. Esta perspectiva está a verificar-se?

Sim, claramente. Pelo que referi atrás, as alterações que se verificam e que se perspectivam nos médio e longo prazos, vêm originar riscos e oportunidades, como em todas as situações de acção/reacção. O facto é que, por um lado, estas mudanças obrigam a pensar os negócios em função de um mundo em permanente mudança e, por outro, assiste-se a uma maior dificuldade na captação e manutenção do talento. Isso está a potenciar um aumento da formação executiva e de iniciativa das empresas.

Artigo completo disponível na Executive Digest.

Filipe Santos: "Liderar na era da incerteza"

Foi há 50 anos um momento importante. A Universidade Católica Portuguesa abriu a primeira licenciatura em Administração e Gestão de empresas em Portugal, a qual formou desde então várias gerações de lideres empresariais portugueses e conta com cerca de 10.000 graduados. Essa licenciatura, pioneira em Portugal, deu origem à Católica-Lisbon, a primeira business school portuguesa reconhecida internacionalmente, hoje uma escola de topo a nível mundial.

Há 50 anos, nessa primeira semana de aulas o professor de liderança Luís Caeiro dava uma das primeiras aulas danavalicenciatura sobre como gerir e motivar pessoas. Passados 50 anos, Luís Caeiro continua a inspirar os seus alunos e os executivos de empresas que vêm à Católica-Lisbon realizar asua formação. Ele vai publicar este verão, pela Universidade Católica Editora, o seu novo livro sobre "Liderança na Era da Incerteza". A experiência e profundidade do pensamento do Luís Caeiro são extraordinárias, e vale a pena seguir as suas ideias sobre o papel da incerteza na sociedade, as consequências da pandemia, as transformações nos modelos de trabalho, bem como as implicações para os líderes de lidarem com unia elevada incerteza.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal Negócios de 14 de junho de 2022.

Pedido de Serviços e Sugestões Online

Solicite o serviço pretendido ou coloque a sua questão/sugestão com recurso a um dos seguintes formulários (requer autenticação com as credenciais do Office 365)

Recorra ao serviço de referência e pesquisa para obter apoio especializado na pesquisa, recolha e gestão de recursos de informação, fundamentais nos projetos de investigação independentemente do ciclo de estudos.

Formulário

De forma complementar aos conteúdos disponibilizados no Portal de Formação das Bibliotecas da UCP pode solicitar a realização de iniciativas formativas, sobre inúmeros tópicos, personalizadas e adaptadas às necessidades de turmas ou outros grupos de utilizadores (independentemente da sua dimensão).

Formulário

As Bibliotecas da UCP asseguram a todos os membros da comunidade académica o serviço de digitalização de documentos, facilitando desta forma o acesso a importantes recursos de informação.

A prestação deste serviço obedece a alguns critérios e limites (três digitalização/mês para docentes, investigadores e alunos de doutoramento; duas digitalizações/mês para alunos de mestrado; uma digitalização/mês para alunos de licenciatura). As Bibliotecas da UCP reservam-se ainda ao direito de aferir da viabilidade da prestação do serviço em função do número de páginas e/ou percentagem de digitalização solicitada referente a uma determinada obra.

Formulário

Empréstimo interbibliotecas (efetuar pedidos a entidades externas à UCP) 

Recorra ao serviço de empréstimo interbibliotecas para aceder a recursos de informação que, não existindo nas Bibliotecas da UCP, podem ser solicitados a bibliotecas e centros de documentação nacionais e internacionais. 

Este serviço pode implicar custos, tais como, taxas de serviço, portes de envio, entre outros. Nestas situações, a execução do pedido fica condicionada à aceitação de um orçamento apresentado pelas Bibliotecas da UCP.

Formulário

Circulação de obras entre as Bibliotecas da UCP 

Todos os membros da comunidade académica podem solicitar que uma obra existente em qualquer das Bibliotecas da UCP seja deslocada para outra da sua conveniência, facilitando a sua consulta em qualquer dos campi da Universidade.

Formulário

Empréstimo interbibliotecas de entidades externas às Bibliotecas da UCP 

Este formulário destina-se a todas as bibliotecas e centros de documentação externos à UCP que desejam solicitar um qualquer recurso de informação disponível nas Bibliotecas da UCP. A viabilidade para a prestação do serviço e as condições para a execução do mesmo são avaliadas singularmente. 

Formulário

Qualquer membro da comunidade académica pode sugerir a aquisição de bibliografia inexistente nas Bibliotecas da UCP, relevante para a sua investigação e contribuindo para o enriquecimento do fundo monográfico existente. As sugestões são avaliadas pelos representantes das unidades de ensino, dependendo a aquisição de um parecer positivo.

Formulário

Constituindo as atividades culturais uma linha de atuação central para as Bibliotecas da UCP, e pretendendo-se que estas estejam fortemente alinhadas com os interesses e motivações da comunidade académica, podem a qualquer momento ser propostas atividades de cariz cultural e científico.

Formulário

Considerando que as Bibliotecas da UCP são responsáveis pela implementação, gestão e operacionalização de uma parte significativa das plataformas de ciência e publicação da Universidade Católica Portuguesa, qualquer membro da comunidade académica pode colocar questões de ordem prática ou conceptual sobre a utilização das mesmas.

Formulário

 

Pode, por esta via, colocar qualquer dúvida mais generalista ou apresentar sugestões às Bibliotecas da UCP.

Formulário

Contactos

Contactos gerais

Bibliotecas da UCP

bibliotecas@ucp.pt

Apoio às formações de utilizadores das Bibliotecas da UCP

formacao.bibliotecas@ucp.pt

Pesquisa, Recuperação e Gestão de Recursos de Informação

pesquisa.bibliotecas@ucp.pt

Suporte do Ciência-UCP, apoio à investigação e atribuição de DOI 

ciencia@ucp.pt

Suporte do Repositório Institucional (Veritati) 

repositorio@ucp.pt

Suporte do Portal das Revistas Científicas da UCP 

revistas@ucp.pt

Centros de Documentação Europeia

cde.sede@ucp.pt (Lisboa)
cde.porto@ucp.pt (Porto)


Contactos e horários por biblioteca

Biblioteca Pe. Júlio Fragata, SJ (Braga)

biblioteca.ffcs@ucp.pt
(+351) 253 206 100
Praça da Faculdade, 1, 4710-297 Braga, Portugal 

Horário regular:

2.ª a 6.ª feira das 8h30 às 13h00 - 13h30 às 17h30

Sábados das 8h30 às 12h30 (apenas através de marcação que poderão ser realizadas até às 17h30 da 6ª feira para biblioteca.ffcs@ucp.pt)

Biblioteca D. Manuel Vieira de Matos (Braga)

biblioteca.ft.braga@ucp.pt
(+351) 253 206 112
Rua de Santa Margarida, 4710-306 Braga, Portugal 

Horário regular:

2.ª a 5.ª feira das 8h30 às 12h00 - 13h00 às 17h00
6.ª feira das 8h30 às 12h00 - 13h30 às 17h00  

9Sábado das 9h00 às 13h00

Biblioteca Universitária João Paulo II (Lisboa)

biblioteca.lisboa@ucp.pt
(+351) 217 214 016/11
Palma de Cima, 1649-023 Lisboa, Portugal 

Horário regular:

2.ª a 6.ª feira das 9h00 às 21h00

Biblioteca da Faculdade de Medicina (Lisboa)

biblioteca.fm.lisboa@ucp.pt
(+351) 218 724 219
Estrada Octávio Pato, 2635-631 Rio de Mouro, Portugal

Horário regular:

2.ª a 6.ª feira das 9h00 às 18h00

Biblioteca do Paraíso (Porto)

biblioteca.porto@ucp.pt
(+351) 226 196 241
Rua de Diogo Botelho, 1327, 4169-005 Porto, Portugal

Horário regular:

2.ª a 6.ª feira das 8h30 às 20h30

Sábado das 9h00 às 13h00

Biblioteca D. José Pedro da Silva (Viseu)

bjps.viseu@ucp.pt
(+351) 232 419 500
Estrada da Circunvalação, 3504-505 Viseu, Portugal

Horário regular:

2.ª a 6.ª feira das 8h30 às 13h00 - 13h30 às 18h00

João Borges de Assunção: "A turbulência"

Os mercados financeiros mundiais regressaram a um período de forte turbulência.

Um indicador muito utilizado é a perda acumulada desde o último máximo. No caso do Índice S&P 500, que reúne as 500 maiores empresas americanas por capitalização bolsista, as perdas já são superiores a 20% desde o último máximo em janeiro deste ano.

Qual a origem do medo? Há explicações para todos os gostos.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 17 de junho de 2022.

Programa de atribuição de bolsas para refugiados

Caso necessite de mais informação para tomar a sua decisão, contacte-nos antes de submeter a sua candidatura através dos seguintes contactos:

Lisboa: secretariaescolar.sede@ucp.pt

Porto: admissions.porto@ucp.pt

Braga: servicosacademicos.braga@ucp.pt

Viseu: acchaves@ucp.pt

Licenciaturas

  • Business Administration (EN)*
  • Economics & Finance (EN)*
  • Serviço Social (PT)*
  • Psicologia (PT)*
  • Direito (PT)**
  • Ciência Política e Relações Internacionais (PT)**
  • Enfermagem (PT)*
  • Comunicação Social e Cultura (PT)*
  • Línguas Estrangeiras Aplicadas (PT)*
  • Filosofia, Política e Economia (PT)*

* 1 vaga para cada curso

** 2 vagas para cada curso

  • Economia (EN)***
  • Gestão (EN)***
  • Bioengenharia (PT)**
  • Ciências da Nutrição (PT)**
  • Microbiologia (PT)**
  • Enfermagem (PT)*
  • Psicologia (PT)*
  • Direito (PT)*

* 1 vaga para cada curso

** 1 vaga para o conjunto dos 3 cursos

*** 1 vaga para o conjunto dos 2 cursos

  • Ciências da Comunicação (PT)*
  • Filosofia (PT)*
  • Psicologia (PT)*
  • Serviço Social (PT)*

* 1 vaga para cada curso

  • Gestão (PT)*
  • Ciências Biomédicas (PT)*
  • Medicina Dentária (PT)*

* 1 vaga para cada curso

André Azevedo Alves: "A última oportunidade do PSD?"

A implantação nacional do PSD garante-lhe que não seguirá a curto prazo o destino do CDS mas a liderança de Luís Montenegro poderá muito bem ser a última oportunidade para o PSD manter a sua posição como um dos dois grandes partidos nacionais e alternativa natural de governação ao PS. Se Montenegro e quem o acompanha não forem capazes de inverter a trajetória de declínio do PSD, é bem possível que os resultados das legislativas de 2022 se apresentem apenas como um primeiro passo decisivo no sentido da reconfiguração do espaço da direita portuguesa no sentido do padrão mais comum no resto da Europa. Não é demais recordar que em múltiplos países europeus – com destaque para vários sociologicamente e culturalmente mais próximos de Portugal, como França, Espanha e Itália – os partidos tradicionais de centro-direita têm visto parte substancial do seu espaço tradicional ocupado por novos partidos. Essas novas forças partidárias são diferentes entre si mas todas incorporam pelo menos alguns elementos do que se convencionou designar como radicalismo ou populismo, numa linha cujo representante mais próximo em Portugal é inequivocamente o Chega, liderado por André Ventura.

Apesar de relativamente pouco conhecido, Montenegro tem uma boa imagem e um perfil combativo que pode ser adequado para o actual contexto. Seria no entanto um erro para o novo líder do PSD desvalorizar os riscos da concorrência directa de André Ventura. Importa recordar que, não obstante a elevada taxa de rejeição por amplos segmentos do eleitorado de que padece o líder do CH, Ventura apareceu já em alguns estudos de opinião como sendo percepcionado como o líder da oposição, superando o anterior líder do PSD Rui Rio.

Nota: Este artigo faz parte dos conteúdos exclusivos para assinantes do Observador.

 

Francisca Guedes de Oliveira: "De novo a desigualdade"

O termo desigualdade, quando aplicado a indivíduos, significa mais do que simples diferença. Tem uma conotação negativa e significa que se trata de forma diferente, e muitas vezes desproporcional e inferior, o que devia merecer um mesmo tratamento. Acontece devido a raça, religião ou género, mas também a estatuto social.

Sei que sou, em muitos sentidos, privilegiada. Em termos da família onde nasci, da educação que tive, das oportunidades de emprego que vou tendo. Mas sei também que, por ser mulher, fui, ao longo da minha vida, alvo de desigualdade. Não tenho qualquer dúvida que tive de fazer mais para ter o que tenho e chegar onde cheguei do que a maioria dos homens em igualdade de circunstâncias.

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

 

Católica-Lisbon vai premiar empresas pela aposta na produção sustentável

Com este prémio, o CORE pretende ainda dinamizar a Investigação & Desenvolvimento na produção empresarial e em todos os materiais e processos que as constituem, promover a competitividade sustentável das empresas e incrementar o fluxo de conhecimento na área da produção sustentável, de forma a incentivar as empresas a desenvolverem operações sustentáveis, que permitam a protecção da Biosfera e da utilização eficiente dos seus recursos.

Será atribuído aos primeiros três classificados um troféu sustentável CORE e um Selo CORE, nas categorias Ouro, Prata e Bronze, sendo que o primeiro classificado recebe ainda um vale para frequentar um dos programas da Formação Executiva na Católica-Lisbon. Os vencedores serão anunciados numa cerimónia de atribuição de prémios, a realizar em Setembro de 2022.

Artigo completo disponível na Human Resources.

Paulo Cardoso do Amaral: "A importância estratégica dos contratos (legais) auto-executáveis"

Comprometi-me começar a explicar como vamos dar valor legal ao código informático auto-executável da Blockchain, conhecido até agora por Smart Contract. Sabendo que os Smart Contract têm imenso valor para as DAO (Organização Autónoma Distribuída, e não regulada), este ensaio discute porque não podem ir tão longe quando se trata de transacções envolvendo activos da economia tradicional. É que esses activos requerem transacções com valor legal e, até agora, a única forma de reconhecer legalmente os Smart Contracts descarta totalmente a sua faceta de auto-execução autónoma, obliterando assim o seu valor estratégico para a economia.

Será que podemos dar valor legal a sério aos Smart Contracts, para que a economia também possa beneficiar das vantagens incomensuráveis de uma auto-execução ecossistémica verdadeiramente autónoma?

Artigo completo disponível no Jornal Económico.

"A monarquia "não depende da presença física desta rainha para continuar", mas Carlos pode ser "um fator de complicação". As implicações da morte de Isabel II na política britânica"

Com a morte da rainha Isabel II, a questão impõe-se: que consequências terá o desaparecimento da monarca no quadro da política britânica? Há desde logo dois temas que podem ganhar força e margem para serem debatidos, como explica André Azevedo Alves, professor do Instituto de Estudos Políticos da Universidade Católica, em declarações à CNN Portugal: “Poderá haver implicações na Escócia e no caso irlandês, na questão da possível reunificação da Irlanda”.

O especialista lembra que estes dossiers, que surgiram no cenário pós-Brexit, “ainda estão bem quentes” e poderão novamente dominar a agenda política com a morte de Isabel II, que era um fator "de união" no Reino Unido. Importa lembrar que a possibilidade de um novo referendo sobre a independência na Escócia já foi admitida pelo próprio governo de Edimburgo e a questão da fronteira irlandesa tem sido um foco de tensão entre Londres e a União Europeia - evitar uma fronteira física com a Irlanda é um dos requisitos dos acordos de paz de 1998 para o território.

Artigo completo disponível na CNN.

IV Encontro CARE: CARE Beyond Disciplinarity | Oradores

CARE - Isabel Capeloa Gil

Isabel Capeloa Gil

Full Professor of Culture Studies and the current Rector of UCP – Catholic University of Portugal. She holds a B.A. in Modern Languages and Literatures from the University of Lisbon (1987), and an M.A. in German Studies from the same university (1992), as well as a PhD in German Language and Culture from UCP (2001). She was Guest Professor in Germany (Saarbruecken, Munich), United Kingdom, Ireland (National University of Ireland), Italy (Univ. Ca Foscari, Venice), in Brasil (PUC-Rio) and in the USA (U. Pennsilvania and U. Stanford). She is furthermore an Honorary Fellow at the School of Advanced Studies of the University of London. From 2005 to 2012 she was the Dean of the Faculty of Human Sciences at the UCP. She has held numerous visiting professorships at universities in the U.S., Germany, Brazil, Italy, Ireland and Wales. She was a founder of The Lisbon Consortium network and leads the International Doctoral Degree Program in Culture Studies. She is also a senior researcher and founder of the Research Centre for Communication and Culture.


CARE - Peter Hanenberg

Peter Hanenberg

Vice-Rector for Research and Innovation, Director of Católica Doctoral School (CADOS). PhD in Modern Languages and Literatures from the University of Bamberg, Germany, in 1993, since 2006 Associate Professor at FCH. From 1988 to 1995 assistant professor at the University of Bamberg and between 1995 and 2006 coordinator of German Studies at the Faculty of Letters of UCP in Viseu. President of the Portuguese German Studies Association (APEG) 2006-2010. Member of the Research Centre for Communication and Culture (CECC) which he coordinates since 2012. 2016-2019 Vice-dean of FCH. His research is dedicated to European literature and culture since the 16th century, the idea of Europe and its representation as well as the intersection of Cognitive Sciences and Culture Studies.


CARE - Miguel Athayde Marques

Miguel Athayde Marques

Vice-rector of Universidade Católica Portuguesa and professor of Management at Católica Lisbon Scholl of Business & Economics. He holds a Doctorate (Ph.D) in Management by the University of Glasgow – School of Financial Studies and a Degree in Management by Universidade Católica Portuguesa.

Currently he is the Vice-Chairman of Galp Energia S.A. and a Non-executive Director of Brisa, CR, S.A.
In the past he has been President of the Portuguese Stock Exchange – Euronext Lisbon S.A. and of Interbolsa S.A. and Executive Director of Euronext NV (Stock Exchanges of Amsterdam, Brussels, Lisbon and Paris and Liffe – London Derivatives Exchange). He has been a member of the Executive Committee of New York Stock Exchange (NYSE Euronext). Previously he had been Executive Director of Caixa Geral de Depósitos S. A., member of the Executive Committe of Jerónimo Martins, SGPS, S.A. and Chairman of ICEP – Investimentos, Comércio e Turismo de Portugal. He has been a visiting professor in Business schools in the United Kingdom and in the Popular Republic of China, in Beijing.


CARE_Marlene Barros

Marlene Barros

Professora Catedrática da Universidade Católica Portuguesa é licenciada em Biologia e doutorada em Bioquímica, especialidade de Enzimologia pela Universidade de Coimbra e realizou em 2007 na Universidade de Aveiro as Provas de Agregação em Biologia.

Em 1982 Inicia a carreira na Universidade de Aveiro, Departamento de Biologia. Coordenou o Mestrado em Microbiologia Molecular na mesma Universidade. Lecionou no Mestrado em Experimentação Animal da Faculdade de Medicina da Universidade de Coimbra.

Em 2001 integra a Universidade Católica Portuguesa como responsável pelas Ciências Básicas do curso de Medicina Dentária em Viseu. Leciona na UCP as UC de Biologia Celular, Bioquímica Estrutural e Imunobiologia.

Em 2009 cria a Licenciatura em Ciências Biomédicas, sendo coordenadora até ao presente. Em 2010 foi Diretora-Adjunta do Departamento de Ciências da Saúde da UCP. Desde 2015 é Diretora Regional do Instituto de Ciências da Saúde em Viseu.

É Diretora do Centro de Investigação Interdisciplinar em Saúde (CIIS) da UCP desde 2015.

O atual interesse de investigação centra-se na integração da informação sobre proteínas tendo como objetivo principal esclarecer mecanismos moleculares de doenças e identificar biomarcadores uteis para diagnóstico, ou como alvos terapêuticos.

Está particularmente interessada no diagnóstico em saliva e nesse sentido estabeleceu com financiamento de fundos regionais e europeus o laboratório SalivaTec.

Lidera ou colabora em vários projetos de investigação com financiamento por diferentes agências nacionais ou internacionais e tem larga experiencia na orientação de alunos de pós-doutoramento, doutoramento e mestrado.


CARE - Eduardo Luis Cardoso

Eduardo Luís Cardoso

Eduardo Luís Cardoso holds an appointment as Researcher, Assistant Professor and Coordinator of the task force on Knowledge Transfer and of the Services to Companies at Faculty of Biotechnology – UCP Porto.

He has got a PhD in the area of Innovation from the School of Engineering of the Minho University (PT) and has experience in management roles at different projects and programs from research, innovation and technology commercialization. He also has been member of the board at the Faculty, the CBQF Research Center, and at the AESBUC University-Industry Association. He is graduated in Chemical Engineering from the Faculty of Engineering of the Porto University (FEUP) in the year 1986 and as an Industrial Management Master from the same University.

He teaches Innovation and Entrepreneurship; Learning Technologies; and Research Methodologies in different Undergraduate, Master and PhD Programs, in Business, Science and Technology.

His research interests cover: Innovation; Individual and Organizational Learning; Knowledge Management and Entrepreneurship.

He has coordinated a number of R&D+I projects, some funded in programs like RTD FP or ERASMUS+. He has extensive experience of evaluating R&D+I policies, projects, systems and services. He was consultant of the Evaluation Office from the Education Ministry (PT) where he was also Coordinator of one Competence Center for ICT in Education, cooperating during 10 years on the National Network supporting ICT in Schools

He was team member of one spinoff, in 2009, that now operates in the international markets in the area of Laboratory Technologies.


CARE - João Pereira

João Pereira

João Pereira is the Head of Innovation at Universidade Católica Portuguesa, as well as an Associate Professor at the Medical School, where he leads the Laboratory of Biostatistics. With a degree in Electrical and Computer Engineering from Instituto Superior Técnico and a PhD in Brain Imaging from Cambridge University, he has worked in a range of fields, ranging from business consultancy at McKinsey & Company to political advisory in Science and Education at the Portuguese Parliament. He was also a Researcher in Biostatistics and Medical Imaging at the University of Coimbra before founding a diagnostics equipment company. Prior to joining UCP, he worked as Director and CFO of HeartGenetics, a genetic tests start-up, and oversaw its sale to an international laboratory.


CARE - Ana Costa Freitas

Ana Costa Freitas

President of the Portuguese Association of Women Scientists (AMONET). Former Rector at University of Evora, Portugal (2014-2022). Vice-Rector (2006-2010) and, in between, Adviser at EC BEPA – Bureau of European Policy Advisers with the dossier Higher Education also worked with the CSA (Chief Scientific Adviser) of the European Comission President. During the stay at EU have given several oral communication, and presentations and published papers publications on the modernization of Higher Education and the future of Higher Education in Europe as well as at global level. The scientific field of expertise is food science and technology mainly related to Mediterranean agriculture and the preservation and sustainability of the Mediterranean eco-system.
Was part of the PRIMA Foundation steering committee for one mandate and part of the UNIMED Board since 2019.


CARE - Paulo C. Dias

Paulo C. Dias

Paulo C. Dias, Psychologist, with master degree in Educational Sciences and PhD in Health Psychology. As professor, he is Assistant Professor and Coordinator of Psychology course at the Faculty of Philosophy and Social Sciences of the Catholic University of Portugal and directs the research line regarding "Cognition, intersubjectivity and human development" at the Center of Philosophical and Humanistic Studies. Since 2009 has been involved in several National and European funded research in educational field (about plagiarism in secondary schools, project-based learning in secondary schools) and in health and addictions (early detection drug-consumption, alcohol prevention in adolescence, and cannabis prevention). During this period, outputs have been published in national and international journals.


CARE - Alexandre Villas Boas

Alex Villas Boas

Alex Villas Boas is Brazilian and currently is a full member of Research Centre of Theology and Religious Studies (CITER UCP) as principal researcher. PhD in Theology at the Pontifical Catholic University of Rio de Janeiro with a thesis on Theology and Literature dialogue about the meaning of life. Habilitation thesis on the relation between theological language and ethics with the otherness and mercy issue on Pope Francis at the Pontifical Catholic University of São Paulo. Postdoctorate fellow in Theology and Spirituality at the Pontifical University Gregorian in Rome, with research on the Spiritual Exercises of Ignatius of Loyola conception between Karl Rahner and Hans Urs von Balthasar. Also, he is lecturer of the Graduate Program of Theology, where was the coordinator since (2017-2019) and guest lecturer of the Graduate Program of Human Rights and Public Policy, both of Pontifical University of Parana, Brazil (PUC PR). Guest lecturer at: Department of Literary Studies at the University of Aveiro (Portugal); Faculty of Theology and Science of Religion at the University of Laval (Canada); Doctorate Program of Humanities at the Catholic University of Mozambique; Graduate Program of History and Literary Theory at the State University of Campinas, Brazil (UNICAMP). Editor in chief of Teoliteraria – Journal of Literature and Theology. Executive board member of the SOTER - Brazilian Society of Theology and Sciences of Religion (2017-2019), and the ALAITE - Latin America Association of Literature and Theology (2016-2018). Member of the ACFAS – Association francophone pour le savoir du Québec.


CARE - Elvira Fortunado

Elvira Fortunato

Elvira Fortunato was born in Almada in 1964.

She has a degree in Physics and Materials Engineering (1987, FCT/ Nova University of Lisbon); a PhD in Materials Engineering: Microelectronics and Optoelectronics (1995, FCT/ Nova University of Lisbon

From 2015 to 2020 she was part of the group of seven researchers in the European Commission Scientific Advice Mechanism based on scientific evidence. 

Since 2010 she has been in the Chancellery of the Honorific Orders of Portugal, at the Presidency of the Republic. 

She is a pioneer in European research on transparent electronics using sustainable materials and environmentally friendly technologies. In 2008, at the 1st edition of the  European Research Council ERC grants, she was awarded an Advanced Grant for the project INVISIBLE, considered by the European Commission to be a success story. In the same year, she showed with her group the possibility of manufacturing the first paper transistor, starting a new field in the area of paper electronics. In 2018 she was awarded a second Advanced Grant for the project DIGISMART. Recently, and following on from the exploratory results of the DIGISMART, she obtained Proof of Concept with the e-GREEN project: From forests to Green Electronics, focusing on exploring environmentally friendly and low-cost materials and technology exploration.

In 2022, she was part of the group of 27 inspiring European Women, elected by the current French Presidency of the European Union.

With over 800 scientific papers published, in the last few years she has been awarded more than 50 prizes and international distinctions for her work, of which we note the title of Grand Officer of the Order of Infante D. Henrique, bestowed by the President of the Republic in 2010, the Blaise Pascal Medal in 2016, the Czochralski prize in 2017, the Pessoa prize in 2020, the Horizon Impact prize by the European Commission in 2020 with the project INVISIBLE, the prize of the World Federation of Engineering Organisations: WFOE GREE AWARD Women in 2020, The Strait of Magellan Prize by the Chilean Government in 2020, the Innovation in Materials prize in 2021 granted by the FEMS and the Human Rights Prize granted by Parliament in 2021.

She is an elected member of the Engineering Academy, the European Science Academy, the Lisbon Science Academy, and the Europaea Academy. She has been on the Luso-American Foundation for Development Board of Trustees since 2014. 

She has coordinated several national and international project, of which we note her pioneering activity at Nova University of Lisbon in the field of equal opportunities through the SPEAR project, a European platform to support and implement plans for gender equality in higher education institution.


CARE - Rui Vieira Castro

Francisca Leite

Francisca is currently the head of training, research and innovation at Luz Saúde and an invited Assistant Professor and member of the Dean’s Board at FM-UCP. Previously, she was a consultant at McKinsey & Company. Francisca holds a PhD in Medical Engineering, Medical Physics from MIT and Harvard Medical School, and a Licenciatura in Physics Engineering and Technology from Instituto Superior Técnico.


CARE - Caren Norden

Caren Norden

Deputy Director for Science

Caren Norden is Deputy Director for Science at the Gulbenkian Science Institute

Scientific Career

Since 2010
Research Group Leader at the MPI-CBG

2006-2010
Postdoctoral fellow at the Institute of Physiology, Development and Neuroscience, Cambridge University, Cambridge, UK

2002-2006
PhD in Biology, Institute of Biochemistry, ETH Zurich, Zurich, Switzerland


CARE - Gulsun Saglamer

Gülsün Sağlamer

Prof. Dr. Gülsün Sağlamer, Former Rector of Istanbul Technical University (ITU) (1996-2004) is a professor of architecture and has been as a post-doc researcher in Cambridge University (1975-1976), visiting Professor in Queen’s University of Belfast in 1993-1996 and was also invited to be an external examiner at the same university for four years between 1999 and 2003.  

She was a Board Member of EUA (European University Association) (2005-2009) and a member of the Steering Committee of the EUA’s Institutional Evaluation Programme (IEP) (2009-2013), a chair of evaluation teams in IEP evaluations since 2011 and a member of the Research Policy Working Group of EUA since its establishment in 2005 till 2015.  She is an Executive Committee Member (2003-) of the International Association of University Presidents (IAUP) and served as the President of CMU (Community of Mediterranean Universities) (2012-2016). She was invited to the Marie Curie People Programme (EC) Advisory Group for five terms: 2006-2018 and has been the Chair of the Marie Sklodowska Curie Actions Advisory Group in Horizon 2020 (2013-2016).

She is a Member of the Board of Trustees of Kadir Has University (2006-2014)(2019-) and the Founder and the Chair of the Board of ITU’s Technology Park ARI Techno-City (2002-2004)(2020- ). She is the founder of ITU Development Foundation’s Schools: Nursery (1998), Primary School (2001), High School (2006) to provide better work-life balance for ITU academic staff. She was the Chair of the Academic Council of these schools for 8 years (2000-2008) and she is back to K12 schools again as the chair of its Governing Board since 2019.

Prof. Sağlamer established a centre at Istanbul Technical University titled “Women Studies in Science Engineering and Technology“ in 2009 and served as the director of this centre 2009-2012. She has led the ITU team in 5 of the EC funded (FP6 and FP7) projects on Women in STEM (2006-2017). In December, 2015 European Women Rectors Association (EWORA) has been established under the Belgian Law in Brussels and Prof. Sağlamer is the founding Board member and the President of EWORA. She is re-elected as the President of EWORA for the period of 2019-2023. She has been representing Turkey in ERAC Standing Working Group on Gender in Research and Innovation (Former Helsinki Group) since 2o18. She is now one of the Ambassadors of the Magna Charta Observatory’s “Living Values Project” since 2019.

Gülsün Sağlamer is a registered architect at the Chamber of Architects of Turkey, Istanbul. She designed several important architectural projects and received awards at national and international levels such as Best Buildings of the Year 2000 by Kolleksiyon, for the “Sedat Üründül Nursery”. Same project also received a prize from OECD PEB 2nd Compendium of Exemplary Educational Facilities, 2000.  She designed hotel buildings,  housing groups, research centres, and villas in different parts of Turkey.  She has served as a jury member in many national architectural design competitions.

She has been awarded Honoris Causa by Carleton University, Canada (2001), Universitatea de Nord Din Baia Mare University, Romania (2002), Ovidius University of Constantza in Romania (2009) and Queens University of Belfast (2018). American Institute of Architects (AIA) awarded her “Honorary Fellowship (Hon FAIA) in 2006 and she has been also awarded “Leonardo da Vinci Medal” by SEFI (Société Européenne Pour la Formation Ingénieurs-European Society for Engineering Education) in 2005-2006.  She is a member of European Academy of Sciences, Arts and Letters since 2011.


CARE - Rui Vieira Castro

Rui Vieira de Castro

Nasceu em Caldas de Vizela (S. Miguel), em 1958. 

Licenciado em Ensino de Português-Inglês, na Universidade do Minho, em 1981. 

Mestre em Linguística Portuguesa Histórica, pela Faculdade de Letras da Universidade de Lisboa, em 1987. 

Doutor em Educação, na área de conhecimento de Metodologia do Ensino do Português, pela Universidade do Minho, em 1994.

Professor catedrático da Universidade do Minho desde 2005. 

A sua atividade de ensino e os seus interesses científicos concentram-se nas áreas da Educação e Linguagem, com foco principal nas questões do ensino do português, das literacias, com ênfase nos usos de linguagem em contexto de trabalho. 

Vice-Reitor da Universidade do Minho, entre 2009 e 2013, com o pelouro do Ensino e da Investigação.  Entre 2013 e 2017 desempenhou as mesmas funções de Vice-Reitor, agora com o pelouro da Educação, tendo cessado funções em janeiro de 2017. Neste mesmo ano, foi eleito para o Conselho Geral da Universidade. Reitor da Universidade do Minho desde 2017.


CARE - Alexandra Pereira

Alexandra Pereira

Alexandra Pereira é investigadora PostDoc do Programa DHI e doutorada em Sociologia pelo ISEG (Universidade de Lisboa) com uma tese intitulada “Transborder Himalaya – Processos de Transnacionalismo nos Empresários e Trabalhadores Nepaleses em Lisboa” (2019). É também mestre em Psicologia Clínica pela FPCE (Universidade de Coimbra), foi assistente de investigação do ISCTE-IUL e integra o IMISCOE/MigrationResearchHub. Investigadora de sociologia (migrações) e psicóloga clínica que colaborou com associações de migrantes na Finlândia, Reino Unido e Portugal, está atualmente envolvida na investigação de questões ligadas à discriminação de género em migrantes nepalesas. Os seus interesses de investigação incluem: Nepaleses em Portugal e na Europa, Feminismo e Mulheres Migrantes, Transnacionalismo, Tráfico Humano, Exploração Laboral, Governança Migratória e Empreendedores Migrantes. É Membro da APS (Associação Portuguesa de Sociologia) e da OPP (Ordem dos Psicólogos Portugueses).


CARE - Maria Pena Ermida

Maria Ermida

Graduated in Law from the Faculty of Law of Universidade Católica Portuguesa, Maria Pena Ermida sought to deepen her knowledge in the area of economics of the sea. For that reason, she also completed a postgraduate course in Sea Science and Business Administration, an interdisciplinary course promoted by the Universidade Católica Portuguesa and the Faculdade of Sciences at the University of Lisbon. She continued her studies, becoming a Master in International and European Law at the Faculty of Law of Universidade Nova de Lisboa, having focused her studies in Law of the Sea. She is currently carrying out her PhD focused on the governance of marine areas beyond the jurisdiction of States at the Católica Global School of Law, at Universidade Católica Portuguesa. While pursuing her academic career as a researcher at the Católica Center for the Future of Law, she has also provided legal support to several non-governmental organizations as well as governmental entities. She is also an active member of the Youth Policy Advisory Council of the Sustainable Ocean Alliance, being particularly committed to the working group dedicated to deep sea mining.


CARE - Ernesto Tages

Ernesto Tages

Ernesto Tages holds a degree in Business Administration, a Masters in Political Science, a specialization in Positive Psychology and is the author of the Emotional Excellence methodology that he applies in consultancy and executive education models.

Born in Argentina, after working several years in banking Ernesto successfully extended his activities to new areas of interest regarding the greatest riches of Human endeavour.

For more than a decade, Tages travelled the globe and invested in education and research within the fields of economics, philosophy, psychology and medicine among other areas of knowledge. In his quest to reach the depths of the mind, Ernesto has been trained in eastern traditions of physical, mental, and spiritual practices and disciplines for more than 20 years. The solid experience acquired grants him a multidisciplinary and multicultural understanding of the Human Being as well as a global and open mentality.

Deeply concerned with the development of our rationality in order to improve our performance, Ernesto emphasises that we must understand the powerful role that both emotions and thoughts play in our minds.

At present, he works from Portugal to the rest of the world, developing the intuition and visionary capability of prominent leaders from the private, public and social sectors.


CARE - Ana Moreno

Ana Moreno

Ana Filipa Moreno é Docente Convidada na Faculdade de Educação e Psicologia da Universidade Católica Portuguesa e atualmente doutoranda e Investigadora do Centro de Investigação para o Desenvolvimento Humano da Universidade Católica Portuguesa. Ao longo dos últimos anos, o seu trabalho de investigação tem-se desenvolvido mais especificamente dentro do Human Neurobehavioral Laboratory (HNL), designadamente nas áreas da regulação emocional, empatia, correlatos psicofisiológicos e avaliação de aspetos cognitivos e emocionais em tarefas em contexto laboratorial. O seu projeto de doutoramento insere-se no programa internacional Ph.D. in Applied Psychology, e congrega as suas áreas de interesse, tendo como objetivo a avaliação e promoção de estratégias de regulação emocional em polícias, com recurso a medidas psicofisiológicas.


CARE - Shenglan Zhou

Shenglan Zhou

Shenglan Zhou é licenciada em Língua e Cultura Portuguesa pela Universidade de Estudos Estrangeiros de Tianjin. Concluiu o mestrado em Estudos Asiáticos na Faculdade de Ciências Humanas da Universidade Católica Portuguesa. Trabalhou como intérprete e tradutora de português-chinês para várias instituições chinesas tais como China Radio International e TEDA Group(Tianjin Economic-Technological Development Area. É leitora de Língua Chinesa na FCH-UCP e é também tradutora e assistente de investigação na Jorge Welsh, Works of Art.

Católica celebra Dia Internacional do Microrganismo com estudantes do 5.º ao 12.º ano

Esta iniciativa pretende divulgar a diversidade, presença, impacto e potencial dos diferentes tipos de seres vivos invisíveis que estão presentes em todo o lado, desde o meio ambiente à alimentação e à saúde. Os alunos inscritos terão ainda a oportunidade de participar num concurso sobre os seus conhecimentos. As inscrições, gratuitas, decorrem até 16 de setembro.

“A vida em geral, e a existência humana em particular, não seriam possíveis sem os mais variados microrganismos. No entanto, a cultura dominante ensina-nos que temos de esterilizar o máximo do nosso ambiente, como se todos fossem agentes patogénicos (e como se, mesmo os patogénicos, pudessem ser controlados criando desertos microbiológicos). A pandemia só veio acentuar essa perspetiva que, não só não funciona, como está cientificamente errada. É precisamente para desmistificar o mundo dos micróbios que os alunos do básico e secundário poderão conhecer bem de perto alguns exemplos práticos dos muitos milhões de espécies existentes, entre bactérias, vírus, fungos, microalgas e protozoários”, pode ler-se no comunicado de imprensa da Católica.

Artigo completo disponível na Health News.

"O Outro Lado"

João Taborda da Gama, docente na Faculdade de Direito - Escola de Lisboa, foi um dos convidados no programa "Outro Lado", no dia 12 de setembro de 2022.

Pode ver o comentário de João Taborda da Gama aqui a partir dos 05:15.

‘Só se derrota o populismo respondendo às preocupações das pessoas’

Afirma que «Portugal é um vício e a política portuguesa é um vício ainda maior.». Para um “opinion maker”, sobre o que é mais desafiante escrever: a sociedade ou a vida política?

Sempre gostei muito de ópera, razão pela qual, sempre que posso, dou um salto a Itália. Mas como não posso estar sempre lá, Portugal é a segunda melhor escolha para quem gosta de política de faca e alguidar. E é por isso que é um ví - cio acompanhar a política portuguesa, os seus personagens e os seus melodramas. Por isso, a relação que tenho com o país é, ao mesmo tempo, lírica e romanesca. A sociedade civil portuguesa é fraca e, quando muito, funciona apenas como fi - gurante. Os atores principais são aqueles que se penduram no Estado ou que dele dependem.

Critica que se fale muito do 25 de abril, mas aponta que são vários os sinais que ainda não saímos de 24. Pode partilhar algum exemplo?

O maior sinal de que não saímos do dia 24 de abril de 1974 é o facto de ainda não termos absorvido plenamente o conceito de pluralismo político. A ideia de que numa sociedade livre e democrática existem várias conceções do bem, várias conceções de vida, todas elas com a mesma legitimidade e em que nenhuma delas tenta canibalizar as restantes. Em Portugal isto ainda não foi bem absorvido, e partese do pressuposto que o espetro político começa na extrema-esquerda e acaba ao centro.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa da Ensino Magazine de 1 de setembro de 2022.

Rosário Pinto Correio: "O incompreensível desperdício da experiência"

Em setembro de 2018 um grupo de portugueses juntou-se em torno de uma causa – o fim do desperdício duma experiência que acreditamos ser da maior relevância para o futuro de Portugal.

Todos tínhamos tido cargos de direcção em empresas ou na academia, em lugares mais ou menos elevados na hierarquia da instituição.

Todos tínhamos passado – ou tido perto de nós quem tivesse passado – por momentos complicados nas carreiras, em que tudo o que até à data tínhamos feito parece não ter nenhum valor, e não se vislumbra nenhum futuro para as nossas aptidões e capacidades.

E todos acreditamos, convictamente, no valor da experiência e na necessidade de combater o desperdício a que a nossa sociedade a vota.

Artigo completo disponível no Observador.

Comissões de Ética

A comunidade CARE – Católica Research – dispõe atualmente de duas Comissões de Ética. A Comissão de Ética para a Saúde (CES) e a Comissão de Ética para a Tecnologia, Ciências Sociais e Humanidades (CETCH).

A Comissão de Ética para a Saúde da Universidade Católica Portuguesa (CES-UCP) teve a sua tomada de posse no dia 29 de janeiro de 2019, na Reitoria da Universidade Católica Portuguesa, em Lisboa. A designação dos seus membros foi homologada pela Senhora Reitora da UCP, através do Despacho n.º 0386/2019.

Em resposta às recorrentes solicitações apresentadas pelos Centros de Investigação e pelos Programas de Doutoramento da UCP, Comissão de Ética: Tecnologia, Ciências Sociais e Humanidades (CETCH) foi nomeada pelo biénio 2022-2023, em complemento da Comissão de Ética para a Saúde.

 

Conheça cada uma das Comissões, os seus membros, e como pedir um parecer:

Paulo Modesto Pardal: "Fake news!? Mas e a indução de fake perceptions?"

A estória, quase anedótica, desenrola-se no contexto da Guerra Fria, entre EUA e URSS, no século passado. No âmbito da ‘conquista do Espaço’, a dado momento, as duas potências competiam, freneticamente, pelo lançamento, em primeiro lugar, de um determinado satélite inovador. No dia seguinte à colocação em órbita, pela URSS, do seu engenho, com sucesso, a manchete de  1ª página do PRAVDA informava, em letras garrafais, “URSS LANÇA O SEU NOVO SATÉLITE NUM BRILHANTE SEGUNDO LUGAR! “e, em subtítulo, letras minúsculas, “os EUA quedaram-se por um modesto penúltimo lugar…”!

Como Churchill notou, a democracia é o menos imperfeito dos regimes de governação que a Humanidade já conheceu. A vertiginosa transformação política, social, cultural, demográfica, económica e social a que temos vindo a assistir, em particular nas últimas três décadas, tem, contudo, vindo a fazer sobressair alguns dilemas, relevadores da insuficiência dos regimes democráticos na sua abordagem. É assim que, por exemplo, o terrorismo tem vindo a questionar o equilíbrio Liberdade vs. Segurança, a criminalidade padronizada, o balanço Privacidade/Protecção de Dados vs. Prevenção ou, o uso e posse de armas – tão discutido, hoje, nos EUA – a distopia Protecção Pessoal vs. Terrorismo Civil.

Artigo completo disponível aqui.

 

José Matias Alves: "Concursos nacionais: o insustentável peso da máquina"

Um professor (ou um candidato a professor) concorre ao concurso nacional de colocação de professores. Escolhe as escolas onde quer e aceita ser colocado para os grupos de docência em que possui qualificação legalmente reconhecida. É graduado segundo dois critérios puramente administrativos: a classificação profissional obtida no termo da sua formação e o tempo de serviço.

Pela lotaria do concurso, é depois colocado numa escola que não conhece e que pode estar a 200, 300 ou 500km da sua residência.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do jornal Público de 28 de outubro de 2022.

 

Isabel Capeloa Gil: "A Ponte"

O tempo é de incerteza, mas a falta de aspiração endémica do país, também não ajuda. Uma inflação galopante, a ameaça de um conflito à escala global, a que se somam as alterações climáticas, e as micro-desgraças do dia a dia, parecem apenas demonstrar que, quando a alma é pequena, nada vale a pena. Compensamos o desânimo com o refúgio à sombra do manto acolhedor do Estado, que transforma magros apoios em alavancas perenes de um sistema social, político e económico reconciliado com a mediocridade. E que torna esses apoios justamente estruturantes da atividade económica num país onde, há décadas, nada se passa sem o beneplácito do poder político. A maior conquista deste sistema endémico é, podemos dizê-lo, uma colonização do ânimo e da subsequente capacidade de aspirar.

Porque a literatura sempre esteve um passo à frente, permitam-me recordar um pequeno conto de Franz Kafka, escrito em 1916/17, chamado justamente A Ponte. Ora esta ponte, construída sobre um abismo, é uma edificação esquecida, por onde ninguém passa. E se ninguém por lá passa, então está em causa a sua própria natureza de ponte. Apesar de tudo, ainda que seja irrelevante e ninguém a atravesse, uma ponte só deixa de ser ponte quando cai. Um dia, um homem de bengala, aproxima-se da edificação, bate no solo com a bengala e salta sobre o empedrado. A ponte adormecida, que toda a vida se havia mantido imóvel a olhar fixamente para o riacho que passava por baixo de si, sentiu uma enorme curiosidade de ver quem assim perturbava o seu descanso. Afinal, quem é que assim ousava reclamar a sua natureza de ponte. Movida pela curiosidade, vira-se para olhar para cima. Ora, onde já se viu uma ponte virar-se? Mal se virou, inevitavelmente caiu. E foi justamente ao cair que realizou a missão para que fora edificada.

Artigo completo disponível no Diário de Notícias.

Categorias: A Reitora

Filipe Santos: "Católica-Lisbon: 50 anos de inovação e excelência"

Celebramos no início deste ano letivo os 50 anos da CATÓLICA-LISBON. Foi em 1972, que a Universidade Católica Portuguesa abriu pela primeira vez um curso superior em Administração e Gestão de Empresas, momento fundacional da Católica Lisbon School of Business and Economics, hoje Escola de referência mundial.

Foram 50 anos de permanente inovação e busca da excelência. Desde logo, um curricula inovador e rigoroso, lecionado por docentes experientes, com conhecimentos académicos e práticos de gestão e qualidades pedagógicas. Nos tempos quentes do pós-25 de Abril, com universidades públicas fechadas e passagens administrativas, na Católica trabalhava-se e aprendia-se sobre economia, gestão, ética e o Mundo. Na década seguinte formámos milhares de graduados em Gestão e Economia, que constituíram a espinha dorsal da revolução empresarial Portuguesa dos anos 80 e 90.

Artigo completo disponível no Observador.

"A Europa está no bom caminho para o manicómio"

Doutorado em Ciência Politica e Relações Internacionais pela Universidade Católica, onde também é professor, cronista no Correio da Manhã e na Sábado, João Pereira Coutinho fez a seleção dos textos que melhor ajudam à sua visão dos últimos sete anos de Portugal e do Mundo. Esta entrevista foi conduzida por e-mail.

Acorda e pensa: sobre o que é que eu vou escrever hoje?

Não é uma das minhas primeiras preocupações. O meu problema nunca foi a falta de assuntos, mas o excesso. A pergunta, a existir, seria: sobre o que é que eu não vou escrever hoje? 

Lembra-se da sua primeiríssima crónica?

Não. Ou sim, mas prefiro não comentar. Stress pós-traumático

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Correio da Manhã, de 4 de setembro de 2022.

Fukuyama e a vitória indispensável (e previsível) da Ucrânia

Podia não ter nada a ver mas tem tudo a ver. Poucos dias depois de a guerra na Ucrânia ter começado, a 7 de Março, Francis Fukuyama escreveu um artigo onde disse que, nesse conflito, nos tínhamos de preparar para a derrota da Rússia. Na altura ninguém pensava que fosse uma previsão realista, até porque ainda se contavam os dias para a possível — segundo a opinião dominante, a provável — queda de Kiev. Não foi assim que se passou e por isso hoje o cientista político que se tornou famoso quando escreveu sobre o “fim da História” sente-se vingado. E pensa ser capaz de explicar porque é que a guerra está a correr mal à Rússia.

Esta sexta-feira, num jantar restrito que juntou na club house do Clube de Golfe do Estoril amigos e colaboradores do Instituto de Estudos Políticos da UCP, Fukuyama explicou o que é que a sua experiência dos últimos anos, desde 2014, em que passou largas e frequentes temporadas na Ucrânia, lhe ensinaram sobre aquele país. E talvez o mais importante é que foi nessa Ucrânia traumatizada pela ocupação da Crimeia e pela guerra no Donbass que ele encontrou, e sentiu, algo raro: o espírito de 1989, o espírito desse ano em que a História se acelerou e os países da antiga “Cortina de Ferro” saltaram para a liberdade.

Artigo completo disponível no Observador.

Ana Côrte-Real: "Entrou na Faculdade! E agora, como vai sair?"

Em vésperas das saídas das colocações, escrevo este artigo numa perspetiva de Coach do programa Mind the Gap, no âmbito do qual acompanho jovens no “gap” do secundário para a universidade, no “gap” das licenciaturas para os mestrados e no “gap” de estarem num curso (ou já o terem terminado) e pretenderem mudar de área (“afinal, não é nada disto que gosto”). Escrevo, naturalmente, no âmbito deste tópico, como Mãe de 2 licenciadas (em gestão e engenharia industrial) e de uma aluna do 4º ano de medicina.

Queria ser mais optimista neste assunto… mas temo que as minhas evidências me façam ser cautelosa.

Entrar no curso que se quer, na faculdade que se quer, não significa que se revele fonte de bem estar e de realização. Entrar nas terceiras opções, em faculdades que não desejavam, muitas vezes noutra zona geográfica, são fonte de ansiedade e angústia.

A angústia da entrada passados uns meses, é muitas vezes, substituída pela angústia do “afinal não é este curso que quero!”.

Artigo completo disponível na Executive Digest.

Filipe Santos: “Católica-Lisbon – Mais 50 anos a desenvolver Portugal”

A semana passada, a Católica-Lisbon, como habitualmente, foi a primeira Escola do país a abrir portas aos novos alunos de licenciatura, acolhendo 450 alunos a 1 de setembro. Dois dias antes recebeu 500 novos alunos de Mestrado, dos quais mais de 70% internacionais. Foi uma abertura de ano especial pois celebramos 50 anos de pioneirismo no ensino superior em Portugal. De facto, foi em 1972 que a Universidade Católica abriu pela primeira vez em Portugal um curso superior em Administração e Gestão de Empresas, momento fundacional da Católica Lisbon School of Business and Economics, hoje Escola de referência no top 1% das melhores escolas de gestão do mundo.

Foram 50 anos de permanente inovação e busca da excelência. Desde logo, um currículo inovador e rigoroso, lecionado por docentes experientes, com conhecimentos académicos e práticos de gestão e qualidades pedagógicas. Nos tempos quentes do pós-25 de Abril, com universidades públicas fechadas e passagens administrativas, na Católica trabalhava-se e aprendia-se sobre economia, gestão, ética e o Mundo. Na década seguinte, a Escola forma milhares de graduados em Gestão e Economia, que constituíram a espinha dorsal da revolução empresarial Portuguesa dos anos 80 e 90.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na edição impressa do Jornal de Negócios de 6 de setembro de 2022.

Memória, Mudança, Empreendedorismo e Inovação

Incluindo os seguintes temas, entre outros:

  • memória individual e coletiva;
  • identidade cultural;
  • Portugal e o mundo global;
  • memória cultural;
  • políticas de memória;
  • arte e património portugueses;
  • turismo cultural e religioso e inovação;
  • Cristianismo e cultura;
  • as religiões do livro;
  • espiritualidade e modernidade;
  • pensamento português;
  • filosofia da comunicação;
  • Culturas globais e práticas de tradução;
  • identidade europeia/identidades na Europa;
  • tecnologia e artes;
  • literatura e sociedade;
  • memória transnacional;
  • Portugal e a Europa;
  • cultura popular;
  • Estratégias de inovação para a economia da cultura;
  • mudança social;
  • cognição e cultura;
  • amnésia e comemoração;
  • redes sociais e memória digital;
  • mudança organizacional e estratégica;
  • empreendedorismo e inovação.

Secretaria Escolar

A maioria dos pedidos deve ser feita exclusivamente via online.

  • Os serviços prestados presencialmente são:
  • Receção de documentos originais
  • Entrega de documentos originais (certificados), ou documentos em resultado dos pedidos solicitados online


Passos para submeter o seu pedido online:

  1. Aceder ao ESCA
    (Caso tenha problemas de acesso ao ESCA, contacte helpdesk@ucp.pt)
  2. Ir ao Separador “Serviços”
  3. Escolher Serviço pretendido – Exemplos abaixo:

- Pedido de Certificado de Matrícula (Passe Escolar, Benefícios Sociais, Bolsa)
- Pedido de Certificado de Conclusão de Curso
- Pedido de Diploma
- Requerimento

  1. No dia útil seguinte consultar em: “Registo académico / Situação de Tesouraria” se há valores a pagar
  2. Pode consultar os seus pedidos em “Pedidos / Ver pedido”.  Logo que fiquem processados, passarão a ter o “Estado” – “Finalizado”
  3. Se aplicável, pode levantar os documentos associados no horário de atendimento da Secretaria Escolar. Caso seja outra pessoa a levantar o seu documento, deverá enviar previamente um email para academicservices.lisboa@ucp.pt, indicando o nome da pessoa autorizada

José Miguel Sardica: "Prisioneiros do discurso"

Podem as palavras que pronunciamos criar a realidade que queremos que exista? Tem o discurso o poder demiúrgico de produzir o mundo em que nos movemos? Desde a chamada “viragem linguística”, que chegou ao campo das humanidades e das ciências sociais há já bem meio século e, sobretudo, na epistemologia pós-moderna, acredita-se que sim. Acredita-se, aliás, como corolário disto, que nada há senão “discurso” e que não existe, portanto, qualquer realidade granítica e incontornável para lá do que dizemos sobre as coisas. Isto parece uma charada, mas tem consequências bem palpáveis…e complicadas.

Em política, e para as esquerdas portuguesas, o discurso é tudo, porque o que interessa são as “narrativas” com que se determina a forma como todos devem perceber o real, independentemente de elas serem verdadeiras ou falsas e de a realidade as confirmar ou infirmar. Por isso, as esquerdas vivem no paraíso dos eufemismos e das linguagens inclusivas. Começou-se pela substituição do cego pelo invisual ou do velho pelo idoso e já se vai nos “seres gestantes” em vez de mães e nos “centros de nascimento” em vez de maternidades. Nestes domínios, o disparate é infindável.

Artigo completo disponível na Renascença.

Reino Unido

João César das Neves: ​"A pobreza que veio do frio"

O mundo mudou em 24 de fevereiro de 2022, quando a Rússia atacou descaradamente o vizinho. Agressões deste tipo não aconteciam em potências de referência desde meados do século passado, e por isso o assalto reabriu feridas que se consideravam definitivamente saradas. Os efeitos sobre o equilíbrio mundial e a trajetória da humanidade são ainda muito incertos, mas, além da terrível destruição de vidas e propriedade, a invasão criou já um choque económico de dimensão planetária. A consequência para Portugal é evidente: estamos mais pobres.

Aquilo a que se tem chamado “inflação”, e que na Europa é por enquanto dominado por uma maciça subida dos preços da energia, empobrece significativamente as economias dependentes dessas importações. Temeu-se muito pior, com fome causada por um enorme choque alimentar, mas ela, de momento, parece afastada. Tal significa que não existe uma solução indolor para o momento. O que quer que façamos, o país terá que viver com menos. Este facto é inelutável, apesar de bastante arredado da vasta discussão à volta da presente situação económica.

Artigo completo disponível na Rádio Renascença.

Filipe Santos: "Não podemos ter uma carga fiscal tão grande sobre o trabalho"

Em entrevista à Renascença, Filipe Santos admite que ser professor no actual contexto de inflação "é dar aulas de uma forma inesperada" e que estão a acontecer "coisas que era quase impossível" há dez anos.

Com o aproximar da entrega e discussão do Orçamento do Estado, o dean Filipe Santos avisa que "não podemos ter uma carga fiscal tão grande sobre o trabalho" e considera as recentes medidas de apoio às famílias como "ajustadas", apontando, contudo, que "houve algum truque" na comunicação do Governo.

No site da Católica descreveu-se a si próprio como um académico e um empreendedor social que quer mudar o mundo. Neste mandato, e no ano em que a escola cumpre 50 anos, conseguiu uma ínfima parte desse objectivo?

Penso que sim. É muito importante rodearmo-nos do melhor conhecimento, do conhecimento mais rigoroso, mas temos que o levar à ação e, portanto, é esta a minha vertente de sempre, procurar a busca do conhecimento e depois aplicá-lo na prática ou através de novos projetos inovadores ou através, por exemplo, no caso de análise económica de políticas sensatas e rigorosas, com base em evidências.

Artigo completo disponível na Renascença.

Reino Unido

Ética, Compliance e Whistleblowing

Sob o tema “Ética, Compliance e Whistleblowing”, a aula aberta online realiza-se já no próximo dia 21 de setembro, pelas 18h30, e junta vários especialistas na área.

A Lei n.º 93/2021 que transpõe a “Diretiva de Whistleblowing” (Diretiva (UE) 2019/1937, relativa à proteção dos denunciantes em Portugal foi aprovada em maio de 2022. Este novo quadro normativo aprovado pela Assembleia da República surge num contexto estratégico de combate à corrupção que obriga as organizações públicas ou privadas com 50 ou mais colaboradores a disponibilizar um canal de denúncias internas que permita garantir a confidencialidade da identidade dos denunciantes – os whistleblowers e a não retaliação.

Artigo completo disponível no Centro Nacional de Cultura.

Lívia Franco: "Esta chantagem cria muito medo"

Putin ameaça com ataque nuclear. Como deve reagir o Ocidente? "Temos de levar as ameaças com atenção, mas não podemos entrar numa lógica de medo", analisa a investigadora da Universidade Católica.

Pode ouvir o comentário de Lívia Franco aqui.

João Pereira Coutinho: "Vem aí o fascismo"

Sempre que a “extrema-direita” ganha uma eleição (fascismo, extrema-direita, direita radical: tudo isto é a mesma coisa para eles), o primeiro propósito dos figurantes é sinalizar a sua virtude. Fazer o trabalho de casa, pelo qual imagino que sejam pagos, é coisa que não lhes passa pela cabeça.

Nota: Este artigo faz parte dos conteúdos exclusivos para assinantes da Revista Sábado.

UCP Editora

Fundada em 1998, a Universidade Católica Editora apresenta um catálogo nacional de mais de 1 000 títulos e cerca de 1 800 autores (portugueses e estrangeiros), possuindo um ritmo editorial superior a 80 obras publicadas anualmente.

As obras da UCP Editora estão também disponíveis nas Livrarias UCP e nas principais livrarias nacionais.

UCP Editora

João Pereira Coutinho: "Cuidados Intensivos"

O QUE PARECE, É: se um dia António Costa publicar um manual de política (espero que o faça), pode usar este título de empréstimo. Ele resume o estado da sua arte.

Em 2015, para "virar a página da austeridade", o governo devolveu rendimentos aos portugueses. Era o que bastava: com dinheiro no bolso, o bom povo até se esquecia de uma carga fiscal elevada e de um investimento público pelas ruas da amargura.

Em 2022, com uma inflação persistente que o governo desvalorizou durante meses, ao mesmo tempo que forrava os cofres com ela, o dr. Costa resolveu devolver uma parte desse extraordinário maná. E, nas medidas para ajudar as famílias em tempos de carestia, tudo parece de uma generosidade ilimitada.

Nota: Pode ler o artigo na íntegra na revista Sábado de 8 de setembro de 2022.